Madame Victoria Pinto

8, avenue Champs-Élysées
1786, Paris.

Maison d’édition spécialisée en littérature jeunesse

5, rue du Panthéon
5674, Paris.

Monsieur/Madame,
Je vous écris en raison de votre dernier magazine pour la jeunesse. Alors, dans les
magazines « littérature pour la jeunesse » nous retrouvons beaucoup d’histoires et
contes pour nos enfants, mais il y a aussi beaucoup d’histoires qui renforcent le
sexisme et le stéréotypes dans la tête de nos gamins, surtout dans le dernier magazine,
en qu’( DANS LEQUEL) au-delà d’écrit (D’ÉCRIRE) les contes très anciens des princesses,
disait encore (QU’IL Y A DES...ET DES...) les couleurs et les jouées (JOUETS) déterminés
pour chaque enfant, mais déterminé pour (PAR) qui ?

Tout d’abord, on doit remarquer qu’il n’y a pas de couleurs et (NI) de trucs (D’OBJET)
déterminés pour chaque sexe, cette idée vient des modèles imposés par une société
qu’est (QUI) encore machiste e qui a été criée (CRÉÉE) sur le patriarcat,
malheureusement. Mais, aujourd’hui, en plein siècle XXI, il y a de moins en moins
d’espace pour ce type de pensée.

Donc, chaque fois plus, les parents adoptent une éducation non genrée, car ce type de
pensée rétrograde est combattu depuis l’enfance, pour éviter, par exemple, des actes
violents dans le futur. Parfois, les personnes pensent que (CE SONT) son des bêtises,
trucs d’enfant (DE QUELQUE CHOSE D’INFANTIN), mais non, parce qu’est dans le
sexisme ordinaire que toute la discrimination basée sur le genre commence et après
c’est très difficile de changer la tête de l’être humain.

En plus, les contes traditionnels, des princesses inoffensives en attendant toujours son
prince, n’ont plus de sens dans le monde d’aujourd’hui, c’est n’est pas notre réalité,
(ELLE) n’a jamais été. Alors, au lieu de mettre dans votre magazine (DES) contes
comme celles-ci (CEUX-CI), vous devriez mettre des conseils et d’histoires pour
conscientiser sur le sexisme, les abus sexuels qu’à chaque fois augmentent plus,
comme par exemple montrer, à travers des mots appropriés pour les enfants, ce qui
quelqu’un peut ou non faire avec leurs corps, ce qui doit être faire (FAIT) dans ce cas-là
etc.

Finalement, je souhaite que vous changiez le contenu de votre magazine pour

s’adapter à notre société que (QUI), heureusement, est en train d’évoluer, pour que les
parents n’arrêtent pas d’acheter des magazines « littérature pour la jeunesse » et pour
que nos enfants aient un contenu très important pour le monde d’aujourd’hui.

Dans l’attente d’une attitude compréhensive de votre part, je vous prie d’agréer,
Monsieur/Madame, mes salutations distinguées.
Victória Pinto.