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DROIT MULTIMEDIA

Introduction

Dans un monde devenu village planétaire marqué par


l’évolution technologique, les risques de violation et
d’immixtion dans la vie privé des personnes sont de plus en
plus réel. En effet, la société est évolutive elle voit naitre en
son sein des phénomènes nouveau engendré par l’éclosion
fulgurante, des systèmes d’informations, dans cette
perceptive le droit qui se veut régulateur ne saurait rester
statique. Bien au contraire il évolue avec la société en
prenant en compte les données nouvelles de celle-ci. Eu
égard au atteinte répété à la vie privé des personnes il va être
créé un droit nouveau appelé droit du multimédia étant
donné que les œuvres de l’esprit sont les plus exposés aux
technologies de l’information, la création d’un droit spécial
(droit du multimédia) a pour but essentiel règlementer et de
sanctionner les atteintes au œuvre de l’esprit en réalité le
droit du multimédia met en relief
Deux réalités apparemment contradictoires : d’un côté, le
droit d’auteur, qui postule une protection accrue les œuvres
de l’esprit confèrent un droit exclusif d’exploitation à leurs
auteurs. De l’autre côté le droit du multimédia qui se donne
comme un moyen aux services de la liberté d’expression et
du droit à l’information.
CHAPITRE I : Les droits D’auteur
Titre préliminaire : Le Droit D’auteur et le Droit du
Multimédia
CHAPITRE 1 : LE DROIT D’AUTEUR

Le droit d’auteur est l’ensemble des prérogatives reconnu aux


auteurs d’œuvre littéraire, musical, cinématographique,
artistique etc. La personne physique ou morale qui créer une
œuvre de l’esprit jouit de ce seul faites sans formalité d’un
droit d’auteur ou de propriété littéraire, artistique lui
conférant le pouvoir exclusif de faire respecter son nom, sa
qualité et son œuvre dit droit moral et après divulgation de
tirer profit pécuniaire de cette œuvre dit droit patrimonial . Il
résulte de cette disposition que le droit d’auteur admet des
composantes.
Mais il faut indique le droit d’auteur a aussi des limites.

Section I : Les composantes du droit d’auteur


Le droit d’auteur a deux composantes :
Une composante de nature moral et une composante de
nature patrimoniale
Paragraphe 1 : Les droits moraux
Les droits admettent plusieurs caractères et un contenu
A)Les caractère des droits moraux
Les droits moraux sont des droits sont des droits
imprescriptible, des droits inaliénable et insaisissable

1) Les droits imprescriptibles


On ne peut les perdre par l’écoulement d’un certain
temps
2)les droits inaliénables
Les droits moraux d’auteur ne peuvent faire l’objet de
cession à des tiers
3)Les droits insaisissables
Les droits moraux ne peuvent faire l’objet de procédure
judiciaire à l’effet d’être appréhender par les créanciers de
l’auteur en vue de les vendre pour se faire rembourser ce
que l’auteur leur doit.
B) le contenu des droits moraux
Les droits moraux visent :
-La protection du nom de l’auteur, le nom de l’auteur ne doit faire l’objet d’usurpation

-La protection de la paternité de l’œuvre, les tiers ne doivent s’approprier l’œuvre de l’auteur

-la protection de l’intégrité de l’œuvre , l’œuvre ne doit subir aucune déformation ,de destruction

Paragraphe 2 : Les droits patrimoniaux


Le droit patrimonial confère à l’auteur un droit exclusif
d’exploitation en vue de tirer profit pécuniaire
Quel est le contenu du droit patrimonial et qu’elles sont les
prérogatives y attachées ?

A) Le contenu du droit patrimonial


- la revente de l’œuvre en vue de tirer profit
financiers ou pécuniaire
- Signez un contrat d’édition avec un contrat d’édition
en vue de la diffusion de son œuvre

B)Les prérogative attachés aux droits patrimoniaux


L’auteur a le droit d’interdire la divulgation de son œuvre
sans son consentement ainsi toute publications va provenir
De l’accord de l’auteur.

Section 2 : Les limites du Droit D’Auteur


Apparemment exclusif les droits d’auteur
supportent des dérogations (limites).
Ces limites sont d’ordre privé et public
A)Les limites liées à l’usage privé de l’œuvre
Ces limites permettent au tiers d’utiliser l’œuvre sans le consentement ou
autorisation de l’auteur
- Les reproductions privés et gratuite effectué exclusivement dans le
cercle familial
- Les copies ou reproductions strictement réservé à l’usage privé du
copiste et non destiné à une utilisation collective

B)Les limites tenant a l’usage public


Le droit d’auteur est limité dans l’intérêt public et dans les hypothèses suivantes :

- Les analyses et courte citation à des fins pédagogiques et scientifiques

- Les revues de presse

-la diffusion même intégrale par voie de presse, à titre d’information d’actualité la copie privé des
œuvres multimédia, des discours destinés au public, prononcé dans les assemblés politiques et des
cérémonies officiel

-la diffusion d’œuvre multimédia à des fins judiciaires

-la reproduction intégrale ou partiel d’œuvre d’art graphique ou plastique destiné a la vente aux
enchères publique

Section III : Les sanctions des atteintes au droit d’auteur

Les atteintes au droit d’auteur peuvent donner lieu à des sanctions,


aussi bien de nature pénale que de nature civil

A) Les sanctions pénales


La reproduction ou la diffusion illicite d’une œuvre protégé est
pénalement sanctionné. Cette sanction peut prendre la forme
D’un emprisonnement pouvant aller jusqu’à a trois ans ou
d’une forte amende. A ces peines peuvent éventuellement
s’ajouter les confiscations des objets ayants servis à la violation.
Du droit d’auteur

B)Les sanctions civiles


La violation du droit d’auteur est civilement sanctionnée sur le
fondement de l’article 1382 du code civil. Dès lors que la faute,
le préjudice et le lien de causalité sont réunis alors le coupable
engage sa responsabilité.
La réparation se fait en dommages et intérêts.
Les dommages et intérêts sont proportionnels au préjudice
subis.
CHAPITRE 2 : Les Droits du producteur multimédia
Le producteur multimédia est une personne
physique ou morale qui prend l’initiative et le
risque des investissements en vue de la création.
D’une œuvre multimédia
I) Les composantes du droits du producteur
multimedia
Le producteur multimédia bénéficie des mêmes
droits que l’auteur d’une œuvre de l’esprit.
A côté de ces droits un droits spécifique lui est
reconnu.
A ) Droit d’auteur reconnu au producteur
multimédia
De même que les droits moraux et patrimoniaux
sont reconnus à l’auteur d’une œuvre de l’esprit
De même c’est même droit sont reconnu au
producteur multimédia. En effet toute la
disposition générale du droit d’auteur, ont
vocation à s’appliqué au producteur d’une base
de donnée des lors qu’elles sont original
B) Les droits spécifiques du producteur
multimédia
Les droits sui-generis

Un droit sui-generis est reconnu au producteur de


base de données. C’est un droit qui n’entre pas
dans l’une des catégories connus. Ce droit est
destiné a protégé le producteur de base de donné
contre toute appropriations par des tiers.

Section II: Les sanctions des atteintes au droit du


producteur multimédia
Les atteintes au droit du producteur multimédia sont
sanctionnées par des peines pénal et civil

TITRE I : Qualification de l’œuvre multimédia et


sauvegarde des droits des contributeurs a la
creation
Chapitre I : Qualification de l’œuvre multimédia
L’œuvre multimédia n’est pas expressément visé par le cpi
(code de la propriété intellectuel). Hors, elle mérite d’être
qualifiée. On parle de qualification de l’œuvre multimédia
dans deux hypothèses :
- Lorsqu’on la rattache à une catégorie on a un genre connu
Du droit d’auteur
- Lorsque l’œuvre multimédia est rattaché à une catégorie
d’œuvre à pluralité d’auteurs

I) Le rattachement de l’œuvre multimédia a un genre


connu
Pour qualifier l’œuvre multimédia il convient de la rattacher à trois catégories
d’œuvre déjà connu et règlementé à savoir :

- L’œuvre logiciel 

- L’œuvre audiovisuel

- L’œuvre la base de données

A) Multimédia et œuvre logicielle


Il est nécessaire de qualifié l’œuvre multimédia par référence à l’œuvre
logicielle dans la mesure où le logicielle est un élément essentiel et fédérateur
A la création multimédia. En effet le produit multimédia est un ensemble de
données traité (textes, son, image animé ou non) qui prend en vie aux moyens
de logicielle, les logicielles en sont les instruments d’animation, de navigation
et d’interactivité

B)Multimedia et œuvre audiovisuelle


L’œuvre multimédia présente de nombreuse similitude technique avec
l’audiovisuel. Pour autant l’œuvre multimédia ne saurait se confondre
avec l’audiovisuel.

1) Les similitudes entre l’œuvre multimédia et l’œuvre audiovisuel

La création multimédia tous comme l’audiovisuel procède d’un effort de


conception dans lesquelles les apports sont non seulement rassemblés mais
aussi scénarisés en fait l’on rencontre avec le multimédia le même travail
d’équipe et de concertation, des qualités similaire de créativité et de maitrise
technique qu’avec l’audiovisuel.

2) les points de divergence entre l’œuvre multimedia et l’œuvre audiovisuel

L’audiovisuelle se ramène en des séquences animés d’image sonorisé ou non.

Or l’entité multimédia n’est pas linéaire mais hachée : dans l’œuvre multimédia
on ne trouve pas de séquence animé mais des fichiers de donnée automatisé
qui peuvent être interrogé au moyen de logiciel.

C) Multimedia et Base de données

1)Approche définitionnelle

a)Définition du multimédia

Le multimédia est défini comme toute création regroupant sous forme


numérique de texte, d’image ou de son, fixé sur un support électronique et
interrogeable en local ou à distance ou de façon interactive.

b)Définition de la base de données

Elle est définie comme un recueille d’œuvre, de données ou d’autre élément


indépendants disposé de manière systématique ou méthodique accessible par
des moyens électroniques ou par d’autres moyens .

II) Le rattachement du multimédia a une catégorie d’œuvre a pluralité


d’auteurs

Il existe trois catégories d’œuvre à pluralité d’auteur

L’œuvre composite

L’œuvre collectif

L’œuvre de collaboration

A)Multimedia et œuvres composite

C’est l’œuvre nouvelle à laquelle est incorporée une œuvre préexistante sans la
collaboration de l’auteur de cette dernière.
L’œuvre composite est la propriété de l’auteur qui va réaliser à condition de
payer des droits de l’auteur de l’œuvre préexistante.

B) Multimedia et œuvre collective

L’œuvre collective est une œuvre créer dans a l’initiative d’une personne
physique ou moral qui l’édite, la publie et la divulgue sous sa direction et son
nom et dans laquelle la contribution personnel des divers auteurs participant a
son élaboration se font dans l’ensemble en vue du quel elle est conçu sans qu’il
soit possible d’attribuer à chacun d’eux un droit distinct sur l’ensemble réalisé.

C) L’œuvre de collaboration

C’est l’œuvre à la création de laquelle ont participé plusieurs personnes


physiques, c’est le fruit d’une collaboration entre les différents intervenants.

CHAPITRE II : Les droits des contributeurs a la création


multimédia
Le processus de création d’une œuvre multimédia peut faire intervenir
plusieurs personne appelé contributeur ou intervenant.
La question qui se pose est de savoir à qui appartient les droits d’auteurs sur
une œuvre multimédia à la création de laquelle plusieurs personnes ont
participé. Il convient de répondre que certains intervenants sont reconnus
comme auteur et d’autre non reconnu comme tel

I) Les intervenants non reconnus comme auteurs


La participation à la réalisation d’une création multimédia ne suffit pas à
conférer le droit d’auteur à tous les intervenants.

Ceux sont des personnes qui n’ont pas effectué un apport ou une action
originale empreinte de la personnalité.

Ce sont de simple prestataire de la personnalité. Une personne qui ne fournit


que l’idée ou le thème d’une œuvre n’a pas la qualité d’auteur.
. N’ont pas également la qualité d’auteur les simples exécutants

Exemple : les clavistes, les scanners, les infographes, les ingénieurs de sons,

Les photocompositeurs

Ces personnes sont considérées comme de simple intervenant ou contributeur


sans droit d’auteur. Elles sont rémunérer pour une prestation précise dans le
cadre d’un contrat de travail

II) Les intervenants reconnus comme auteurs

Certain intervenant bénéficie de la création multimédia du droit


d’auteur. Leurs droits sont fonction selon qu’on est en présence
d’une œuvre subordonnée, une œuvre de commande ou d’une
œuvre collective

A) Titularité du droit d’auteur sur une œuvre subordonnée

Une œuvre subordonnée est celle effectué dans un lien de


subordination, c’est l’hypothèse suivante :

Une entreprise ou l’état recrute une personne pour la création d’une


œuvre multimédia, la personne recrutée est sous la subordination de
l’entreprise ou de l’état. La question se pose de savoir à qui de l’état,
de l’entreprise ou de la personne recrutée appartienne les droits
d’auteurs ?

1) Droit d’auteur reconnu aux salarié privé

Lorsqu’une personne est engagée à travers un contrat de travail, par


une entreprise multimédia pour la création d’une œuvre de l’esprit
l’œuvre crée appartient au salarié et non à l’entreprise qui la
recruté. Le salarié jouit sur cette œuvre du droit d’auteur, même si
l’œuvre authentique conçu par lui a pour finalité d’être intégré. Au
produit multimédia de l’entreprise.
2) Droit d’auteur et agent de l’état

Certain intervenant recruté par l’état créé des œuvres, les œuvres ainsi créer
appartiennent-elle à l’état ou à son agent

- Si l’œuvre de l’esprit crée par l’argent rentre dans le cadre du service pour
lequel l’état l’a recruté alors le droit d’auteur appartient à l’état.

Dans le cas contraire alors le droit d’auteur appartient à l’agent de l’état


TITRE II : LA FORMALISATION DES CONTRATS
Les auteurs d’œuvre artistiques, musicales, littéraires ayant pour objet de céder
les droits d’exploitation dont il dispose sur les créations avec d’autre
personnes, ces contrats sont appelés cession des droits d’exploitation, la
rédaction de ces contrats doit s’opérer dans le strict respect des règles général
de cession ainsi que des règles particulières entourant le contrat d’édition et de
représentation.

CHAPITRE I : Les principes généraux


applicables à la cession des droits
d’exploitation
Les contrats portant cession des droits
d’exploitation sont interprétés de façon
Restrictive. De même les cessions globales
d’œuvres futures sont prohibées
(interdites)
I)L’interprétation restrictive des conventions
Le principe des interprétations restrictives signifie
que l’autorisation donné pour une forme
d’exploitation précise ne vaut pas pour l’autre.
Le producteur multimédia doit avoir à l’esprit
d’une part que le principe d’autonomie des droits
d’exploitations et d’autre part que le principe de
la détermination des domaines d’exploitations des
droits cédés lui sont imposer.

A) Le principes d’autonomie des droits


d’exploitations
L’exploitation d’une œuvre comprend deux
variantes :
-La représentation : qui consiste dans la
communication de l’œuvre au public par un
procédé quelconque
-La reproduction : qui consiste dans la fixation
matérielle de l’œuvre par tous procédé qui
permet la communication au public,
l’autonomie du droit d’exploitation signifie que
La cession du droit de représentation n’apporte
pas celle du droit de reproduction pour être
céder chacun de ces droits doit faire l’objet
d’une négociation express c’est-à-dire par écrit
Exemple : celui qui par une cession ne bénéficie
que du droit de fixé une photographie de
reproduction sur un cd ne saurait en aucun cas
procéder à la distribution du CD au public ni à
titre onéreux ni à titre gratuit. Ou il ne bénéficie
que du droit de reproduction.
CHAPITRE 2 : Le contrat d’édition
I)Définition
C’est le contrat par lequelle l’auteur d’une œuvre
de l’esprit et ses ayants droits cède a des
conditions déterminé a une personne appellée
éditeur le droit de fabriqué ou de faire fabriqué.
En nombre d’exemplaire de l’œuvre a charge ou
elle d’en assurer la publication et la diffusion
II ) La forme du contrat d’édition
La forme du contrat d’édition doit etre passé par
écrit afin d’en faire la preuve
A)L’exigence de l'écrit
Le contrat d’édition ne peut être oral il doit etre
passé par écrit
B) L’écrit : la preuve du contrat d’édition
Le contrat d’édition ne peut etre prouvé par des
témoignages ni par de simple présomption.
La preuve ne peut se faire que par écrit
III) La rémuneration des auteurs
La rémuneration concerne le paiement des
auteurs , au sujet du paiement il existe un principe
suivi d’une exception
A) La remunération proportionnel
Elle signifie que les auteurs seront payé en
fonction des gains financiers , réalisé l’éditeur
suite a la vente des œuvres fabriqué .
Exemple : Si l’œuvre est vendu a 5 mille l’unité ,
les partis pourront convenir que l’auteur percevra
1500f
Les partis pourront également fixé un
pourcentages
Exemple : 30 pour cent sur chaque œuvre
B) Exception : la remuneration forfaitaire
C’est la rémunération qui consiste a fixer le
paiement de l’auteur a une somme fixe et
invariable quel que soit les recettes effectué
Titre III : Règlementation du multimédia par le droit de
la communication
Le multimédia puissant moyen de communication est
susceptible de divulguer des informations portant
atteinte à la vie privée des personnes c’est pourquoi
l’activité multimédia est encadré par un droit appeler le
droit de la communication d’où le titre règlementation
du multimédia par le droit de la communication.
Ainsi, en cas de violation de ce droit le contrevenant
Engagent la responsabilité de contrevenant.
Chapitre 1 : Le régime de responsabilité
I) Les règles applicable aux contenus diffusés
Le contenu des informations diffusé à l’occasion répond
à un besoin de protection des droits des citoyens.
A) La protection des droits des citoyens par les droits
civils
La vie privée des personnes et le droit l’image
1)La protection de la vie privée des individus contre les
atteintes du multimédia
En principe la vie privée des personnes doit être
protégées mais exceptionnellement le droit permet
que l’on puisse y porter atteinte sans être condamner
dans certains cas.
* Le principe de la protection de la vie privée des
citoyens
La vie privée est tous ce qui touche à la vie d’un
individu qui n’est pas susceptible d’immixtion de la part
des autres cela contient :
La vie familiale
L’état de santé d’une personne
La vie sentimentale
La vie religieuse
Le patrimoine
* Les exceptions au principe de la protection de la vie
privée : le droit à l’information des citoyens
Comment concilier le besoin de protection de la vie des
personnes et le droit ?
Pour répondre à cette problématique le droit a prévu
Des cas ou des conditions qui permette que l’on puisse
faire de la vie privée des personnes l’objet
d’information sans être condamnés.
Les cas sont les suivants :
- Lorsque l’information a un caractère ou un intérêt
publique. On dit qu’une information a un caractère
public lorsqu’elle concerne des faits notoire ou flagrant
- Lorsque l’information a un caractère d’actualité ou
d’histoire

2)La protection du droit à l’image


Selon les dispositions du code de la propriété
intellectuelle : « Toute personne a, sur son image
et sur l’utilisation qui en est faite un droit exclusif
et peu s’opposer à sa diffusion sans son
autorisation », le principe de la protection du droit
à l’image requiert deux exigences :
- L’exigence d’une autorisation préalable de la
personne avant la diffusion de son image
- L’autorisation donné par la personne doit être
utilisée dans le but pour lequel elle a été donnée
-- l’autorisation donné par une personne dans le
but d’utiliser son image, pour faire la publicité
d’un produit alimentaire (Exemple : Pate maman)
ne peut servir à faire la publicité d’une cigarette.
*Les exceptions de la protection du droit à l’image
Il existe des cas ou la loi permet l’utilisation de
l’image d’une personne sans l’autorisation de
celle-ci, ces cas sont les suivants :
- lorsque l’utilisation de l’image est faite pour les
nécessité de l’actualité
- lorsque l’utilisation de l’image est en relation
avec un évènement précis
- lorsque l’utilisation de l’image est faite pour les
nécessité de l’histoire
B) Les mécanismes de responsabilité civile
Toute personne qui enfreint au droit à la
protection de la vie privée ou de l’image engage sa
responsabilité, cette responsabilité peut être civil
ou pénal, la responsabilité civile peut être
contractuel ou délictuelle

1) La responsabilité civile ou contractuelle


Elle intervient dans le cadre d’un contrat pour le
cas où l’une des parties exécute mal ou n’exécute
pas du tout ses obligations contractuelles.
Pour apprécier la responsabilité contractuel le
juge tiens compte de plusieurs critères :
-Vérifier les clauses du contrat
-Déterminer les natures des obligations
-Le lien de causalité entre la cause et préjudice
2) La responsabilité civile délictuelle
L’atteinte à la vie privé d’une personne en dehors
de toute relation contractuelle engage la
responsabilité délictuelle du contrevenant, la
réparation civile se fait en dommage et intérêt.

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