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Lipothymie

Pertes de connaissances incomplètes survenant progressivement chez les sujets


anxieux, émotifs, déclenchées surtout chez le sexe féminin par une émotion ou
contrariétés.

Les lipothymies sont plus fréquentes que les syncopes vraies avec lesquelles
elles sont le plus souvent confondues.

La lipothymie est toujours précédée de troubles sensorielles : troubles visuels,


notamment un «voile» noir devant les yeux ou un brouillard visuel, des troubles
de l’audition, comme la survenue des bourdonnements d’oreille, de sueurs, de
pâleur. Elle débute progressivement, ce qui permet au malade de s’allonger pour
éviter la chute.

Le malade est pale, présente une faiblesse générale, des vertiges, des sueurs et
des nausées.

Le poul est lent mais perceptible, TA prenable, perte de connaissance


incomplète.

Durée : quelques minutes à une demi heure, la reprise de la conscience est


progressive, suivie d’un état de fatigue qui peut persister plusieurs heures.

Elle peut se voir chez les sujets porteurs d’une NEVROSE CARDIAQUE.

Causes
Parmi les causes les plus fréquentes, on retrouve :
• Un choc émotionnel
• Une intense douleur
• Une peur, une phobie, une panique
• La prise de certains médicaments
• L'hypoglycémie
• Une chaleur trop intense
• Une déshydratation
• Une hypotension
t

DR BOUHAFS BENNADJI
SEMIOLOGIE MEDICALE

Signe fonctionnel majeur, s'observe au cours des affections du cœur gauche

A) La dyspnée d'effort :
** A l'état physiologique, il existe un essoufflement après
un effort inhabituel par sa violence, et II cède enl à 2 mn après l'arrêt de
l'effort.

Il peut y avoir une adaptation en cas d'entrainement.

** A l'état pathologique la dyspnée d'efforts peut être soit :


%

Modérée : survenant après un effort habituel.

Dyspnée importante : survenant pour des efforts moindres, ne cédant pas


rapidement à l'arrêt de l'effort (dure plus de 05 mn).elle s'accentuent pour des
efforts de moins au moins importante aboutissant à la dyspnée de repos.
b) La dyspnée paroxystique : elle apparait brutalement, soit
spontanément (la nuit au coucher) le plus souvent, soit plus rarement suite à
un effort.

**) Œdème Aigue du Poumon


(se rencontre en cas I.V.G. ou R.M.serré) survient brutalement la nuit,
par Oppression thoracique, chatouillement laryngée, toux.

La phase d’état marquée par :

Sujet pale, couvert de sueur, avec cyanose et


turgescences des jugulaires.

—polypnée avec Orthopnée.

—toux quinteuse, incessante et pénible.

—Expectoration séreuse, mousseuse, rosée dite Saumonée, très


abondantes, ne soulageant pas le malade.

L’examen clinique : auscultation retrouve des râles


crépitant d’abord aux bases pulmonaires puis remontantes vers les
sommets « Marée montante des râles crépitants».

L’évolution en fonction de la précocité du traitement (Urgence-


médicale).
En outre il existe une forme suraigüe, mortelle en quelques mn par
asphyxie, et une forme atténuée survenant à l’effort rencontrait en cas
de rétrécissements mitraux (R.M) serré.

**) l'asthme cardiaque :


débute brutalement, le plus souvent la nuit, réalisant une bradypnée
expiratoire avec thorax bloqué en inspiration et soif d’air intense.

- L’auscultation : râles sibilants disséminées dans les deux champs


pulmonaires.

-L’évolution : la crise se termine par quelques secousses de toux qui


ramènent quelques crachats muqueux blanchâtres visqueux.

c) La dyspnée permanente ou dyspnée de repos :


(I.C.G. + Dimunition importante du débit cardiaque).

Dyspnée augmentée par le décubitus recrudescence nocturne,


partiellement soulagé par la position assise ou demi-assise
« L’ORTHOPNEE» son intensité est jugé par le nombre d’oreillers
que met le malade.

d) la fausse
dyspnée ou dyspnée périodique de
Cheyne-Stokes :

Elle est due à une perturbation profonde de la fonction circulatoire


retentissant sur les centres nerveux respiratoires, survenant
pendant le sommeil, non ressenti par le malade.
Elle s’observe en cas d’I.C.
Evolution : mauvais pronostique.
Pr B. BOUHAFS
SEMIOLOGIE MEDICALE

Les douleurs thoraciques


DL D’ORIGINE CARDIAQUE :

— LES DOULEURS PRECORDIALES

■Précordialgies

■Angine de poitrine

■Infarctus du myocarde «IDM»

— Péricardite sévère

— Dissection de l’aorte

DL D’ORIGINE PULMONAIRE : — Embolie pulmonaire

— Pneumothorax

— pleurésie

LES AUTRES CAUSES : — Zona inter costale

— Douleur musculaire

— Fracture d’une côte

Reflux Gastro-œsophagien
Les douleurs précordiales
f

On distingue deux types de douleurs précordiales

- précordialgies ou douleurs non organiques.

-- douleurs organiques : Angine de poitrine.

Infarctus du Myocarde

Péricardite.

ai Les précordialgies : (névrose cardiaque), c’est un signe


fonctionnel d’origine névrotique survenant chez un sujet anxieux et
émotif ayant un cœur sain.

* douleur apparaît spontanément ou après une dispute, émotion, fatigue

*siège de la douleur : Apexien, sous le sein gauche (pinctiforme).

irradiation : aucune

intensité : pénible, mais non gênante.

*Durée variable : dure quelque seconde ou minute à type de pincement ;


ou plusieurs heures à type de douleur sourde.

*signes accompagnateurs : palpitation à début et fin progressifs.

*facteurs sédatif : aucun, parfois le repos peut avoir une influence


favorable.
D L’angine de poitrine : douleur thoracique qui
apparait à l’effort suite à une dimunition du calibre des artères
coronaires atteintes d’athérosclérose, ou à une cardiopathie
(rétrécissement aortique).

*circonstances d’apparition : douleur apparait à l’effort


•marche rapide

•effort inhabituel *siège : douleur rétro sternale localisée,


irradiation : bras gauche, le long du bord interne jusqu’aux
derniers doigts, avec une sensation de striction du poignet.
Parfois bilatérales aux deux membres supérieurs et aux
deux mâchoires.

*type : constrictive (sensation d’étau enserrant le cœur),

intensité : douleur intense, imposant l’arrêt de l’effort.

*Durée : brève, dure quelques secondes à 02 mn après


l’arrêt de l’effort.

*Signe accompagnateurs : aucun, parfois le malade


présente un bâillement ou éructations marquant la fin de la
douleur.

*facteurs sédatifs : angine de poitrine est Trinitro-sensible, la


trinitrine fait cède la douleur en moins d’une minute.

E.C.G. fait systématiquement devant une douleur


thoracique, peut être soit normal, soit il va révèle des
troubles de la repolarisation portant sur le segment ST et
l’onde T
Est une nécrose de la paroi myocardique d’au moins 02
cm2, correspondant au territoire d’une artère coronaire
obstruée.

*circonstances d’apparition : apparaît soit spontanément,


soit après effort.

*siège retro-sternale diffuse (toutes la partie antérieur du


thorax).

*irradiations : étendues, bilatérales et symétrique ;


mâchoires, membres supérieurs, parfois épigastriques.

*Type : très intense, constrictive, atroce, angoissantes.

*Durée : prolongée au delà de 05 mn.

*Signes accompagnateurs : troubles digestifs à type de


nausée, vomissement, éructation, signes d’état de choc,
OAP, IVG aigue.

*Facteurs sédatifs : Trinitro-résistant, soulagée par la


morphine (opiacés).*

*E.C.G. au début, en trouve des signes de lésions portant


sur le segment ST, puis des signes de nécrose (onde Q
profonde).
Transaminases (TGO) élevée ainsi que les troponines.
3) La Péricardite aigue. !! (inflammation du

péricarde), elle peut être sèche, ou accompagner d’un épanchement,


elle se manifeste par une douleur thoracique qui, possède les
caractéristiques suivants :

* Circonstances d’apparition : spontanée


*Siège : rétro sternale localisée,
irradiation : sans irradiation.
*Type et intensité : douleur vive, exagérée par les
mouvements respiratoires.
*Durée prolongée.

*Signes accompagnateurs : fièvre.


A l’auscultation :* frottement péricardique en cas
de Péricardite sèche
* Assourdissement des bruits du
cœur en cas de péricardite avec épanchement.

*facteurs sédatifs : position penchée en avant, elle est


Trinitro- résistant.

*ECG : troubles diffus de la repolarisation portant sur le


segment ST et l’onde T.*

*Téléthorax : cardiomégalie en cas de péricardite avec


épanchement.
DISSECTION DE L’AORTE

L a dissection aortique est affection souvent fatale, dans laquelle la


couche interne de la paroi «INTIMA» se déchire et se sépare de la
couche moyenne de la paroi aortique «MEDIA».

CLINIQUE : • Douleur thoracique brutal, intense, postérieur ou


précordiale

•Syncopale accompagnée d’angoise, de vomissement

•Dyspnée.

•Paralysie brutal : parésie ; monoplégie ; paraplégie.

•Hypo-TA, ou Collapsus.

• Asymétrie tensionnelle

•Souffle diastolique au foyer Aortique.

Les causes principales sont l’hypertension artérielle et les maladies du


tissu élastique (syndrome de Marfan, maladie d'Ehler-Danlos). D'autres
causes sont beaucoup plus rares :

Les cardiopathies congénitales (coarctation de l'aorte) ;

Le rétrécissement aortique ;

La grossesse au 3ème trimestre ;

Les efforts violents ;

Les traumatismes thoraciques ;

Un accident lors d'une aortographie translombaire...


EX complémentaire :

• ECG (éliminé IDM)

•Téléthorax : élargissement de l’ombre Aortique

•TDM donne des images typiques

•Angiographie numérisée confirme le diagnostique


EMBOLIE PULMONAIRE
Obstruction d’une artère pulmonaire par un caillot de sang

•EP entraine l’apparition d’une douleur thoracique unilatérale, qui


augmente à l’inspiration

•Douleur ressentie comme un coup de poignard

•Dyspnée avec polypnée

•Parfois toux + crachats sanglants


V

•EP massive : syncope, hypo TA, état de choc, mort subite.

Diagnostic : «D-dimères élevée > 500 ng/ml

•Angio- Scanner.

Causes : «pneumonie sur COVID19

•Thrombose veineuse d’une jambe

• Immobilisation, Alitement prolongée.


Pneumothorax
Un pneumothorax correspond à l'accumulation d'air dans la cavité
pleurale. Cet épanchement gazeux situé dans l'espace pleural, entre le
feuillet pariétal et le feuillet viscéral, peut être associé à d'autres
épanchements - liquidien, hématique ou infectieux (hydropneumothorax,
hémopneumothorax ou pyopneumothorax).

La douleur et des signes respiratoires sont au premier plan.


Lorsque le pneumothorax est spontané, la douleur et les difficultés
pour respirer sont au premier plan.

La douleur est brutale, dite en coup de poignard, augmenté par la toux,


et survient au repos ou lors d'un effort, même minime.

La douleur est majorée par la toux et les mouvements. Si le


pneumothorax est important la difficulté respiratoire (dyspnée) peut être
au premier plan. Elle est souvent très angoissante.

La percussion du poumon est tympanique (comme un tambour) et le


murmure vésiculaire sera aboli si le pneumothorax est important : avec
un stéthoscope, les bruits respiratoires ne sont plus entendus.

Le pneumothorax peut, dans certains cas, aboutir à une détresse


respiratoire associant cyanose, pouls accéléré et agitation. La mauvaise
tolérance respiratoire est le premier signe de gravité.

À terme, quand le poumon se rétracte complètement, une insuffisance


respiratoire peut survenir. En cas de décollement des deux poumons,
c’est l’asphyxie aiguë. Si le poumon saigne en même temps, c’est
un hémo-pneumothorax.
Pleurésie

La pleurésie est une pathologie de la plèvre, « membrane qui entoure


les poumons et tapisse la paroi thoracique».

La pleurésie se manifeste sous la forme d'une inflammation ou d'un


épanchement avec la présence d'un liquide dans la cavité pleurale.

D’origine infectieuse : virale, covid19, ou infectieuse «tuberculeuse ou à


germes banaux, peut être d’origine néoplasique, hématologique,
systémique.

Symptômes :
• essoufflement ou difficulté à respirer, qu'on appelle dyspnée;
• toux;
• douleur ou sensation de lourdeur au thorax;
• anxiété;
• peur de suffoquer;
• fièvre;
• malaise, qui est une sensation générale d'inconfort ou de maladie.

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