Documente Academic
Documente Profesional
Documente Cultură
Pourquoi
un
cours
de
déontologie
?
Aujourd’hui
le
profit
est
la
finalité
principale
des
grandes
entreprises.
Mais
le
profit
comme
unique
finalité
risque
d’entrainer
des
dérives
non
éthiques.
Qui
seront
peut-‐être
rejetées
par
le
consommateur
(de
plus
en
plus
informé,
investi,
conscient,etc).
Le
consommateur
face
aux
marque
:
-‐ Absorbe,
subit,
se
laisse
faire,
ne
critique
pas
=>
Pas
de
choix
réel
-‐ Se
soumet,
est
fataliste,
se
sent
impuisant
=>
Ebauche
de
prise
de
position
-‐ Prend
le
contre
pied,
choisit,
intervient
=>
Choix
Se
soumet
à
‘80-‐’90
Fin
années
‘90,
2000,
le
conso
se
renseigne,
choisit,
et
intervient
dans
ce
qu’il
achete
(Même
raisonnement
pour
les
institutions)
Aujourd’hui,
les
questions
éthiques
(ex:
respect
et
bien
être
au
travail)
sont
des
questions
primordiales.
Progressivement,
le
consommateur
exige
que
la
marque
se
positionne
sur
un
axe
éthique.
La
campagne
de
Dove
«
Matraquage
»
Matraquage
de
dove
à
“parlez
a
votre
fille
avant
que
l’industrie
de
beauté
ne
le
fasse”
Contrepied
de
greenpeace
(reaction
sur
celle
de
dove)
à
“talk
to
dove
before
it’s
too
late”
(ils
enlèvent
les
arbres
et
les
tères
pour
l’huile
de
palme
pour
leurs
produits)
L’émergence
du
marketing
responsable
Qu’est
ce
que
l’utilité
d’un
bien?
Qu’est-‐il
raisonnable
de
produire?
Qui
répond?
L’entreprise
ou
le
client?
=>
Enjeux
de
légitimité
et
de
réputation
(capital
immatériel
de
l’entreprise)
incite
le
marketing
à
devenir
Est-‐ce
éthique
de
commercialiser
un
produit
comme
celui-‐ci?
(exemple
de
produit
complétement
ridicule,
sans
raison-‐d’etre
dans
notre
économie)
Du
point
de
vue
du
consommateur
Les
consommateurs
vont
être
progressivement
sensibilisés
et
incités
à
acheter
des
produits
«
de
bonne
qualité
sociale
»
Les
consommateurs
voudront
progressivement
être
sûrs
que
les
entreprises
produisant
les
produits
qu’ils
achètent,
respectent
les
droits
sociaux
fondamentaux.
ð De
consommateur
à
consomm’acteur???voir
Achact
asbl
Oxfam
à
garantie
que
les
produits
sont
faits
dans
de
bonnes
conditions
(bénéfices
qui
sont
retournés
aux
producteurs)
Lush,
Body
shop,
patagonia
(vêtements
a
base
de
bouteilles
pvc
récyclés),
exki
(pas
metre
nimportequoi
dans
l’asiette,
reverser
de
l’argent
aux
associations)
De
consommateur
à
consomm’acteur
à
Expliquer
a
l’exam!
Ethique:
avec
tout
coté
responsable,
consience
morale
etc
On
va
l’appliquer
dans
un
milieu
économique
dans
ce
cours.
Les
gens
prennent
des
décisions
en
âme
et
concience
avec
des
conséquences
moins
négatives
possibles
Fondements
de
l’Ethique
L’ETHIQUE
est
l’étude
de
la
nature,
de
la
fonction
et
de
la
valeur
des
jugements
moraux.
LES
JUGEMENTS
MORAUX
nous
servent
à
évaluer
les
actions
posées
ou
envisagées,
les
intentions,
les
personnes,
les
institutions
politiques/économiques/juridiques.
A
quoi
sert
l’Ethique,
quel
est
son
rôle?
L’éthique
permet
de
faire
des
évaluations
morales
plus
réfléchies,
plus
critiques,
plus
rationnelles
du
comportement
d’autrui,
de
l’organisation
sociale
ou
encore
des
décisions
que
nous
devons
prendre
concernant
nos
propres
comportements.
L’éthique
nous
permet
de
nous
positionner
précisément
et
ce
que
ce
soit
en
tant
que
spectateur
ou
en
tant
qu’acteur.
Éthique
individuelle:
Étudie
et
analyse
les
problèmes
moraux
auxquels
je
suis
confronté
chaque
jour.
Ethique
collective:
Etudie
et
analyse
des
problèmes
moraux
qui
se
posent
à
une
collectivité.
Ex:
La
question
de
savoir
quels
investissements
humains
et
matériels
réaliser
dans
les
services
réservés
aux
soins
des
bébés
nés
prématurément
est
une
question
d’éthique
collective.
Ethique
et
conscience
morale:
ð La
conscience
morale
est
la
capacité
qu’à
l’esprit
humain
de
porter
des
jugements
sur
la
valeur
morale
de
certains
actes
déterminés.
ð La
conscience
morale
reflète
l’idéologie
du
groupe
de
référence
auquel
l’individu
s’identifie.
ð Elle
est
altérée
chez
les
alcooliques
et
le
toxicomanes
et
presque
annulée
chez
la
personne
perverse
qui
est
froide,
calculatrice
et
ne
tient
compte
que
de
sa
propre
satisfaction.
ð Tout
être
humain
n’a
pas
une
conscience
morale(pervers,
psychopathes
)
1ere
flêche
à
Tout
le
monde
a
une
conscience
morale,
ceux
qui
en
ont
pas
=
psychopathe
3ème
à
concience
et
abimé
chez
les
personnes
sous
‘emprise
de
l’alcool/drogue
Brandt,
en
1979,
a
décrit
les
attitudes
caractéristiques
d’une
personne
ayant
une
conscience
morale:
1. Aversion
pour
certains
types
d’actions
2. comparer
l’intensité
de
ses
aversions
3. se
sentir
coupable
4. désapprouver
certains
comportements
5. admirer
autrui
pour
certaines
actions
6. désapprouver
l’absence
d’aversion
chez
autrui
7. Elle
considère
qu’il
y
a
une
justification
rationnelle
(savoir
expliquer
à
l’exam)
Les
questions
qui
relèvent
de
l’éthique
Exemples
de
questions
en
tant
que
spectateur
• Que
penser
des
gens
qui
gardent
le
silence
alors
qu’ils
savent
que
certains
enfants/certaines
femmes
ou
personnes
âgées
sont
victime
de
violence?
• A
partir
de
quand
peut-‐on
dire
d’un
travailleur
qu’il
est
exploité?
• Doit-‐on
avoir
une
position
neutre
face
aux
pratiques
de
mutilation
sexuelle
pratiquées
dans
certains
pays?
• A-‐t-‐on
le
devoir
de
dénoncer
ceux
qui
fraudent
l’impôt?
Ceci
doit
réveiller
chez
nous
un
sense
d’éthique
Exemples
de
questions
en
tant
qu’acteur
• Devrais-‐je
m’intéresser
à
l’actualité
politique?
• Devrais-‐je
boycotter
une
compagnie
qui
pollue
l’environnement?
• Devrais-‐je
faire
une
fausse
déclaration
à
ma
compagnie
d’assurances?
• Devrais-‐je
donner
de
l’argent
aux
organismes
de
charité
et
si
oui,
combien?
• Devrais-‐je
voter
aux
prochaines
élections?
Définir
une
valeur
(Kant)
• C’est
ce
qui
fait
qu’un
homme
est
prêt
à
sacrifier
sa
vie,
plutôt
que
de
transgresser
son
devoir
et
que
celui-‐ci
ait
conscience
de
maintenir
et
d’honorer,
dans
sa
personne,
la
dignité
de
l’humanité.
• Par
comparaison
avec
les
normes,
les
valeurs
n’indiquent
que
ce
qui
est
préférable….Elles
sont
la
base
du
jugement
Kant
=
philosophe
A
l’exam
elle
sait
nous
demander
«
pour
vous,
c’est
quoi
une
valeur?
»
On
se
fait
des
jugement
moraux
sur
base
de
nos
valeurs
à
Reprendre
ceci
dans
notre
eportfolio
(parler
de
nos
valeurs)
La
morale
:
Ensemble
de
principes
à
dimension
universelle,
normative,
inconditionnelle
voire
dogmatique,
fondée
sur
la
discrimination
entre
le
bien
et
le
mal,
relevant
de
la
sphère
du
devoir.
Si
la
dimension
pratique
n’en
est
pas
absente,
c’est
l’intention
qui
est
déterminante
et
non
les
conséquences
de
l’acte.
L’éthique
:
Règles
particulières
relatives
à
des
situations
déterminées,
basées
sur
l’opposition
entre
le
bon
et
le
mauvais,
l’utile
et
l’inutile,
hypothétiques
car
rattachées
aux
conditions
concrètes
de
l’acte
et
à
ses
conséquences.
Inconditione
=
on
ne
discute
pas
sur
le
fait
que
tuer
est
mal
Dogmatique
=
ex:
avortement
Comprendre
que
éthique
est
les
concéquences
des
choix,
pour
exam
on
doit
réfléchir
par
raport
a
l’économie
(des
cas
lié
a
l’économie)
Réfléchir
a
l’organisation
des
entreprises,
réflections
marketing,
commercial,…
L’éthique
=
une
métamorale
• L’éthique
n’a
pas
de
territorialité
(
la
loi
du
bien)
• Elle
se
réfère
à
des
valeurs
non
dites
(implicites)
• Elle
n’est
pas
universelle
(la
morale
oui)
• Elle
est
identitaire
• Elle
a
une
vocation
pratique
et
tente
de
trouver
une
rationalité
de
la
conduite
Elle
n’est
pas
universelle
à
Lié
a
un
secteur,
domaine
de
réflection
Elle
est
identitaire
à
Elle
permet
de
se
construire
une
identité,
chacun
a
sa
propre
éthique
Pourquoi
une
réflexion
éthique
dans
les
affaires?
Cette
réflection
a
une
disaine
d’années
Pour
un
oui
ou
non
on
délocalise,
pck
ca
coute
un
tiers
du
prix,
on
a
pas
de
protection
du
travailleur
à
DANGER
MONDIAL
1ère
raison:
Une
éthique
nécessaire
qui
s’impose
lentement
au
commerce
international
critères:
• Le
respect
du
droit
du
travail
• Une
prise
en
considération
suffisante
des
salariés
• Le
respect
des
règles
de
sécurité
• Le
respect
de
l’environnement
• Le
développement
des
pays
avec
lesquels
on
échange
• Des
principes
éthiques,
de
nature
non
discriminatoire,
concernant
le
recrutement
au
sein
des
entreprises
‘
personnes
handicapées,
étrangers,
etc
)
2ère
raison:
L’éthique
permet
d’améliorer
le
«
niveau
moral
»
des
acteurs
de
l’entreprise
et
de
les
faire
évoluer
à
différents
stades
• Stade
1:
Obéissance
par
crainte
de
la
punition
• Stade
2
:
Recherche
de
récompense
• Stade
3
:
Conformité
sociale
• Stade
4
:
Légalisme
• Stade
5
:
Morale
du
contrat,
prise
en
compte
des
droits
individuels
• Stade
6
:
Adoption
des
principes
d
’éthique
universelle
et
respect
mutuel.
3è
raison:
Le
modèle
actuel
n’est
pas
durable
•
Production
et
population
augmentent
à
un
rythme
soutenu.
•
L’empreinte
écologique
globale
dépasse
déjà
la
capacité
biologique
de
la
terre
de
25%
Problème
:
la
pérennité
du
système
économique
repose
sur
la
croissance
Symptômes
du
malaise
:
capitalisme
sans
projet,
dictature
du
court
terme,
creusement
des
inégalités,
atteintes
à
la
biodiversité,
changement
climatique
etc…
Le
modèle
actuel
n’est
pas
durable!
Si
on
ne
fait
pas
qqch,
on
abime
fortement
la
planète
Les
3
âges
du
business
responsable
• L’âge
de
l’image:
de
1990
à
2000
• L’âge
de
l’avantage:
de
2000
à
2010
• L’âge
de
la
sanction:
de
2010
à
aujourd’hui
Qques
principes
actuels
incontournables
d’aujourd’hui:
v La
transparence
absolue
est
de
mise
v Les
E
doivent
agir
avant
que
qqu’un
d’autre
ne
le
fasse
à
leur
place
(danger
des
rumeurs
sur
les
réseaux
sociaux)
v ¾
des
consommateurs
pensent
que
le
changement
social
appartient
aux
E
et
non
aux
pouvoirs
publics
v Les
E
et
leurs
patrons
seront
jugés
à
leur
façon
de
réagir
face
aux
problèmes.
Vers
une
«
nouvelle
économie
»
du
développement
durable
L’alternative
est
la
suivante
:
•
La
décroissance
•
Inventer
un
autre
modèle
de
croissance
DEFIS
:
⇒Découpler
production
et
consommation
de
ressources
⇒
Sortir
de
l’idéologie
du
«
toujours
plus
»
⇒
Passer
d’une
économie
linéaire
à
une
économie
circulaire
⇒
Intégrer
de
nouveaux
indicateurs
de
gestion
(People
–
Planet
-‐
Profit)
Double
digit
=
croissance
a
2
chiffres
à
Au
dessus
des
10%
tout
ce
qui
sort
de
la
machine
a
production,
devrait
pouvoir
etre
réintégré
dedans
(cradle
to
cradle)
Un
nouveau
regard
sur
le
marché.
Services
à
la
personne
=>
Crèche
pour
personnes
âgées,
collocation
étudiants/séniors
Loisirs
=>
Tourisme
vert,
tourisme
équitable
Bien
d’équipement
=>
Equipement
partagés
(laverie
dans
habitat
collectif)
Alimentation
=>
L’alimentation
Bio
Construction
=>
Eco-‐habitat
Production
d’énergie
=>Panneaux
solaires,
les
pompes
à
chaleur,
les
aérogénérateurs
Déplacements
=>
Aires
de
co-‐voiturage,
infrastructures
pour
des
modes
de
déplacements
«
doux
»
(ex
:blablacar)
Lire
l’article:
Enquete
de
sens
est
plus
sur
les
morales
que
sur
les
projets
concrets
• Succès
du
film
«
DEMAIN
»
et
sa
controverse…..
http://www.investigaction.net/ce-‐que-‐le-‐film-‐demain-‐ne-‐vous-‐a-‐pas-‐dit/
•
et
«
En
quête
de
sens
»
L’éthique
des
affaires
• Elle
va
se
concrétiser
autour
de
3
axes:
1. Les
codes
éthiques
et
chartes
de
valeurs
2. Le
management
par
les
valeurs
(
interne
à
l’entreprise)
3. La
RSE
(
responsabilité
sociale
des
entreprises)
• Labels
et
certifications
• Stakeholders
reports
• Gestion
environnementale
1. Les
codes
éthiques
:
Pourquoi?
• Afin
de
clarifier
ce
qui
est
considéré
comme
éthique
dans
l’entreprise
• Ils
permettent
d’anticiper
de
nouvelles
législations
contraignantes
• Pour
accroître
le
sentiment
de
fierté
ou
de
loyauté
envers
l’E
• Pour
améliorer
la
prévention
face
aux
risques
de
conflits
éthiques
• Pour
réduire
la
corruption
Bref,
ce
sont
des
outils
de
gestion
du
risque
dont
l’objectif
est
de
préserver
la
réputation
et
de
donner
une
image
+
Pour
que
ces
codes
soient
crédibles
et
efficaces,
il
faut:
• La
garantie
de
mise
en
place
d’un
système
de
surveillance
indépendant
(
coûteux!)
• Une
communication
vers
les
parties
prenantes
• Un
contenu
complet
comprenant
les
dimensions
sociales,
sociétales
et
environnementales
• Des
moyens
financiers
Il
existe
le
«
global
compact
»
(Davos
1999)
à
l’échelle
internationale
qui
émane
de
l’ONU,
de
50
multinationales,
des
ONG
et
des
syndicats
dont
il
est
ressorti
9
principes
généraux
(
abolition
travail
des
enfants,
forcé,
absence
de
discrimination….)
2.Le
management
par
les
valeurs
Il
convient
de
fixer
une
attitude
éthique
à
partir
de
3
dimensions:
• Le
rapport
à
soi
• Le
rapport
aux
autres
(
confiance
et
coopération)
• Le
rapport
à
l’entreprise
comme
institution
Le
concept
de
confiance/coopération
est
redevenu
primordial
dans
les
organisations
Aujourd’hui,
les
règles
du
leadership
sont
:
- Réactivité,
authenticité
et
transparence
- Les
médias
sociaux
révèle
la
vraie
culture
de
l’E
Rapport
a
soi:
ne
pas
venir
a
poil
au
travail
À
l’entreprise:
vous
ne
pouvez
pas
parler
de
l’entreprise
en
dehors
de
celle-‐ci,
sur
des
suports
publiques
(pas
autorisé
ethiquement)
(comme
le
zwijgplicht
des
médecins
à
C’est
ethique)
3.
La
responsabilité
sociale
des
entreprises
(RSE
ou
CSR=corporate
social
responsability)
• C’est
la
prise
en
charge
par
l’E
des
préoccupations
sociales,
sociétales
et
environnementales
(
Triple
bottom
line:
people-‐planet-‐profit)voir
vidéo
Ikea
• C’est
l’approche
par
la
réflexion
sur
le
développement
durable
de
l’E.
• Elle
pose
le
problème
de
la
rentabilité
sous
un
angle
moral
càd
de
la
convergence
sociale
et
économique
(
dualité
stakeholders-‐
shareholders)
Stakeholder:
toutes
les
parties
prenantes
a
lentreprise
(personnel,
partenaires
fin,
banciers,
clients,…)
Les
labels
et
certifications
éthiques
• Ce
sont
des
signes
de
reconnaissance
relatifs
aux
conditions
de
fabrication
d’un
produit
• Les
initiatives
privée:
• Un
ex
de
label
de
commerce
équitable:
MAX
HAVELAAR(membre
fondateur
du
FLO)
Garantie
d’un
revenu
décent
aux
producteurs
de
produits
coloniaux
Ceux
ci
s’engagent
à:
°Respecter
des
conditions
de
travail
correctes
°Respecter
l’environnement
°Gérer
démocratiquement
leur
organisation.
Le
label
FSC:
Forest
Stewardship
Council
• Pour
la
protection
de
l’enviro
forestier.
• Présent
chez
Carrefour
et
Leroy
Merlin.
La
norme
OHSAS
18001
Permet
à
E
de
maîtriser
les
risques
d’accident
sur
le
lieu
de
travail.
La
norme
SA
8000
Permet
le
respect
des
droits
fondamentaux
des
travailleurs
Iso
14001:
Respect
de
l’environnment
SA
8000
:
contenu
-‐
Pas
de
main
d’œuvre
infantile
-‐
Pas
de
main
d’œuvre
forcée
-‐
Environnement
de
travail
sûr
et
sain
-‐
Affiliation
librement
aux
syndicats
-‐
Négociations
collectives
-‐
Pas
de
discrimination
-
Pas
de
punition
corporelle,
coercition
mentale
ou
physique,
insulte
verbale
-‐
Salaire
>
minimum
légal
-‐
48
heures
par
semaine
(hors
heures
sup.)
-‐
Repos
hebdomadaire
un
jour
min.
Limites
et
contraintes
des
labels
• Inquiétudes
quant
à
leur
valeur
et
efficacité
• Problématique
du
contrôle
• Trop
de
petits
labels
ne
respectent
pas
les
normes
de
l’OIT
et
s’organisent
autour
de
leur
“auto
définition”
• La
multiplication
des
labels
est
contreproductive
Conclusion
sur
les
labels
Pour
être
crédible,
la
démarche
de
label
doit:
• Être
assortie
d’un
système
de
contrôle
externe
de
tte
la
chaîne
de
production
• S’inscrire
dans
un
souci
constant
d’amélioration
de
la
politique
sociale
de
l’entreprise.
Le
CSR
report
=
le
rapport
de
dév
durable
=
le
triple
bottom
line
report
• Document
annuel
publié
par
l’E
permet
d’évaluer
ses
performances
éco,
sociales
et
environnementales.
• certains
pensent
à
imposer
un”
bilan
sociétal”
audités
par
des
réviseurs
aux
sociétés
qui
se
veulent
socialement
responsables
=
Le
rapport
de
développement
durable
Document
annuel
qui
aborde
les
3
grands
axes
de
réflexion
de
la
RSE
La
plus
part
des
grandes
entreprises
en
font
un
Objectifs
poursuivis
par
le
“bilan
social”
• En
interne:
outil
de
communication
de
la
RSE
vers
employés
et
filiales
• En
externe:
outil
de
gestion
du
risque
et
de
l’image
(mais
risque
de
fiabilité
des
infos)
• Outil
de
gestion
stratégique
permettant
lien
entre
performances
financières
et
invest
sociaux
et
environnementaux.
• Doivent
permettre
le
benchmark(aux
E
de
même
secteur
de
se
comparer
aux
autres).
• Pour
ONG
et
syndicats:
outils
de
dialogue
et
d’engagement.
• Chez
nous:
COLRUY
et
JANSSENS
Phamaceutica
les
+
La
gestion
environnementale
• L’écologie
industrielle,
un
outil
de
développement
durable:
La
notion
de
déchet
n’existe
pas:
tout
peut
être
réutilisé.
Pas
de
stockage
ni
de
transport
en
masse
de
déchet!
• Matière
et
énergie
continuellement
circulée
et
transformée
• Prépondérance
de
l’énergie
solaire
• Autorégulation
des
systèmes
Retrouver
le
lien
avec
la
nature
et
réintroduire
la
notion
de
cycle
Banir
le:
“extraire
et
jeter”
Les
enjeux
de
l’écologie
industrielle
• Diminuer
la
consommation
des
ressources
en
MP
• Opimiser
les
flux
d’énergie
• Minimiser
les
impact
enviro
• Optimiser
l’utilisation
des
produits
au
niveau
de
leur
consommation.
• S’adapter
au
cadre
naturel,
social
et
culturel
de
l’implantation.
• Orienter
les
innov.technolo.
à
long
terme
Les
buts
ultimes
de
l’écologie
industrielle
• Éviter
les
concentrations
dans
la
biosphère
de
salop…
• Les
besoins
humains
doivent
être
satisfaits
partout
dans
le
monde.
• Pas
de
détérioration
systématique
de
la
nature
par
des
moyens
artificiels.
• Principe
du
“cradle
to
cradle”
http://www.c2ccertified.org
• Faire
son
test
d’empreinte
écologique
sur:
www.myfootprint.org
Les
implications
managériales
de
l’écologie
industrielle
Engagement
clair
de
la
Direction
dans
la
gestion
écolo
• Procédés
de
production
propres.
• Objectiviser
les
résultats
par
des
indicateurs
de
performance.
• Détermination
de
tous
les
coûts.
ISO
26000
:
Première
norme
de
développement
durable.
Les
limites
de
la
RSE
• Sa
crédibilité:
les
plans
de
RSE
doivent
être
vérifiés
(enjeu
d’un
label
social
ou
de
critères
éthiques)
• L’adhésion
des
parties
prenantes:
surtout
syndicats
et
actionnaires.
• La
difficulté
de
quantifier
les
actions
de
RSE
(
coût
et
impact
dans
bilan
des
sociétés)
Conclusion
• DOUBLE
PARADOXE
:
Instrumentalistation
de
l’éthique
Condamnation
de
l’économie
sauvage
Happy
planet
index:
Experience
well
being
x
Life
expantancy
Ecological
footprint
• SEULE
CERTITUDE
:
LA
LIBERTE
De
l’Etat
légiférateur
à
l’auto-‐légifération
• UN
SAVOIR-‐ETRE
Éviter
le
greenwashing
Se
mettre
des
limites
a
soi-‐même
et
etre
consient
des
conséquences
ce
nos
actes