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EXAMEN D’HEMATOLOGIE CLINIQUE

Troisième année – Premier semestre 2009-2010


Session principale Janvier 2010

QCM

2. Parmi les états suivants, lequel ou lesquels peut (peuvent) être responsable (s)
d’une carence martiale ?
a. régime lacté exclusif
b. gastrectomie
c. maladie coeliaque
d. hématurie microscopique
e. hémorroïdes

5. Au cours d’une anémie mégaloblastique non traitée, il est habituel de trouver


à la NFS :
a. Une leucopénie
b. Une hyperplaquettose
c. Des polynucléaires neutrophiles hypersegmentés
d. Des mégaloblastes
e. Une élévation du RDW

1- Parmi les examens suivants, quel est celui qui permet d'affirmer le diagnostic
d'aplasie médullaire chez un patient qui présente une pancytopénie ?
A- Hémogramme
B- Myélogramme
C- Biopsie médullaire
D- Dosages vitaminiques
E- Sérologies virales

2- Devant une pancytopénie avec une moelle pauvre à la ponction, il peut


s’agir :
A- d’un problème technique
B- d’une myélofibrose
C- d’un type particulier de leucémie aiguë
D- d’une leishmaniose viscérale
E- d’une maladie de surcharge

3- Une pancytopénie est toujours une indication à un myélogramme sauf si :


A- des blastes sont retrouvés sur le frottis sanguin

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B- la thrombopénie est profonde et nécessite une transfusion de plaquettes
C- les réticulocytes sont très élevés
D- elle est modérée et associée à une splénomégalie dont l’étiologie est
connue
E- une sérologie de la leishmaniose est revenue positive

1 – Sur lesquelles des données suivantes est définie une aplasie médullaire très
sévère ?
A – globules blancs inférieurs à 1 000/ nm3
B – polynucléaires neutrophiles inférieurs à 200/ nm3
C – hémoglobine inférieure à 7 g / 100ml
D – réticulocytes inférieurs à 10 000 / mn3
E – plaquettes inférieures à 10 000/ nm3

2 – Parmi les signes cliniques suivants quels sont ceux qu’on retrouve dans la
leucémie myéloïde chronique :
A – crise de colique néphrétique
B – splénomégalie douloureuse
C – paralysie faciale
D – adénopathie périphérique
E – crise de goutte

3 – La leucémie lymphoïde chronique :


A – peut survivre chez l’enfant
B – entraîne un déficit de l’immunité humorale
C – se transforme en lymphome non hodgkinien à grandes cellules
D – peut se compliquer d’une anémie hémolytique auto-immune
E – peut se transformer en leucémie aiguë myéloblastique

4 – Parmi les signes suivants, quels sont ceux qui sont observés au cours de la
leucémie lymphoïde chronique ?
A – hyperleucocytose
B – hyperlymphocytose medullaire
C – érythromyélémie
D – hypergammaglobulinémie
E – hypocalcémie

5 – Parmi les signes suivants, quels sont ceux qui sont observes au cours de la
leucémie lymphoïde chronique ?

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A – hyperleucocytose
B – hyperlymphocytose médullaire
C- myélémie
D – hypogammaglobulinémie
E – CIVD

6 – La leucémie lymphoïde chronique est considérée comme étant de forte


masse tumorale (stade de la classification de BINET) si :
A – deux territoires ganglionnaires sont atteints
B – le taux d’HB est < 10 g /100 ml
C – le taux de plaquettes est < 100 000 / mn3
D – les lymphomes sont > 1 00 000/ mn3
E – les lymphomes sont de phénotype B

7 – Parmi les caractéristiques suivantes d’une adénopathie, lesquelles évoquent


une leucémie lymphoïde chronique ?
A – très volumineuse
B – bilatérale et symétrique
C – inflammatoire
D – compressive
E – indolore

8 – lesquels des signes suivants peuvent annoncer une leucémie aiguë ?


A – purpura
B – amaigrissent
C – sueurs nocturnes
D – fièvre
E – douleurs osseuses

9 – Le diagnostic d’une leucémie aiguë est confirmé par l’un des examens.
Lequel ?
A – l’hémogramme
B – le myélogramme
C – la biopsie ostéo-médullaire
D – l’étude cytogénétique
E – la ponction lombaire

10 – Lesquelles des anomalies métaboliques suivantes sont fréquentes au cours


des leucémies aiguës :
A – alcalose
B – hyper-uricémie

3
C – hyper-phosphorémie
D – hypoglycémie
E – hypokaliémie

11 – Des signes de CIVD sont fréquents au cours de :


A – la leucémie aiguë lymphoblastique
B – la leucémie aiguë promyélocytaire
C – l’érythroleucémie
D – la leucémie aiguë mégacaryoblastique
E – la leucémie myéloïde chronique

12 – La translocation qui caractérise la leucémie aiguë promyélocytaire est :


A – t (4, 11)
B – t (8, 14)
C – t (8, 21)
D – t (9, 22)
E – t (15, 17)

13 – Le site ganglionnaire initial le plus fréquent du lymphome de Hodgkin est :


A – cervical
B – médiastinal
C – axillaire
D – mésentérique
E – inguinal

14 – Parmi les caractéristiques suivantes d’une adénopathie, lesquelles évoquent


un lymphome Hodgkin ?
A – petite taille, bilatérale et symétrique
B – non inflammatoire
C – non compressive
D – très douloureuse
E – fixe par rapport aux plans superficiels et profonds

15 – Lesquels des examens suivants sont systématiques dans le bilan


d’extension du lymphome de Hodgkin ?
A – scanner cérébral
B – scanner thoraco-abdominal
C – scintigraphie osseuse

4
D – biopsie hépatique
E – biopsie ostéomédullaire

16 – Le bilan d’extension d’un lymphome de Hodgkin trouve des adénopathies


médiastinales et rétropértonéales chez un patient apyrétique sans amaigrissement
ni sueurs nocturnes. La VS est à 40 à la première heure. Cette maladie est
classée stade :
A – І Aa
B – ІІ Ab
C – ІІІ Aa
D – ІІІ Ab
E – ІІІ Bb

17 – Au cours d’un purpura thrombopénique auto-immun, l’enquête étiologique


comporte :
A – une sérologie VIH
B – une recherche d’anticorps antinucléaires
C – une recherche d’agglutinines irrégulières
D – une échographie abdominale
E – un caryotype médullaire

18 – Au cours de l’hémophilie majeure, le syndrome hémorragique est de type :


A – hémarthrose
B – hématurie
C – métrorragies
D – purpura ecchymotique
E – hématomes

1- Une aplasie médullaire est très sévère si :


A- les globules blancs sont inférieurs à 1 000/ nm3
B- les polynucléaires neutrophiles sont inférieurs à 200/ nm3
C- l’hémoglobine est inférieure à 7 g / 100ml
D- les réticulocytes sont inférieurs à 20 000 / mn3
E- les plaquettes sont inférieures à 5 000/ nm3

2- En dehors du myélome multiple, un pic monoclonal peut se voir au cours :


A- de la leucémie myéloïde chronique
B- de la leucémie aiguë lymphoblastique
C- de la leucémie lymphoïde chronique

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D- de la macroglobulinémie de Waldenström
E- d’une inflammation chronique

3- La leucémie lymphoïde chronique est caractérisée par :


A- sa fréquence élevée
B- sa survenue à tout âge
C- son diagnostic difficile
D- son évolution très rapide
E- son mauvais pronostic dans la majorité des cas

4- Au cours d’un purpura thrombopénique auto-immun, les signes de gravité


sont :
A- un chiffre de plaquettes à 30 000/mm3
B- un purpura localisé aux membres inférieurs
C- une hémorragie au fond d’oeil
D- des bulles hémorragiques buccales
E- une hémorragie viscérale

5- Au cours de l’hémophilie dans sa forme mineure, le syndrome hémorragique


peut être :
A- hémarthrose spontanée
B- hématurie
C- métrorragies
D- purpura
E- provoqué par un geste chirurgical

2. Parmi ces signes, lequel ou lesquels ne fait ou ne font pas partie du tableau habituel
des leucémies aiguës ?
1- pâleur
2- ictère
3- angine
4- amaigrissement important
5- purpura
3. Les localisations tumorales fréquemment observées dans les leucémies aiguës
lymphoblastiques sont :
1- les adénopathies
2- les localisations gingivales
3- la splénomégalie
4- les localisations méningées
5- les localisations cutanées

1- La NFS au cours des LA montre :


a. Toujours la présence de blastes sanguins
b. Le plus souvent la présence de blastes sanguins
c. Toujours une thrombopénie d’importance variable
d. Toujours une hyperleucocytose

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e. Le plus souvent une hyperleucocytose
2- Parmi les LA, quel est le type le plus fréquent chez l’enfant ?
a. Myéloblastique
b. Lymphoblastique
c. monoblastique
d. promyélocytaire
e. érythroleucémie
3- Vous retenez comme élément de mauvais pronostic d’une LAL
a. Un âge supérieur à 10 ans
b. Une leucocytose > 100.000/mm3
c. Une hémoglobine < 8 g/dL
d. Le sexe féminin
e. Le type Burkitt
4- La leucémie entraîne avec prédilection l’infiltration de :
a. Thyroïde
b. Testicules
c. Myocarde
d. Surrénales
e. Méninges
5- Certains facteurs favorisent l’apparition d’une LA :
a. Exposition aux ultra-violets
b. Trisomie 21
c. Déficits immunitaires primitifs
d. Exposition aux rayons X
e. Dysmyélopoïèses

1. On réunit sous le nom de syndromes myéloprolifératifs (SMP) :


a. la leucémie myéloïde chronique
b. la polyglobulie de Vaquez
c. la leucémie aiguë myéloblastique
d. la thrombocytémie essentielle
e. la myélofibrose primitive
2. Indiquez la ou les propositions exactes :
a. La greffe de moelle est le seul traitement curatif de la LMC
b. Les complications hémorragiques sont les principales complications de la
maladie de Vaquez
c. La thrombocytémie est le syndrome myéloprolifératif dont l’évolution est la
moins grave
d. Une polyglobulie est définie par une augmentation du taux des globules rouges
au-dessus de 6 millions par mm3
e. Une polyglobulie vraie peut être secondaire à une affection rénale
3. Les propositions suivantes concernent la leucémie myéloïde chronique. Indiquez la ou
les propositions exactes
1- survie moyenne supérieure à 10 ans
2- le greffe médullaire est souhaitable, mais elle ne doit être tentée qu’en phase de
transformation aiguë
3- pendant la phase chronique et après réduction de l’hyperleucocytose initiale, le
malade est capable de travailler normalement
4- la médiane de survie après transformation est de quelques mois

7
5- la splénomégalie disparaît le plus souvent grâce au traitement initial
5. Parmi les entités suivantes, quelle (s) est (sont) celle (s) qui s’accompagne (nt)
volontiers d’une polynucléose neutrophile :
1- polyarthrite rhumatoïde
2- lupus érythémateux
3- tabagisme
4- hémolyse aiguë
5- infarctus du myocarde
6. Chez un sujet porteur d’une splénomégalie, la constatation d’une myélémie avec
érythroblastose est évocatrice d’une des affections suivantes:
1- une hémolyse chronique
2- une métastase médullaire
3- une hypertension portale
4- une maladie de Vaquez
5- une myélofibrose
7. Les maladies suivantes sont associées à une augmentation de la masse érythrocytaire:
1- hémangioblastome cérébelleux
2- cardiopathies congénitales
3- fibrome utérin
4- mal chronique des montagnes
5- silicose
8. Une myélémie peut être rencontrée dans :
1- les métastases osseuses des cancers
2- dans les anémies régénératives
3- dans les anémies inflammatoires
4- dans les anémies mégaloblastiques
5- après chimiothérapie anti-mitotique, lors de la phase de régénération
LES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS
1. La leucémie myéloïde chronique est une hémopathie maligne caractérisée par ;
a. Sa survenue chez l’adulte après 70 ans
b. Sa transformation en leucémie aiguë
c. La présence d’une translocation (9;22)
d. Son association à un prurit
e. La présence constante d’adénopathies
2. Le chromosome Philadelphie est une anomalie chromosomique:
a. fréquente au cours de la leucémie myéloïde chronique et de la myélofibrose
primitive
b. caractérisée par une translocation chromosomique
c. annonçant la transformation aiguë de la LMC
d. exceptionnellement absente au cours des LMC
e. pathognomonique de la LMC
3. Parmi les complications suivantes, citer celles qui surviennent au cours de la LMC :
a. crise de goutte
b. priapisme
c. phlébite
d. syndrome cave supérieur
e. leucémie aiguë
4. Quel est le traitement qui permet d’espérer une guérison de la LMC:
a. Interféron
b. Hydréa

8
c. Glivec
d. Auto-greffe de moelle osseuse
e. Allo-greffe de moelle osseuse
5. La transformation aiguë d’une LMC est caractérisée par ;
a. une altération de l’état général
b. la présence de polyadénopathie
c. un pourcentage de blastes circulants supérieurs à 5%
d. la présence d’anomalies surajoutées au chromosome Philadelphie
e. un pourcentage de blastes médullaires supérieur à 50%
6. Une réaction leucémoïde de type myéloïde peut se voir en cas de:
a. abcès sous-phrénique
b. cancer broncho-pulmonaire avec métastases osseuses
c. mononucléose infectieuse
d. hémolyse aiguë
e. coqueluche
7. Le priapisme est généralement vu dans la :
a. leucémie aiguë myéloblastique
b. leucémie myéloïde chronique
c. leucémie aiguë lymphoblastique
d. leucémie aiguë monoblastique
e. leucémie lymphoïde chronique
8. Lesquelles des maladies suivantes peuvent s’associer à une polyglobulie secondaire ?
a. syndrome de Cushing
b. myomatose utérine
c. hypernéphrome
d. cancer gastrique
e. hémangiome cérébelleux
9. Concernant la maladie de Vaquez, quelle(s) est (sont) la (les) propositions exacte(s)?
a. pic de fréquence entre 20 et 50 ans
b. appartient au groupe des syndrômes myélo-prolifératifs
c. transformation en leucémie aiguë possible
d. bénéficie d’un traitement par corticoïdes
e. se complique d’insuffisance respiratoire
10. Quelle est la principale complication à redouter chez un sujet âgé porteur d’une
maladie de Vaquez non encore traitée :
a. transformation en leucémie aiguë
b. thrombose vasculaire
c. fibrose médullaire
d. syndrôme hémorragique
e. ulcérations digestives
11. Chez un sujet polyglobulique, quel (s) est (sont), parmi les signes suivants, celui
(ceux) à retenir en faveur du diagnostic de maladie de Vaquez?
a. Erythrose du visage
b. Céphalées fréquentes
c. Splénomégalie
d. Hématocrite à 52%
e. Hyperplaquettose
12. Tous ces symptômes sont ceux d’une maladie de Vaquez sauf un. Lequel?
a. splénomégalie
b. augmentation du volume globulaire total

9
c. plaquettes supérieures à 400.000/mm3
d. vitesse de sédimentation basse inférieure à 10 mm
e. saturation oxygénée du sang artériel inférieure à92%
13. Le P32 proposé pour le traitement de la maladie de Vaquez :
a. a une durée d’action inférieure à 6 mois
b. est contre-indiqué chez une femme
c. favorise la transformation en myélofibrose
d. peut être leucémogène
e. touche électivement la lignée érythrocytaire
14. Vous découvrez de façon fortuite chez un malade de 70 ans une splénomégalie isolée.
L’hémogramme montre une discrète anémie à 10.5 g /dl, une hyperleucocytose à
14.000/mm3 avec érythro-myélémie. Les plaquettes sont à 450.000/mm3. vous
évoquez en premier lieu :
a. une leucémie aiguë
b. une leucémie myéloïde chronique
c. une myélofibrose primitive
d. un cancer profond
e. une leucémie lymphoïde chronique
15. Dans la myélofibrose primitive on observe habituellement:
a. des déformations érythrocytaires (hématies en larmes)
b. une érythroblastémie
c. une hyperleucocytose au-dessus de 10 000 /mm3
d. une moelle pauvre en ponction
e. une anomalie chromosomique caractéristique des cellules médullaires
16. Une hyperplaquettose peut se rencontrer dans
a. les syndrômes myéloprolifératifs
b. les maladies inflammatoires
c. les carences martiales
d. les hypersplénismes
e. les traitements aux corticoïdes
17. Vous avez à confier à la consultation d’hématologie, des patients atteints des maladies
suivantes. Précisez pour chaque maladie le degré d’urgence de prise en charge:
a. Leucémie aiguë………………….. heures/jours /semaine /mois
b. Maladie de Hodgkin…………….. heures/jours /semaine /mois
c. Leucémie myéloïde chronique….. heures/jours /semaine /mois
d. Myélome………………………… heures/jours /semaine /mois
e. Lymphome non hodgkinien de
l’enfant
heures/jours /semaine /mois
18. Un malade de 55 ans a une splénomégalie volumineuse. Les signes suggérant une
LMC plutôt qu’une myélofibrose sont:
a. une hyperleucocytose au dessus de 50.000
b. présence d’érythroblastes dans le sang périphérique
c. présence de chromosome Philadelphie
d. anémie
e. présence d’une splénomégalie

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QROC

1. Citer 3 états pré-leucémiques

4. Citer, en expliquent brièvement leurs causes, trois complications métaboliques


fréquentes au cours du traitement d’induction des LA

19 – Citer 3 signes cliniques spécifiques de la carence en fer.

20 – Donner une explication physiopathologique à l’ictère dans une anémie


mégaloblastique

21 – Citer 3 causes d’une anémie hémolytique auto-immune à anticorps chaud.

22 – Quels sont les 3 signes cliniques d’une hémolyse intra-tissulaire ?

23 – Citer les 3 mécanismes physiopathologiques à l’origine de l’origine de


l’arrêt de production des cellules hématopoïétiques dans une aplasie médullaire.

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24 - Quels sont les signes cliniques d’une anémie de Fanconi ?

25 - L’étude cytogénétique au cours des leucémies aiguës a deux objectifs.


Lesquels ?

26 - Citer 3 circonstances de découverte du lymphome de Hodgkin.

27 - Les 3 localisations extraganglionnaires les plus fréquents du lymphome de


Hodgkin sont :

28 – Citer 3 aspects possibles d’images ostéolytiques au cours du myélome


multiples :

12

29 – Citer 3 critères cliniques de gravité d’un purpura thrombopénique.

6- Citer 4 diagnostics d’une anémie microcytaire

*
*
*

7- L’examen qui confirme le diagnostic d’une anémie ferriprive est :

8- Citer 2 diagnostics différentiels d’une anémie mégaloblastique

*
*

9- Décrire l’aspect d’une anémie mégaloblastique au myélogramme

10- Citer 4 médicaments qui peuvent entraîner une carence en folates

*
*
*
*

13
11- Décrire les troubles neurologiques qui peuvent se voir au cours de l’anémie
de Biermer

12- Citer 4 signes biologiques qui confirment la nature hémolytique d’une


anémie associée à un ictère

*
*
*
*

13- Quel est l’examen qui confirme le diagnostic d’une aplasie médullaire

14- Citer 3 examens à demander dans cadre du bilan étiologique d’une aplasie
médullaire

*
*
*

15- Citer 3 points en commun entre les syndromes myéloprolifératifs

*
*
*

16- Citer 4 entités des syndromes myéloprolifératifs

*
*
*

14
17- Citer les 3 modes de présentation de l’hémoglobinurie paroxystique
nocturne

*
*
*

18- Quels sont les deux types de leucémies aiguës qui peuvent donner plus
fréquemment une localisation neuro-méningée ?

*
*

19- Citer 2 complications d’une leucémie aiguë hyperleucocytaire

*
*

20- Citer 3 anomalies cytogénétiques fréquentes au cours des leucémies aiguës

*
*
*

21- Décrire les données du myélogramme au cours d’un myélome multiple

22- Citer 4 examens biologiques indispensables pour la classification d’un


myélome multiple

*
*
*
*

15
23- Citer 5 complications du myélome multiple

*
*
*
*
*

24- Quels sont les taux du facteur VIII permettant de définir la sévérité d’une
hémophile A ?

Cas clinique n°1

Une femme de 32 ans consulte pour des signes fonctionnels d’anémie. À


l’interrogatoire, on trouve la notion de ménométrorragies depuis 3ans.
L’hémogramme montre des globules blancs à 6000 / mm3 avec une formule
normale, l’hémoglobine est à 6 g/ 100ml (avec un VGM à 65 µ³, une TCMH
à 22 pg et des réticulocytes à 20000/ mn³) et les plaquettes à 330 000/mn³.

30 – Donner les caractéristiques de cette anémie.

31 – Quel est son mécanisme présumé ?

32 – Quel est l’examen qui permet de confirmer formellement ce diagnostic et


quel serait son résultat ?

33 – Quelle étiologie doit être recherchée en premier lieu ?

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Cas clinique n°2

Un patient de 70 ans consulte pour un syndrome anémique, des douleurs


osseuses surtout au niveau du rachis dorsal rebelles à un traitement
antalgique par Paracétamol et une diminution de la force motrice des 2
membres inférieurs. La radiographie du rachis dorsal montre des
tassements vertébraux multiples. L’hémogramme montre des globules
blancs à 8400/mn3 avec une formule normale, l’hémoglobine est à 6 g/100ml
et les plaquettes à 180 000/mn3. L’électrophorèse des protéines stériques
montre un pic à base étroite à 82 g/l migrant au niveau des gammaglobuline
est à 320 µmole/l.

34 – Quel est votre hypothèse diagnostique ?

35 – Comment la confirmer ?

36 – Quels sont les examens biologiques à demander pour compléter le bilan de


cette maladie ?

37 – Quelle est la classification clinico-biologique utilisée et quelle est


l’exploration qu’il faut demander ?

38 – Quelle est la complication à redouter chez ce parient et quelle est


l’exploration qu’il faut demander en urgence ?

39 – Citer 3 autres complications possibles de cette maladie.

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40 - Donner 2 explications possibles à cette anémie.

Cas clinique n°1

Une femme de 25 ans consulte pour adénopathie cervicale droite de 4 cm


évoluant depuis 2 mois sans contexte fébrile. La radiographie du thorax
montre un élargissement médiastinal avec un rapport médiastino-
thoracique de 0.27. Une adénectomie est pratiquée et conclut à un
lymphome de Hodgkin de type sclérose nodulaire. La vitesse de
sédimentation est de 30 mm à la première heure.

25- Quels sont les examens nécessaires pour compléter le bilan d’extension ?

26- Quels sont les signes cliniques d’évolutivité à rechercher chez cette
patiente ?

27- Quels sont les examens biologiques d’évolutivité à demander chez cette
patiente ?

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28- Quels sont les éléments de mauvais pronostic chez cette patiente si le bilan
demandé est normal ?

Cas clinique n°2

Un patient de 70 ans consulte pour des adénopathies cervicales et axillaires


bilatérales et symétriques de 1 à 2 cm. L’hémogramme montre des globules
blancs à 55 000/mm3 avec neutrophiles à 10% et lymphocytes à 90%,
l’hémoglobine est à 13 g /100 ml et les plaquettes à 275 000/mm3.

29 - Quel est le diagnostic le plus probable ?

30- Quel est l’examen qu’il faut demander pour confirmer ce diagnostic ?

31 - Quel est son stade anatomo-clinique ?

32 - Citer 3 complications possibles de cette maladie.

*
*
*

Cas clinique n°3

Un homme de 52 ans consulte pour douleur de l’hypocondre gauche.


L’examen trouve une splénomégalie à 4 cm au dessous du rebord costal.
L’hémogramme montre des globules blancs à 78 000/mm3 avec des
polynucléaires neutrophiles à 47%, des lymphocytes à 5%, des monocytes à
1%, des polynucléaires basophiles à 10%, des granulocytes jeunes à 37% ;
une hémoglobine à 13 g/100 ml et des plaquettes à 860 000/mm3.

33 - Quelle est votre hypothèse diagnostique?

19
34 - Comment la confirmer ?

35 - Quels sont les éléments de mauvais pronostic chez ce patient ?

36 - Citer 3 complications de cette maladie.

*
*
*

Cas clinique n°4

Une femme de 32 ans consulte pour des signes fonctionnels d’anémie, fièvre
et gingivorragies. L’hémogramme montre des globules blancs à
22000 / mm³ avec des polynucléaires neutrophiles à 4%, des lymphocytes à
10% et des blastes à 86%, l’hémoglobine est à 8 g/ 100ml et les plaquettes à
33 000/mn³.

37 - Quelle est votre hypothèse diagnostique?

38 - Quel est l’examen qu’il faut demander pour confirmer ce diagnostic ?

39 - Quel est le type attendu de cette maladie ?

40 - Quel est le bilan qu’il faut demander pour évaluer les conséquences de cette
maladie ?

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CAS CLINIQUE 1
Une hypertension artérielle a été découverte chez un homme de 53 ans. Un traitement
hypotenseur comprenant Furosémide 20 mg/jour a été entrepris. Aucun antécédent
particulier n’est à retenir. On note la consommation régulière de 4 à 5 cigarettes par jour.
L’examen clinique de cet homme en bon état général montre un pôle de rate débordant de
2 à 3 cm. L’auscultation pulmonaire est normale, les fosses lombaires souples. Il n’a pas
de cardiopathie valvulaire à l’auscultation.
La numération sanguine trouve les résultats suivants : Globules rouges 7.750 000/mm3
Hémoglobine 18.7 g/dl, hématocrite 57%, VGM 73 fl, globules blancs 16.000/mm3 (89%
de polynucléaires neutrophiles, 10% de lymphocytes) plaquettes 365.000/mm3. La VS est
de 2 à la première heure. Le volume globulaire est chiffré à 45 ml/kg de poids.
1. Au vu des données des examens complémentaires (hémogramme, volume globulaire
isotopique) on peut retenir:
a. une polyglobulie normocytaire
b. une polyglobulie microcytaire
c. une polynucléose
d. une hyperplaquettose
e. une lymphopénie
2. Quel diagnostic étiologique peut être considéré comme le plus probable au vu des
données cliniques et biologiques :
a. polyglobulie d’intoxication tabagique
b. polyglobulie par hémoconcentration chronique
c. thalassémie mineure
d. polyglobulie primitive (maladie de Vaquez)
e. hypersplénisme
3. Quel (s) argument (s) vous font évoquer ce diagnostic?
a. la présence d’une splénomégalie
b. le taux de plaquettes
c. le taux des polynucléaires
d. le taux du VGM
e. la prise de diurétiques au long cours
4. Quel (s) est (sont) l’(les) examen (s) utile (s) pour appuyer le diagnostic étiologique :
a. échographie rénale
b. gazométrie sanguine
c. électrophorèse de l’hémoglobine
d. myélogramme
e. caryotype
5. En cas de non correction des anomalies hématologiques, vous redoutez la survenue d’
a. accident thrombotique artériel
b. thrombose veineuse
c. hyperuricémie
d. polynévrite
e. prurit
CAS CLINIQUE 2
Un homme de 32 ans consulte pour une discrète baisse de l’état général et une pesanteur de
l’hypocondre gauche. L’examen met en évidence une rate débordant de 4 cm. La NFS est la
suivante : GR= 4.700 000/mm3, Hb = 13.5 g/dl Ht = 44 %. GB= 87.000/mm3 P Neutros=
38%, P Eosinos= 2%, P Basos= 13%, Lymphos= 5%, Myéloblastes= 2%, Promyélocytes=
5%, Myélocytes= 19%, Myélocytes= 19%, Métas= 16%. Plaquettes= 485.000/mm3.
1. Quel est le diagnostic compatible avec ces données:

21
a. leucémie lymphoïde chronique
b. leucémie myéloïde chronique
c. leucémie aiguë lymphoblastique
d. leucémie aiguë myéloblastique
e. splénomégalie myéloïde
2. Ce diagnostic devra être confirmé par:
a. un myélogramme
b. un caryotype
c. un groupage HLA
d. une immunoélectrophorèse
e. une biopsie de moelle
3. Quelle est la médiane de survie dans cette affection:
a. identique à la population saine du même âge
b. 3 à 6 mois
c. 1 à 2 ans
d. 2 à 4 ans
e. 5 à 10 ans
4. Parmi les complications suivantes, on pourra observer chez ce malade :
a. goutte
b. priapisme
c. prurit
d. polynévrite des membres inférieurs
e. infarctus splénique
5. Parmi les évolutions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) susceptible (s) de
survenir chez ce patient ?
a. transformation en leucémie aiguë lymphoblastique
b. transformation en leucémie aiguë myéloblastique
c. transformation en maladie de Hodgkin
d. myélofibrose
e. transformation en leucémie lymphoïde chronique
1. Une hyperlymphocytose sanguine peut se retrouver lors :
a. D’une leucémie lymphoïde chronique
b. D’une mononucléose infectieuse
c. D’un lymphome Hodgkinien
d. D’un myélome multiple
e. D’un syndrome myélodysplasique
2. La NFS d’une LLC stade A comporte :
a. Una anémie < 100 g/dL
b. Une hyperleucocytose
c. Une monocytose
d. Une hyperlymphocytose
e. Une thrombopénie < 100.000/mm3
3. Une LLC de stade A est découverte chez une femme de 72 ans. Vous devrez
demander :
a. Une biopsie médullaire
b. Un scanner thoracique
c. Une électrophorèse des protides
d. Une biopsie ganglionnaire
e. Un typage HLA
L1.Concernant la LLC, répondez aux propositions suivantes par vrai ou faux :

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Vrai-Faux
a. C’est le plus souvent une prolifération de lymphoblastes immatures 
b. Il y a une hyperlymphocytose polyclonale de lymphocytes matures B 
c. L’hyperlymphocytose est le plus souvent faite de lymphocytes
matures B, d’origine monoclonale

d. C’est une maladie touchant surtout la femme jeune 
e. C’est une maladie touchant surtout l’homme d’âge mûr 
f. Le plus souvent, les adénopathies sont unilatérales, et sont souvent
compressives lorsqu’elles sont médiastinales

2. Concernant la LLC, dans sa forme habituelle, lesquelles de ces propositions sont
vraies :
f. il y a toujours une anémie dont l’origine cependant peut être variable
g. il y a le plus souvent une thrombopénie
h. il y a le plus souvent une thrombocytose
i. l’hyperleucocytose porte aussi sur les polynucléaires neutrophiles
j. il y a souvent une importante lymphoblastose sanguine
k. le myélogramme est indispensable
l. seule l’immunité humorale est perturbée

3. Parmi ces examens complémentaires, lesquels (lequel) vous paraissent importants pour
le bilan d’une LLC ?
m. scanner thoraco-abdominal
n. caryotype médullaire
o. biopsie de moelle
p. acide urique
q. caryotype médullaire
r. électrophorèse sérique
4. Parmi les hémopathies suivantes, quelle (s) est (sont) celle (s) qui a (ont) un pic de
fréquence chez l’adulte jeune (20 à 40 ans) ?
a. LLC
b. LMC
c. Lymphome Hodgkinien
d. Myélome multiple
e. Syndrome myélodysplasique
5. Chez un homme de 50 ans consultant pour une fièvre à 40C, on a l’hémogramme
suivant : Hb = 12g/dl, leucocytes = 2000/mm3, polynucléaires neutrophiles = 5%,
lymphocytes = 90%, monocytes = 5%, plaquettes = 240 000/mm3. Quelle (s)
maladie(s) doit-on suspecter ?
a. leucémie aiguë lymphoblastique
b. leucémie aiguë myéloblastique
c. leucémie lymphoïde chronique
d. aplasie médullaire
e. aucune des propositions précédentes n’est exacte
CAS CLINIQUE 1
Frej B… 62 ans, retraité, vous consulte pour un bilan avant anesthésie générale pour une
hernie. L’examen clinique de ce patient, en excellente forme, est normal, hormis l’hernie.
La numération formule sanguine montre : Hb = 14g /dl, leucocytes 15.000/mm3 dont 25% de
neutrophiles, 70 % de lymphocytes, 5% de monocytes. Plaquettes à 325.000/mm3

23
a. Comment analysez-vous la numération?
b. Compte tenu du contexte clinique, quelles sont vos hypothèses diagnostiques?
c. Quels examens demanderez-vous pour le confirmer?
d. Quel est le diagnostic retenu?
e. Pensez-vous que la maladie dont il est atteint risque de poser un problème pour
l’anesthésie ou la chirurgie?
CAS CLINIQUE 2
Tahar T… 71 ans consulte pour une angine fébrile avec dysphagie. Il est en assez bon état
général. Il déclare avoir maigri de 4 à 5 kg depuis un an.
A l’examen existe une hypertrophie bilatérale des amygdales, de multiples adénopathies
cervicales et sus-claviculaires mobiles et indolores. La palpation abdominale révèle une
splénomégalie débordant de 6 cm le rebord costal. L’hémogramme donne les résultats
suivants : GR = 3.600 000/mm3 GB = 86.000/mm3 P neutrophiles = 18%, éosinophiles = 2%,
lymphocytes = 78%, Monocytes = 2%, Hémoglobine = 11.8 g/dl, Plaquettes = 112.000/mm3
1. Quel diagnostic évoquez-vous ?
a. Leucémie aiguë
b. Maladie de Hodgkin
c. LLC
d. LMC
e. Mononucléose infectieuse
2. Indiquez les 2 examens qui vous paraissent les plus importants pour compléter votre
bilan hématologique :
a. Myélogramme
b. Electrophorèse des protéines sériques
c. Biopsie ganglionnaire
d. Sérologie EBV
e. Test de Coombs
3. Quelles sont les complications que vous pouvez redouter ?
a. syndrome hémorragique
b. transformation en leucémie aiguë myéloblastique
c. anémie hémolytique auto-immune
d. infections sévères
e. thromboses vasculaires
4. Si la thrombopénie se majore, quelles sont les hypothèses diagnostiques qu’il vous
paraît raisonnable d’évoquer ?
a. hypersplénisme
b. insuffisance médullaire
c. coagulation intra-vasculaire
d. thrombopénie de mécanisme immunologique
e. thrombopénie d’origine virale
5. Si au cours de l’évolution, vous constatez les signes suivants : altération de l’état
général, fièvre, augmentation rapide de volume d’une des adénopathies, à quoi
penserez-vous en priorité ?
a. adénite tuberculeuse
b. transformation lymphomateuse
c. transformation en leucémie aiguë
d. toxoplasmose
e. rechute

1. Concernant le lymphome hodgkinien :

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a. c’est une maladie fréquente au-delà de 60 ans
b. elle ne se voit jamais avant l’âge de 3 ans
c. son point de départ est médullaire
d. sa propagation est sanguine et lymphatique
e. l’espérance de guérison des stades localisés est proche de 100%
2. Devant une adénopathie cervicale, quel est l’examen qui permet d’en affirmer le
caractère malin ?
a. le myélogramme
b. la palpation des autres aires ganglionnaires
c. la radiographie pulmonaire
d. la biopsie ganglionnaire
e. aucun de ces examens
3. Une patiente de 30 ans, en excellent état général, présente des adénopathies
médiastinales découvertes à une radio thoracique lors d’un examen de médecine de
travail; il n’existe aucun signe biologique inflammatoire. Quel est, parmi les suivants,
le diagnostic le plus probable ?
a. lymphome hodgkinien
b. lymphome non hodgkinien
c. sarcoïdose
d. toxoplasmose
e. tuberculose
4. Devant une fièvre isolée, on recherche en faveur d’un lymphome hodgkinien :
a. un prurit généralisé
b. une hyperlymphocytose sanguine
c. une hyperlymphocytose médullaire
d. une inversion de la formule leucocytaire
e. une négativité de l’intradermo-réaction à la tuberculine
Bonnes réponses 1. b-d-e 2. d 3. c 4. a-e
LYMPHOME D1. Les adénopathies, dans la maladie de Hodgkin, ont tous les caractères
suivants, sauf
un. Lequel ?
a. volume variable
b. douloureuses à la pression
c. topographie asymétrique
d. non inflammatoires
e. fermes
2. La ponction d’une adénopathie cervicale haute isolée a permis de mettre en évidence
des cellules de Sternberg. Quel examen complémentaire doit-on pratiquer en priorité ?
a. biopsie médullaire
b. scanner abdomino-thoracique
c. biopsie ganglionnaire
d. examen ORL
e. myélogramme
3. Après un bilan complet, un sujet atteint de maladie de Hodgkin présente les signes
suivants : adénopathies médiastinales, splénomégalie, fièvre, amaigrissement. Quel est
le stade clinique de la maladie ?
a. IB
b. IIA
c. IIB
d. IIIB

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e. IVA

4. Un malade de 35 ans traité 5 ans auparavant par chimiothérapie MOPP et


radiothérapie, vous consulte pour fatigue, fièvre intermittente et épistaxis. A l’examen,
il est pâle et a de multiples pétéchies. Quel est le diagnostic le plus probable ?
a. rechute de maladie de Hodgkin
b. leucémie aiguë myéloblastique
c. infection virale
d. leucémie aiguë lymphoblastique
e. aucune des propositions précédentes n’est exacte
5. Une ou plusieurs des attitudes suivantes, à visée diagnostique, est (sont) acceptable (s)
devant des adénopathies médiastinales, de nature hodgkinienne suspecte :
a. chercher des adénopathies périphériques et les biopsier
b. faire un myélogramme
c. faire une biopsie de moelle
d. faire une biopsie sous médiastinoscopie
e. attendre l’apparition d’adénopathies périphériques
EUCÉMIE

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