Documente Academic
Documente Profesional
Documente Cultură
Personne publique
Syndicat Départemental d’Equipement des Communes des LANDES
SYDEC
Maître d’œuvre
SYDEC - Service électricité
Objet de la consultation
Electrification rurale, éclairage public, génie civil des réseaux de télécommunications et
télédistribution
ARTICLE 11 : SCHEMAS.................................................................................................... 23
ARTICLE 1 : Présentation
Le présent Cahier des Clauses Techniques Particulières a pour objet de compléter les dispositions
prévues par le cahier des clauses techniques générales applicables à la réalisation d’un réseau
d’éclairage public (circulaire ministérielle n° 74-140 du 14.03.1974).
En complément du présent document, les conditions d’exécution des travaux d’éclairage public dont
le Syndicat d’Equipement des Communes des Landes assure la maîtrise d’ouvrage sont fixées par les
documents contractuels ci-après :
- arrêté technique du 17 mai 2001 fixant les conditions techniques auxquelles doivent satisfaire
les distributions d’énergie électrique.
- Le guide UTE C 17-205 applicable aux caractéristiques des installations d’éclairage public ;
- La norme NF C 17-200 relative aux installations destinées à assurer l’éclairage des voies
publiques ;
- Les recommandations relatives à l’éclairage des voies publiques (A.F.E, dernière édition).
- Le guide pour l’établissement des réseaux électriques souterrains édité par EDF et la FNCCR
(Fédération Nationale des Collectivités Concédantes et Régies).
Chaque projet d’éclairage public doit faire l’objet d’une étude conformément aux
prescriptions énoncées dans la norme européenne EN 13201, et tout particulièrement au
niveau des exigences de performances relevées dans la partie 2 de cette norme..
Les facteurs de maintenance suivants doivent être retenus pour chaque projet étudié :
- Lampe à vapeur de sodium H.P dans luminaire IP 65 avec vasque en verre : 0.78
- Lampe iodures métalliques dans luminaire IP 65 avec vasque en verre : 0.76
Eclairage sportif : les études doivent être faites en respectant les exigences propres à chaque
fédération sportive, suivant le niveau de compétition pratiqué. En l’absence de réglementation, les
recommandations de l’Association Française de l’éclairage concernant les installations sportives sont
à appliquer.
Toute installation peut faire l’objet de mesures d’éclairement pour vérifier la conformité des résultats
par rapport aux valeurs calculées dans l’étude. En cas de non-conformité, l’opérateur économique
doit mettre en œuvre, et à ses frais, les actions correctives nécessaires à l’obtention des résultats
annoncés.
Lors de l’étude d’exécution et du piquetage des travaux, l’opérateur économique se charge des
différentes démarches auprès des services et administrations susceptibles d’exploiter des
canalisations, des réseaux et des ouvrages divers sur le parcours du tracé projeté.
Il est tenu responsable des dégradations qu’il pourrait occasionner à ces ouvrages et prend en charge
les frais de remise en état et toutes amendes et pénalités éventuelles.
Il lui appartient de conclure avec les parties intéressées tous les accords spéciaux qui sont nécessaires.
A la demande du maître d’ouvrage, un constat d’huissier peut être établi avant le début des travaux.
Les plans d’exécution sont transmis par l’opérateur économique au maître d’ouvrage avant le
démarrage des travaux pour validation. Ils intégreront un photo-montage du matériel d’éclairage ainsi
que le positionnement et le type d’armoire de commande envisagés.
Aux traversées des rues ou croisement d’obstacles, chaque câble est posé dans un fourreau dont le
diamètre intérieur ne doit pas être inférieur à 63 mm.
Les fourreaux sont posés sur un lit de sable et recouverts d’une couche de 20 cm de sable et d’un
grillage avertisseur.
Lorsque les fourreaux sont placés en attente, ils sont systématiquement obturés et aiguillés.
En aucun cas les extrémités des câbles non raccordés ne sont laissées en fouille remblayée ou non, ou
à l’extérieur de la fouille, sans être munies de dispositifs d’étanchéité terminaux et d’un repérage.
La taille de l’armoire est définie par l’encombrement du tableau qui devra accueillir tous les
composants nécessaires pour assurer la protection des réseaux.
Les enveloppes des coffrets et des armoires doivent posséder les degrés de protection minimum
suivants : IP 34 au niveau du sol, IP 57 au dessous du sol, IK 10, ainsi que IP 2X ou IP XXB contre
les contacts directs.
Les portes des coffrets sont munies des dispositifs de fermeture suivants :
PARTIE COMPTAGE : triangle de 11mm.
PARTIE COMMANDE EP : serrure à clé 405.
La porte donnant accès à la commande de l’éclairage public doit, en outre, être munie du
dispositif de condamnation permettant la pose d’un cadenas.
Sur la porte du coffret de commande une étiquette marquée du sigle « EP » doit être apposée (le
logo du gestionnaire de réseaux est à proscrire).
La partie inférieure du coffret EP où s’effectue le passage des câbles doit être parfaitement
étanche afin d’éviter toute infiltration de corps étranger (ex : herbe, souris, lézard, etc…)
Un porte document A4 plastifié doit être fixé à l’intérieur de la partie EP, avec le plan de
l’armoire et des réseaux, comportant les mesures d’intensités par départ, à l’allumage et en
régime établi.
L’armoire de commande d’éclairage doit être accessible. Son emplacement à proximité d’un poste de
transformation n’est pas une obligation. Elle doit être centrée par rapport au réseau d’éclairage
qu’elle alimente afin de limiter la section des câbles. Cela permet aussi de scinder le réseau en
plusieurs départs directement issus de l’armoire pour diminuer le nombre de foyers en panne en cas
de défaut.
Les différents départs EP sont repérés et identifiés par des étiquettes plastifiées.
Les armoires de commande sur poteaux de distribution ou sur candélabres sont fixées exclusivement
par boulons et ferrures ; l’utilisation du feuillard est prohibée. Les dimensions des boulons de fixation
doivent être adaptées aux dimensions du poteau.
Pour tous les projets aériens et souterrains, une note de calcul précisant la section des câbles
des conducteurs de réseaux est transmise pour validation à la maîtrise d’œuvre.
Cette note de calcul doit intégrer les spécifications techniques du projet établit par la maîtrise
d’œuvre :
- Puissance installée
- Longueur du réseau
- Coefficient d’extension
3.3 Filerie
Le câblage est réalisé en filerie de type H07VK 10 mm² minimum pour la puissance et H07VK 1.5
mm² pour la commande, avec embouts de fils et repérage complet par bagage ou étiquetage plastifié
aux extrémités ainsi que sur les appareillages et sur les bornes.
Tous les appareils utilisés sont recouverts d’un cache bornes interdisant tout contact électrique à une
personne non habilitée (au cas où la porte de l’armoire viendrait à disparaître).
Dans tous les cas, le concessionnaire fournit et pose les matériels suivants pour la mise en service de
l’installation:
- matériel de comptage.
- Aucune installation d’éclairage extérieur non séparée (mixte) ne peut être alimentée
en dérivation d’une installation d’éclairage séparé. La solution pour la modification
du réseau sera définie par la maîtrise d’œuvre.
4.1.2.Crosses
Les crosses sont fixées au poteau par des patins de fixation et des étriers ou par ferrures. L’emploi du
feuillard est interdit (note du 13 mai 1981). Il peut être toléré pour les poteaux en bois. Le diamètre de
la crosse ne doit pas être inférieur à 33/42.
- qualité du support façade (brique, béton, torchis, …) : vérifier si la façade supporte l’appui de
la crosse, de la console et de la lanterne. La mise en œuvre par scellement chimique est
obligatoire.
- Prendre en compte également l’effort du vent sur le système lanterne, crosse.
- Obligation d’une convention appropriée, signée du propriétaire des lieux pour autoriser
l’installation à demeure de la crosse sur une façade privée.
4.1.3. Appareillages
4.1.3.1 Branchement
Les boîtiers fusibles sont impérativement alimentés par deux câbles unifilaires cuivre de type U 1000
R2V 1 x 2,5 mm². Afin de limiter au maximum le frottement des ces derniers sur le support, ils sont
fixés au poteau par des colliers non métalliques tous les 30 cm.
Elle est obligatoire et est placée au niveau du support de la lampe. Sa distance avec le réseau DP ou
EP doit être supérieure à 0.35 m pour les réseaux en torsadé.
5.1 Tranchées
Les canalisations d’éclairage public souterraines sont assimilées à des canalisations « basse tension ».
A ce titre, il convient de respecter les prescriptions de l’arrêté technique du
17 mai 2001 et de ses textes subséquents ainsi que les recommandations du « Guide pour
l’établissement des réseaux électriques souterrains » édité par EDF et la Fédération Nationale des
Collectivités Concédantes et Régies, et la convention signée entre le Conseil Général des Landes et
les différents concessionnaires sur les profondeurs de réseaux, tant qu’elle est applicable ou à toute
nouvelle convention qui remplacerait cette dernière.
Les prescriptions particulières concernant la réalisation des tranchées définies à l’article 2.3.2
du CCTP général doivent également être respectées.
Dans tous les cas, les dimensions du massif sont adaptées à celles du candélabre.
Avec des massifs préfabriqués, il est indispensable de bien vérifier les préconisations de pose des
fabricants.
Pour l’emplacement des candélabres ou des bornes autour d’un parking, il est indispensable de tenir
compte du mouvement des véhicules et du porte à faux de ces derniers lors des stationnements.
Pour chaque candélabre commandé, l’opérateur économique doit systématiquement indiquer au
fournisseur le lieu exact de sa pose. Il doit veiller à ce que tous les candélabres installés soient
étiquetés conformément à la norme EN 40.
Le stockage et la manipulation des candélabres sont effectués avec toutes les précautions de rigueur
pour préserver la qualité physique et esthétique des mâts et, en particulier, la peinture.
Les candélabres doivent être parfaitement alignés. Les massifs doivent être de mêmes dimensions et
bien ajustés en hauteur et en recul par rapport à la bordure des trottoirs.
La porte de visite du candélabre est, si possible, positionnée dans l’axe de la plus faible
contrainte, et de façon à ce qu’elle permette une intervention face à la circulation.
Dans le cas d’une implantation dans un talus, l’opérateur économique veille à ce que le massif
soit bien enterré.
5.2.2 Candélabres béton et supports béton
La partie enterrée des candélabres ou supports en béton est égale à H/10 + 0,50 m
(H = hauteur du mât exprimée en mètres).
Ils sont bétonnés à pleine fouille. La dimension des massifs est celle préconisée par la norme C11-
201.
Les bases de tous les candélabres galvanisés non thermo laqués sont protégées contre les corrosions
dues au salage, urine de chien, etc.…, à l’aide d’un traitement anticorrosion obligatoirement réalisé
par le fabricant de candélabres sur une hauteur de 200 mm hors sol. Dans tous les cas, la protection
des écrous est faite à l’aide de capuchons adaptés à leur dimension et remplis de graisse.
L’espace entre le massif et la plaque d’appui doit être totalement comblé par matage avec mortier de
rembourrage sans retrait.
Pour les candélabres métalliques, la classe de déformation retenue (norme EN 40) est au maximum de
6%.
La hauteur des candélabres est laissée à l’appréciation du maître d’ouvrage en fonction des critères
qualitatifs, économiques, esthétiques et techniques de chaque projet.
Le dimensionnement du candélabre doit permettre l’installation d’un coffret classe 2.
La dimension de la porte de visite doit être d’au moins 350 millimètres de hauteur.
La porte de visite du candélabre doit aussi être reliée physiquement à ce dernier par l’intermédiaire
d’un filin en inox ou d’une chainette.
Si le luminaire utilisé n’est pas de classe II, le conducteur vert-jaune de protection est raccordé à ce
même endroit.
Le conducteur de terre doit être fixé dans le tableau de commande E.P, ainsi que dans les coffrets de
répartition où la connexion se réalise avec un raccord à sertir.
Les masses simultanément accessibles doivent être reliées à la même prise de terre. Afin d’éviter des
propagations de tensions dangereuses en cas de défaut de l’éclairage extérieur, les éléments
conducteurs simultanément accessibles ne faisant pas partie de l’installation électrique tels que
poteaux et supports de signalisation, regard du réseau d’assainissement, bancs publics, grilles de
clôture, glissière de sécurité, … ne sont pas à relier à la terre de l’installation.
Les câbles doivent être systématiquement repérés par marquage plastifié : ex : A = arrivée,
B = départ.
Les extrémités du câble d’alimentation sont reconstituées par un embout d’étanchéité.
Les différents conducteurs sont protégés sur une longueur de 30 centimètres par une gaine
isolante thermo rétractable, jusqu’à 2 centimètres du bornier de connexion afin de laisser
apparaître les couleurs des isolants fonctionnels.
Les conducteurs doivent être identifiés par couleur.
Le raccordement se fait avec un coffret classe 2, dont les dimensions sont adaptées au diamètre
intérieur du fût.
Le coffret classe 2 doit être fixé sur le rail du candélabre prévu à cet effet, et toujours être positionné
avec la fenêtre amovible face à la trappe de visite du candélabre pour pouvoir accéder aux coupe-
circuit sans avoir à ouvrir le boîtier.
Chaque coffret doit être équipé de deux coupe-circuit unipolaires de même marque à ouverture
simultanée.
Le raccordement des candélabres doit se faire impérativement de façon alternée : le premier avec le
conducteur noir, le deuxième avec le conducteur marron, le troisième avec le conducteur noir, le
quatrième avec le conducteur marron, etc.
Tous les conducteurs sont raccordés sur le bornier du coffret classe 2 dans l’ordre suivant : bleu,
noir, marron et gris.
Dans le cas d’un nombre important de câbles, le raccordement des câbles en dérivation se fera dans
un coffret de raccordement extérieur au mât, identifié en temps que tel sur le terrain et le plan de
recollement.
Dans le cas exceptionnel d’utilisation d’un luminaire de classe 1, ou d’une extension sur un réseau
existant, ce boîtier devra être équipé en plus d’un DDA à ré enclenchement à la mise sous tension, et
accompagné d’un organe de sectionnement calibré à la puissance de la lampe.
Le câble de remontée vers le luminaire est dans tous les cas un câble souple type H07RN-F en 3G 1.5
mm² minimum quel que soit le type d’installation. Le conducteur de terre (vert/jaune) n’est raccordé à
la masse du candélabre que dans les cas suivants :
L’entrée du câble de remontée s’effectue par la sortie inférieure du coffret IP 2X, en respectant
parfaitement l’étanchéité du boîtier.
5.5 Luminaires
Le type des luminaires est proposé par le Syndicat et choisi par la municipalité. Sauf indications
contraires, les platines d’appareillage des lampes sont incorporées dans le luminaire.
Les opérateurs économiques veillent à ce que le raccordement du luminaire sur l’embout d’un
candélabre ou d’une console soit le plus parfait possible. Les luminaires et candélabres doivent être
parfaitement alignés et mis de niveau.
L’indice de protection du luminaire doit être au minimum IP 55.
Un exemplaire de chaque notice de montage doit être systématiquement laissé dans l’armoire de
commande.
L’encastrement doit être parfaitement réalisé (reprise d’enrobé, béton teinté, pavage, dallage…).
Les recommandations de pose des constructeurs doivent être scrupuleusement respectées, et d’une
manière générale :
- Ne jamais installer un projecteur encastré de sol sous la pluie ou par temps de fort
brouillard.
- Pour extraire le verre, utiliser exclusivement une ventouse (l’utilisation de tout autre
outil est à proscrire).
- Nettoyer parfaitement les joints, le verre, les pas de vis. Graisser les vis.
- Avant de refermer laisser la lampe en fonctionnement quelques minutes.
- Veiller à positionner l’optique et le verre dans le bon sens.
- Serrer les vis en quinconce et progressivement : utiliser un outil adapté à la tête des vis).
Dans le cas où l’appareil serait livré sans son câble d’alimentation, l’opérateur économique doit
veiller à ce que le câble installé soit souple, de type H07RNF, et avec un diamètre adapté à celui du
presse-étoupe. Il veille aussi à ce que le serrage soit effectué dans les règles de l’art pour éviter toute
pénétration d’eau.
Si le câble n’est pas de longueur suffisante il faut le rallonger avec une boite de jonction résine
et cette dernière est positionnée dans le pot d’encastrement.
Dans tous les cas, une longueur suffisante de câble doit être laissée au fond du pot d’encastrement
pour permettre l’extraction complète du projecteur.
Il est demandé d’utiliser un câble par projecteur, issu d’un coffret de répartition.
Les appareils installés doivent respecter les valeurs admissibles de température au niveau des parties
accessibles, prévues à l’article 6 de la norme NF C 17-200.
Quelle que soit l’orientation du projecteur, l’opérateur économique doit veiller à ce que le presse-
étoupe permettant le passage du câble d’alimentation soit toujours dirigé vers le bas de l’appareil, et
de longueur suffisante pour permettre le réglage et l’entretien.
Pour les projecteurs de stade ou de grands espaces, dont l’optique est munie d’un déflecteur (limitant
les intensités lumineuses vers le haut), ce dernier doit systématiquement être situé au-dessus de la
lampe. La fixation de ce type de projecteur doit être renforcée par l’utilisation d’un contre-écrou et
d’une rondelle frein afin de maintenir le réglage initial.
Lors de l’élaboration du projet, il convient de s’assurer que la maintenance des appareils pourra être
effectuée dans des conditions normales de sécurité et d’accessibilité.
6.1.1 Généralités :
6.1.2 Branchements :
6.1.2.1 : Motifs lumineux individuels < 100 W :
Les prescriptions énoncées au chapitre 7-702 de la norme NF C 15-100 sont à appliquer pour ce type
d’installation.
Les installations suivantes doivent impérativement être équipées d’un ou plusieurs compteurs
horaires :
- installations sportives : terrains de football, de rugby, de tennis, jeux de boules, arènes, etc.
- illuminations de sites : églises, mairies, monuments, lavoirs, etc.
Chaque projet devra faire l’objet d’une étude particulière validée par le maître d’œuvre.
Avant d’envisager la mise en place d’un régulateur / réducteur de tension, l’opérateur économique
veille à effectuer un point précis du réseau d’éclairage concerné, en particulier la compatibilité des
DDA déjà installés avec le type d’appareil envisagé.
Pour les installations existantes, il doit notamment faire l’inventaire des sources lumineuses et
vérifier le dimensionnement du réseau. Des mesures de tension, à l’allumage et en régime sont
indispensables, notamment sur les foyers les plus éloignés de la commande. Ces différentes données
doivent être transmises à la maîtrise d’œuvre.
La pose de réducteurs/régulateurs de tension E.P se réalise suivant les prescriptions des fabricants,
qui peuvent, suivant le cas, procéder à la mise en service in situ de leurs appareils.
VOIR SCHEMA 7
Lors de la dépose d’appareils d’éclairage existants, l’opérateur économique est tenu de faire éliminer
les lampes usagées contenant du mercure (lampes à vapeur de mercure, lampes au sodium haute et
basse pression, lampes mixtes, tubes fluorescents, lampes aux iodures métalliques et iodures
céramiques…).
Il doit se référer au décret n° 2005-829 concernant les DEEE (déchets d’équipements électriques et
électroniques). La collecte et l’élimination de ce type de produit en fin de vie sont obligatoires.
Un certificat de destruction ou de recyclage des lampes déposées devra être adressé annuellement au
maître d’œuvre.
ARTICLE 7 : Agrément
Tous les matériels utilisés (câbles, accessoires électriques, horloges astronomiques, lampes,
luminaires, candélabres, coffrets de raccordement…) doivent avoir l’agrément du Maître d’Ouvrage.
Ils doivent être donc obligatoirement neufs, et n’avoir jamais été utilisés sur une quelconque
installation.
.
A la fin des travaux, l’opérateur économique s’assure que les prescriptions du présent document sont
respectées. Il doit notamment vérifier l’état des candélabres et s’assurer de la compatibilité de la
lampe avec l’appareillage et le réflecteur utilisé.
Une fois ces vérifications effectuées, l’opérateur économique adresse par courrier électronique une
demande de réception de travaux au SYDEC.
Une réception complète de l’installation (mesures, contrôles visuels, respect des normes
d’installations…) est systématiquement effectuée par les services du SYDEC.
L’opérateur économique est tenu de se faire représenter par du personnel habilité connaissant le
chantier et participant à la visite de contrôle (ouvertures des portes de visite des candélabres, des
coffrets de commande EP).
Dans le cas où l’installation est jugée non conforme par les services du SYDEC, une contre-visite est
effectuée (formulaire de réception de travaux rempli par le SYDEC lors de la visite).
Documents techniques
La remise des documents techniques suivants est obligatoire avec le projet de décompte :
L’ensemble des ouvrages d’éclairage public nouvellement créés et des modifications apportées au
réseau existant doit être intégré dans le SIG (Système d’Information Géographique) mis en place par
le Sydec.
Le report des réseaux d’éclairage public sera réalisé par l’opérateur économique à l’issue des travaux
sur la base de fonds de plan numérisés transmis par le Sydec.
Le mode opératoire précis et la charte graphique à utiliser sont détaillés dans le fascicule joint en
Annexe ( SIG Eclairage Public – Charte Graphique). Les fichiers seront transmis avec la demande de
réception.
L’évacuation du candélabre doit être effectuée dans un délai de huit jours à compter de la date
d’émission du bon de commande.
La demande de réception doit être transmise aux services du Sydec dans un délai de trois mois à
compter de la date d’émission du bon de commande.
Cahier des clauses techniques particulières applicable aux travaux d’éclairage public
ARTICLE 11 : SCHEMAS
11.1 SCHEMA 1 : SCHEMA DE CABLAGE ARMOIRE DE COMMANDE
D’ECLAIRAGE PUBLIC AVEC 2 DEPARTS