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République Algérienne Démocratique Populaire

Ministère de l’enseignement supérieur


Et de la recherche scientifique
Université DJELALLI LIABES - Sidi Bel Abbés -
Faculté des sciences de l’ingénieur
Département de Génie Civil
Section : 3 LMD
Sous Groupe n° : 2
Module : MDS
TP n° : 03

Présenté par : Encadré par :

Mr: Mr: GHEMBAZA


Mr:

Année Universitaire 2008 - 2009


Table des matières
I. Introduction

II. Objectifs du travail

III. Description du montage expérimental

IV. Description du déroulement de


l’expérience

V. Résultats expérimentaux

VI. Calculs

VII. Analyse des résultats

VIII. Conclusion
I. Introduction :
Les travaux de recherche sur le comportement des argiles ont progressivement
évolué, au cours des dernières décennies, de leur caractérisation mécanique et hydraulique
en laboratoire à l'état saturé vers leur caractérisation à l'état non saturé, donnant lieu au
développement de la modélisation constitutive et du transfert de masse d'eau à l'état non
saturé. Cette évolution a été favorisée par les besoins de modélisation identifiés dans le
cadre de l'étude des ouvrages de stockage de déchets radioactifs à grande profondeur.
Ainsi, il est admis aujourd'hui d'aborder le comportement mécanique des argiles non
saturées par l'utilisation de tenseurs capillaires, voire en modifiant leurs lois de
comportement mécanique, pour obtenir des lois constitutives valables dans le domaine non
saturé et jusqu'à saturation. Ainsi, un régime non saturé (écrouissage hydrique) induit une
plus faible plasticité de l'argile.
Plus récemment, la modélisation des effets couplés chimie–transport a également progressé,
bien que le problème de l'écrouissage chimique des argiles sous l'effet de polluants soit un
domaine très peu étudié sur le plan mécanique, tant au niveau des lois de comportement
que des limites de liquidité. C'est cet ensemble de considérations qui a conduit à utiliser un
appareillage de dessiccation d'échantillons de boues pour déterminer des limites de liquidité
des matériaux argileux.
Des essais ont été réalisés sur des argiles classiques pour valider la méthode et permettre
l'étude ultérieure de matériaux non standards ou de boues polluées. Dans ce dernier cas, au
vu du grand nombre de polluants susceptibles d'être étudiés, la caractérisation des limites
d'Atterberg est une étape préliminaire indispensable à la réalisation d'essais mécaniques de
laboratoire visant à étudier l'écrouissage de l'argile polluée.
Enfin, il est notoire que le comportement élastoplastique des argiles présente un lien avec
les propriétés physiques telles que les limites d'Atterberg. Ces limites sont des constantes
physiques conventionnelles qui marquent les seuils entre :
• le passage d'un sol de l'état liquide à l'état plastique (WL limite de liquidité) ;
• le passage d'un sol de l'état plastique à l'état solide (WP limite de plasticité).
La plupart des travaux de la littérature utilisent la méthode de Casagrande comme une des
méthodes standard pour évaluer les propriétés physiques des argiles que sont les limites de
consistance.
Il est usuellement accepté que les incertitudes sur ces grandeurs atteignent 10 %.
Dans ce contexte, où des évolutions significatives des propriétés physiques devraient être
observées, une méthodologie de détermination de WL et WP a été développée. Basé,
comme la méthode de Casagrande, sur la mesure de la quantité d'eau libre présente dans
un matériau, ce procédé s'appuie sur le phénomène de désaturation du matériau par
ventilation dynamique. Ce procédé présente les avantages suivants :
(i) détermination de WL et WP en un seul essai ;
(ii) pas d'action humaine directe sur l'échantillon (aucune contrainte mécanique) lors de la
transition de phase liquide–solide du matériau.
Il constitue également une solution intéressante pour la détermination des WP des argiles
polluées, rendue impossible par la méthode de Casagrande, du fait, lors de la consolidation,
de l'écrouissage du matériau.
Ce travail présente les matériaux utilisés : des argiles courantes, la méthode de dessiccation
appliquée pour obtenir le passage de la boue à l'état solide, puis la méthodologie de
détermination des limites d'Atterberg à partir des grandeurs macroscopiques mesurées.
II. Objectifs du travail :
Le sol contient un pourcentage ou une quantité d’eau, cette quantité elle se varie d’une
quantité négligeable (sol sec) a une grande quantité (liquide).
La variation de la quantité d’eau change l’état du sol. De l’état solide passant par l’état
plastique a l’état liquide.
Le but de notre travaux pratique c’est la détermination de ces limites entres les états (solide,
plastique, liquide).

III. Description du montage expérimental :

Dans notre manipulation en est besoin de :

Balance électronique.

Un four d’étuve
Appareille de Casagrand

IV. Description du déroulement de l’expérience :


1er essai : essai de plasticité :

En prend une quantité d’argile et ajoute de l’eau et en fait une pate d’argile.
Roulez une petite quantité de sol mouillé (argile) entre les paumes de les mains jusqu'à ce
qu'il forme un long ruban cylindrique, semblable à un fil d'environ 3 mm d'épaisseur comme
indique la figure si dessous :
En prend 4 tares en pèse les 4 tares dans la balance électronique.
En détermine le poids de la tare.
En met dans chaque tare un morceau d’argile qu’en est fait
En pèse les 4 tares et en détermine le poids total humide.
En met les 4 tares dans le four d’étuve. Et après 24 heurs en sort les tares et en les pèse et
en détermine le poids total sec.

2eme essai : essai de liquidité :

En prend un échantillon de l’argile. En prend la coupelle de l’appareille de casagrand.

- Appareille de Casagrand -

En remplie la coupelle de façon ou en fait attention que l’extrémité libre soit remplie.

En tranche l’argile dans la coupelle en deux partie


En met la coupelle dans l’appareille de casagrand en en fait des coup jusqu'à ou les deux
partie se touche.
Quand les deux partie touche en détermine le nombre de coup.
En prend 2 tares et en les pèse dans la balance électronique et en détermine le poids des
tares.
En prend l’argile qui est dans la coupelle et en le met dans 2 tares.
En refait la manipulation avec un autre échantillon d’argile.
En pèse les 4 tares et en détermine le poids total humide.
En met les 4 tares dans le four d’étuve et après 24 heurs en pèse les tares et en détermine
le poids total sec.

V. Résultats expérimentaux :

Après l’expérience en obtient les résultats suivants :

Résultat de la limite de Plasticité :

N° d’essai 1er essai 2eme essai


N° de la tare 7 8 4 10
Poids total humide 11,8 11,3 11,8 12,8
Poids total sec 11,1 10,7 11,2 11,9
Poids de la tare 9,4 9,4 9,2 9,3

Résultat de limite de liquidité :

N° d’essai 1er essai 2eme essai


Nombre de coup 28 17
N° de la tare 2 3 5 6
Poids total humide 21,1 20,4 21,5 21
Poids total sec 16,4 15,9 16,1 15,9
Poids de la tare 9,6 9,5 9,2 9,4

VI. Calculs :
Limite de Plasticité :

N° d’essai 1er essai 2eme essai


N° de la tare 7 8 4 10
Poids total humide 11,8 11,3 11,8 12,8
Poids total sec 11,1 10,7 11,2 11,9
Poids de la tare 9,4 9,4 9,2 9,3
Poids de l’eau 0,7 0,6 0,6 0,9
Poids de sol sec 1,7 1,3 2 2,6
Teneur en eau % 41,18 46,15 30 31,62
Moyenne 43,66 32,31
WP 37,98

Weau
Avec : Teneur en eau =
Wsec

Wp= (W1+W2)/2 = 37,98 %


Limite de liquidité :

N° d’essai 1er essai 2eme essai


Nombre de coup 28 17
N° de la tare 2 3 5 6
Poids total humide 21,1 20,4 21,5 21
Poids total sec 16,4 15,9 16,1 15,9
Poids de la tare 9,6 9,5 9,2 9,4
Poids de l’eau 4,7 4,5 5,4 5,1
Poids de sol sec 6,8 6,4 6,9 6,5
Teneur en eau % 69,12 70,31 78,26 78,46
Moyenne 69,71 78,36

WL1 (28 coup)= W (28 coup) ( 25N ) 0,121


WL1 (17 coup)= W (17 coup) ( 25N ) 0,121

= 69,71 (28/25)0,121 = 78,36 (17/25)0,121

= 70,67 % = 74,79%

WL = (WL1+WL2)/2

WL= 72,73%

Graphiquement : D’après la liaison entre le nombre de coup et la teneur en eau en


peut déterminer la limite de liquidité WL
Pour Nombre de coup = 28 et W=69,71 % WL= 70,5%
Pour Nombre de coup = 17 et W=78,36 % WL= 75%

D’après le WL et WP en peut calculer Ip (indice de plasticité) qui est égale à WL-WP

Ip = 72,73 – 37,98

Ip = 34,75

VII. Analyse des résultats :


En remarque que le calcul de l’indice de liquidité graphiquement et théoriquement
donne le même résultat donc notre manipulation et le résultat juste.
En remarque aussi que le pourcentage de la limite de liquidité et plus grand que le
pourcentage de limite de plasticité et en remarque aussi que l’indice de plasticité est
faible 35 % donc en peut classé notre argile comme un argile peut plastique - Argile
limoneuse peu plastique-.
VIII. Conclusion :
L’argile est un matériau dangereux dans le génie civil en peut le trouver dans le sol ou en
veut fait de la fondation donc sa va perturber la résistance de notre construction. Donc il est
très important de déterminer la quantité ou le pourcentage d’argile dans le sol ainsi sa nature
– plastique sec, liquide, …) dans notre manipulation en a conclu comment déterminer les
limite de plasticité et de liquidité d’un échantillon d’argile

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