Comoedia / rédacteur en

chef : Gaston de Pawlowski

Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France

 . Comoedia / rédacteur en chef : Gaston de Pawlowski. 1943-11-
13.

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? ; ê: ?' t *
 COMCEDIA — Page 2 LETTRES SAMEDI
13NOVEMBRE
1943

CHRONIQUE Confidences d'un écrivain 1Librairie

dela Madeleine CABRIELHANOTAUX
del'4cqjémie
française
DE LA POESIE ! L mesemble êtrel'auteurde mesli- (SUITE DELAPREMIERE PAGE) Collectionneur ?
Editions h CONAEO etleDUC
J. iAMBERThucc' RICHELIEU
place
artisanplutôt,voilàce
deIiiMadeleine
- Opéra
28-11"
DELAFORCE
det'Académie
Irançaite

J
vresseulement quandje les ouvre quetu es. Dieu-le-Père estlePatrondes ACHAT de
par Jean FOLLAIN
avec répugnance. Tantde vulgarité
:
Artisans. L'objetde ton seulamour,de
toustessoins cequetu fais.Lanature BEAUX LIVRES
et
dansla formeet dansl'expressionNosparoles
ferme
pouvais
:
nest pasdignedemoi je baissela têtequiles
les yeux,humilié.
écrire l'ouvrage que
I: Ah si je qu'elles
je rêve il
entoure
couvent.
nevalent
et
que*
celuiqu'elle parlesilence
c ouvrent, n'estquelerépertoire
Création
; à l'ombre : d
infinidesmodèles.
uSilencele Si- 1anciens et modernes
arbre, — 1ion
tr. — Unvol31 55
IL Eest-il
créditdonta parujouircesdernierstempsla poésieseraitsisimple,
toutcas,
pour
e n baisse ? Certains
uneilpartresponsable
s'enviennent
en étaitainsi,illafaudrait,maladie
l'affirmer. Si,en tile,illisible
je crois,en rendrenoiseul,personne
desexégèses, des toutlemonde
ou
sisubtile
dangereux,
etsivraiqu'inu- Lemétier
nelecomprendrait
liguerait
accessible
lebrûler.
à d'artifice
ou dération
d'écrire
quine mérite
ques'il
melsemble
a moindre
lence
notoriété,
est
sortetrairedu mouvement
uneconsi-
un
dela ; Arbre
renommée
est la viemême.Du delagloirequielleaussiestunArbreet IlilllROBERT
un
je J~~
et du bruit,dela
ne
l e
dis
con-
pas MATRÈSI REY
P£M>a//v i|]|I|I .) ANDRÉ DEMAISON
gloses,
poétique s> que
desparaphrases
a aucuns ontcommentée jusqu à 1ennui,
«
autourdecettefameusechose Uneœuvrese qui
écrivantécriteet luereflèteun rassemblement vaut
pour
la peine d'être moment
pluslereflet
qu'on
d
lessépare,
el'autre, si que l'unn'est
l'onconsidère
Silence.
Douleur et :
joiede créer c'estqu'il
pour celaenunesortedejargonquidateraaffreusement avecsoi,unemaîtrise de objectivement celle-ci ou celui-là, onre- n'y a rienet il fautpourvoir à tout. M. BRIANCHON DÉLUGE
ses emprunts biensouvent inconséquents aux vocabulaires dela ;
rieureil estcomme
puissante dela vieinté-nonceà toutedignité.
lesignedansl'atmo-estplusquel'image
Dieu merci, la vie Même quand
: o na suscité maintes espèces, y
philosophie
d la poésie
et directquelques
etdelamystique.
Cecidit,onse doitdereconnaître
(1)LucEstanga su clarifier
notions essentielles
quedanslangage
enun
et fortifiantes
sonInvitation
tenant
sphèredu passage
précismentdit,si notrevien'est
à la d'œuvre, qu'importent
d'unmétéore.
-pasun
oeuvres ?
Autre- se passerde son
chef-qu'elles
Cha- ; n e se
delavie,
image,
distinguent pas
l avie peut
l'unede démuni
un signe a près
mais il arriveresteà fairenaître,onestaussipauvre
qu'avant
l 'autre
le
devant
premier R. celui
jour.
qu'il
et
Il!!!IIl JEAN
CHASTEL MISTLL-ft IIIII! il

|
nos 1 mieux,quesonimagel'aideà
lui sonseautre
naturedupoème.
il s'ymanifeste
Cecourtessaiestà lafoisdiscursif
unehumilitédevantl'ineffable
et fervent;
quisouvent cundoitpeindre
m'a Jugement dernier. au moins
Lemauvais pourgoût n 'est
produire,
davantage.
à se connaître, à se sentirimprovisé,Saisisl'Aigle
tu
au passage
sièges
et, Ganymède
moment sansle 1
Ijji t j jif
touché. ;
LucEstangvient,enoutre,depublier,
tèreapprivoisé (2),unassezcopieux recueil sous que la
letitreLeMys-plusgrave,plusprofond,
depoèmes.
conséquence
Ceux-ciparcequ'ons'estpluà decertains
d'unmauvais
; choix
initial c'est Toutmonart n'a été quela décou-
jeux verte d 'unsubterfuge. Entre deux souve-
savoir, sur les genoux
u n
deJupiter.
J I
Iii
i 32
P£/ve! Choque vatuir* ¡rr
,lIvslr.lton~
Ls~E~OJLM~g~J~
U 20
UU
',," ! qu'on
1
L'arche
gerim deN08,.,
vu."
appelle
etses
l'auteur
parsauvages.despBosta-
êtes
sontd'untontropvolontaire
aux devoirs bienfaits.Aucune
maispointnonplusdecesheureux
à mongréetfontpartroppenserdansla réalitéque le discrédit
brisure, aucun
décalages
tauxpas,certes,
d'uneimage accompagne
à une lerécit oulessuit vous eOn
qui lesnirsje vais,tendant
scorte dansgnetapissière
réalité sans
à
monfil.Subtile
heurt, je passed'une
réalité d écrite.
ara- Il
Dif- deme semble
détourner
qu'ilne s'agittoujours
d seaiek
umonde Mwmm
: ML"
Unvolume de320pages35fr.1
Arth. FAYARD WF
autrequi,biensouvent,
on rencontre
delancinements
harmonie,
; créentl'incantation
parfoisdanscesversla marque
maisonsentceux-ci
dansunesérénité, comme
dansuneobéissance
poétique. Pourtant,
dedéchirements,
réduitsdansune n'efface
quimeparais-lescommente
de soiqque uevousl'image
aucundes
ou
endonnez.
méritée. traceficultéade
Lanepoésie
;
traitsdu poète,ellecristalde se débarrasser
lesexalte, sans pouvoir
perçue
citépourpermettre
se
une
rendre asseztransparent,
que
l'apercevoir
de touteopa-et l'observer
à la viede se fa ire Unmoment
se dans assez
à sonaise. un
m'yapparaît,
miroir,l'y capter
m'yaccueille
pour
r Édit.
Hartin
origin.et
Brès.ôO, illustr. catalogue
enfants
Crignon.
3fr
Marseille
——~— Pourles————.
senttropcommandées,
pas justement
tique?Est-ilbesoin
trop
tropapprivoisé
d'ajouter
dogmatiques.
etjusqu'à
que surun
Lemystère
perdre
toutautre
céritéet la ferveurdeprièrechezLucEstangne sontpasen beautén'a
ne serait-ilchanger
desonaurapoé-
planla sin s~est
: ni avecleaucun
rienni
contenté dans
à leur
lavie.A
nature
noter
ni à
formequiest l'âmeet le visagedontil verslesmots.On.apporte
q ue
leur
la
jourà
toujours
travers
plus
m
docile
oid
et
'abord
ardente
e t
une
puis
à ce
à
qu'on
l'onsoumetmon
:
tra-
attention unEtre,leseulddans
appels comme
Ame,est-ce mon t
ignederépondre
oi,
à mes
le refletdesEaux,Unitéry,
Dieu ?
PRIX
décernera
ARIANE
présidé
à nouveauparFernand
lePrix
1944
pivoire,
Ariane, I
MADELEINE BARIATINSKY k
cause ? Nouslesentonsbienquand,parexemple, il écrit rapport
mal,maisseulement
ni aveclebienvoit,observe
avecle leverbeà sefondre,
ou éprouve et
à seconfondre Quema villeest un Jardinfleuride mars
avecmassifs,
prix du
1944 roman
Le policier
montant français,
duprix
ad'environ
ttribué
en
estdo HISTOIRE
Seigneur, pourquoi la terrea-t-elle tantdeprix rythmed'unegénérosité native,avecun lesidées,lessentiments,
: leschoses, avec devisages et, çàet là, auterme 5.000
man francs
policieretsera
inédit à250
unro-pa

À
Pourvousquinourrissez lebeaubûcher cieg aines ? auquelcertains êtresnesauraient lamatière qu'ildraine qu'iln'yaitplustaire. d'alléesroyales,une noblefiguresoli-ges,écritparun Français, Lemanus-
Maisnous,c'estlesoldurquivoustientchaudlecorps sublime ni danst" bien nidans le mal. la moindre différence entre ceci :et cela crit d evra être p résenté en deux uem.
Secrétariat DtHUBERLULU

c
Nousnedemandons rienquel'amour denosfemmes àrenoncer piège. plaires
Généra) dactylographiés
duPrix Arléne, au Racine
19rue1943.
moins d'/ périr MARCEL JOUHANDEAU. à Paru, avant le20 décembre
Etl'orgueil d'êtreunhomme eninstance demort. Unvillustré
olume 200fr.
S'ilestune poésie la
quiporte marque d'une nécessité, d'une EST u ne peinture, d'où
formes,se UN PEINTRE
D'AUJOURD'HUI F AUTRIER dirent
vention que lacouleur
etnotre d rame.estnotre
plus i 1
ntima11- LIVRES DE LUXE abondamment
urgence, c'estbiencelled'André Frénaud, dontlespremiers dégagent quelques Listes6urdemande I ÉDITIONS
pourtont monu- quel'amour. BALZAC
poèmes
mieux«parus
Mages
ceux
fondés
deguerre
sursaturés
enrevues
e
en
(3).a réunises
t
derichesse,
poésie
decaptivité.
»
poèmes .
déjàétésaluéspar lesespritsles
ontCelui-ci,

maissouvent
dans
LesversdeFrénaud
aussi
gardantleurpoidsfranc; mêmelorsqu'ils
i
son recueil
écritsjusqu'àcejour,y compris
lsarrivent
LesRois
sontparfoiscla-
éliminé,
ner.
à sechar-certain N
brèves

on.
mentales.
s'yvoit
comme
Ilsemble
moment,
delFautrier
etCar
p as
une
l
-
edessin
insensiblement
ilarrive
qu'ilycaiteu,
hez a
tentative
tout »
ne
hé-
ren- Nous n'évitons
(SUITE
pas
DELAPREMIERE
deprêter aux uninstant
PAGE.)
dpmétamorphose, oùil
les
pas
Les
lesfleurs
s
croyons
avants
sivolontiers
soncspressentons
et
ledisent
Nous
pasauxfleurs
lesfruits
iprécisément
d
etnous
e
renonçons
Fautrier
pathétiques.
o

que
.
ne Pourtant 1.MARCIREAU,
ACHAT --
79,Orande Rup.
Libraire
POITIERS 1
I

JNHNS!
Anciennement

Vient
Calmann-Lévy

deparaîtr
derinsiiîui
~j~jH
rifiertoutenconcrétions
rientde ces leflotdupoème, verbales qu'onvoudrait voirréduites
untem-nos
roïque
dreavec
jours,
acouleur
à chaque
pour
(car« i
peintre
lfaut, de
patiem- peintres une
quiressemble vue g énérale
auxsentiments
des c hoses,
qu'ils jette son
triernous feu.
lerend.C 'estalors a ue F au- nous
chose : devant
de être c'estqu'ils
raientpucetordre
eux
transparents.
quelque
aj
C'est
DE LIVRES oamers a llemand
danslefeu
irwiramf»nh vraiouet, orieinal. ilsmanifestent toujours
: ment réinventer
l'époque desgravuresla peinture)
pour : c'est
Dforce. éveillent ennous.
ante.Ilsyontplusoumoins songé Sil'homme
(enpas,iln'yaurait avec
au son œil
monde nrien
'existait qu'avec
oucepassageeux l acouleur,
nous
dans cet é clair
esttrèsprécisé-GALIGNANI français etétrangers oublies DarKariEBllnD
Dèsl'aborddesonlivre,André Frénaud confesse leNéant Puis l e dessin estrevenu en
d'écriture.Nous général, c'est m oins). Peuimporte l'onpùt appeler coulpur Laneig- que ment donnée VI
maisc'est, si l'onpeutainsidire,un Néant robusteet loyalAvec
d'autresà Dieuet qui Cen'est unentêtement cherchons à lesretenir
plutôt Qu'à
et à continuerait
lescom- detomber, mais c ese- Il esttemps dedire unmot d e
auquelle poèteprêteunevoix comme p as toujours à la.place les reconnaître rait neige
une lesfleurs i ncolore. Lachaleur Fautrier OnseIlestplutôt
trompe, sil'oncroit Librairie française et étrangère QUIIQUIS ASPECTS
n'empêche
Aussibien,
souffrances
pointlaverdeur
l
dutemps,
desonchant.
'onsentpuissamment
letragique
chez luila
leplusactuel,cette marque d
fraternité
qu'ilgardecesensménage
es
qu'on
pas
portée
eûtprévue.
nécessairement
patson
au beau
Laligne
élan.
milieu
Juste,
Ilarrive
etombe
ntoutem-
dplatoile
qu'elle
-
prendre.
Tant d
lapluslégère
'aurores
phosphorescence, pomme
etdemirages,
bleue
évoquent reçoit
un monc>
où rait
samares l;
épanouirait
estmares mais
ranslucides,
transparentes.
ce
et dessèche-
seraient
et desfleurs
Lesvents c
des
ontinue-
et
qu'il est
unefureur
grand.
semblerait
delataille
trèsmince,
continue,
etdela
moyen,
n'était
quiluidon-
densité. Cette
Opéra
ILes
56-98 — 224, r ue de Rivoli
DU DROITAUEHAND
avec le ravagequiestnotreJot.cependant vide ne

Taches
profond dela splendeur dumonde, denotremonde, quialliesi entre raisins etpoires d laforme
e de oulesobjets seraient simples irré-raientdecourir, mais-ilsn'agite- fureur éclate parfois derire. C'est romans dePIERRE VERY
pathétiquement l'épaisseur à la fragilité. d'un pichet — l'une ces z ones ductibles et presque indifférents raient
—desarbres que desfeuilles sans éclat, un riredetête, peine
à Ilestsur,, rassurant
l'onrencontrera dansLessilpnce, dqui
donnent
e rayonnement, autableau
sa raison
sonsaufqu'ilvientpourchacun d'eux sansnuance. Lessavants Fautrier nesourit pas lu. Déjàparus 30fr.
C'estunepoésied'effusion que centre s'il j ouait entre l igne rapide, extrêmement bien campé LÏHCOUHUE
RoisMages. Ellenerésorbe pointsesviolences. Parendroits, elled'être. Comme même ambiguïté, maU chez l ui.toutes lesparties sont -à 1.Poètes et Penseurs. 25fr.
s'exprime
lancinant, enune ; noireIronie,
voiléailleurs encore,
ailleurs elleadopteuntonsourd,et
elleretrouve letondel'épopée
couleur
lamême
cruauté
qlauerelle
et tendresse,
qu'ailleurs
entremet
entr--:
atière
l'échelle
ce
qu'il n'est
fait
D'ailleurs
p as dansà
peu
s es
Turner.
sociable,
toiles "'t-
seules
Toutefois
II.Regards
III.La Révolution l'histoire.
surSociale.
Santé.
25
20 Ir.
fr.

d'encre
ces vers! s onger DUTERRAII1 UD&UE E tat 20
et sa faunemerveilleuse. Témoins entre
etsujet— Or.la querelle
ressemblance.
l e problème la
se il a l'air d'un
matelotmatador plutôt que tan
IV.
VEconomiee t Continentale. HÉ
25fr.fr.
Lesoiseaux quipassaient
ontalertélescœursquis'étaient
lesloupscoulaient vers
en épiantlesramures
endormis
nousun regardmagnanime
trouvait à
sageavaitjoué.
cette p lace résolue. le pas- d'un
t
JEAN PAULHAN Unenouvelle serte aeroman*
ChezSORLOT
deslézards
les fleursdeneige
murmuraient
La forêt
noussouriaient,
la joiequimûrit
estsûre.nousnoustrouverons
encontournant
s'entr'ouvraient
p ournous.
notreombre
à hauteurd'homme
auxcimes
S L'ample
André Berry,
viennent
gestechampêtre
fi Les E sprits
d'êtreréédités
deGa-
de
à
Contes
-précise ;
desyeuxfermés
qu'Apollinaire
saitfortbienetqu'ilyatrouvé
les
• Il tuile.
connais-
toua
Une o
Trois
ignis Pierre
première
heures de
VERY.
muftérieum
lecture
aven
EDITIONS
SI,Avenue
DUPAVOIS
MnlHnii(iie fVKIS -
ronne D ,
l es
parmi nocesdel'Homme avec lui-même.
telquemagnanime sidif-même
Sequana En
maison,
mêtne-tettiptà,
paraît,surAndré
eteàla, Les
& poèmes
Levetviennent
de-Henry Mim devait uncamarade,
d'êtreréunieet ailesde son raglan,enfonçait
battaitdestique lepoint dedépart
» C'estpour d' «Onirocri-
nousuneagréa- WÊÊVArth.FAYARD VISITE 13 t
MF
r. 1 JEAN FOUGERE

-
u'onaimeà retrouver un adjectif Berry, tinouvrage deM Pierre pûmes aux Editions, Gallimard, son monocle et s'ornait d'untic blesurprise d'apprendre que M
ficileà valablement ressusciter C'estdanslemêmelo'ngpoème Labrucherie, Vieinimitable
a LaJusqu'à dansla collec- épouvantable Alphonse Séché a créé lalittéra- | 11
dontnousvenonsd'extraire unpassage quel'ontrouveaussid'André Berry n, d'ouvrage présent, tionn Métamor- Etriendeplus ». tureonirique.
enseignements sfioondalre 1il11
cesvert: on n'apasannoncé surphoses ». L'exo- savoureux quece IlLacritique. Laorltlque ne primaire supérieur et tachnfqua.Un Préface deMARCEL ARLAND
Monsilence r esplendit comme unearmure n oire M.Pierre L abracherie, tique,
taisiste
- »leofan-
Levât,
dialogue auton
familier(si fa.teuLecturereste p as inactive. — Après l'excellen-
deThier-Ij Pour
enseignement supérieur. 1 Un volume
]eug«
310
écrivain
pages..
nuquel
45<1.
lacritique
Etj'ai reconnu danscetalexandrin comme : une sourdeet f « L'Arbalète » estunetortqui mouruten milier l'on
que ryMaulnier
dePhèdre
etle« Flaubert» » ros. itrrob fttuté la fg.it
«Aprè»
déjàU08
Vi&lt^
place
M,Jean
inipnrtaut*.
Fougèrea§û
furtivçparentéavec celuisi gravedeBaudelaire bellerevue quiparaità Lyon tous.906, à trente- surprendLar. d'HenriOtsillemili, dontAndréLibrairieRORET-MALFERt rtbvinttonquu «g»ltttrell
d*Imnltruej)
Lapoésie
Lessoirsilluminés
deFrénaud
parl'ardeur.
sait,danssa forme,
duchqrbon.
échapper le
lessixmois P lutôt
revue,delazonesud «CPoésie
plus43»,«Confluences
: qu'aux
1),«Les deta
a utres
ahiers
deux
vioe
Qhargé
ans ( il
•consulet
était
de la
baud, cetamou-
reuxet parfait
connaisseur
Thérive
méro
defaitparaître
parlait
de«Comopdia
dans
Images
l edernier
»,PaM>
nu-
Jamet(coin
de19Lit-
n» fut peu! Saint-Qarmain
p«oW)9) (Métro IkJ..) Iléveillé
Paris4* L'a"Uftu
» duRAtiO"
ASUR8
tenue
HIÎKIVB
4 l'homme
souvent
l'on
à cettemollesse
rencontré
l'inspiration se
chezbeaucoup
d'expression,
de
montreparfoiséclatante,
à cechaosd'images
poètes derniersvenusdont
maisquinégligent
queduSudP).« Profillittéraire Las
France, etc.,
cahiers
e llefait
de
songer
Mesures
aux
chancellerie
Palmas),
étaitfortadmi-
da : la langue,a
écrire « Bientérature
que Je me de- aux
néraires
Editions
«
français
RQmon
»,etduPavois,
Il
Fernande*,
quivont d es
vont
des« Iti- ",rendra
tounUft
poi^r les
i«p v
wolumea
qlqae»
dttlP°&)bl*t
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mçnquqnt.
el 1JeqnPovgtTe
loin et trèâhàut,
KKHNANDSZ
tesfaitentendre tri*
Pitscui.1¡

!Il
exigences vitalesdel'art. anciens « bi, mandai a). classiques Ouvert de10817
certaines qui prolongeaient fortagréable- ré de Valérv- auxcontemporains. saiulinterruption fi.

J
Il semble, au premier regard,quelesversgraciles publies Larbaudet de S Dansleder- en Belgique, chezCasterman, LlBRAlRft tMl e»fourl ouerabipa
par JoëBousquet
l'Ombre
Abienpénétrer
après et
.ses phrases. ce
ces
dans mincerecueil,
(4)soientassezlun oindesesproses
poèmes,
frileusede l'auteurde la Tisanede sarments,
argentées,
ony
goûtmêlédemieletdecendre
retrouve
secrètes
pourtant
q
etfiévreuses
u'il n
la
ous
plainte
ses couleurs
l aisse
ment
intituléMonfrèretextenégligeable l aN.
niernuméro,
R,F
coted'uneétuded'Albert
un fragment
critJean-Paul
IIn'est
oùl'ontrouvera,
dulongroman
Sartre,,
p as
danssonder.gue.
Camus,
ainsiqu'unnaire,
de
a
Léon-Paul
qui
Cesonteux
sonwuvre
qu'é-undialogue
oùilstout
Far..
présentent
dans
iimi-
nier
<
;
numéro
Comœdia
FernandMarc
écrivait
pollinaire
«N'ou-
dedans laparait
8.sur
consacrées a,
dela littératur;
blionspasqu'Alaplusrécente,
estaus-Desonay,
collection
aux
« Clartés
unesuitedaspects
principaux
contemporaine
quiestdeFernand
portesur«LaPoésie
études VENTE

et w
PARVOfiFt UENBhAUESPONUAHCB
SSÊÊÊÊÊÊÊKÊÊÊÊÊÊÊÊÊlÊÊÊÊIÊÊÊÊÊÊÊÊÊÊÊÊÊiÊ
Dans REVUE
letome VI I
i.
~l leiLA DE C E MBR E
QUAND
!
étran- BHHIdelacollection
, Et sur
Le.chant
lèvres d
sess'éloignesœur e
et fiance
récit d eguerre deMarc
Maislespageslespluscurieuses
B arbezat. revivre touteleur
génération, et 18
si fauteurdel'Essai
«Onirocritique », gères».
dansleslittératures
HIER gETIi;
MT
POLITIQUE
LITT RAIR
AISTOUTE
Aucun
Cequis'esttu dans
Asesmoissons le cœur
desilence.
motdurdanscettesortedepoésieelleest :
comme de ce cahier
: sont
vaininconnuMouloudjl
lerécitd'uneenfance
d ues
; à
atroce
un éort.
entre
etunemeresa.tieruatin
Paris littéraire
det900
c'estmartteau quar-d eMont-
les
: Rat
t'un des plus Claude
beaux
ta
textes
littérature
rêveetlepoint
:
d
de
e rivaux
unnouveau
PaulArnold
dethéâtre
».
Royprépare
Rolland
livre ;sur
de uno
la
desétudessur le
Ma.
DEMAIN
Renévllie
poésie ET REVUE LA
PAR
DANS
LA FRANCE
SAN

un pèreivrogne du départ du surréa- Jean-Pierre Maxence,

-' soupers Il

1vie
une eauque.blanchitunelégèreécumeet quicentourne les dique etfolle : quelque chose d'ln. Mort, les réu. lisme ».A lasui- depuis plusieurs années déjà. u n
hautsrocsavecunedouceténacité
comme celle-là qu'ilévoque
et la voixdupoètese brisegénudansl'immonde - l'ange, nionsde tare-
vue«LeCentau-
tedequoinous« DeJeanPaulhan
ivorig r eçuune
Pascal a
onannonce,
SAMSON MONDE o u
ou plutôt leGilles ducloaque.
Vnevoixsebriseet chantantquandmême
Tantqu'ellea despleurspourtoucherle jour
Apprend aux.mortelsquele tempsest court
iS« LeGoéland
publie un fragment
deseptembre
- de
« Héméro-
re e, etMecislas
Golberg
de Mlttyqui,
Jean
lettre
phonse
Séché
de MAl- pour
SêclieM dpla Poésie
n ousin-
paraître
».
bientôt,
daliTaI
une(cClé ET
DIRmOTEtJa:
t GENERAL tI
Poursuffireau vœud'aimerce qu'onaime.
belle"simplicité,
Je voisdanscesstrophes uneréussite dansla reconquête
ealleDl,elongpoème
que Cécile
vé.Dans
phileBriM11
Sauvage
lemême
publie
dramatique
laissainache-
numéro,
une
Théo-
étudesur
rapporte Fargue
«désqu'ilapert
Unportrait deHenry J.-M.
(Photo
LEVnforme
privée.)
qu'il
blié,en1905.
a pu-
desédition - Au programme
ttnlarujaid'Ottava
rentquatorzromans,
delagrande
1
figu-
six re. par
LEHARDOUII N Unan:260
: t LE NUMERO
ABONNEMENTS:
JAUNEAtD
2sf r.
f. N
4ela
DANS LA VITRINE cueilsde verset six volumes MARIA t Sixm.140

r
LES LIVRES
1•„
(1et2).
Rober
(3)Edtioixs
Lattont
Poésie 43. éditent
1II Judith
risle-Adam
Gautier
! Lebprixdepoésie
auprès
et Villiers
deWagner
du « Gué.
de
8,
DU LIBRAIRE
d'essais.
rieparait
toSeppëllen,
Dans
« L'anneaul apremière
bienconnu,
bleu
catégo-
de Uu1MJULLIARPN
-puis un 14
-1 I8 £P».ARQLIAIVOLTAIRE
1
( Mm
sequana le, DECEMBR
C4) E dition desCahiers de Roche-| land 8 seront décernés le3décem- roman i ntitulé « Markhn et sa
fort. tIreprochain lignée.
G. Vedrès» Châteauxde
c 'ZST
!
l'Ile-de-France.
l e quatrième fascicule œuvre
l.estsignificatil
tre :
française
L'Education
quunegrande
porte
Scntimen-,
ce ti-
Educations sentimentales Jean
par
FOUGERE
laet comédie
nité
sait, ?..Ce
pas
demalade
que, dans
luséré-
exceptionnel
l a rue oùU ue
se
d'une collection dont l'actuil-, tale. Le thème del'éducation glisse, dans l esalon oU il st vité,
Jitén'estpoint contestable sentimentale
jamais permanent effet
resteenlittéra- surcent m ains ju'H s'?rre, quatre-
caron nef
es'châteaux, era assez
l'undesélé- dans n otre
l'épanouissement du roman del'éducation sentimentale îleU,estJusque
letypedans
même delœuvrt .sonnant etqwnenous épargnent tantd'abora destine auseminairt vingt- dix-netu sontdesmains d'a-
pourllesplus
ments spécifiques du pa- turedepuis DeJean-Jac- Lapremière, laplus répandue, Ja dedébut. lesgauche- aucune, deleurs discussions A la et ayant vécu sonenfance dansces berrants etdenévrosés »En lisant
trimoine français. Peut-être des
en ques genre romanesque.
à Lafcadio passant plus
par débutant f acile, est celle d e l'écrivain ries d 'un style trop
unautiques, narra-
npeu desven-pliqués, -fois
trop s chématiques ettrop c om- une demeure Ltoiée, tl passe d'une l ignes nous flairons les théories
etenFrédéric

tr
freudiennes etleur système grossis-
tempsplusheureux
donner une place plus
à l'Ile-de-France
cfaudra-t-il
onsidérable
dont
Rastignac,
reau. pour
Sorçl
ne citer q ue des Mo-
exem- livre a vec
quid
chaudsUnromancier
compose
essouvenirs son.premier
encore
devingt-gues
tif(des
danges. joutas
qui
pages)
s 'étalent
etquiadbuse sur deion.
dupatois, contact ilstoutperdre
avec
dansle remous l avie en
desidées
au livrt:joies
l'enfonçant
Tdoutes
vieintérieure
et
Laguerre, ¿,.l"
absolument
contrainte
eniui
pureaux sant.
del'action
faisant prendre
Alors
discussions leroman
théologiques, Es
s'alourdit
'expli- c'EOR
p,,lBruno
de
encore
richesse*est
te matière.
choix est
^presque
Dumollis
bcm, les
infinie en
lepremier
photographia
ta
cet- ples
dese
des
fameux,
jeunes
assauts
nos
passionner
hommes
auxquels
a uteurs
pour
etles
n'ont
lesmènent
oes-sé
l'évolution
premier*
leurs
cinq
adieua ns
venturera
l ancera
dans u
plus
à l'adolescence
ne o
v olontiers
qu'il
euvre delarge
généralement
gon
nf s'a- coup
un
ellen emanque
de'vivacité
p lus sCet pas
ensuel
C que
efraicheur
apprentissage
laudine.sentimental
LeJeune
ni les paroles
beau-leurbouche
santes.
tableau On
que
sont
a
M. L oisy
certainement
met
d'ailleurs
mouvements
là
ans
intéres-qu'elle
un
qui
contact
révèle c
avec
a de moins
leshommes
hez
la société dans
agreable,
etaccentue
et
en-
naM"
lui fournit
, psychanalytique
deson
laconfusion
œuvre qui n
Gtitlas
casachève
etl'arbitraire
'pvait nul b
que
d'amener
cfcns
esoin une
d'être
bien c hoisies. Les n oticesseules ga- amours etleurs ambitions. Les l it- portée. Cela donne évoque parfois exact des core l ui une dangereuse dun commentée qui e ût é té plus Vraie tonian Ir.
gneraient.à êtreplus exactes et tératures livre a cide e t frais. d'une g rande Claude est l u)a ussi un enfant sen- ontsoulevé les enfants desvain- lité. T errorisé lesprêtre au
plus
(Editions
J.Paris :
développées.
duChêne.) blent
ce pas,
étrangères
e
goûtpuissantn nenous
général,
pour l
sem- vivacité
manifester
esexpé- mières
doutesouffrance
d'impressions
rencontres
etoùles
dumal
introduisent e pre- sible.
tde!a
mélan-
une com-qu'une
Ila
éveillé,
moins
desbons
unpeupervers,
decaractère
pères
Les
laissé
l maisqueurs
eçons
lui
n'ont, en féàintérieure que
vie
après
l'auteur, 1918 Mais
quitémoigne
très riche,
onregretta
d'un..
:
aitétouf-
jntviiarqué
cation
beaucoup religieuse
de p
par
sonenfance
einetrop
d'une
rigoriste,
à sadapter
edll
il
à a
duteula; dans
et plusaccomplie
ichevéf cent
Onretrouve
o ~fs etellese fût
'ustf
pîôme Inégalité
~I

31cIr.
Wilhelm Visagesde parce riences adolescentes, sans y devine, forte cette
anciem et mo- lyse. eque,
llesn
moins
esongent
portées
pas
àà l'ana-me
pren-
colie proionde.
dans L'Enfant Onchargé dechat- lA,S.
On a
tendance
l'impression auxest
qu'il scrupu-
d'in-nenous telpoint
a it pas
chez luilepoète
fait la grâce detl: vie
letrain « J'étais
dumonde endehors
se déroulait el sages
ld'une
afacturer dyUvre
éussite « despas-
parfaite — le
drelejeunehomme pour pivot de nes, ledéveloppement desthèmes arfoistelligence uoyenne l'on
etqu'il dnese quelques détentes, dequelques dé sedéroulait touiours en dehors d* songe la ièreté
ABruno prpionde des peta-
dernes. l'œuvre etl'englobent dans u n i-i- futurs. Celadonne
miraculeuse
aussi
Le
pGrand préoccupe
draplustard. pw de Lce'auteur.
evien-
M.Gi; cors c olorés
demeurons Au
dans lieu
u ne
decela,
grisaille nous
ab- moi.
cidé tous
d , l eshommes Jétaiavaient dé-
exclus. ares où rencontre Béatrice CAP1' N
u aimable
1Hcomplète recueil
fortbien d'Images
:r é-
croscome
qui sonnable.
lelivre desemettre
où.tenant
il ne luiest pas
rôle rai-
un donnéMeaulnes. une œ uvre L'autre
d'aborder
:
façon.
untelsujet,
la .neil- Buhet. ne
c'pstavoireul'intention semble pas. d'ailleurs
d'écrire straite
autreblement e t,il fautl'avouer, passa- Elevé tu ignorer
)mnit- j* avuv eîà, j e ne aussi
quelle à l'ironie
sont décritesavoureuse
(es b avec l
ien-rpensants
a- tt
envaleur leure,
Desouvra-d'attendre lassante Cel'intelligence
roman a ;f courrais jamais ricaner »smcèreme.l' - "11 succèdent d'autres, malha-
centdeLouis
Paris telqu'il f Chéronnet
ût.I l remon- ges comme
tissage Les
feraient
Années
exception
d'appren-
si lafi- turité v ous que l'approche
aitdétaché de
delama..
pas mal' Chose
a donnéque un
l'éveil deses
tempérament sensIIlUi
assez fé- tortddeMBuhet
Celui ene parler qu'à
met l 'imagina- 1el'existence
constances d dudiable
un'-oyr,ge
Les
N 4-e
eir- biles
l " matière opaques,
échappa OU
oùl'on
4 sent:--!je
l'écrivais Ma^sa
tt\AR1£\. S
te plus h aut dansletemps puis-guredeWilhelm Meister ne s'ef- dechoses et faitconnaître leprix
d'êtresentirminin q uil'empêche devoir, dl- tion en marche Etdelàvient ane certaine loedelârheté lelan-
I tj1h.
ceroman e sttoujours sltuVé par .1'10"'11£"

rSTl
qu'ilfaitappel passeulement
nondumijieu façaitsouvent derrière lesévéne- véritable decelles quivalent 4li-4t!lè des-apparences char-qu'Une Femme rousse dansunir Ut cent 'Inn?esoiresxcèsc, III sonpliure vraiment vivante et ir-

f
àsiècle,
la.photographe du rnents relatés. Mais onne saurait. choisies Alors l'écrivain nese met nelles est,dansleslimites de son petit ne luiserait .elativement
oue lui4wid'ur tout né- 'n tondeçenfinance discrète euAvn^^A,;,:.|
mais encore a l'estampe an. d éducation plus'toutvif scèneLemonde univers aquatique, plusartistiaue taste s'ilnPtttJnuf i la~(~uct<<9n les .,MOL.TE,UQ
cenne, parfois sous. sa forme po- guère parler sentimen- tourne plus ena utour de ce jeune ment réussi sens analvtiqge çiga ~~que] ilLtt ( "flcile
pulaire
coloriée.
heur d
de. vue d'optique
Ona faituquJ
elaméthode'
confronter l'aspect
naïvement
sage,avec
c bon-
onsute'
dautrefots à
avecTom
tale
qui. au
m
libre,
teur.
sujetd'un
algré
quiestsa
etmoins
écrasé
encore
Raskolnikov
lucidité,
parson
à
n'est p
créa-
propos
ay
di"
ne
homme
unfrère.
êtres e t
quilui
les
jeunesse
Parce
ressemble
qu'ilconnut
événements,
au'ilavperdue il
comme
qonné
ftlD
t,.D.q\l.iéttlqe
lee rosdes¡ç"'tints
estbien plus
Çileceseftornè
qui p
virile
oursuit,
desvainqueurs
e t
*leurs
lesne-
profond
(21
Ilest en effet assez
de pairJi puissance ra,re devon
nera
feçue.
une
créa-pour.-u'vre
p as iprès
d< v donne*
extraordinaire
l unneséton-
'équcation qu'il
4 Satan
importance
.j,'f'luiun,<;in;!I.¡Jier
6
et n
denêtre
leynet,
moinç qps
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4*
le [\f JeanTPru~or1\Uj
aipcifs.
M
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Ôii Ç que
ybetGqet
s'eryriehit
une photographie
dumême point prise
de vue
exactemen*
: ainsi l es
Jones
nature, ne
Cedernier,
comprend pU
force
ne
dele
cher-
n.la
visage
'sr,rit sa place
et éducation éritable^.
sentimentale V Ces jeune»
viepersonnellehommes pip ont
(rameur cjOijl"
artes une 411el
sl"ns
cer. triceetledon
pourquoi depénétration
(31 deMJean
Voilà loque Jusou lumordent
çol- lentement
-0--lac'est sent qu'auxqefautes
piresm sep refaites
oments 4*M
transformations sautent auxyeux chemêni-> pas à deviner ce quiW d'uçeportée une réelle, l'être a u- tes un rôle important dans l eli- Qoudal leBruiio
s emble dfts I )oiL- 'à quee livre - gête — né maladi# r este l qiTTOêflie et affer-
desmoins prévenus Enpréface. arrive Nous l'avons citépour mon. nuel ilfait a ffronter car
lavie nesf vre de M Jean Uoi$.y>. mais i lsSF nous
de derniersl'un
mois I les' vrose 4eBrune; moire e
Lest1.place mit z acertitude ororonde. T livre
M. J acques Wilhelm très b ien p ré- trerà que! pointletypedeleijn..meutpasdansununivers anodin soucient également de l'organisa romans ces
f oisq uestion dune equ. oarmi >>s .>Xt'eDtJ"Dl' h
«ecrit-il ommes-
dans -'achève naruupvictoire totale
paré à sa tache parson lommp dont
activitéest spécifiquement n ous n ous o ccupons l'inexpérience tiondumonde ta dansla. cationencore une nesont-us 'astous, une maîtrise -soi qui e stlamçii
françaisél déforme par etl'iqia. société sentimentale-, maisdleJeunr-
'unty- -onfnu*i,*»l $'t'i•ie,.«rés
rle ctners. tl* leurt.corc'usion
sentimentaled'uneéducation
au musée
ParIsiens à
Carnavalet.
rechercher,
modernes.
convie
sous
lepassé l es es comment
ap- leP!:ICE>
deleur pations
!eromancier
aucpntre
de
deses c hez n ous
préoccu-
aination.
cis. c mais
omplet, danslemonde
dangereux oùtout
Pré- quelle
P s, virent,
M
deux-zuerres a
celle
besoin del'entre-
d'euxILs h - peunpeu
homme n'a
spécial
cas
puisque
icitout s on éQui, pauvres
marnuês-
IHI-PS
à
par
accablés
lasouffrance destin
morale FA
parences
ville.
(Editions duChine.) deux m anières d'écrirp le
del'importance
défaites coûtent cher dans et Ce
etoùvictoires savent et esdonnent
sontdse
poursuivent garçons avec
éducation
passionlibrenerveux
lucides qui néanmoins
rai- la
SonIexpérience-es'
plus ntéressante 11
tâtonnanl
cherHip anxieusement
d'un introuv '-le la rf- '1)Ken#
équilibre Jnlluii'ft
fV)f.nffnnt ", dl L£ON-PAUL
"At.ERY
fARGU~
LAR8AUD
P.duC. Il va Tîne Femme r ousse une 'rur en laDIUR significative parce s'é-
que, Ptse'oiiant les "u,.- autres '.1 ,.iln,-n,,i;i et tGfr.
 SAMEDI
1
1943
13NOVEMBRE

L'ESSENCE LA SEMAINE THEATRALE LE SOULIER

DU THÉÂTRE JE DESATIN
SPECTACLES

-MCEDlA. — Page 3
CO

,--
CESOIR SUIS GARÇON bonne et pratique eoaipetitnégoce à la
par Roland PURNAL perfection.
Ces gravesréserves faites,ilfautrecon- répétition
c tiondusujet
(SUITE
E n'estpasdavantage
DELAPREMIERE
un sentiment,
quisesentheureux, mécontent
PAGE)
sicemotdésigne
ou triste.«
une
Intuition J)
1
en
(Théâtre Antoine)
affecJ3 Edais impatience
mentirais
avec
trois a
envousdla
ctes e tquelques
isantquej'atten-tourner
nouvelle
tableaux
pièc*.
dont
tion
malgré
évoqués
'arrangera
plue
avant
luidansleslieuxdeperdi quelques
haut.
l
B
ebaisser
ifcai
entendu,
durideau.
tout
naîtrequecettefantasmagorie
quelques
déchaîner
mots
effets
faitprécisément
a musants,
q
lerired'unpublic
pour s
quelques
uisuffiront,
comporte
traitset
je pense,à
quin'estpas 29ensoirée.
'offusquer deladé-
vembre
Lapièce e
en
n
générale
IL Adel,à la Comédie-Françcise,

trois
duSoulier
matinéeet ia première
parties c omporte
deSatinde M.PaulClan.
aura lieuje samedi27no-
a étéfixéeau lundi
treute-quatre tableaux vi-
neconvient
viseudans
d'objectif
aformes,
;:
objet
guère
n l'objet
uneintuition
:1existence
or épaisseur
une
quinesaisit
r est j amais
sans
objet;
paslemoidusujetJJi.YvesMirande
contours,
cest cequ y
uneopacité
il dela, s
sans Dieumerci,
aison. nous
macuriosité
gratifie dèsledébutjoûtdujour
saitnepasallei 'excès,
Enbref,la vervedeFeydeau
praticien
parun planches
quiconnaît ses
remise
roublard
comme
au cadence duparler
a Aufait,J'oublais
per-YvesMirande
f rançais.
de vouedirequeM.
a pour collaborateur
sera accompagnée
M. ger.Voici quelle
MM.AndréBensera
d'unemusique descènedeM.ArthurHoneg-
la distribution
runot(donBalthasar), : Yonnel (donPélage),
une musique sans lignes, autant d'abstractions désespérées pour jusque là. Mouëzy-Eon. Pierre Dux(l'annoncier), Maurice Donneaud (lepèreJésuite),
désigner l'cbjetnelaissera jamais cueillir lui.LemeilleurM.YvesMirande, Interprétation desplushomogènes, où Chambreuil (leroid'Espagne), JeanMartinelli(levvee-ni de
terme est
ceque
sans doute celuiqueproposait un jourMen .Gabriel Marcel : genre dbthéâtredont
effet,cultiveua
enlemoins
q ue l'on distinguent MM. JeanTissier, deSax,Mse ar-Naples), AiméClariond (donCamille), Balpêtré (lecapitaine)"
laréalité nous estdcnnée dansuneassurance, assurance continue et puis-puissedireestqu'ilfaitpiètre figurede- tinelli, Montigny, Hubert etSaulieu ; Mmes Julien Bertheau (leChinois), Louis S eigner (Frère L éon),J.L.
dela Gardedit
sante, labasse quisoutient lechant, quipermet vantla poussière
d'avan-certeg, de ce temps.Ahnon BettyDaussmond, Christiane Delyne, Pau-Barrault (donRodrigue), deRigoult (lecapitaine
comme
craindre detomber danslevide. assurance il n'est pasun auteur a mbitieux lette Dubost, Tissier. tWgis etMahieux. Roi), LeMarchand (l'Altérès). LeGoff ( lechanceUer), JeanVal-
cersans
Ladonnée don. P arce q u'il Continuateur deFeydeau etdesvieux r ou- court ( don Remire), Jacques
Desailly Chdron ( Rodilard), JeanChevrier
immédiate delaprésence estaussi un tiersduPalais-Royal, il se gardebiende (Almagro), Jean l'Unofficier), J. Dàcqmine d'Ombre
estlà.jesais decethomme cequ'aucun document, aucune description bousculer la tradition. Il se contente de LE CŒUR EN PLACE double), Michel lladet(lesergent napolitain); Mmes MadeLeine
ni aucune
estsouvent
parfois son
photographie
pluscomplète
hères
m'apprendra.
ne plus
et
mieux neléfirent
Maislereculpque
exacte ;
Une connaissance
le biographe
lesplussubtils
à distance
comprend
desescontem-
delapré-ville.
brocher depetiteshistoires,
leurspreuves jusqu'à lanausée
ventà s'insérerdansla farcedevaude-
quiontfait
etquitrou- (Palais de Chaillot)
Renaud
quet(l'ange
Sully
(
(dona
risseDeudon
dona
I
Musique),
gardien),
sabelle),
Marie Bell
A.deChauvsron
Henriette
(lalune),Mireille
(dona
Barreau
Prouhèze).
(lareligieuse),
Marie
(donaHanoria),
Perrey(lanégresse)\
Mar-
Jeanne,
Cla-
L.Conte
porains.
:
rofiteau savoir et,encore une fois,
;
L EPalais d eChaillot a donné r écemment (lavoix del'ombre Rouble). Nicole Chollet (lalogeuse), Jantne.,
sence
propice
n'émane
aux
pasun
regards
savoirellecréeplutôt
Indiscrets.
suisdanslesien: laviem'cblige
;
Cethomme
dansle mêmencusvoici,
à simplifier
uneespèce decomplicitéCelan'estjamais
estdansmonuniversje pose
et je conclus
instant,
aussitôt
embar-
rien àala
ucun problème,
littérature.
visequ'à provoquer
tristenicruel,celane
celane ressortit
M. Y vesM
le pleinrire. Bien
irande en
ne
unesoirée
Poètes.
ciensse devaient
cetteMuse
degalaenfaveur
dramaturgeSi-
d'apporter
sifrançaise, :
delaTerre.Dehelly
comédiens,
leurhommage
quiinspira
musi-
naguè- C.LWLO
(uneservante).

a-
que JICUS
quésensemblesemmes il fautbienaccorder pour
prudences. u n loindemoil'idée
Or cettefami-d'unpareilpointdevue.Divertir decontester la valeur re à Anna d eNoailles un p'oème « Pays»,
et nos un public queM.Maurice Escande sutinterpréter ad-
liarité
sincn
entretient
plusjuste, une sagacité
sagacité
plusviveetplusperçante
quidisperse determiner quelaréflexion,
lesphrases, permet
n'estpointà la portéedetoutlemomde,
et par ailleurs nous s avons tousqu'unau- mirablement.
Couronne decette manifestation futl'acte
ci
-Beuhk£&ôrite£ •6ounnrbodjz,g"L.
1
decommuniquer sans paroles, litdanslesyeuxetcorrige lesmensonges teurpeutmettre parfois b eaucoup plue deM.RenéBruyez : « Lecœur enplace ». JARDIN
delabouche
Grâcedela
l'imperceptible
parprésence. tiemblement
Grâcedeladivination
d'unemain. d'artdans
grâcede furieuse
une
machine
pochade que
à prétentions.
dans quelque M. R ené
tresouvent
B ruyez, à qui
malicieux ndans d evons
ous paradoxaleun
sa etla vie
théâ. MONTMARTRE
et non
lumière,
médical,
jouer,
secours
force
en telle esttel
dudirecteur
desvrais
le
chefs.
secret
deconscience,
Lacapter,
duconférencier ;
fine pointe
telestlemiracle
lavouloir ati
du diagnostic
duportrait
principe
; se
d'un
Jen'entends
devaudeville.
montrât
sesmoyens,
rajeunir
donc
plusexigente
qu'elle
matériel,
p
J'aimerais
oint d
diane
eûtdavantage
écrier
seulement
la
lechoixde
farce
qu'elle
soucide
fantaisie
intelligenoe
unepièce
etquifit
desautres» unvéritable
ettoute
avec «
sobriété,
trèspersonnelle
Jeanne
chef-d'œuvre,
a su
'-NER
D
etquin'estnulle-
toute
écrirelà IeST1A"JUNOT cadhe 2tf:
,r
hS-
wij BLANCHE
fLstâtosm
~2:,g1l
lessàhsÀ
6_~
OuiAMARCK
de I&aâs Bal

F
l'essence duthéâtre. desusciter d'autres réplique Chemineau deRi- "fous
art, est HENRI GOUHIER. figures, son
des'orienter,
tressujetsetversd'autres enunmot,butsvers
d'au- mentune
chepin.
par
L'écueil
l'auteur. Quel
au«
ététrèsadroitement
adrame a ussi bref q
» évité
ue puis- SPECTACLE s=-,'
Deceminimum d'inquiétude, pointtraceGuillaume deSaxet Christiane Delyne 1
dus*^RÀBDEÀUI
Avant La Femme punie chez
j par Paul HAURIGOT
garçon
M.YvesMirande.
lesouhaite.
Faisantfondsur l'histoire
battuede l'homme
gnement desajeuneépause
« Cesoir,je suis dans« Cesoir,jesuisgarçon» sant
»nouefixeà cetégardautantqu'on
ouiprofitede
du bontemps,l'auteurnousentraîne
centfois
pour s e
re-
l'éloi-
(Photo

donner Claude-André Puget Paul-Albert

à
Studio Harcourt.)mier «LeCœur

vivre
d'unhameau
del'incendie
prison.
aupays
Galardin,
enplace
d'une f
»?Calardin,
deFrance,
erme
Spfille,la pureAnaïs,
e
oùellevientdesefiancer
Cradot.
échappé
Quand
deprison, se
brave
tcondamné
ff
a étéaccusé
continue
lèvelerideau,
veut r
à
fer-
la
de
avec àf
ecommen-
BEtAGHE
ORE éC toutun
IEMARDI* hfLGa/tfiittto*
RETENEZ VOS TA8IES d*(ftdefâêt
AM002-19 MM
INI fantaisie
Etrouvez-vous pasquel'ena quelque
au théâtre cestemps derniers peu aousédela sa suitedansun dédale
?duLafantaisie bienfaitspournousdécourager
delieuxcommuns
bout chez 'Baty cer l'enquête
songère
quia abouti
desaculpabilité.
à lapreuve
Comme
men-
lesgendar- .——— /t
est unedéesse capricieuse quidescend cielquandd'unquart d'heure d'audition. au mes viennent à l'improviste danslamaison,
ellele veutbien.Rienn'estplusfatigant,plusdéce- Cebontempsquese donnelehéros:e Une pand
iècenouvelle deM.C laude-André Puget, Anaïs éloigne lessoupçons enfaisant passer
vantquelafantaisiede commande, chèz que la fantaisietraduitunefoisde pluspar l'inévitable
grandnombreévocation du baldesQuat' Arts,de « Le G? Poucet »,sera prochainement crééeson père
P poursonamant.
aul-Albert.
Mais
Sajalousie
voilà que
éclate. sur-
Mais
laborieuse. J'ai crudiscerner ce sentiment z ' Théâtre Montparnasse. C'eSt M.Gaston Baty vient
ce spectateurs. Ivtr.yim's et autreslieux.Cequipermeth ait qui fera lamise scène etlesprincipaux on devine que toutseraà la finexplique
Quantà moi,lematinoùj'aicommencé
punie,jen'avaispasuneoncedefantaisie.
J'entendsbienqu'ils'ag:tde s'évader,
où? Pastrèsloin,noussommes
à écrireLaFermite
maispourallere"-
rattrapéspar la récitéà style.
M.YvesMirande
doitsesaccessoires
d'Anne d'Autriche
depanacher
decotillon
à la vêtured'unmousquetaire
:comme la robe
s'allieà latogêdeCésarcostumes
dehaut poète
e
Juliette
M.C
n
il sp interprètes
Faber
seront
seront
enetLucy
e n
Georges
L éger.
deMarie-Hélène
làude-André Puget,
Rollin,
Ajoutons
Dasté.
GréiiUat,
que
quifut,à l'origine,
les
etquemême
die sera
MlleFannyRobiane
Anaïsinfiniment
levéritable
découvert.
auteurdel'incen-
créeune exquise
émouvante et pleine de
chaquetournantet ils sontnombreux
époque.
Femme
d'amour
Iln'y qu'uneévasion
punieaestdoncunepièced'amour,
actuelle. C'estlà, sans
possible,
doute, sa
:
dansnotreétonnantequ'enToutcepetitmonde,
c'estcelleducœur La à adomicile
maisc'estunepiècedans
principale originalité.
pparence,
sonl'escalier à
escorte
et naturellement
un cortèe-e
quin'estdrôleFresnay
notrehéros
en
jusques
formation
surréaliste
abandonne,
se heurtetreduboulevard.
amenèrent
Ajoutons
et
au moins
que
que
cetauteur
lehasard
àdébuter au
termine,
etM.
Théâtre
provisoirement,
P ierre
Michel, charme.
quence
le théâ-oeur.
encemo-
M.
amoureux,
par
Galardin
M.Balpêtré
Lucien
tout f
estjoué
Pascal
eutout
sans
estunjeune
flamme,
grandilo-
etavecunefortedou-
paysan
enthousias-
Silessentiments sontunejétoffe éternelle et inusable, cesont lequel n'estautrequeceluiouidoitcon-mentunecomédie decaractère en cinq actes teetsentimental à souhait. Mme Maximilien-
lescontingences
leursdessins.
dechaqueourquileurdonnent
Pourla première
leurscouleurs
fois,nousallonsvoirau furie
duireaucimetière
neuble. Scaudale.
lepropriétaire
où. d esurcroît,
del'im-quiaurapourtitre
s'érige
- « LeSaint-Bèrnard ». ne estunesorcière
Lesgendarmes joués paysanne
parMM.
fortpoétique.
PierreMorin
et e n sonthumains devrais Alovaillance,
théâtredes personnages quiréagissent fonction desévé- hérosla roide figuredela belle-mère
! du VARIÉTÉS etJeanGuillet comme
nements quinousassiègent en
et celaavecun tonsinonsérieux.lEtc.: « C'estbien,mafillesauratout »
dumoinsje l'espère, humain. Vous d'icilecircuit cethomm°
v oyez : gendarmes
Etvoilà
tique,
u
derenouveau
n
renouveau
campagne.téthéâtre
dû au
pour
talent d eM.René rus- du
son
Chevalier
p arrain,
^slladroiture,
BAVARD,
correspondant
~3~g
\~§ s <
Dimitri,
Opé, ,
Lecoiffeur
3,r V.gnon,
88-72etdes97-69,
stars»
Il s'agitde savoirsi notreauiaufond et [fffïg DeuxrouLaus le haut
bonheur individuel, si le a ime sa jeûné é pouse,
ET CHANSONS
con- Bruyez.
M.F.
lafabrication
laloyauté
éprouvée
dela
et
}B~~ 1 frontet desgrosses dans bouclesà dlau
bonheur dechacunde nous2 duitpourtant par lescirconstances à re- BAYARD "SANS marque
REPROCHE |||Bj9 I nuque c omposent
jeune
cettecoiffure
etnette.
encoreune
conque ? importance
Beaucoup
quel-
lenient.Je
suisassezfaiblepourle croire. Coulisses. A L'A. B.C. : Rentrée de ReinePaulet; tourdepoésie et Couloirs Vous
stylo
retrouverez
EXCELSIOR
BAYARD.
les
dons r
le jjfiînM
qualités m! i <
I
ja B1 ] CAINES
FRANÇOISE LANSON
MESURES
>
Si j'ai raison,alorsmapièce d'AliceDufrène. ~~— SUR
pourra trouverune résonance 37. r. deLille ( M"Bac).Lit.23-98 >
assezvive. Une
vavs'ouvrirécole
au complète
Club de ducomédien
France sous le Pour la rentrée attendue d eReine Paulet, h eureusement Pierre
débuts Benoit
au
ferait
théâtre prochainement
surune soène
Onn'apas ledroit,souspré-contrôle ses
textequ'ilnevousenchante
d'abandonner
devoirdupoèteestdele son temps,le
terquandmêmequelqu'ilsoit.toire
Uneépoquecomme
pastion,Elle
mise
duC.O.Ç.S. dedic-remisedel'accident
comprendra
uncours
en scène,
chan-gieetdétudesdesclassiques.
celle-ci ne ment detfera
uthéâtre
uncoursetdesemaines,
d'interprétation
uncours
ysera
l'objet
dépsycholo-
traitée
d'un cours
programmes.
L'his Loindesouffrir
égale-
par triomphe
l'AB C aquenous
deReine
composé
duvOisinage
P aulet ena
avionsdéploré il y a quelques
l'Unde ses plusremarquables
detantdetalentsassemblés.
tiréplus de sens etplus deprix.
parisienne,
d'Ulysse
-
cors «
le Bavtau.
v
de
s.
avec'es «Compagnons
Précisons
peu
LeThéAtre
que
duciel fauteur
» est
Montansier
M desdé-
N
. erses
deVer- bA
de»-
'Lesillage
&
VOTRE
:
Paris
d'une
MAIN
votre
femme
c'estsonParfum
Parfum
élégante-

I7, ruedelaPaIx.
exclusivement
trente-six semaine bette é oole sera o uverte gra- Endixchansons pleines derelief e t decaractère, oùla fan- sailles a monté
représentations tout récemment des
nousoffre pas rou- tuitement aux prisonniers libérés ainsi des«Pêcheurs deper
tes,il faut ou la
dominer.
fuir la
C'està celaqueois'es-qu'aux enfants
destinent deprisonniers
théâtral.
à l'artaudition
taisie è tlepittoresiue
; ne
quisetimentnousvoiciunefoisdeplusentraînés font aucun tortà lagrâûè
dans
e t ausen-
une sortedenotamment
les
la ontetde
(toux Madame Butterfly
u d'excellents art »myte
ietesBau-et

1
saieraPierre,le hérosde Lalieu Une première d'entrée aura ronde autour d umonde nous, découvrons dira'foisdes pays ir«u il qu»fitdeMme Marguerite
apprécier .ferce".,., et
Femme punie. matinledimanche
Club d14, à 10heures
eFrance. dudontl'atmosphère nous étonneet desêtreshumains dontla qualités vocales etscéniques.
a u joieet la peine nous intéressent et nous touchent. Mlles nichemann, Desangles Au.
Quanta .a femme, Eveline, v LaCompagnie d'Art Dramatique mont Dlberbourg, Delrleux. MM. Pou-

;—
je ne suis pas vient
toutà fait cer-deFrance, departir pour
oùelle lesgrandes
jouera La villes Chacune
Céles- deceschansons a soncharme particulier. lot,Tamise, Degrave, Gautrat, Las.
tainqu'elle tine
soitpunie.Cen'estlescréateurs ».avec M arcelle «
Géniat, tous Tout c ela rayonne devie,deflamme i ntérieure, deQéné- sange. DeBussac ont é téadmis comme ,0~1.4
facile d epunir femme, ettout son matériel sous reus ardeur, d esympathie humaine, d'inLellijence. Et dans élèves dans l esclasses d'art
de d rama-
Versailles.
Portrait dePaulHAURIGOT pas
il faudraitpourcela qu'elle u ne laconduite deJean Darcante l'épanouissement éblouissant de tant de aons, L'intelligence tique d uConservatoire
parMaryse Choisy éprouvât
Fulgur.} un grandamour.Est-donnée v Levendredi
née, s à l'A.B.C.
ignée deMM. la19novembre
rtvue
P Varenne
aéraencore
defind'an- et
serévèle
oùlapassionnée parlechoix
voyageuse
decetterobefanLa^+ue
semble avoir r ecueilli etseyante
lesvivescou- LA PIÈCE
A proposde SODOMEs
(Photo celecas ? Marc Cab e tInterprétée par Charpini, leurs d escartes g éograph mes sur lesquelles rêvait sonenfance PRISONNIER j ET GOMORRHE,
lion
Si la pièceest simple,
teursaurontcependant
dialogue
volontairement
à faireun effort
esttrèsdirect,parfoisagressif,
je leurfaisconfiance.réplique
simple,
decompréhension
toujours
lesspecta-
car
Suzanne
rlst,
gelys,
elliptiquet AuStudio
leur
Dehelly,
BMonyse
ever,
contrat
Michel
Mona
Vitold
Rogers,
des
expirant
Dprny,
Montigny,tha
le21
et Julien
Colette
m
Lilo,
ps-E
Fleu.'
Dan-
lysées.
novembre,
Charles
pourencomposer
sede
C'est
voyage
à
aux
un autre
un pacifique
voyage
îlesenchantées
l'Idéal.Cettefidèleinterprète
dela
et riantarc-en-clal.
Quenous invite
poésie, aux
A lice D
terres
de nosgrandsclassiques
:ufrène
inconnues un L'ADirection
a tresd'entraide
générale des
et le journal'
SC'e»t
Cen-JMarcelle
7les
{ET
àOORMOY
Christian
costumes
GOMORRHE.
HERAItD
que
féminin* nous
deSODOME
et iS
devons J1
)
Il ya derrière chaque centrépliques quipourraient voient dans l'obligation d'annoncer en choisi pourse présenter public d umusic-hall despoèmes
au Savoix,somptueusesouIJle,sentunconcours « Toute l aFrance » organi- 7
} Disons
rarement tout
plus d esuite
heureuse q ue l'on vit
collaboration,j
êtreet quemespersonnages n'osentpas dire.Il faudralesplein s uccès lesdernières représenta. modernes d'esprit trèsdifférent. pour laréali-j Le g rand talent de Christian RERARD
entendre
Tu
« es- u
aussi.
Aupremieracte,Henri
neamoureuse, je
Rollandit àlMadeleine
crains q ue tu Ille sois qu'une a
:
Lambertdurée,
mou-
tione
rigueuroar
décembre d
Latenue
de».«Larelâche
sera ans
d l es
onnée
desoirée
premiers
« Première
estdevoixdevelours
seradecourte
jours de
éta- reuse, sa
concession
noble
aux
p
et d'argentet plusencore
assion d'émouvoir
applaudissements par
deces
la sa sincérité
poésie
auditeurs
i
et
mposent
sans
chaleu-sonnier
sans
parti
sation
être
d'unepièce,
»,dont
devingt
esprit« pri- jointà l'admirable
laduréepourrail{Marcelle
àquarante-cinq mi- ( une
De série
laroba
DOKMOY
d ecostumes
Jaune
technique
nous ontdonné
éblouissant»,
etdela cape
deZi
i
S
--.i-
reuse, je lecrainspourtoi,je crainsquetu netrouves
dela chance qu'elle
plusta pe»,lapremière
d'être raldy gièce deClaude Cé.prisla tendreironiedeConfidences au Jardin, de Dahielle Hem- nutes. fnnée ou
lqui dalàrobe
'euillère, blanche
bleue «içs
et S
i
d'Eil-
i
place.» Il nese rendpascompte qui ne trouveaplussa nous La direction duThéâtre Monceau mert,la mélancolie voiléedebrumes deChanson de merde teurs Ceconcours estréservé
captivité auxau-JwigeIrouges due divi
rapent Lise, Oelan>»>"-,
uneamoureuse,
place.
mêmeuneamoureuse
Elleestquelqu'un, ellea un emploi
Rien.Il revient,
et elleditlui-même,
il le
peutle con-cleactuel prie : ae«préciser
Monsieur
collaboration
que son specta-
deFaiindor
deMM. Geor.
Lucie Delarue-Mardrus,
»« grandoiseau la
blanc*.deCharles
haute et pathétique
Vildrac, image
dontJ'essor la
de ce libérés.
drama-respectivement
enIlest d oté
etauxauteurs
d equatre prix,
cinq
7 onlie
Jrer iait q
iepius. dan",
Trouverons-nous
p référerou qu'ailmi-
prochaitH'
7J J
naître.Maislui,qu'est-il?
« comme
d'être
cherche
aumoins
reviendrait

Il ya longtemps
!
unmort s> etil a tellement
utile,de construireC'estlà le drame,il cherche,
aucunprixse laisseramoindrir
ne veutàl'amour.
etailffaiblir
par l'onn'a
que pasvuun
envie

couple au
de vivre.
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crise et ger
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il se samedi
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anoir
Mary
etArmand
y 13novembre,
théâtre.Comédie-Française,
Chopin, aveo
Gaaillard,
quec'est
Marquet,
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à
Verhylle.
14
donnera,
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unrécitai
aujourd
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hui
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con-
tique.
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à nosfai- francs.
FREJAVILLE.
Lesmanuscrite
adressés
pour
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avantle 15mars
lesauteurs e n
mille,
vie, mille,troismilleetdeuxmilleîJcollection
1944, { rappel
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captivité,
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réussite.
la
Dormoy
ie«oulialter.
nspiration :,'Vlin Jî
ous
devint j

DES DEUX COTÉS

LaFemme punie,ce n'estguèreautrechosequ'une sacré Verlaine, Baudelaire, Marce- avantle15janvier
auteurs/libérés,
t944 pourles
à la Direction
qu'uncri. peut-être cadreplusintime,RenéRocherNoailles- lino Desbordes-Valrnore et Anna de artistiques duCorn. RIEN DE PLUS SIMPLE
Conçuel'Odéon pourun desServices
!accueille
On ne
à
pourra
tiqueencombrant.
avecune
pasme
sollicitude
reprocher
AvecAlphonsine que
particulière. velle
d'êtreun auteurdrama-ajctel
montaBatyet qu'in- v Yolanda
v Pierre
pièce
». : Brasseur
t Notre
fere
achève
bientôt
femme
bA
une nuu-
Quiest
rentrée A DE LA RAMPE
missariat général
deguerrerapatriés,
Prisonnier,
aux Prisonniers
Maison
1,placeClichy,
du
Pa- Il r (fuHavre. lingerie;
2,t v de*ri-i-nVi*
RIEN
PRODUCTIONS
DE
A. L
PARIS
PLUS PRATIQUE
AMARTHE
(31)
èf ::,
I
37'jECHAfL0r
l'un des derniersjouésdansce délicieux ris.IX', PARI8 DESQUI LASITUATION
LE WRMFTTRA,
LAFABiJCAHO*
ternrétaJamais,
théâtredu Vaudeville
Qu'ilne
ment
cède
l'undespremiers
laplace
dela Paramount,
avant
au,monu-I
j'aiété Le derniermot d'Antoinelethéâtre
représentés à
Paris.

dictature,
comme
mais
autemps
encore i l
desa
lisait D'UN PAYS A L'AUTRE voudra,
tion
àdébuter
dela
comme
spécialité.
«attrac-aujourd'hui
Les an- inédite pour jeune
;r,
mêmeuauditoirè
nèœuvre
VIGNON 11
REPRENOtA
tr< SCtlf
OtANDf
MAURICE
~l-~-

dontla recevoiru NEminute » », de:

r
la Michodière sallefut à peineavantde despièces d'inconnus etlesdé- - ASalzbourg, lecompositeur Bru- mermans etE.Jacobs dont pein- neauxmagiques, notamment, «AlAdin deM.Guillot
mêmeconstruite pour rendre l e dernier soupir, montait orfèvre pour
en de plus nettiPisanos econ- le pourluidesecret, et Saix, dont l 'action sejiasseen
Méditerranée. Ce fut une ba- Antoine quijusqu'au der- soler,disait-il, ne pou-de73ans.Ilétait vient ddemourir
'origine à l'âgetrePierre
italienne être Breughel
"représentée estlehéros,
la premièreva nontplus
son tourdedouble-vue, oùle Chine musulmane, à l'époque lé- MmENSEMBLIER
taille dont les perdu
théâtren'ontpas cherAn-
amateursde niermoment
lesou- lucidité
veniret dontnotre disait)surlui,setourna
toinequis'yconnaissait,
avait
parfaite,
c onservé
sentant
une
lamort
sursacouche
voir l esmonter. »
ToujoursShakespeare gne
et a
sieurs
fait
duSud.
breuses
sa
opéras,
carrière
Il
dans
estl'auteur
symphonies,
compositions
l 'Allema-
deplu-
etdenom-
demusique de
fois
:
en Allemagne
municipales
Francfort,
tres d ePosen
à
pourdeux
sur
Ratisbonne
sanspdeCracovie
arlerdedeux
qui
s
et
cènes « Misanthrope
à à-propos,
tvhéâ-
ont magieblanche. comme
» est utilisé;
accessoire
termine
avec
de
gendaire
Le
des
spectacle
le nu- ment« Colin-Maillard
Mille etune
comprendra
35,l
Nuits.I DÉCORATEUR
égale-
», pièce
quece
à laquelle
fut
sister.Depuis,
ilune
despl*u
luifutdonné
vives etdecette
d'as-!n'avait
à partla créa- «—
voix
guère
Ilsont f ini
goguenarde
changé,
d :
qui
murmura està
èm'emm.
D ECIDEMENT
mond
lamode.
Raynal
Shakespeare
Apeine sano
a-t-fl c
R ay-
om-
chambre.
» a
deà -Salzbourg.
U'.e «
étéfondée
société Brunetti-Pi-
enson monter
honneur, AuTeatrul
onprépare
ainsi et
Pieter Breughel.
Nostrul deBucarest
unereprésentation dela
méro surun
dontMolière,
effetdesurprise
quine
lesescamoteurs
pas eûtétélepremier
dédaignait
du Pont-
encostumes
às'émer. LesBurlesques
duXVII" siècle.
f
deParis
li
HlPi\rvi
0
Faubourg
Saint-Antoine
tiond'Eveen Suisse, je n'avaisqui,Ils »ce sonttousceuxcontremencéles représentations ABerlin, lacomédie duKur-Marie-Magdeleine deHebbel, qui, da- Neuf, EDRANO PARIS
b ien veiller. M continue sesexpe-
riendonnéà la
sardveutqueLaFemme
soitjouéeàparaît
tempsquethéâtreoun
l'Odéon
punie
mêmeémouvante
enpremier geuse
s a vie durant,
sérénité,
acceptation
eut à se
quelle
débat-
scène.Le'ia- trele vieuxlutteur.Etquellequ'ilsongedéjàà monter «Tout
coura.nouveau
quecetteréac-cieux ged'une
e stbien
Shakespeare :
quifinit
un
nuitd'été»,un déli.aitd'une
chef-dloeuvre.
M

Lecadredu nique
fursterdam
une
« Leson-l'auteur
animée
comédie
vient
estM.
aimable
parait-il, par
d
nouvelle
J.-H.,
e
rouvrir
Philine
Rosier.
pièce
une
avec
dont
d'intrigue,
fine e tiro-
tantde
sente
Ils'a-cheur. e
Mundorf,
lindes p
l'époque
ncore
Lemetteur u
quia déjà
ièces
ne
romantique,
émouvante
enscène,
deSchiller monté
etde
M.
pré-
fraî-
aul Lespoètes
à PBer-
Haitpt- LAmatinée
prisonniers
poétique qui s e don.
riences
voithabituellement
ouà l'écran.
en
pistedesartistes
Cette
amenant surla
quel'on
surilascène
fois, latait "~: ¡..
ùj'airéuni tiond'unêtremagnifiquement psychologie aujourd'hui même à la appelà MaxRevol,

2
volume de simple d evant l'apparat de la Théâtre del'Humour étant t rop ampureuse.
flamande de Félix mann, j'era
Tim-duchefd'oeuvré c hargé delaprésentation nera
Comédie-Française, Orbal, Be-
Napoléon Noiret Marie-Caro- dif- mort. exigupourune telleféerie, la Lapièce centenaire. tièrement consacrée seraen.
auxpoètesnoîte Lab,quiviernent dumu- Grandes Vedettes
line,piècesd' ordretout circons- Antoineet lesJeunes tribution Compagnie va émigrer. Ladis- prisonniers. sic-hall, oùilsontétéaudébut
d'un Grands Virtuoses
férent,maisdontles
tancesrendentla représenta- presque complète est l'on pense.La facilitén'est La Comédie-Française Ainsi sèrenouera lelienspi de lasaison
spectacle,
lesanimateurs
« Follebdurlesque 43»,
v l'intérêtconstant
OICI encore unexemple de déjà arrêtée. Ilmanque, croyons- qu'apparente. Etil fautpropre- rituel q utdoitunirceux dont dont n oua a vons itle succès. ffDimanche 14 Islovembre
tiondifficile.
Aucun s ecours
dra de l'extérieur
le dialogue
n e me vien- grandAntoine
et pourtant
de LaFemmepu- débutants. treconfrère Raymond
portait a
Thouma-
ux
nous,
ver.
un
Si
Thésée.
Il nousvientdeno- bruits,avecl' « Othello
esttoujours
l'on
Raymond
que le nalneserapaslongà letrou- caractère
en
Ray-
croitdivers
au programme
»,qui
ment dugénie
queguettela monotonie
résignation.
du MlleOeudon
p our d
à cecygneblessé,
onner du
et
de sa 1 EAN
bienfait sionniste.
chezAlbert
WEBER
butant dans
Rancy
n'estpasundé. veulent
lemétier d'illu.
lesaccents
constances
émouvant que
empruntent
voirdansoette
del'esprit
aux
pathétique
unjamais etceux
poétique
cir
plus Les scènes
oirque
qui qued'autres
suryi.
la ce
a
spectafcie,
qu'ilsapportent
uraient pu
trouvet
oùil y
PAUL
aussi b
placedans)
avait d
au
ien
es
U de 11
,J, k.à1 2 h.}o,écoute^ j
niepourrait, par instants,ser- quinousécrit: a-t-elie Onsesouvient qu'il vance clartés. pro rentes trouvailles comiques peu diffé-
rer la gorgede ceuxquil'é- zeau, « En1942, sans êtreconnu d e Théâtre
raison s desMathurins,
hakespearienne la flo- dechoisir
sera en- lecrois ceE personnage
lle
?Jene avaitprésenté
dutalent cé. un numéro d'esca- messe
Les n
d'autres
otices seront deM. P ierre d ansleur espritCOLLINE
de cer.
couteront.Avons-nous
le droit d'êtreheureuxpar au
?
l'amour Est-ildevenuun
fardeauimpossible
encorelui,j'aiprislaliberté
à porterou]
quinousreste? actes
le
fondateur
manuscrit
duThéâtre
d'une
quia été,depuis,
p
d'envoyer
ièce en
Libre
trois
core abondante
ChezMolière
diffuséeLesdébutsdeMlleDeudon
cette saison.
:
pendant,
quoi q
pmais
as. point
uiséduit
del'acteur.
a
à ce je
l'insu ne sais
même
motage d
artistes.
Pourcerôleledon vasteamphithéâtre
mais
au
'un
Mais
Cirque
l'autre
d'Hiver
cours galadel'uniondes dirigent
soir,dans
du nouveau
au
l e
Seghers
« Poésie
lues p
etPhilippe
ar
enzone
Dumaine,
Sudla
43IJ.Cesnotices
M. P ierre B ertin.,
qui
revue
tainscanevas
sketch duooncert
enmassacre,
serontnequin, celui
de clOwns,
vocal
dufaux
forcédesubirsansbou-
( Le
quifinit
rur man- l'onde Je 186m.60
le seulsecours
Pourun hommeencorejeune par la Radio
«André
nationale
Antoine, non seulement L E rôled'Andromaque
estutile,
estde dispensable.
l echarme
Bartet avait,
estin- Cirque
elle,le lesgradins des Champs-Elysées,
couverts
dont
despecta- CadetRoussel
ger lesfantaisies
loÏJx, rappellent d'unmari
le souvenir l a-
d'un1 IlLA jj
C'est uneémission
RADIODIFFUSION
Je y
et quise voudrait fort.l'amourprit l apeine delire dans u ntrès ceux quitententlesconté secret del'unet del'autre. La teursprésentaient un aspect Im- numéro devariétés et deplu-
est-illa vie,l'amourest-illa brefdélaimacomédie, maisen- premiers donnée quivontfaireleurs soience de toutescesnuancespressionnant, cesociétaire dela pour les enfants sieurs tableaux derevue; maisce NATIONALE
mort?Voiciquelques-unes des coreilm'enfitunecritique dé- pas officiels sur lepla. manque àMlle Oeudon etsonjeu Comédie-Française exécutaun sontassezexactement desen-
questions quej'aiessayé depo- taillée dansunelettreterminée teaude la Comédie-Française.
éclats
d'Andromaque n'a paruqu'unnuméro
d'élève. Mais
beaucoup
n'est-avecuneprécision, pluscompletILEThéâtre Cadet Roussel vienttrées decloftns.etil n'ya pas
il à s'étonner bienlouées
ser danscettepièce. par desencouragements trèscor- Iln'a pasdegrands
lepeutmoduler
eton bonexercice
soit elle très jeune ? Des uneaisance, de fairesa réouverture.
tiendra désormais assises cours d'unbon que, spectacle
au
decir-
diaux. sansque pas r evan- une élégance et un brio que bien ses lesangpur,lesorticutqttont
Même sijen'avaispasréussi.
J'auraisencorecettejoie de ans,Antoine
l'avoirtenté.
« Ainsi, non
se
seulement
passionnait
à 85 utile
pour gédienne.
u ne voix
Dumoins
devéritable tra- ches
c'estceque laverrons
l uiseront offertes
triompher.
où nous
:
des professionnels pourraient
envierilesttoutprêt,quand
lui à laSalle
il Inaugure
d 'Iéna,
sonactivité
etc'est l àqu'il que,
endonnantaientobtenu
des scènes decette
lemeilleur
espèce
accueil.
gorde
souples,
mpaurai*
lasanté
W.M
parfaite. <mm\J
« laa"-*»*»*, (tuanw
i
 COMCEDIA. — Page 4 MUSIQUE ET CINÉMA SAMEDI 1943
13NOVEMBRE

LE GENIE CHRONIQUE DES FILMS A L'HOTEL DES VENTES

L ESventes
SANS-CULOTTE »
alic», à l'heuretragique delamort,que qualité
à êtreGOMMISSAIRES-PRISEURS
d'artcontinuent
peunombreuses
1-- Ventés..
Beaucoup
moyenne mais
de
àl'Hôteldes
fortBIJOUX
meubles
p eu
de
d'es-
par Arthur HOERÉE l'honneur desofficiers resteinattaquable. On tampilzes.Notons les meubles
que aussibien de
ne badine asavecledevoir
p(danaucune dansla ma-style que sevendent
lesmeubles toujours
d'époque. ChezM " ARGENTERIE
(SUITE DELA PREMIÈRE PAGE.) rine a nglaise marine d'ailleurs) Baudoin, meuble d'entre-deux, de ancienne etmoderne
A c ontraire, déclarer lesélans, les
ESSENCE
H on comprend
transatlantique
ducinéma
que le
étantl'image,delapressiofi
naufrage
soitpropice à
d'un raitdûlefaire
l'ex-
d'unprésident
mettre a ux arrêts, réussir
et denousl'avoir
à bord.Il au- suggestives est
deloyauté.
montre
réconfortant
Tandis
pardesimages
q
parce
ue
qu'une
latragédie ;
style
fleurs,
manger
un
L24.500
ouis XVI,
destyle
enmarqueterie
francs
h ttne
oLandais,
salle àà Vte
43.100
Hôt.
C'--Pr:Drouot:
Me
Expert EM.
SIe
t.A
H
le18
1der,
0.
6,rue
.-D.
nov.
Fromanger.
ESp.17
Favart.
ixons-nous,
progrès,
blement
qu'il crève
lessauts
excès
par delacréation
s'exécuter
l'esprit
qu'avec
qu'ilexiste letremplin
deloin
spirituelle
de
que peuvent
enloindes
neculture,
la sauteurs
vala- pression
alors en scène.
si nouspropose
d'écran
L'histoire
ettenteun metteurYork,
du
le réalisateur « Titanic » que
HaraldBrattcessaire,
latraversée
;
sansdrame
expliquer
remettre son
et,arrivéà New-preuvelechoral
attitudeenfin,siné-s'achève
démission.
sade
toi,
Làétaitle héroïque m on
estpréci-mapart,jusqu'à
Dieu »,
protestant
estentonné « Plus
par l
engloutissement.
sonqu'on
prèsde francs.
'orchestre crétaire
PourM"Etierme
Chez M"
destyle
Ader
Jean
L ouis Briens,
XVI.
faitpayer
adestyle
unse-
50.000fr
85.000
XV par
COLLECTION
DESSINS, T4BLf
BTABLEAUX
raque,
ANDRE
Derain,
AUX LHOTE
mODERnES
Picasso etc.
exceptionnels
decelui quine que, sanstremplin,
triomphe que par
ilségalent
cetauxiliaire.,..
laperformance s'attache
trophe q
moinsà nousmontrer
uiengloutit,
la catas-sémentdevoir. L'expression
l'undes éléments cedevoir
lequel leréa- jeregrette n'aitpasmontréfrancs unde
recouvert
salontapisseries Louis
d'Aubusson Art primitif Amérique -
ANCIENS
Afrique - Ocèanie
Mais allons-nous; parun contrecoup excessif, généralisant 1excep- grandpaquebot enavril1912,
du monde,
leplus
le dramelisateur a insisté
sur
avecraison. lafinde cesmusiciens au moment de ce duXVIIIe
mieux siècle etPabst
unbure' v. 4à0.000
cy-Vte OBJETS
H ôt. D'ART ET D'AMEUBLEMENT 20.
tionnel, décider qu'on p eut négliger decultiver lestechniques, deculti- humain que chant r eligieux. Oncomprendrait l e lindre estampillé a fait 0'9Pr; Drouot
MAlph. Sle 2
Bellier,
ePierre ,2
30.2nov.
pl. Exp.
MProet.
adele'Uie
ver l'homme, alorsquelaculture reste leressort leplus a gissant dela quie'est ajoué sonhéroïsme
veccontre et sa lâcheté Toutpatriotisme suppose quelque chau- pouvoir d'élévation delamusique quidéli-francs Exp.: MM. Vérité etL .-H.
création artistique, surtout dans lesartsmotorisés duxx"siècle. heures.Ils'agitldaonc, mort,durantquel-vinisme, et lechauvinisme entendre aisé-vre,ennous, pardelàlde esliensmatériels, les UnGide,« Lasymphonie pasto-BEAUX BIJOUX
deur Voudrions-nous
f rançaise d'ailleurs
seraient là lefaire aldmettre
'interdire. quemille ansdegran-ques decaractères. Il serait d
ici,d'uneétudementleslazzis
'ailleurs d if- à l'endroit duvoisin.Le puissantes aspirations cequ'ilestconve-rale »,survergé,estmonté à3.600
«Toute licence, pour
saufecntendons
ontre n ous
l'esprit souffle, danscesens, Bar-ficilede soutenir assez cinéma américain nes'est pasfaitfaute nu d'appeler l'âme. francs ; Electre
« obtenu deGiraudoux,
»,10500francs ornés debrillants
rés. Tandis quenous n,nous
Nietzsche, sous lesservitudes propices l'intérêt,uneheureet de moquer lesoutrances italiennes Quelesimages
(ténorsficiles dunaufrage étaientdif- surJapon, a édition ; ORFEVRERIE
durant,parla seulebeauté première Portrait
créateur :
delaConnaissance
Qu'une Danser
«critique
etdela
dans
facile daes
Règle,
chaînes.
iguise
pousser
ses »ironies
lehaut cridela liberté
préalables 'ets'amuse
du demie
a
gesdela mer,deàvagues
l'eauprenant peu peu
croulantes,
possession
d'ima-et couards),
de oulacuisine).
d'un fortetla « Brigade
lesmilieux
légère »
français
Maisles« Lanciers
attestent
(l'incon-
aussitôt
» sens,
étésinon
à réaliser
le problème
é vité,
n'étonnera
technique
dumoins
unegrande
personne.
résolu
semble
a vec
Ence deDorian
timi-
une
avoirquiavaitappartenu
a étépoussée
Gray » par
jusqu'à à
du et
Oscar
Pierre
25.100 ;
Wilde,
Louys,
francs.
Vte Hôt.
C..e-pr; Drouot:
MeD.-H.
Expe,rt
Sle9,
MRoger
le19
Baudoin, nov.
Boutexny
Exp.18
H),r.Gr.-Batéi,
laBEAUX LIVRES
tenirl'Institut pour" un,instrument singulier etbizarre quin'aura d'au-navirepourl'englo itir. qu'ilsreconnaissent la grandeur chezlesfre dité,malgré brèche oùs'engouf-
trefonction dejaser e tdefaire j aser nous luilaissons volon- Ilfautlapuissance descriptive d'unlivre quantité respectable d'eau, m algré Chezle,, philatélistes, signalons
tiers que
l'originalité d'une d éfiance quis'est » .
enaissantes.
xactement élevée, pareille à comme « »LeTyphon pour c entrer, pen- autres p euples. Demême, je dois, i ci, ren- une
lesmouvememts d'oscillation descoursives. magnifique enchère obtenue par Ma
elle-même,
Les devant
opposants toutes
à
lesconstructions
t'avenir sont d etoujours et immortels, — comme dantdeuxcentspages,
désespérée
drehommage
lerécitsurla luttemandquinouemontre à l'objectivité dece filmalle-
à borddu « Tita-chaînent D même lespassions humaines :
quise dé- Ader 1849 pour
78.000 Unfranc
lefrancs. vermillon de Editions
Vte H ôt.
anciens
Drouot:
etmodernes
originales
Sie —
1der,Livres
0,les illustrés
15et16 nor.
lesacadémiciens
Etcette p
qu'ils
hrase, elledénigrent.
non plus, n'estpasneuve,
Onlaretrouve,
quirm ésume
our ot,
motapttaquer
sibien Je mesouviens,
retraçant,
dansles C'étaità l'époque
etmonotone
le
cependant,
naufrage
contre l eséléments.
d'unfilmmuet
du «Titanic».
milieux étantforcément
opposés,
l'impression
à desmoments
prises
de« prélèvements
d ans des
différents,
anatq-
PIERRE : Ore-Pr :
VENDOME. ExpertM.Gijpand-Badin Me E t.
A 6. rue Favart.
leurscepticisme
Lettres
française. persanes,
àoùMontesquieu
notreégard. s'enservitpour l'Académie
s'agissait d'unexposé
descourtsmétrages.
objectif des faits ma-
Il En attendant
que naisse ona miques
derendre »sanss
espritdecontinuité.
ensible l'effroyable
L'effortCFUTRE
drame «a : DES ARTS SCEniqUES. comenie. préparation theatre, cinéma
Soyons honorés qu'elle s 'adresse aujourd'hui à nous, surtout si Direction
nous endéduisons lerevirement de nosaprès
fatalannées adversaires
a voir decelui
v itupéré dela
tériels,
sa
depuis
disparition,
ledépart
passant
entroubler
dubateau
parlechoccontre
j usqu'à
la 44 Corporation
trouve d ispersé,
deconstruction.
de ce
Enfin,
fait,
leprocèspar le -manque
quiachève:SPiano Chant
Culture
:
Danse:
physique
M. J .Le
Leçons
Goff.
Classique,
etCours
delaComédie-Française
Espagnole, parRythmique,
les plus Moderne,
grands
:
Claquettes:
Maitres
Montesquieu
Compagnie
admis des lui-même
Quarante, qui,quelques
allapresque jusqu'à commettre l'iceberg venant
fauxpourlant.Lamort,soueformedela faucheuse
unsingulier leballeplus b ril- lefilm
gard' des
est singulièrement
heures tumultueuses
restrictif
vécues enre-
par le SLocationStudios - —
Audition - Chauffés-Douches. Studio dEurythmie. 23,r. :
Ballu:
être à l'honneur desiéger dans.. cetinstrument et
-bizarre
On
excessif
aa!reproché
sans-emploi,decinéastes
voire
aussi
qui àr l'Institut
isqueront
dbesdévoyés.
d'aller
«
des'attacher
bientôt à former
grossir un
la masse
nombre
traditionnellemettait
l'aventure.
des Leeviséesd'Harald
mandd'unfilmrelatantunecatastrophe
un pointfinalà
B ratt, a uteur a lle-
du Cinéma spectateur.
valu commencer
ensuite l a
Cettefindéçoit.Il eûtmieux
parletribunal
tragédie
éclairépar desaisissantes
d e la mer
etévoquer
quil'eût
images.Mais.
SCHUBERT Les1ALA8et22novembre,
SALLE GAVEAU ensoirée

trois
Bientôt?
ductiona
sesA-t-on
ns

'; « Loin
naître
que
C'est
sortiront
aurasans
domaines également
trèscertainement
tistes etsurtout dans
eaucoup
del'I.D.
doute
d'expansion.
suffisamment
d'êtrevdéveloppement
bientôt un
aincu
d'idées. l
par
»*
esannées
dire.
H E
.
Sait-on
.C.
élargiconsidérablement
médité
la télévision,
quivont
ses que
:
c'est
premiers
cetteremarque
extraordinaire lecinématographe
v enir et
seulement
diplômés.
alorssonvolume

nous
Ladansanglaise,

vacon-
manquerons,
detechniciens,
pro-
et prétend

d'ar-
E l'an,
essence
laquelle
être chose
d'affaires
eontpluscomplexes.Les
décrire
d egrâce
sontd'ailleurs
Internationale
jen'aijamais
normale.
1 018, lafinance
typesqu'il
universels. bresduComité
était
et la spéculation,
rien
Lacupidité
voulantacquérir
compris,
del'homme
par
devait
à basprix,Ir. 1940.
à
Alasuite
le ministre
formation
l'article 7
a
d eladémission
directeur
secrétaire
des
d'Etatà l'In-
mem-
duC.O.I.C.,mentde
peut-être,
procès.ramener
décidéde fairejouer ARLETTEETL'AMOUR ZN
dudécret d u 2 décembre
le

(Madeleine)
I,:
butvéritableétait-ilprécisé-
cettecatastrophe à un

~N
LTCGUM
Dat»s« clas-sique
PAR
—
Chant
L'ASSOCIATION
DES CONCERTS
DITHAIIVË
Rythmique — Espagnole
Diction
—91, —Culture
—
M.-F.
avec
1
CAILLARD
HENRY
- FEREZ
Claquettes
physique
MERCKEL.
etdesalon
ES
-J

Mt
Orvoici,
ingénieur comme
exactement
tionssaisissantes
pour
informé
(couleur,
r épondre
del'énorme
relief,
à lacrainte
télécinéma,
qu'exprime
bouleversement
micro
M.Vivié,
oùdesinven-moins
et.macrocinémato-
patrimoine des propriétaires en
voilàencorequiest,sinenjoli,joli,du publication
difficulté, En conséquence,
voldebijoux fixeront
en A
attendant
des texteslégauxqui
la UTANT « Titanic
tioncinégraphique,
» estuneconcep-
autantunfilmm
~j~ EN
Enf inLEUR HOTEL,
desaison, Aannuel
concoure
octobre *~*1
venue deVilliers
pour —Wag.
l'obtention d-e34-94
bourse H
graphie, etc.) lecinématographe dedemain, voici assez courant. Quant au le statut d éfinitif del'indus- **"SALLE
» se PLEYEl.
Vendredi
à19 h1945 Marguerite 1
notre l
nationale,
ciens,
ment,
hstitut,
des
v ont
foyer
ambitionne
lesidées
idées.
pfrançais
desuns
ousser 'de
désormais
etdesautres, :
laconnaissance
deformer etaussi,
cinématographique
desartistes,
purement
ceque
inter-
destechni-
etabstraite-
parun
ressement
carrière
brigand
d'un
international,
savant
aprèsavoirdécouvert
chait,aucouple d'amoureux
heureux au désinté- triecinématographique,
definir
ce»qu'il cher- sa sairedu gouvernement
quineveulent lesdroitsprécédemment
le
exercera
commis-
dévolus
tous
au qui
i
y
comme
rattache
structure,
Ariette
« théâtre,
au
,etl'Amour
et
et par son dialogue
jouele rôleessentiel
par sa
On sait Georges
mEmoiuam de
avec
Ch.
THIll
s ounon Rœsg e n-Champion
Suite Française
L'arrière-plan desopposants nous o bjectera sans doute, selon s es passe séparer devant la mort, q uant a ux Comité directeur duC.O.I. C. l'esprit, l'invention deM. P agnol. Les s itua- POUR
Editions HARPE ET FLUTE
goûts retardataires, que lemoment est en tout c asmal c hoisi pour t ant lâchetés de ceux quiveulent acheter leur Pendant lapériode transitoire, l'ex- tionsqu'ilaimesontsouvent stéréotypées <A
48. r ue Fiute
fade dePan
Ronie >
d'innovation,
Parlons
Lavie, e :
pour
net
lle, n
tantd'efforts,
nous n
'attend ous
pas.
r qu'il
efusons à faut attendre.
l'admettre.
*
, place danslecanotdesauvetage,
l'héroïsme
cela, c 'est
deceux
h umain
qui se
etuniversel.
quandà
sacrifient,
Cequiest
tout pédition
confiée
desaffaires
à M.RogerRichebé.
courantes a été mais
que.
il fautreconnaître
conduire
Ici, m une scène, de
alheureusement,
qu'ila l'art de
trousser
l'intention
répli- j.
unemora- ttcheverry» Micheaii LES
0-
B UREAUX DE CONCERTS
1
Elle seprouve. Ouelleseperd. fut plusparticulier, c'estleproblème desres- directeurs Ceschangements danslespouvoirs lisanteestcousue defilblanc,quedis-je, deValmalèle. Kjf'sg-eo. Dandelol
Etrevenant
flUme.
let1789, pour l
l'Académie
à laRévolution,
'appliquer
des ici. m
Sciences e
quine simple
rappeler
réunit ce
se à l'heure
pasquedelavie
Louvre,
au prévue,
:
menucomme
f ait le15gâchée,
juil- ponsabilités.
il y a
à sonhabi-lespossibilités
Quand
toujours un
danger
record
à - estbattu
vouloir dépasser acheminent
du cinémafrançais
lentement vers
nousde
l'organi- grosses
ficelles
ficelles,
depapier
qui prendl'espect
de
tors.
ficelles
L e retour
de guerre,
àlaterre
de avec
y Direction l econcours
del'orchestre delad'artistes
Société
duConservatoire Ec.Normale
ANNONCENT
Les17quatuors
tude.
long Elley tint
mémoire saséance
deDarcet sur
ordinaire.
lachimie. etentendit un exaltelecourage, acquises précédemment
l'audace. letriomphe —du on sation
est
de cette« corporation
l'unedes réalisations les »plus deux s éjours
d'unehalteobligatoire
divertissants àParis, etle
entre
ma-
desConcerts Georges RABANI BÊ lesMère.
20 BEETHOVEN
lOEWENGUTH
h.jusq, parlede
Quat.
Exactement comme silaBas'ille n'avait pas étépriseLAVEILLE. vainqueur. S'ilrate, onsonge s urtout à chères de M.Louis G aley. riage comme une institution si haute que ICHOPin PLEÏELLUNDI 15NOV15déc., les LO[W[N6UTU
C'est desgestes
par sansrienattendre,aussi significatifs — etl'Institut est
en un— monter lesfautes enépingle.Il était nor- a u cœur bientôt, doute,même fictif(ils'agitd'uneidentité subti-Maria CASARES REGGIANlA
quela France, continue. » les Nous connaîtrons sans Serge jusq.18oJéc.

Prix Marguerite Long-

-, MARCEL L'HERBIER. malquele « Titanic
moyens
sans
pour
risque.rA
b attre
voulurendreesponsable
l
près l a
employât
erecord. Cela
catastrophe
leprésident
n
tous
evapas
on
CONCERTS
dela a
le président
corporation.
qui sera donné à cette liséeparmalhonnêteté),
moder.
me
D'ailleurs,
Josette Day, pour
J immy
tropleswing,n'estpasun mari
u
ilfauts'enaccom-
ne
G
fille j eune
André
aillard c
quiaime
sérieux.
om-
IlViolette
Christiane
IVP
[j(
l
ARBEL
PAULti
MargueriteDANEÏ
A ndré
Daniel
Georges
REYBAZ 1)1 -
CHANU
GELIN
LYCAN
de II
/)(]/1
f
Ec.Normale
Dimanche
'E3
LÉ TRIPTYQUE
RécitalVANEZ
MILLY
#
deChant
lignequiavait- incité le capitaine à nepas Le déjàmûrLuguetconvient beaucoup VA avec leconcours
JACQUES PANZ1BA
JANSEN SGAVEAU 1 Charles RECITAL
JacquesThibaud modérer
ger dlPs
étéreconnu
l'alluredubateaumalgré
glaces Seul
flottantes. lecapitaine
responsable.
àmeneràCelui
avis,c'estjustice.
ledan-
ETRECITALS
A monhumble
qui deuxmille
a
mieux.Onsourit
doyer àl'actifdu
fautreconnaître
seulement que
u npeu
conformisme.
cette
bienjouée,maisamusante
devantce plai-jlo
Toutefois,
comédie est non
'1
Jj/MARTHA
Poésie etla
ANGELICI SUZ. MUSSEL
Musique) Dimanche
1Klesgen 1
etMagdeieine
J;
passagers bonportan'aquefaire qu'elle faitpasser uneagréable soirée.et SPLEYEL
Lundi Festival
avJouatte,
Mona César
Laurena FRAXCKG.
Mardi 16 novembre, à 20 heures 15
15 nnovemb
ovemb. Medus, M. Etcheverry..
Dupre., Chorale
L'année.1943 m arque ledébut d'un mais dès l a-fin d esh ostilités. les or- NOTES IL Asériedesgrandsrécitals GRANDS Salle duConservatoire
ALYSLAUTEMANN ,Klesgenl •>0heure» E PASSAN1, l'Orch Ka-
prixMmedepiano et deviolon institué
Longet M.transformerganisateurs espèrent fermement le depianocontinue avecéclat.Au
citonsWilhelmCONCERTS dio-Paris DirJ.Fournit
par
Jacques
Marguerite
Thibaud Mme enunprix
Marguerite
international.
connaissant SANS MESURES premier rang de cesséances à sensation, français, Harpiste S CHEZY
ssmr7v 1 Premier Concert
,bution
Les. publics l'attri- mieux Long demême Kempff, bienconnuà présentdesmélomanes et SOCIETE desCONCERTSMardi Neuiiiy)SUZ.de['Académie de Neuilly
concours
deceprixauront pourlieu à la M.Jacques* quequiconque,
Thibaud, les que
difficultés qui évoqua lesgrandsnomsdeSchumann et deChopin, St:lllpt'Il. A.1(.oi
,01
tOl
1(~l
Salle G aveau. à 13h.30. lundi15dedébut dune carrière devirtuose 1 dans'une a tmosphère d'exaltâtion poétique d'unétonnant pou- sou.sladir d e Charles M iinch ïê nov.vOh etleQuatuor deIVetiillj
novembre et mardi 16pour levio-ont,en instituant prix, tenu le [.'Association
a Pierné des Concert Gabriel voirde suggestion. Aprèslui,ce furentJeanne-Maris Dirré, Dimanche 14Novembre Concerto, ùtùiin.harpe etIntroduct.
arc.(Renié( GAVEAIJ etQuintettes
lon, etmercredi 17et.jeudi 18 mettre
pourrience avant
à toutlce
ladispos.tion eur ¡ongue
dejeunes
expé-
vir- dition àdonnera,
Paris, demain,
avec le enpremière
concours deM.me merveilleuse
au-elle
aussi v
représentante
ouée romantisme
dela technique
(C-Ibolin -Sch et dugoÛt
uni a
fran::a.is,
nn-Liszt) cepen- (Voir «Comœdia N du6novembre) Deux Danses
,\llegro,h>Mpe(Debusisy).
etorc. t RaveU et Mardi
.Conoert- GABRIEL J61 Quatuorspar leQuatuor
BOUillON
lepiano. ClavinsMarins etnom ladrection d'Henri. a u Novembre stuck,harpe etorc.(Gabriel Pierflei MwtBMn!!H
[)LOMVUMtHHtU~!M
tous
Lesl concours
egdeux
ultérieurs auront
àcirconstances,
Paris. Cette
UeN
an- tuoses
del'époque
élusparmilesplusbrillants
actuelle. Tomasi, laFantaisie op.
deJacques 20,pour
Dupont. piano dantqueMünch et la Société desConcerts
Trouard,
luidonnaient
nous é tonna une Dimanche
quelque 21 iKbesgen)
née.enraison a ns
des ce Mme etorchestre réplique éloquente; Raymond qui Far.'aislp. SOCIETE DES CONCERTS DUEgi Trois Concerts SGAVEAU RECITAL DEVIOLON
'Jac- D'autre Navarra interpré- traduction plus précieuse qu'exaltée
prixsera exclusivement
Pour nos prisonniers Us
national'. ques
tion
en
d un
Marguerite
Thioaud
entendent
faveur
grand
desassumer
Long
iaciiiteront
récital a
etM.
l'organisa-
Pans;
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lauréates
ueuxlasuite
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Mûnch,
Jacques
d
Dupont.
André
écembre,
tera, de laSociété
sous
le concert
avec Je
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ladirection
qu'il pour
concours
C oncerté
de
récemment
aOR
de
du
Charles
violoncellecréé,;
peuparune
de Chopin,
Schumann,
monochromes
;
mais
Liszt
demaisdontlesinterprétations
qui se retrouvapleinement
e t Debussy
CharlieLilamand,
E.delpueyo,
espagnoles
dela
pourdexprimer.
pianiste
apparurent
enfin,toutbouillonnant
:;
eclasse.
un peu
CONSERVATOIRE.'
S duConservatoire.
lesMiinch
et (Henri
André TomâsiT
Audoli,
Symphonie
etorch.
A17h.45,
— Char-15.1119 d'Orgue
Direction
Concerto, lr*aud.
piano
(Beethoven)
Trinité
-; novembre OlivierMessia«n
Mercredi
"Vaunalètet
'Valmalètel
Colette
Colette
Ec1,,)r-alePailleBOU
TuliO
FRANTZ
FRANTZ
Janopouio
OU ET
rapatriés etviolon.
marenes.
De Diua.
personnelles a quiont
d e ae- avec succès,
éténational, à une é miss d el'orchestre dont la richesse detempérament est attachante. Ve Symphonie (Beethoven). 1 à 17h M) pl,ofr; Egl et Durand 1 (KiesgHni Jacques
couronnées desuccès grâce àlacom- Gabriel
Enfin,àlasalle Bouillon fera elequatuor
ntenare Enregard
le apparurent de ces exploits pianistiques. ceux des violonistes CONCERT GABRIEL PIERNE. —
Di- Bureau RIPOCHE
préhension et à l'amabilité despré-7décembre, Gaveau, p'usmenusLouons, toutefois, d'Henri deMal-rectionA17h.45. Théâtre Chapelet.
auFid?lio, desConcerts deParis
0n14 denoslecteurs, prisonnier sidents et Comités êtes sociétés mu-àcordes dumême auteur. vesin. par instants d'unequalitéélevée et ceux
deJ. Grabowska, quiIr.etIIe Gaston Poulet. ouv. ; "SEr
S.GAVEAU ILOrch. Conc. Lamoureux
de guerrerapatriéaprèssicales.
trente-neuf
té,actuellement
l'hôpital
Mandé,
militaire
nous
moisdecaptivi-
en traitement
Bégin,
écritpourdemander
à ootenu
à Saint;gagements
qui
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deux
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importantes,
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normalement
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quipossède
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d'unPcème
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d'indéniables
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et
R
eutle
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mérite
oesgen-Champion.
defraîcheurde MmeBrigitte
Qualités expressives
de nous offrirla
deMariaBranèze.
etdeRorVclmar,
; 17CONCERT
h.45.
Direction.
Hérard,(Weber)
Georges
Symphonie
Palaia
EugèAe
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de
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y (Beethoven).
LAMOUREUX.
Chaillot,
Bigot.
etorch. en
17
Obéron,
-
h.
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(Brahms)
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ouv.
:
- gaveal ConcertSchubert
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y* nov.17h.15JACQUES FEURIER
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21novemb
Norm.
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DirR.Ruthentroui
1 avecJeanHUBEAT
marie
LETRIPTYQUE
LE TRÏPTYQtE
Bunc AUDRA
sileshôpitaux comme celuidontavec lesplus d .vers cfui auront tôt fait et Ja'IlleSymphonie de Beethoven, touchante dans ses désirs d e Mettre e n honneur la chanson Symphonie (Beethoven). iKtesge-n» ceciie neBRUHHOFF
il nous d onne le etquiest
nom affecté française, sont à retenir. CONCERTS PASDELOUP. - A
presqueexclusivement
aux
triés
prisonniers
ne pourraient
deguerre
se
rapa-me
voirfa-
lesadopter.
deAnoter outre.l'offre
en
Pathé-Marconi,, qui u
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vorisés
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jouent lemêine que 3sur4
Jour, àlamême heure Nadine KHOUZAM (Kiesgeni R. C harmy, L.Lavailiottp
posent demande del'orchestre delaSociété desd'orchestre_ se sont constitués, ainsi que0Un !
Aucune
justifiée.
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On va tourner
n'estplusnétrer.
Nousnousen faisons Chaque
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VAN
au scène Azhar, par l'intermédiaire de son à la-t erre e sttourné encemoment à à S P.C., 5 5, superproduction dans 1er d écemb. BARENTZEN
acteurs ni le metteur
ne sontencore désignesen scène M OS lecteurs
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en -PaulPaulin,
auxno. de« Echec
publiées Lescénario,
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films.Nosucorrespondants sont Robert-Paul etdedéraciner moralement homme quiabandonne laville
dpece ourfairerevivre sur l'écran l'héroïne annonce:
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quidésirent réprimer cette
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fâcheuse habitu-
à quelques
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bondroitplusieurs deM,Armand Bé- Samedi
nov. 220
0b1
d'Espagne
ADELITA » par
quia fourni les Rousset (Adrienne Lecouvreurh films d el'Alliance cinématogra- raud traite unproblème social ;
dont4auYb4! bijoux,
loppée
lelaboratoire
lapellicule
oùfutdéve-Jacqueline
sontmention- Ferrière(Mlle profiter
d'Au-fortsdesauteurs jusqu'au b out
defilms.
d esef- de.C'est
Pour devrait
lepublic
s'imposer
lui-même
sapropre
qui
dis- phique européenne. Certaines de ilestadapté MFrancis
parqui Vin.nov. 20hla "i1™^
Encasdesinistre (incendie,nésainsiquele nomdustudio male),Catherine Morgate (Ce- L'Eternel Retour », cetteimpo-cipline.Il réclame d es bons ces productions ontréalisé des cent Bréchignac ena égale- PLEYEL dela Unique réeitai
saison RAFFI
inondation,
vos billets destruction,
debanque etc.
meurent.
) oùfurent
pourquoi
réalisés
ne
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citerait-un pas
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le
neviève deRicqueville). «litesse
cheuse,
e st particulièrement
ladernière image
fâ-
ayant
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mériter ?..
toujours sûrdeles dans recettes
l
Importantes
ecircuit Normandie,en sortant
Olym-,
ment,écrit lesdialogues.
Lesprincipaux interprètes du
Dimanche
nov., 14Il PETROSSIAN
Ilssontperdus, irremplaçables. paysoùlemetteur enscènea RestezassisS. V.P. 1 unedouble valeur, artistique et A la recherchede Sylvie pla, Moulin-Rouge, suivant ledis- « BaldesPassants »Dumesnil,
sontAnniePLEYEL
Vos BONS TRÉSOR tourné ses extérieurs ? symbolique. » positif spécial de« circuit quin-Ducaux,
parcettesociété.therine
Jacques Ca. MardiUnique derécitât
la saison
BONS D'EP ADURGNEdemeurent. etvol u Nde noslecteurs nousfait me Nousavons,
constaté
hélas! nous-mê. EdRGES
maintes fois lefait. G ROLLIN vient d'ac.
zaine »pratiqué
S'ilestdifficile demettre e n Michèle
Fonteney,
Martin,
LéonBélières,
Paul Œttly, Içev.,20h - VyrOnREILAS
Ilsseront remplacés sivous avez Mmede Maintenon parvenir le texted'unelet- Onnese lèvepasau théâtre cepterd'êtrele conseiller lignelesrecettes des« Inconnus Georges Péclet, JeanMorel et'a
pris laseule précaution denoter revità Rambouillet undirecteur trequ'il vientd'adresser à avantla chutedu rideau,au d'uncoursd'arttrama- dansla Maison » (4.34&107 fr.) petite Bijou que l'onavaitremar- Places pour Jeunesses musicales
leurs numéros. decinéma. Envoi. concert avantl'aug-quéedans « LeLoup desMalve- de France
le u :
cil'essentiel avantl'accord final,on quequevientdecréerunefir- parcequeréalisées
d'un mecinématographique. Georges mentation du prixdesplaces,neur etquisera
Les»Malheurs
Sophie dans Loc ; Salles respectives Ourand
Tousrenseignements
NEcentaine
en uniforme.
complé- l'autrejourdansleparcdu spectateurs
defaunes filles
évoluaient « Nepourriez-vous prierles
de nepasse leverpourquoi
n'abandonne
livre à :
paslalecture
l'avant-dernière
untelsans-gêne,
page Rollin s era
tâcheparYvesFuret.
pour comédiens
assisté d ans cette ainsi q ue celles
Cesdeux habiteau 21» (6.547.227
d e « L'Assassin «
fr.),il nous avonsannoncé
deSophie » dontGYRALDOSE
laprochai- Assainit«t f ortifia
inorganu ««minins
mentaires aux guichets devente : Descar- avant lemot Fin a nepa- nepas direplus, n 'a-t-ilcours recherchent actuelle- faut p ar contre insister sur leré. ne réalisation cinématographi-
Perceptions,
Banques,
Bureaux
Notaires, etc.dePoste, TEI rosses,
château deRambouillet.
deschaises depostede raissesur l'écran
que ?« Quelleque qu'aucinéma? Notrelecteura ment'une jeuneingénue pourle sultatencore inégalé obtenu par que. IhCMinum.
~.1
-
107. M«•la«kâM-aareMad.
qttN&M
WIiII.
C0UIKTOI
(Séta)
1
 13 NOVEMBRE
SAMEDI 1943 CONNAITRE L'EUROPE COMCEDIA. — Page 5

Le Bienheùreux SEMAINE D'ART ALLEMAND A BORDEAUX A LARECHERCHE

HenriSUSO DE LA TRAGÉDIE
par Jean SOULAIROL
A (Denotreenvoyé
VECles expositions
créations d'oeuvres
JoandeZarissa
«les
spécial.)
Breoker,
deWerner
If, «
Egk
aucoursduquel
risjoua« LeChevalier
les chardStrauss,
: tredeBordeaux
PeerCynt», dirigéparM.Louis
latroupe
L'orchestre
del'Opéra
étaitpourla circonstance
Fourestier,
dePa- Rembrandt
à la rosé»,deRi-«déjàtoutditdel'œuvre
du Grand-Théâ-
et Germaine
quiévoque
l'illustre
A14heures,
»futprésenté
souvent
maîtrede « LaRonde
une nouvelle
a l'Apollo.
deHansSteinhoff
en images
Ona
pathétiques
denuit».
repréuntation du
par MERAN MELLERIO
il Ly a déjàquinzeans,MmeAncelet-Hustache nousprésen-leprivilègesemblables,
représentations
Paris possédait
du Schlller-
Theateretautres manifestations
jusqu'à p résent
Lubin,Huberty,
rôles d ecette
JeanineMicheau,
Ferrer,etc.,interprétèrent
œdimanche
uvre.
Marisa« Chevalier
lesprinoipàux Théâtre,
C.Ettighofer,
àla rose» avaitlieuauGrand-
tandisqu'à17heures
actuellement c1
l'écrivain
souslesdra-
conférence
P.- 'EST
ut
del'ItalieQu'il
par elle-même
s'agit.NondecetteItaliegrandiose
tragique desXV.et XVIe siècles, mais
tait cettemoniale
:
sauraitvieillir LaVie
nicaines au moyen
mystique
âge,d'après.
dars
et sescompagnes ce livrequine sesœuvres
d'unmonastère
la chronique
deDomi-manifestations
de Tôss(2). vince,
deconnaitre
avaient
l'artallemand
lespluspersonnelles.
lieuparfois
dans
Quelques
enpro-
Le lendemain
PENTHESILEIA
7novembre, lefilm peaux, inaugurait
Livreallemand
Lajcurnée
parune
pendant
dedimanche
la guerre
se termina
» .
«
parun
Le decelle-là
nese
d'une
plusaimable
retientdutragique
tragédie littéraire.
et plusmaniérée
quelamoins
dusettecento
farouche recherche
'où
Ceuxqui le reprendront
sagede Susoparmiellessentiront
pondances
mieuxsituerle pas- despectacles
pourquelles
durents'établirtoutdesuiteentrecesprédestinées
profondes corres- lemand » que
:
maisneperdaient jamais
isolésla« Semaine
vientdemettre
lecaractère
s ur
d'ArtAl-
piedet par Henri MARSMAN déjàapplaudir
récital depianoquedonna,
tre,Wilhelm Kempff.
le
auGrand-Théâ-Encore
LesParisiens
jeudépouillé,
ontpu ne retenons
précis à Littérature
quedramatiquement
que
assezpeu« sérieux
lesrésultatsacquisdanscettebranchedela
aussibienen Italiequ'enFrance,
», si nous
ledébut dece
et leurpèrespirituel. C'està ellesquenousdevonssans deconduire Tlnsiitut aliomand deBordeaux CTraduit duhollandais par Serge Guy-Luc) l'extrême etpurdugrandvirtuose allemand. siècle n 'enrelève pas moins de ces âges h eureux oùlaquête d'un
aucun doute LeGrand Livre desLettres,dentMmeAncelet restera c omme l'une desplusImportantes Après ces deuxjournées particulièrement Artgardaituncaractère sincère etpassionné. Cetteépoque, non
publie pour la premièrefois la traductionintégraleen entreprises de rapprochement intellectuel Lune debronze chargées, devaient avoirlieudansla se- moinscertesexceptionnelle pourtantquela nôtreau pointde
français.Maisquandon voit leur profondepiété pour entredeuxnations. qu'empoigne enrespirant lavallée despénom- maine, lelundi, à 20heures, uneconférence vue social, s'évitait encore de considérer la chose,de l'esprit
Jésuscrucifié, leurdévotion si tendrepourla Vierge et l'En- Si Bordeaux futchoisie comme première [bres.etl'interprétation depoèmes parlesprofes- comme la plusminceet superfétatoire de sespréoccupations.
fant,et à quellehauteurdeviecontemplative ellesparvinrent, étape d ecette décentralisation artistique, ce Au loin, lu mer c hante une douce mort. seurs del'Institut allemand deBordeaux Quel f urieux, deu$ cents ans plustard,horspeut-être quelque
on ne doutepas davantage
privilégiées du Livrede la Sagesse
qu'ellesdurentêtreleslectricesn'estpeut-être
éternelle, et que souvent .ministre pasparà
d'Allemagne
lejeuduhasard.
Paris, M .Rudolf
Le Voiles
en rêveclaquant
à même lamollesse des éollines, «leL'Amour
concours
danslapoésie
duCercle
allemande
deMusique deCham-
:
»,avecégaré,
gédie m
souciera:
seorte, sérieusement
direz-vous ? Nechipotons
deretrouver
point
?
s
la TragédieTra-
ur lestermes. Qui.
Susodutsongerà ellesen écrivant leshautesméditations qui Schleier, eninaugurant samedi dernier estieondoyent lestentes ducampvirginal, bre ; lemardi 9.à 18 heures, en l'église No- de nosjours,passionne l'opinion par l'idéede rénovation du
composent
Emmerich, cet ouvrage. DeJacopone
rienn'aétédit quisoitplusémouvant
daTodi à Anne-Catherine
sur la Pas-
Semaine d'Art»,n'apasmanqué
«lesliensspirituels
quiunissent
denoterPenthésileia
Bardeaux Dernière
dort.
compagne admise à sonétreinte, l'organiste
tre-Dame, un concert
FritzWerner;
d'orgues exécuta
lemercredi par Théâtre
10,à que dis-je,
tantqu'Arttoutcourt
endespectateur vulgaire
? Oriln'étaitpointdelettré,
qui, d urant ce settecento ita-
sionduChristetla Compassion
Que delaFranceetdenotresiècle,
deNotre-Dame.
niVerlaine
Pourne parlerauxgrandes
niLéon Bloy, ni r appelé
villeshanséatiques
Hambourgeois a égale-flasque,
; illui-même auchaud sommeil
affaissée, à lombre
jetée h ors
desonj,ane,
d el'atteinte, 17heures, uneconférence
:
dudocteur lien,nesentîts'agiterenluil'instinct
Hein-legoût é vocation :
dela nécessité (compris
Péguyni le Huysmans
trouvéd'accents
tage.Maisqu'aumilieude sonrécit
la splendeur
transcendantes
duVerbeéternel,
deSainte
plusfrémissants
Lydwine
expose
d ela
une
deSchiedam
et quinoustouchent
Passion,
foisdeplus
Suso
n 'ont
davan-«ou
chante
ses plus
ment
sion.
plutôt,
tif deHambourg,
»,
tesrelations
ilavait
que
soutigna-t-it
é tabli
d'affaires
spirituellement,
pourévitertoute
avant guerre
et d'amitié
na-
d'étroi-
hors
telle
avecles Penthésileia
d
confu-nonchalamment
s
el'impétuosité
on armure.
du
laissée sang,
dansun coinda la «A20
[tente -
richStrobel,
LaMusique
hengrin
heures,
»;
séedePeinture,
avec
allemande
lejeudi 1 1,à
:
audition
11
Inauguration
de disques
contemporaine
galaau Grand-Théâtre
heures, aumu-
de l'exposi-
». Tragédie.
« Lo-qu'il
Moins
d
L'histoire
elabataille)
soitbesoin de la Merope
à
d'yrevenir.
célèbreestcelledu comédien
laseule
maffèienne
Encore u ncoup
de ce grandmot la
est tropconnuepour
d'épéedansreaM.
Lelio.de sonnomLuigi
pensées s
blimechapitreV duLivredela Vérité,ur la vieunitive, rejoignant le su- Bordelais. dort. tionHansHolbein, avecleconcours Riccoboni
duCer-aussithéoricien. (1),qui non seulement fut auteur et acteur,mais
célèbre lesallégressesDanslessalonsdel'hôtelSplendide Avec son casque Audemeurant, curieuxet symzwthique un
duParadisen desaccents quis'égalent aux plusdivins tercetslieu,samedi dernier, la séance
eùt
inaugurale. — souv.1é dessaignées lourdes dusoleil cledeMusique
tardifrencedudocteur deChambre, et une
Hager: « HansHoibein
confé- homme de théâtreqUid'abordle boudaen faveurdsoubrette eJa ;reli-
deDante,voilàquitémoigne
tuelle.Etlesreligieuses
del'indivisibilité de sa
de Tôssétaientbienfaitespourl'en- avaient
vie spiri-Aucôtéduminisire Schleier,
prisplaceledocteur
quiprésidait,
Schwinkowskl,
qu'elle
elle
avait combattu
edébarrasse
csheveux
jusqu'à
del'espace, sa rouge
etlave
chute - etmina,
sonsiècle ».A20heures,
«Chansons et musique
auThéâtre
dechambre
Fé-gion. Mariéparun
dela'troupe, Argentina
véritable tourdepassé-passe
desonnomdeguerre,
à la
levoicireplongé
tendre.Ledondeslarmesne se séparepaschezces grandes directeur de l'Institut allemand des
de Bor-sebaigne assombris ce qui r ested ejour, et chsz lessoldats M levendredi
; LeThéâtre 12, à 17 heu- dansla comédie jusqu'au c ou. D evenu chefdetroupe n 1698
edel'art
âmesdudondela joie. lentement, voluptueusement (ilétaitnéen1676 à Modène), ilrêveà unerénovation
QuandSuso,à la finduLivredelaSagesse éternelle, deaux,MM.Bonnefoy, secrétaire général à danslapénombre desapproches delanuit. res.conférence sur« allemand
» 30,ledocteur
:;
nous : dramatique. Cejeune directeur devingt-deux constitue
confie
reçut,qdue, ne pouvant
urant s on
achever
sommeil, la
un chapitresurNotre-Dame,
visite decinqjeûner
l'unjouaitd'uneharpeet lesquatreautresdechalumeaux, g ens dont
l'Information,
il verne-nent;
coiran, préfet
et quai,mairedéBordeaux
représentant
Sabatier,
délégué dela
lechefdu gou.Etsonge
préfetrégionalBou.
Gironde Mar-
cecipasse.
Nulle, parmi ces amoureuses, n'éblouit
; d'aujourd'hui
king à 20h. par
dufilm « Les
à l'Apollo,
Aventures
Lothar
dubaron d
Schüc.répertoire
présentation
eMijn- importance
cessera
decomédies,
inusitée
d'accentuer,
d
maisdéjàdonneaugenretragique
ans sonprogramme,
ans
importance
sesentantportépourle style.Sa femme
qu'il
un
une
ne
quilui
Vierge,
présentèrent
sûrsde cettevisitation
situeentreFrançois
ensemble
detellesorte lelendemain
trait,nousn'avonsbque
la plusgracieusè image
esoinquedele lireou le relirepourêtre tiques
de$
d'Assise anges
et e nson
FraAngelico.
âlfle.MmeAncelèt
Il estvrai.Mais
de
il finitsonouvraged'un pagne,
la
le
nombreuses
d'Italie, deRoumanie,
personnalités
delaville.
; lesconsuls
desmilieux
d'Es-l'éclat
ainsique de Detoute nulle
artis-lesgalbes
Des
lors q
m
nde

ue
mescheveux
'assouvira
étreinte
demes
embres
fanent
monsang
émerge
c
pqrpj:us
uisses
enlacés les
plus
plus
miens
ets'amollissent
d'incandescence,
usqu'à lamort.
véaillant
blouissants.
tirent
les
souplesse,
leurs :
chhausen
taire,
Klambergsous
M)
l
enfin,
:
aujourd'hui
lieu,à 20heures, Grancf-Théâtre,
montorse,niergalade la au
adirection
Semaineconcert
même,
duStabsmusikmeister
et,à 22h.15,à l'hôtel
auront morte,
léder-dumême
mili-planches,
Splendide, muse. a
et
Il
sans
trente
enfant,
oupunecomédienne
cpar-dessus
i l épouse
lemarché,
etdelagloire.
ans Histoire
e n secondes
s'ilvous,
!
noces
detalent,diteFlaminia
e t
plaît,académicienne
Enavant, d onc
s
Il
associe
surleset
écrira.
je melereprésente lasses s
commee desroses noires et uneréception declôture. Cen'est Que de son duThéâtre I talien que je veux
encore mieuxentreunSéraphin del'Amour ellesont,esouvi leuràangoisse, etexsangues
leur parlerlorsque je dis : il écrira.Aussibienest-ce14« recher-
et un Chérubin dela Connaissance, dansl'unede cesrondes en dépassant lamort bord d e é sang,
Ueinte, che» quinousoccupeicisurtout,puisqu'il restesi peudes
du Paradisqu'asi bienpeintessonfrèrede Fiesole. Il était s'écoule, évanoui danslafélicité. mon oeuvres. Dans son chapitreIntituléDissertation sur la Tragé-
environné d'anges, le jouroùil vitdansuneextasele visage En allocution, M.Schwin. Cepèndant jesurgis, souple diemoderne, que souligne en faitRiccoboni ? Passantenrevue
d'Elsbet Stagelinclinésursoncoeur. Pournouspencher commekowski une courte duventetdel'eau, comme lejonc l'histoire dela Tragédie deSophonisbe à Mérope, il accuse jus-
ellesurcecoeur delumière et defeu,nous n'avonsqu'àouvrirAllemand proclama ouverte la «Semaine d'Artdescaresses pluspuissante,
ceslivresqueMmeAncelet-Hustache a traduitset commentés
Livredela ment
deBordeaux a,
qu' « il s'agitd'ouvrir
déclarant notam-brisant
unenouvelle et la mortqu'elles
j'attends déerent
négligemment
que Il n'estpasde oùm,'assou- me donner
Ainsivas'achever cette« Semaine
tementle système
vraie
d'Artgiques grandeur,
françaisde manquer
condamnant tantde
denaturel,partantde
confidents dont ces tra-
avec
Vérité,
tantdesoins,deferveuret d'intelligence
leLivredelaSagesse éternelle, leGrand : le
L.vredçs Let- broche dansla LigneMaginot de lespritmoi-même. — corps [pir Allemand » qui, p our l apremière fois, aura fontabus,leurmondanité, surtout l'emploi
l'intelligence constantde9
: faitfigurerà Bordeaux larime.Il dénonce leurcorsetage à de plus d'in-
depuis soixan- quelques-unes desterpréter unités,ne;conservant
tres,et lesfragments dela Vie,et lesdeuxsermons
ques(3).Il n'estpasunepageoù nousne verrons
serles ailesde cesgrandsangesconsolateursla Métaphysi-
que, la Poésie, la Théologie,
leurrondebienheureuse
la Mystique,
verscessommets
nous
: entraînant
inconnus
authenti-que
s'entrecroi-
et indi-
te-dix
l'ona construite
ans
lesrelations
unemortlente
dans Montaigne,
etquicondamnait
culturelles
prite».
M.Bonnefoy,
nsuite
environ
avantlaguerreverser
franco-allemandes
laparole
évoquant
aunom
à
nullefemme
l'oubli
Il estunhomme,
du Etpleurant
quipuisse
demoi d meverser
ans
peut-être.
dedésir, de ce
m
désir
a
l'ivresse,
bouche et mon
[ccçur.
plusauthentiques
Acettooccasion,
recteur de l'Institut
valeurs
ledocteur
écritque« jamaislesrelations
del'artallemand.
allemand
KarlEpting, le sens
di- d'outrances
de Paris,a estdonnéepar luique
entreles « dénuée d
lesfameuses
dramatique
moins
esornements
deseffets (qu'il
nécessaires).
à la « construction
dustyle »,ce
n esaura
La
desAnciens
d'ailleurs
première importance
de la fable», même
quidemeure fortcontes-
que
garder

ciblesoùl'homme perden Dieucomme une gouttederoséegouvernement français, etenfinle ministre de seesentir trahie etd'être abandonnée, « deuxpaysneporterez la marque del'in- table,dumoinsquantà la seconde
danslesoleil. se Schleier termina la sériadesdiscours en mais
elle
ffarée
défend
devant
contre latrahison etl'abandon«différence.
présence Carlesconflits guerriers qui quelesvraisgrandsmaîtresonttoujours partie,car s'il estexact
recherché le gro$re-
annonçant que le chefde l'Etatallemand s e
quierre,hantant une
latente vague crnaquirent aucours d 'unmillénaire d'his- lief(et avec combien deraison /), il n'enreste pas moins vrai
(1)VoirComœdia
(2)Unvol.Librairie
du6 novembre.
académique Perrin.
venaitde décerner
kowskl lacroix4uMérite
au docteur*
deguerre,
Schwin-
et en et etelleseretourne sur sa
à lacloison.
—
couche «taireexigèrent
«ces élémentaires une de
connaissance
l'adversaire
desfer.
qui ne que, dépouillée de sonrevêtement
pentene relèvequede l'intention.
formel, la meilleure
Enfinn'admet-il
char-
chezles
(2)Mme Anceletlaissé YHorologhim sapicnliœ et lePetitlivre des déclarant qu'unetelleprisedecontact est secramponne (1925).us'estjamais développée avecunetelleam-personnages,
Lettres, qui,pouruanelargepart,fontdouble emploi qvec l esautres sans exemple dansl'histoire de nosdeux t(pleurentrelesautrespeuples Lecombat seulement
afinqu'ilsdemeurent
quene peuteffacer l e
typiques, QuelesStatuaire
reculnécessaire. nuances
œuvres ; lePetitlivredel'amour, apocryphe.
Les livres français en Hongrie cettesituation
peuples.
préféré
Mais I l
«
nous
Certes,
d'autres
ajouta-Ml,
circonstances
fautprofiter
nousaurions
quela guerre.
me¡gr,¿ toutde
D'UN PAYS. ffmené
«res années
«despeuples
par l'Europe
a en;rainé
français
aucours
et
decesderniè-monumentale,
uneinterpénétration
allemand qui ne maisnonce quotidien
tre naturaliste,
non figurines
négateur
bourgeois
de
de chevalet. Dunaturel,certes,
dontnousabreuvera
toutevérité générale, au
le théâ-
profit
pour n ous m ieux connaître. » «peut rester s ans effet d ans ledomaine de d'uneexactitude demode, passagère comme cettedernière, dé-
Lesoirmême ungalaavaitlieuauGrand- «l'activité spirituelle. » suèteen moins d evingt Notons qu'ilreste
ans.chezun-desintroducteurs assezpiquant
* Leslivres
continuent
français
d'étendre enHongrie
leur clientèle,
siqueLesEmployés
Renaissance deGobineau,
deBalzac,
LaPrin-
Lo Théâtre, leplus beau deFrance onle s?.it,
A L'AUTRE PIERRE MONTAMET. derelever
tendance ces justes
Marivaux
Ceqvi demeure,
!
n otations
hélaf! certain,c'estqu'uneTragédie
de la
malgrélesdifficultés
tion.Onadmet en temps
d'importa-
ordinaire cessedeClèves,Manon
etAdolphe. AuxEditions
Lescaut
Officina, attemagnl a écrit
re
ftsMémoires
terrible,
decetteguer-viable
maisperditle manus- se manifesta
nequ'elles pointplusaprèsces bellesthéories
quelesmilieux cultivés qu'avant n e fussent écrites.En devons-nous inculper
queaussiaucourant
sontpres-onsignale
desrécentes gne
LesEssais
etleJournal
deMontai-
deDelacroix, en - LaGuerre deTrente A ns et flamand
go- crit
étant
à laBéréslna.
c aptif d es
11lereconstitua
cosaques. Undes legoûtitalien
verle contraire.
? Peintres
Enaccuser
et sculpteurs
plutôt
seraientlà pourprou-
lesiècle ? Davantage peut-
nouveautés
traductions,
PesdeMmeLouise
aux éditions
littéraires
qu'àParis.Parmilesdernières
à Budapest
celleduLità Colon.
deVilmorin
Cserepfalvi,
morceaux
Noir e t
paraissent
traduits
celledubertGyergyai,
choisis,
L'Education
LeHouge
aussirespectivement,
parM.Karpati
E.nfin,
etlesespéripéties
sentimentale quées
torique
dans
de
etM.Al-soldatChristophe.
un grandhérosse prolonge
un
Franz
Bohême
engrand
H ;
roman
auptmann
h is.
Le
LaviedesonFinlande.
jusqu'àl'atta-
tant
sontévo-décernée
juillet.
chaque « JanAoke
année au
»,sera
mois de
dûà M.AnnedeVries,
roman, Bartje etlegrand
dontunmanuscrits
m onde,
est déjàtraduiten langueal-bliemaintenant
lemande.
faitparaître
Lemême
L'épave
traducteur
deCorBnjiJn,
vé
a Avec
par M. C
Napoléon
deRussie,
originaux

par
arlo Z
aux
a été
aghi,
Editions
dansla campagne
Filippo
retrou-
quile pu-
Ispi
Pisani. le
:
être,si nousconsidérons
lisations
clure
génie
destiné q
del'âpreXVI•siècle.
meilleures
queles C'estle exceptionnel
manque. grandeur
uijustifie l a
en lescomparant
raisons
lesmagnifiques
Plusexactmeparait-ildecon-
du mondene sontrienoù
cas d'uneépoque. de telhomme
Maisnouspou-
réa-
pré-
Roid'Ecosse dela Vareuse, chezévénement littéraire, c'estla pu- que dePrague par les Suédois en quidécrit la viedespaysans et M.Amedeo Tosti p ublie un
Singer et Wolfner, celledesEn.blication, auxEditions Atheneum, 1648. Etl'auteur, Pragois lui-même, AHelsinki vientd'êtrefended'eg^marins dansuneîlefrisonne. — debiographies
choix deoeuxqu'ilvons penser,je crois. queledithomme de génien'esten soi
fanfterribles deCocteau, Edi-d'ungrand
auxd'en- florilège constitue reconstitué Plusieurs autresœuvres hoilan-i quela seulemoitié delui-même, l'autrenécessaire moitiéres-
tionsdReêvai, celle
fants Supervielle,
du Voleur
sous
lepoète
lamêmedela littérature
J ules l -
llyès
française,Les par
trésors
en qua-perdu
y
la
avie
a
privée
u milieu
defaçon
d'unsimple
des grands
c urieuse
soldat
événfi.
le groupe
européenne
lèbre p oète
finnois
K
de
desEcrivains.
oskenniemi
l'Assocjatiou
Le daises
oe.«bourgeoiseappartenant
»,soit a
soità l'école
umouvement
appelle
temps, on
l escondottieri
trouve dans s on
de notre
livre tantl'ambiance, lacirconstance,
unbreou bienplutôtde l'événement,
quil'adapte à l'aide
à la totaleréalisation
du nom-
de
firme,celle dç Fermina Marque? en prend desromanciers d'aventures résumé d esviesde Hindenburg puissance créatrice.
sa $t fut braisemblq,blement Lesettecento ne sut aboutir qu'àAl-
deValé^Larbaud, montrentquetrecents numentale
pages, cetteoeuvre
rassemble tnp-mentshistoriques,
toutesles -vA Hirschj^ijgen igurl'î^r.
làprésidence,
EnCkell. Lecomité
segendé par
comprend
M. p
MM,lat rem*n6i«r$ coloniaux ou
quinori/i-
4e$etdePhilippe Pétain.
dorff,deJoffreet deKemal deLuden- fier.
Pa-données ce l'exceptionnel. par manque d e cesdeux
lemouvement
difficultés
continue
4ela guerre. pi^Jgré lepépoques ettoutes M écoles depuis fientdemoyeir laromarçcfer Wil* LauriHarfaa, Vfljo Kajala, sentauxp&yg.arts
Arvi|Der?s, Jeèri d e
(Hermann
Rester Rop- oha. quienfantent
Encorequesanséblouissement, advint-il différemment
le moyen âge, e n excluant (sage- hehn H egeler, un des derniers sur- Kivimaa pour l atangue finlandai- ou Anton en
* LesEdition.Franklin fontmentla production contemporfi- vivants de la génération n4ttjr4l Ornulf
se,et suédoise, Tigerstedt pogr Coolen),
14 présentées vontêtfesuccessivement Suède de
à lq,Comédie,
Gàlibni. C'est
le longdel'aimable cheminquidevaitmener
traduire pourunecollection clas-M. lipte et un émuledpeWedekind. tangue quiest,tomme on au public allemand c e quenous verrons une prochaine fois.
lu£ célèbres,! - (1)Gonf. Lu!gi Riccoboni dilLeliot deXavier deCourville. Librairie
GALERIES D'ART Parmi ses
ilfautconnaître
mann,le Pasteur
livres ~ es
l'Ingénieur Horst-
Kiinkhammer.
sait,ledeuxième
pays.Lesdeuxgroupes
ques c omprendront
Idiome officiel
respectivement
du
IInguieti. Jiatie —ABerlin
poète s uédois
vientdemourirle
Adolf Paul. N éen 1 --~---~ ----
= ARTFRANÇAIS
E.Droz.

ALLARD
Cinesl.
vembre.
GALERIE
MALESHERBES
—Eekman.
D'ANJOU (9bd
(9.
120,
Jusqu'au
b d
r. Capu-
:
Malesherbes)
Malesherbes);
Dlgnimpnt,
27no-DROUANT-DAVID
Touchague
noré).
Galanis
deWaroquier.
Greuell.
Marie , Laurencin.
(52,fgSaint-Ho-
Jusqu'au 30 novembre.
Lafausse
rieure.
—
Henri
comme
Ilya
monnaie
125 a ns mourut
Campe,quel'onconsidère
l'Introducteur
Joachim-
deRobinson
se.«
etLaloiinté-noise trente-six

Mottande
écrivains
etseized'expression
delangue fin. —
suédoi-
Sous
Beyle
choisie
Luiggi
le titrelégendaire
Milanese,
parStendhul
Foscolo Behedietto
bleun choixdetoutceque
: Arigo
quiestl'épitapha
lui-même. M.
rassem-
1863
lemoins
à Bromoe,
fameux
seuseBarberine,
leset le sexefaible,
il composé
sieursromansetanouvelles
n'est p
Auguste as
quidépeint
plu-
laDan-
le fort
la
-
dont 24,ruedelaPaix
PARIS Opéra 78-88
a
P.Jouffroy. Peintures.Jus. 2 1 nov. GALERIE RENE DROUIN (17, pl.Ven- Né à Brunswick en Italiens ontécrit e tpensé, duvi- cour s axonne, et un autre, roman
ARC-EN-CIEL
Neiiy
GALERIE
Boétie.
tres.
GALERIE
Huehez.
DE
Ely.
17,
7
D'ART
r. Sèvre6-6».
Jusqu'au
L'ART8-53).
DES
Tableaux r
25novembre.
MODERNE (56,mai-
PYRAMIDES
18I.
-. GALERIE
dôme
-
Provence.
GALERIE
-VROUOT-PROVENCE
novembre. Vernissage
Pro.. 15-171,
J.DUFRESNE
Tableaux des XIX*
Fautrier.
Tabl.
-119,bdf
XX.
modem
RaspaUl
siècles.
en Allemagne.
Jeudi étudiant
(10,r.'1748,
duislt
en1779,
enthéologie,
lechef-d'œuvre
eny ajoutant uneLe
iltra- —Parmilestraductions
deDeFoe
préface tes que les auteuts
faitesde leursconfrères
allemands
récen-
ont
vantdeStendhal
sur
sait
l'écrivain
hollan- Guillaumeleur frère
etaprèsSQ
français morthistorique,
quise di-magne,Dramaturge,
d'adoption.. Théâtre deStockholm
Royal
LeGlaive
sontégalement
il fit représenter Jean LEFORT
de Charle-
fortconnus.
au
Ka-
PAR

-
r. Pyramides!.
GALERIE
<M, Exp. deladanse. GALERIE DE FRANCE etfbg
(3. Saint-Ho- quivalait manifeste.
unbeaucoup livredais, ilfautsignaler leDeProf un-tradamus.
— Apollinaire etNos- rinManstochter et Œdipe nordi-
BEKNIER (10, r. J.-Callot). norél. Loutreuil,
- niodernei Peintures eutaussitôt desuccès, disdeInaBoudier-Bakker, traduit I.adoraDuncan et leque.Il composa

- EEKMAN,
- Limouse. Juis.2décembre. —N.LA GENTIUIOMMIERE (67.bdRsuspaip. il servità la propagande dela par la peintre Boecklin, Paracelse aussidesessais
GALERIE
Eeitman. BERRI (12.
Peintures. r. Berri). - Tableaux
LEFRANC-ENGRAND (13, Abbaye). philosophie rousseauiste dans t oute
Emile
vied'une g
Charlet etquirésume
énération entre 1 870et terrero B ienvenida, telssontles
et le(Profils) et plusieurs monogra-
BÔUftDEIX
05r. (62,r.Bonaparte)
Exposition de IOdé.
groupe. -
02-GALERIE
J.LeTD'ART
ournier. r.
Aquarelles.
DU PRINTEMPS l'Allemagne, qui, e nproie a u style lapremière guerre m ondiale. De- hérosdisparates qu'évoque M. phiesdepersonnalités politiques, JUSQU'AU 27 HOVIM
JEANNE —
nasse). BUCHER 19ter,bdMontpar-
breau—L.Maircoussis. Mnovem- bd.Hamssmann
peintres i.Deluol,
—Au
contemporaine, Exposition
jaune, (64,
Cé- « rococo
desclassique, età un excès
»aspirait à
d'espritvantla portede TopNaeffestAlberto
retour cons- Hommes,
Savinio sousle titre: comte parmi l esquelles
Zeppelin.
Bismarck
Dans s es
et le
derniè- D E L'ETOILE
BRB
r—ALLARD-MALESHERBES
GALERIE LOUIS
23décembre.
ILCh.
GA*iLnEeR).
tine).
CARRE
Camoin.
CHARPENTIER
(10.
Peint,
<76.
av.Mes-mont,
récentes.
teSl-Ho-
ria,
quetM
C
rusier,
ochet.
P-riesz, Mail
etzinger. Oudot,
Valtat,VlamJnck,
De':noyer.
loi.Malfray,
Planson.
Du-à lanature
Mar-
Sé-
WLerick,
».
un« traduit
dejeune
par
f
Eba
tituel'étudecurieuse
ille
S chumànn
etdelasociété
et
d'uneâmequiparaitauxEditions
hol Unjeune
racontez
l
votre
ieutenant
histoire,
Bompiani. res
néma
années ils'occupa
etprésida
ausside ci-
à lamiseenfilm Anmbit MAGASINS
ART
30avdes Ternes
REUNIS
Astardjinn,
(3* étage) Aquarelles
- ETOILE
BUtière, M. C he-
- •DessinsPortraits
20,r.CapuchesOpé. 35-85
noré).— Rétrospective EmileBernard. GALERIE
Zingg. — deFer- des Camarades de Strinberg. Coftson, Friesl, Fruitier, Ger-
— LaJeune
Tous lestours.Sculpture française.
lnlundi.
sauf CMRISTOFLE — ROUX (13, av. O péra).Expo- 91etgique landaise. Un autre r oman féminin, rare faisait campagne dans l es ar- Adolf P aulavaitété d'ailleurs valier,
Goerg Lagar, J.-F. Lagleune,
GALERIE ORFEVRERIE sition Brun-Buisson. Hilde, traduitparBruno Loetz et1mées napoléoniennes enRussie. Il l'amipersonnel d'Auguste Strin-ne Lombard, F. Smith, Terecbkoviteb,
Royale. Opé. 9:-Daragnès"
70-43).
(12«r.Gravure-Orfèvrerie Exposi- GALERIE ROYALE (11 r.30Royale) H.deWaroquier,
-
1
3eSalon des moins de Jus- berg etdenombreux écrivains al
tion ans.
BIBLIOTHEQUE
-
- LesEditions Steenland, à SCULPTURES d'Hortense Bégaé.-- Jusqu'au
f- COMPAGNIE
DESARTSFRANÇAISporains.
—-i bd.
qu'au
mitéM
27. i
SAIN'f-GERMAIN-VES-PRES
Germaini
GALERIE -
DES F.-A.
T
».adeleine.
Œuvres
Ravier.
ROIS
4.étage). -
depeintres
(182,
Jus27
QUARTIERS
bdnov.
St-Bruxelles,
17 prixde
«Inti-50.000
contem-
viennent
littérature
francsbelges
nerunromancier.
defonder
flamande
pourcouron-
Cette récompen-
un
de
ElU IPEEININfE RO
lemands.
mann.
Adolf
meleplus
re entre
enparticulier
Paul
l
é tait
chaleureux
c
eslittératures
deSuder- CEBAMIQUES,
onsidéré
POTERIES,
com- GALERIE
intermédiai-
allemande 6 1I r
69faubourg
H
d
DE
Z
des 4 Foy
'André Potiers
-- 1
L'ELYSEE DROUANT-DAVID
Saint-Honoré
BUrécentes LI
I 52,Fbg
27novembre

St-HonoréAnj.
79-45*

i
116,Faubourg Saint-Honoré GALERIE
(Car VILLIERS,
94-74).— Les (10. av.Viilifrrs).
peintres qui p laùsentse, quiporte l e nom d'un combat- et scandinave. Œuvre-
Jusqu'au 23novembre ArthurGREUELL
s
IlDirecteur
TAPiSSERIES
: JACQUES ADNET
Gœthe nom
mieux
dans,
:
lesdeux
la gloire as.Disons
cdf donc
M.Peppys par André THÉRIVE * losophique
tude, det uncœur
'antinomies sans
supportées deux, :
ardents, j.
inquié-delàdecettelimite maistous
agités dieu,
1
Jusqu'au 30novembre 1

i[
]'
DE
BRIANCHON
COUTAUD i|
DESNOÏER
DESPTERRE
ou la statue voilée plutôt
IL ORSQUE
rante
avait
lemoins
Gœthe
ans,unde
dit, s ans l
avait
:
déjà
sesamis
efaire b
dumonde«Ceque Barrès.
q ua-
H
ondir
iv
roulde.
même
Proust,
que

comme
comme
celledutrouvère
Jebarle
miraculeuspment.
sonne d ans
q
n'eûtpashésité. ue Stendhal
àincarner
sesouvrages,
Huysmans.
sa
Chateaubriand.
Thé-
lui-
Il a réussi,mann
commeJe
ther
point
aussi
per- lesAffinitéS
comme
pentier.
avec
bien
et Dorothée
lafautedeM.
autant
q u'Iphigénie
J ohn
rarement
On4ae bonheur
etHer. réceptif
aussibienque derne.
électives, cenesera
Char- Rousseau
Napoléon
aussiderAllemagne
L'hellénisme
et
etLavater,
!
etShakespeare,
certains
fait rure,sil'onypenseUnecuriosité
œuvp universelle l
quelle
esêtres
mo- Engénéral
occultismes,
bigar-
les
peindre
pien
pien
que
ou résolues
qu'il
derniers
fort
en M.deGqethe
lustres,
t
fut
ourmente
a
cettevieinimitable
onse contente
pendant
ne etque olym-sagesse
encore
par
un
1 savaient
de
les
lesju-
se
l'olym-mais
dévouer
jamais
nature
toujours
les a
ouse
quiétonne
admirateurs.
leparallèle. Je
mettre
semaintenus
ne
Gœthe
parun
s'arrêter

toujours
àtemps,
compromettre,
péril.
endans
poursuivrai
avait u
u
La— DURAND-RUEL
ne1
leurs
pas
nes-
37,avenue
REnE THomSEn
-
deFriedland
F.GRUBER tuvisestmeilleur que cequetu garants citecesnomscomme autantde d'introduction et de vulgarisation choses, pour
détachement e t
supérieur, pons. Cettevueestaussiinjustepritinfiniment plusvaste no-
quetête
i, LEGUEULT i, écris. » Etbeaucoup demodernes, deIlmarque pour
a ladoctrine
Budapest initiatique, si ces Ceux mots ne ju- une âmeundecosmopolite,
une vie qu'imparfaite. ûrqueGœthetrelyrique
Ilestsdesublimation Bourguignon, une
nouvelle.
l
4l
Jusqu'au
A.MARCHAND
OUDOT
ROIINER
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WALCH IN
20..ovembre
v
en
ans
Allemagne
déclareraient
après
homme
1943! quesonœuvre.
les
sa
écritM.Carossa,
présence
autant
volontiers,
disparition
de,quelapassionne
personne
de Goèthe
q
dece
u'ailleurs.
decent
cemon-
plusvivement
Nous
«nous s
même
autres,
entons la
quand
monument
dix nyme

règne
y
delaHongrie
unpersonnage
grandgloire souslacagoule
frissonner
a l'effet d uunpeu.
depuis «
a
à unchroniqueur
voilé.
Tel
quireprésente
Ce
nous
belphégorisme
plusd'unsiècle.
genre
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» qui
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astropdensemble.
psibien
hétérogènes
leplus
Courrier desBeaux-Arts
égagé
quis'exercent
v igoureux
Onarare-provinciale,
lesinfluences
sur
etleplus
le
habite
héros
fessionnel
unMarc-Aurèle
avecun comte
del'amitié
del'amour,et un
une tête phi-
a offert
quico- progressive.
Mosca,
forçats
Hugo,
leçon
sur
un
un decetimpérialisme
quasi-pro- ce
modèle
Parfois
vouloir-vivre
delaplume,
lesVoltaire.
ildevrait
lesautels
que
être
au détriment
littéraire,
déploient
lesBalzac,
Pour
vénéré
detous s
les
encyclopédique,
de ainfaillible,
méconnu
faitdelettres
les perspective
cetteseult-étranger).
etplacé
esconfrè-quesque c'est
qui o
sauf un
lesplus
f
goût
enmusique
-
grands)
rançaises
n'enrestepcelle
Ilunestsouvent
des auteurs
ntétéleplus i
presque
( oùil , Ouvert
et
(ou en
sa
d'un 6.boui.
asmoins
germani-
ntéressés
14à10h.Jusq.
GALERIE
PEINTURES
Acharner.
roeta,,
P.
0
Andrieux,
Bollaert,
-
C.
deCoûroeJIes.C
Beuret.
Buffy,
30novembre
LAUDET
DEPECnECar.90-68
-
P.deBer-
Oottet, Ha-
m

-
Plattier.

-
nous o uvrons rarement un deses Levisage déGœthe n'est pas p ré- res petitset grands. AiméparlaFrance etqui o ntle mieux met,
nier, Jea-ndot,
Rugel, Monneins
Vanber, Vie. Pru-
livres. d'a- cisément pourquoi pas ? Bien q u'ila dmirât contribué à créer espriteuro- Dessins
1GALERIE LOUIS CARRÉ doration » J'avoue quecegenre
assezblasphématoirp,
estressemble cuments unvisage
amassés
vo.lé.
surlui.
Lesdo-
deson vi- beaucoup Diderot, ilétait,lui,gen-péen, jenedis pasuànleperpétuer, fantaisistes
Présentation d'Hervé
dulivre :BalUe
10,Avenue
CAMOIN deMessine - VIIIe lité
bien q u'elle
subjective
faitlaseule
asoler
4
dontAuguste
survie digne
l'innnortni-
de
vant même
Comtesontinnombrables.
con- ne laisse pas
et par ses p ropres
Etpourtant
desembler
soins,
énigmati-
SiLe
il Musée
Henner,
Musée
Rodin.
leMutée
Gustave
leMusAe
d'Ennery
Moreau,
J«an-4aeques
et leMu-
le SChez Lefranc
del'Abbayie
nior
et Engrand,
aquarelles 13, r ue
deLeTour,antipodes
tilhomme
mentale
et homme de
decetteeffusion
quifutdemode
cour,
au
aux car cetesprit
senti-étaitencore
siè- antique, et
autemps deLeibniz
celuidel'humanisme
au temps deVoltaire
- « Les L
E.BoUaert. ettres
de
Jusqu'au
mon
Illustré M oulinetJ, de
parP.Bo'Jaert
26novembre
récentes toutalespositivistes. Ellejuresur- qus.OneststWdepassionner > sée Lannelongue, * Castérm Verduzan, LaQa'erie deBerri présente lus- cleoùil
véculaplus futnourri
grande et oùil a ce nétaitquel'esprit
même français pas
gloire
veclalesclassiques.
qu'ont toujours public avec u ne biographie deçet dans MCors, viennent d'être aJol/té" qu'au 18novembre différentes œuvres partdeson élàrzi.
peintures revendiquée
lpur é poque, on s'occupait
M$i$
wezpeg
4 nomme
tions.
étrange,
même
tissu
ainrès ~es
d
e
econtradic-
ssaisdeM
par décret
listeejos deM.
musées AbelBonnard, à la deNicolas
nationaux. le livrequeMaurice Eekman reproduites
Bédel a dans
con-
existence
qui, a vant
terrestre. C'est
de-leconnaître,
S chiller
a crij Saposition
fortbien
réligleuàe
éclairée est
M.Johnaussi AUGALERIE BON
POMONE
MARCHE)
-TiaTi in
—Ti-Tl -- MTi 46laisser à lapostérité lesouvenir Henri pichteiiberger M. F
etclp4 Hautes r&- S3 Pour l
Btyijes'ouverture del'Ecole des sacréàl'artiste.
;;!IM ariePigelet qu'ij s e manifestait par desbien Charpentier, quiest par
l'historien de
d'Architecture, M. Hau- expose cheiLucyfaits, maisdonner
l— nr
MOINS
SALON DES—1 dupe
M 30 AN$ biolcgqye
payions
tion
existence
yttér^ire
exemplaire,
niparsesvertus.
etmême 14
parses déric
L'érudi-
méthode une
Qundoif,
pénétration
des
chologié, plussans
f
quiatteint,
égale
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étudestqui
de
ouno
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psy-
teo<p^r,
êrt8,III
première
secrétaire
tenu
leçon
le lf profession
général
rfenne,
f
des Beatfi-
lui-même
taitl'historique
'frehiteicte.
1.
Krohg,
O
trek A 4«sossiiie
Jouc'ard,
Welkensky.
etfi.,
14Gentilhommière,
Kvapll.
peintures.
quatre
Seevagen pein.
et
etsanssaemitié
que leur
qu'elle devint
à la façon
fut;n
d'undieu.Rouase^u
iui-mémè.
ouée,
fraternelle, on
Aprè-
sait
passion-
aUjSsi
èfcle
et• de Coleritjge,
lechronique
romancier deethéosophes.
mes
dçsTempliers PEINTURE
509nsde
FRANÇAISE
deSainte-Beuve et Of presque depsychanalyse, a AlaQalerle Prouté. Jusqu'au 15 née, n 'y mè- Goethe a été maçon. ma!s c omme IR93 - 1943
11,rueIV>y*le l'histoire naturelle qije
de nousMeus-
l'esprit
pH-quel'onprisse
manogirçphie
lire.Enattendant
qù^nnones M.
Henri
malier, Delvermox,
vice-président lepeintre
du Salon anl.
N novembre,
a- exposition deconsacrée
gravure* du tîieleépreuve
tqu'ilde14 manqua
mort.pas étéexactement
Mozart etJoseph ledeMaistre. Il a groupant tes qpuvres deplus de
GALERIE ROYALE C'est qijQns
sept auxœijvrep
4ru
qonc Ui4éeentep ou frivoles une
André Fraigneaù, celledeM.Johntional Indépendant, chevalier de14 XVI.
«Monde au
à XIXe
table » slèoie 1 au Peut-être s'aviserait-on d'une e x- sataniste et son
contraire d'un
Méphistophélèj 120 artistes contemporain* tmmmm
-
i Légion d'honneur

- -
10h.S0 f l'3h.S 0 14à18 h. bien l eromantisme qui Charpentier (éditions Tallandier), Pige vient demourir
Deïuermoz à DLaGalerie des Pyramidee orge- plication curieuse de son OIYTnpis- n'est p eut-être, comme le suggère

-
pimaaiî-he compris d4nboffre trèspréaieuses 0 ,9
6 3ans. Henri était
dènise léSalon delaDanse, de11GALERIE ANDRE
Jusqu'.u en instaurant lerègne duMoi desqualités te lefrèredeMme Jeanne Defvair me,eQ songeant
n œthe étaitque, telLamar-son biographe, qu'un symbole t<
27novembre touslde
vains
esordres,
miser a permis
sur deux auxécri-
tableaux à netteté,
trise d u
dépittoresque
propos. L'auteuret demaî-
ne tompf laGom^eltA
maine Prancai&e
Bermor.
etdeMme Oer. CL'exposition
mothraoe
blessés o
deguerre,
annuelle
groupement
auralieudes «8a- tine.
delaartistes
guéri,
du8 au rissant. c'est-à-dire un
tuberculeux
unmalade flo- bouffonnes
gang e t de révoltes
sa.naman,
d'un petit
une
Wolf-3,rue
filletté F
desSaints-Pères
Jean DU - Lit.
Y
81-<4
61-44
1

Musée
EXPOSITION
delaSociété
DHORAIElIRjFRANÇAIS
Jusqu'au
des A
'07. r. deRivoli
des
20novembre
decor.
rts ,Pav. Marsan
MétPalais-Royal.i 1
lafois,et deprétendre
leurfigure
1 1ivres.
raient
mortalité
mère.
1 l'homme,
personnelle
Pensons-y
peut-être,
d'Erostrate
mais à
célèbre
si'
bien: et
durer
par
à cellp
longue
n'estjamais
leurs
ilspréfére-
à larigueur,
pasdans
par simple b
surhomme.-.,
l'im- chaleureuse
d'Ho-lesplusdiverses.
distance, ne possède
qu'unmeilleures
lonhomme
etravers
il
pas,
raisons
depe'.ndre
ni
enflyse
sympathie
un
Silepublic
après
avec
l'avoir
degoûter
simple
une
lesœuvres
moyen
lu. I
Wer-
f"
a Legraveur
unDeuxième
seur
mourirà Prix
l'Ecole
soixante-huit
ES A laGalerie
novembte,
d'Automne.
d Antoine
eRome,
ars.Chardin,
vingt p
ancien
Polytechnique.
à Castelsarrasin,
eintres
Delrer.,
profes-
vient
jusqu'au
duSalon
de
de
30,
j
21 Hnovembre,
LaGalerie
SlInUI.
àl'Age exposition 116,
S Unee»,
Dimanche
organisée
ruine
desMut'e
au
taub.
rte
xposition
g
Art«
S
roupant
auHavre
d'unjournal.
des
133
dans
Oegnaoq-Jay.
Prancais
aint-Honoré
tapisseries modernes,
Peinires
«artistes
l elocal
pré constance
a
une
été
en 1
taine
lesforces
du inst:nct
servation.
Il s'ensuivit
réserve

queoctogénaire.
l'habitude
desaperpétuel
secret
decettecir- père
prudente
et mourut
Lamartine
Gœthe
d'une
à
viephysique,
brûler
decon-
contre
cer- dde.la
core
l'autorité
éjàpâgé.
un finide scruter
pres- personne
qui asu
bien,.u- tueetlalaisser
del'homme
lemieux
solennelle
Cedétail
sychanalyse.

voilée.
G
relève
On
à cettelumière
au
sculpter
n'a
d'un
en-
n1-
monde
sa
la
sta-
Jusqu'au
GALERIE
BERTHOLLE
mmmmJusqu'au
184novembre)
GOUACHES
BRETTAUI
70,rueBonaparte
30novembre
I B
B

POUR :
Théâtres
~!~
~P~

BRUNES
DE
SENTEUR
POIS
POUR
BLONDES
ROSE :
BONBON

ILORSQU'ON
une
grandeur
de
treunnombre
société?
?
«pur

remarquable,
graveurs
compte
desamateurs.
recherches
à l'heure
tentedepasser,
l'artqualifié
vraiment
Laquelle?
Lesépoques
blesniauxlargesprogrammes
:
exagéré
Décorer
actuelle,

celledel'orfèvrerie
d'aujourd'hui,
à peuprèsabandonnée,
decetteexposition
Jacques
hardies,
dudomaine
»à celuidel'artappliqué,
debouleversements
ni auxlongues
nousre3te.t:-ill'expérimentation
aumoment voulu voilàlesressources
artistesquiontfaitleurspreuves.
tentative
Nousvenons
nesont
pensées.

Christofle
d'appliquer
Adnet,
s'estattaché,
de
onrencon-
d'inconnues.
favora-
Dumoins
dire,
Ilfautpouvoir
etl'inventaire.
dontnousdéposons,
d'assister
les
à une
Tapisseries
?Dequelle f.-*.:j.'»«t
Travailler
desappartements
pour
, -.f
,f,

leurtalentà t'ornemen.a.iQn,
de l'argenterie.
quia étéprolongée,
René
quis'estfaitunespécipJité
lui,à larénovation
serie.MaisIln'enestplus,déjà,au stadedestâtonnements.
premier essaidatede plusdedeuxans.Exploitant
au
Barotte
grand
neuves
par PierfeduCOLOHBtER
* 5 'vV;

aux
rendu
abénéfice
pour
1

Marchand
semble
,.
é,
Savin,

deces piretropétroitement
delatapis- de saint
Sondescolorations
lesrésulteretgagnera
BEAUX-ARTS
delatapisserie,
turedeIl«Automne
Coutaud
coratifs.
périence
de
»

la délaisser.

H
entrelesdeuxconceptions
hésite
offre

etGruber
Despierre.
ubert »,
s urun
ses,desnusdontl'unmesemble
etBriancho%ont
Laréussite
dsCoutaud
qu'ilsavaient
quelmûrissement
suffisante Lesouvrages
qu'iln'ya pointderaison
proposant lepassé telschefs-d'oeuvre,-
acquise
deBrianchon
plat,
fond s
emprunté

Avecdessuccès
s'y
Avrai
montées
sont
d
e
ire,
delaRenaissance
oùl'onreconnait
lorsque de
le
:
possibles
emé sa
defeuilles
à Nicolas
quiselientassezmalaveccefond.Aucontraire,
Oudot,
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Poussin,
despartisfranchement
adopté
etdeBrianchonestcomplète.
déjàleura.beaucoup

ssayés.
s on«
Dufresne,
mSPENDID-AUBERT.
ten- M.
16e
T.1.sdes
Monsieur
-
dé- L'auberga
L'ex-vaiiar
servi,mais etf.'P.
Afil
p.L17
d'unepart,ceuxde eaux
et deSavin,
E
etf.P.14
inégaux
Celui
Adoration
Adieu
.: L
Passy,
et nlAUTEUIL-BON
Loguzult,2015.Jeu.,
Léonard.
ourdines.
Auteuil
14
S'am, CINEMA.
-30,
DiAi.
del'abîme.
noir..
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à p. 203
A
L'assassin
PASSY. 15,
Ap.17Malaria.
51MOZART-PATHE.
p.
0Jeu.,

à20 Malaria.
qui
italienne,
latrace
Desnoyer,

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tempsauraharmonisé
des
17: Le
3",am.
S.20
14,15. 0:au
habite
20,35L
M.

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Jeu.,
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14,30.
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Despierre,
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baroques,
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Faut-il
d'autre
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desmanufactures
lestons,au risqued'undésaccord,
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c nous
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la tapisserie
lesanciens
nationales,
Confessons
connaissons
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que
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tapissiers,
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enescomptant
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14.30 14,30,
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SAINT-DIDIEir.
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lecriez
e VICTOR-HUGO-PATHE
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S.,.
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l 'art lestapisseries qui, dans desconditions exceptionnelles, 17e- Wagram, Ternes
lauriers a
ils'estadressé sonprogramme.
à denouveaux surses et sesrouges unpeu trop encore dans ontgardé l eur éclat p rimitif ilssont à peine supportables pour
artistes etil nenousprésente nosyeuxdemodernes et c'estsupposer amatsurs dose * LEBERTIIIER.

I
OPERA. pl.dàet'Opérah. :
lOpé. 15-59. - pas moins d'unevingtaine depièces, oùleprogrès desanciens est d'abnégation peucommune qued'exiger d'euxcinqouune
aux dix ans sam. 15.Dim. P.14à23 T.l. s,Le 20.30 Jeu.,
capitaine
Bamedi
IMM",
Suzanne
13 nov.,
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Lt-fort,
18
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Bonny-Pe.GeorgettePeer
lieux,Suzanne
Gynt
Denys évident, où les promesses des autres sont p lus q
toujours
u'encourageants. D'UNE GALERIE A L'AUTRE d'épreuve au bout d esquels ilsaimeront enfin leurtapisserie.
et Iessentiel
On Fracasse.
181 CINEAC-TERNES. T. 1 .
s .20,30. Jeu.
JuyOJ.,
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Chao.>tenl't. Me-
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Cour- question
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Dans
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delatapisserie
un
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a s'ebstenir avec
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duChêne
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(1),Guil- URcettecimaise dela Gale- nier nous s éduit par lacouleur.
- est bienexcusable
estquelatapisserie
peut-on
ypâlir parvenir
dechercher
en
nese
employant
sonplaisirimmédiat,
désaccorde pasenvieillissent.
descouleurs simples,
Peut-être
sujetsà
sam.
dans
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15.Dim.
lamaison.
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A p.17
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14,30.
Ap.17:
17
: t'uudSem.
:
La
Lesid'or.
:L'âge
capitaine
'amour.
nconnus
Fra-
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toits.
Corne, Bre-gerie, De-'-hayes. De.orme. Dan- tréqu'il f allaitsurtout dessolutions trop tranchées. Per- rieLouis Carré, unsage, Chez Drouunt-David, Greueil sera m ais n on à se transformer. C'est pourquoi on voit O udot, pré- A 1drienn»
5.Dim. P 14.30 20.30
àA18 Lun.,
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etdesbleusjeu., sam.
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Solange
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Bard:n,
BflmotT
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a perdu s a
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et qui
que,
dsert.à
depuis
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mobile
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qu'on
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autantqu'à luiparlez expose.
uncalme,
cien
Ilestmodeste.
presque
» Charles un«an-
Quand
Camoin
.vous
pourbeaucoup
couvérte.
Odilon Redon
devisiteurs,
S'ils'apparente
sa façon d
unedé-
parfois
'ordonner
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à francs. decesproblèmes, usersilargement desrouges
comptâtT.I.
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L'escalier
LE
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riaAs.pJeu. 171S.
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Lecouvreur.
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14.15
p. 17
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i14 nov., desesœuvres ilévoque lesmasses, delesemboîter, en quel- Nosartistes tapissiers n'ontpeut-être pasfaitletour
enchantée
nkie
Hamy, Micheau
•- Saint-Arnaud,
Georges
Medus.
Mme.,
Odette
Jouatte
Solange
Renée Mahé.
Ricqufpr,
Couvi-doux,
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etpourtant
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d'une d es
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d'activité
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que
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que
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Ra-quin'avait
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bien t;\jdior sur-
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poque). :A
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LeFestin : ;
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jouent,
déférât.pasdirequ'elles jusqu'à un
dedimensions
certain point,
modérées,
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des tapisseries
ce qui ne
qui
veut
ne
nalité
tôtl'influence
pas
dugrand artiste
deRenoir etsubitperson-
plu-apprécie
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en.- d estemps
que
dansdsifficiles,
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vérité
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La 14.Mme
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p.20 3Léonard.
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18h.:BMusicales),
allets (Soi- Lemérite doivent imiterlestableaux.
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vençaux sont
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d'unstyle p pro- Greuell
ersonnel téssombres quisurtout
utilisait étaient les tonali-
lesmoins ques bordures destapisseries
unanciennes, lesspécialisas lescom-Bonheur d'amour,
Ob. LUTETIA-PATHE.
des Dâams-s. A14.30.
p.1720 3L'homme
0: Au
réeréservée aux principal deJacques a étéde nepas s'immo- etdélicat. coûteuses. Aujourd'hui, bruns, posaient ense jouant, avec d es méthodes assurées. Mais quand l es qui v endit me.
iIstar
de ;
moisgile).
Samedi
Entre
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2021
deux
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rondes
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à16 h.: O
: Impressions
eVlalla- tesdont
thello.
biliser dansune
ilpouvait
formule
pourtant
etd'avoir
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d'avance
d'inviter
lesréactions.
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Lataris- mieuxréussiequepluspetite, d'autantses sés terres
«debleus, »,ses
derouges,
ses
grissontrehaus-
dejaunes
artistes
chaque
d'aujourd'hui
fois, à tousleshasards veulent rivaliser
d'unecréationaveceux, ilssontsoumis,Le
originale.
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Ap. 17:
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20.30. Sam 14.30. 1730 20.30.
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tableaux
Limouse à seulement
la Galerie y tiau-
Ber-
absolument purs.
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Fou d Promesse
'amour. àt'inconnue. A p. 17:

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20.30 Sam.APOLEON
15 Lun.
à20,30 mar.,
Dim. P. mer,
14-à23 jeu.:
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72-00f.
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MM.
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Samedi
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nov., à
Bouvier.
Georges
18 h.30
Damére;
Bouvier,
LOUEZ-
tRic.: •UTILISEZ — (RieMICHODIERE,
95-23. h.Mo
4 bis.
Opéra). r .'Michodièn
20h (sf lun.) Les
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d'un ( Croix-Rouge - Ecole Militaire, Sèvres- CAMEOfet., Lumière
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deux MIEL, d'été
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p. M
Jechante. : Malaria.
A. p . 17
T.1 s: L'esca-
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Les
30.

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jfL avarika JR Jeu., 14,30. Dim. 14.30.
zanti, J uanina Schw&rz, S.Garnier, Les m eilleures places forées en !890» Yvonne
Marguerite Printemps,,
Deva) Pierre
etLargue y. ) F reonay; | "'ROKK"', liér s ans fin. Ab17 : AuB17 onheur des
Christine
Constantin Annie,
Tcherka^Ritz Malard
Chr. ; MM.
Foye)Ohefa IAGENCE lisv
blir Vous permettront
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1,11- MONCEAU, r.
16 Monceau (Wag. 67-48 9 sont f ermées le mardi ; ¡ AGRÀND-CINEMA-AUBERT. T.J.fi.
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R, 911deRem-
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Dimanche :
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nov., rancis Cebron.
à 13h.30:Mignon mEYItiER lets p our
deParis.tous les
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dede- M* S t'-Phi'.ippe-du-Rouie) 20 h.niiun ) sont f çrmées levendredi ;
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Ap.17 :
Dim.
sous-titres:30, P.à p.18Légitime
français
TERNES-CINEMA.
Lahabanera.
h 45.Vers. orig.
défense.
Musy, André Balbon). M.30d'orchestre-
Chef leu.iDim 14,30'liers). T1.s.20 de-sf leu.). Dim. rnatDim. 16 de laroute, de et17.S. Dim 14,30, 17: LeS 20.25
capitaine Sam
Fracasse. 17:Dédé la20 3Musique.
0.Sam. 14.30.
M. Francis
Mardi
Mercredi
16Cebron.
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17 à
nov.,' 18
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Mireille.
Repré-
Frasquita (Geneviève
GAITE-L Y Régny
RIQUE L.Huberty)
Ii 15
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(Mon. 49 24,
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NOCTAMBULES M. K alffMons
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CINEAC-I1ALIENS
T1.:J.Les 14.30
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14,1s eL 2 0.30
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s'amuse.
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AP.17 14.30, 20
3 0
Marie-Martine.: Leroi
Dim
17
18e : 14
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Montmartre,'
Ap.
sentation exceptionnelle deCarmen,
desretraites du FRASQUITA
au Untriomphe ! M° 19Anvers). T mat. 1.s14.(sfh.dJet
im. 7eh.30
tlun.)1 U.Montcalm. Le c lub d s
es oupirants. A 17Caprice.
p. I.. J. Le RECAMlER
*secret Dim. M. 14.15,
A18,45
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bénéfice
personnel
Jeudi 18 nov.,,
delaCaisse
del'Opéra-Comique.
à 18 h. 3 0: L :
aLépreuse. h 30.Dim.
L'honorable
) M.Pepys de . 1Couturier
LE BOUT
Marie Kalff.
DELAROUTE
Mona-Doi <1CINEPHONJi-.VlONTMAKTKE.
I 14,30
Dim. et20
P.à 4p.0.Sam.
14 : 14.30
Adieu 17.30.
Léonard. -20.30.
Ap. Monsieur deMme
des KEKTK
Clapain,
Lourdine.
YM»
p.17:
:
LaChapelle

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Vendredi 19 nov à18h.30 Lakme. < JDavy. 4» STUDIO T i S. 2 0
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Samedi
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Dimanche 20nov.,
21
à 18
nov.,. h.30
à 13h.30 Louise.
: : La 1 opérette à grand spectacle 1* AT EL8ER , + II
ATELI n 17 Le capitaine
fbGAUMONT-THEATRE.
S. Sm am. etdim.
Fracasse.
P. L'intru-se. r.1. A1p.Met1*7
Dim.
AD.17:Fièvres.
: STUDIO
14,15, 16,15, 20.30 : La bonne étoile. 2030.DimP à
diable. p." 1 4 Lamain ABARBES
duven;ur. Ap.PALACE
17: Secrets.Leloup
Lecapitaine desMal-
Fracasse.

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Mardi
POUR
La
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Libellule.
Butterfly.
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Vendôme'
19h.45
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h. 30: Mignon. FRANZ LEHARIlla
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CAPUCINES. 39.
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