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Université de Sousse

Faculté de Médecine Ibn El Jazzar de Sousse

Pathologie Professionnelle due à des


agents physiques

L/O/G/O
-Pr CHATTI Souhaiel
-Pr KALBOUSSI Houda
-Dr KACEM Imen
-Dr GADDOUR Asma
18.01.2021
1- Les fréquences aigues du son se
situent entre :
A. < 20 Hz
B. 20Hz-200 Hz
C. 200Hz-2 000 Hz
D. 2 000 Hz-20 000Hz
E. > 20 000Hz
1- Les fréquences aigues du son se situent
entre :
A. < 20 Hz
B. 20Hz-200 Hz
C. 200Hz-2 000 Hz
D. 2 000 Hz-20 000Hz
E. > 20 000Hz
200 Hz

Infra- Sons Sons Sons Ultra-


sons graves médiums aigus sons
2- Le seuil d’alerte du bruit est de :
A. 70 dB
B. 80 dB
C. 85 dB
D. 90 dB
E. 120 dB
2- Le seuil d’alerte du bruit est de :
A. 70 dB
B. 80 dB
C. 85 dB
D. 90 dB
E. 120 dB
Facteurs de nocivité du bruit

C- Phénomènes
A-Caractéristiques associés
Phénomènes
du bruit - Réverbération
associés par les
parois
-Transmission des
vibrations par le sol
Facteurs
de
nocivité
D- Facteurs individuels
B- Durée
- Age : > 40 ans
d'exposition - Fragilité antérieure de
 Effet cumulatif l’oreille
Facteurs de nocivité du bruit-2-
A- Caractéristiques du bruit

• En
• En Hertz (Hz)
décibels(dB) Fréquence
Intensité •Fréquence↗=
• Intensité↗= risque ↗
risque ↗

Bruit
• Continu
régulier •Son pur plus
•Discontinu Rythme Pureté
•Inattendu nocif
(traumatisant)
Facteurs de nocivité du bruit
A- Caractéristiques du bruit
2- Intensité :
3-La surdité professionnelle est :
A. Unilatérale
B. Asymétrique
C. De transmission
D. Irréversible à l’arrêt de l’exposition
E. Mixte
3-La surdité professionnelle est :

A. Unilatérale
B. Asymétrique
C. De transmission
D. Irréversible à l’arrêt de l’exposition
E. Mixte
Caractères de la surdité
professionnelle

Bilatérale Cochléaire de
perception
symétrique

Surdité
professionnelle

Non évolutive
Irréversible
par elle-même
4- Concernant les stades de la surdité
professionnelle :
A. La fatigue auditive constitue le dernier stade
d’atteinte auditive
B. La surdité professionnelle évolue en trois
principaux stades
C. Le 1er stade comprend un scotome portant sur
la fréquence 2000 Hz qui est réversible
D. L’audiométrie tonale permet de déterminer le
stade de la surdité professionnelle
E. Le malaise général et les acouphènes ne
s’installent qu’au stade avancé de la surdité
4- Concernant les stades de la surdité
professionnelle :
A. La fatigue auditive constitue le dernier stade
d’atteinte auditive
B. La surdité professionnelle évolue en trois
principaux stades
C. Le 1er stade comprend un scotome portant sur la
fréquence 2000 Hz qui est réversible
D. L’audiométrie tonale permet de déterminer le
stade de la surdité professionnelle
E. Le malaise général et les acouphènes ne
s’installent qu’au stade avancé de la surdité
Surdité professionnelle
Fatigue auditive : élévation temporaire du seuil auditif
Surdité professionnelle : 4 stades

 Déficit permanent 4000 Hz  Déficit toutes les fréquences


 Début de gêne  Phase de surdité manifeste

Stade 1 Stade 2 Stade 3 Stade 4

 Malaise général, lassitude, asthénie,


acouphènes et hypoacousie • Scotome est étendu (2 000 à 8 000
Hz ) permanent
 Scotome: 4 000 Hz réversible
Audiométrie tonale : Interprétation
5- Toutes les propositions suivantes concernant
les effets extra- auditifs du bruit sont exactes,
sauf une. Laquelle?
A. Des effets neuropsychiques avec trouble de
l’humeur et de la concentration
B. Une perturbation des visions de la couleurs
C. Une perturbation endocrinienne avec modification
du métabolisme glycémique
D. Des troubles du sommeil
E. Une hypotention artérielle
5- Toutes les propositions suivantes concernant
les effets extra- auditifs du bruit sont exactes,
sauf une. Laquelle?
A. Des effets neuropsychiques avec trouble de
l’humeur et de la concentration
B. Une perturbation des visions de la couleurs
C. Une perturbation endocrinienne avec modification
du métabolisme glycémique
D. Des troubles du sommeil
E. Une hypotention artérielle
6-La première fréquence atteinte par la
surdité est celle de :

A. 500 Hz
B. 1000 Hz
C. 2000 Hz
D. 4000 Hz
E. 6000 Hz
6-La première fréquence atteinte par la
surdité est celle de :

A. 500 Hz
B. 1000 Hz
C. 2000 Hz
D. 4000 Hz
E. 6000 Hz
7- La surveillance médicale des salariés
exposés au bruit se fait tous les :

A. 3 mois
B. 6 mois
C. 12 mois
D. 2 ans
E. 3 ans
7- La surveillance médicale des salariés
exposés au bruit se fait tous les :

A. 3 mois
B. 6 mois
C. 12 mois
D. 2 ans
E. 3 ans
Prévention
Prévention médicale
Examen clinique (ORL) + audiométrie tonale

Inapte:
Embauche − Surdité de perception
−Otospongiose opérée

Décret 68 – 83 du 23 mars
Périodique 1968 : SMS

www.themegallery.com
8- La prévention des effets liés au bruit
se base sur :
A. Une prévention technique uniquement
B. La prévention individuelle comprend la réduction
du bruit à la source
C. Le port de casque anti-bruit suffit pour prévenir
les effets néfastes du bruit quelque soit son niveau
D. Le travail dans une cabine insonorisée avec
l’isolement anti-vibratoire sont des mesures
recommandées pour la prévention collective des
effets du bruit
E. L’audiométrie tonale n’est pas recommandée pour
la surveillance des sujets exposés au bruit
8- La prévention des effets liés au bruit
se base sur :
A. Une prévention technique uniquement
B. La prévention individuelle comprend la réduction
du bruit à la source
C. Le port de casque anti-bruit suffit pour prévenir
les effets néfastes du bruit quelque soit son niveau
D. Le travail dans une cabine insonorisée avec
l’isolement anti-vibratoire sont des mesures
recommandées pour la prévention collective
des effets du bruit
E. L’audiométrie tonale n’est pas recommandée pour
la surveillance des sujets exposés au bruit
Prévention technique : Mesurage du bruit
Prévention
Prévention technique individuelle

Coquilles

Bouchons Casques

Réduction de
20 à 40 dB
9- Les pathologies ostéo-articulaires
peuvent être causées par des vibrations de :

A. Très basses fréquences (<2 Hz)


B. Basses fréquences (2 à 20 Hz)
C. Moyennes fréquences (20 à 50 Hz)
D. Haute fréquences (50 à 100 Hz)
E. Très haute fréquences (> 100 Hz)
9- Les pathologies ostéo-articulaires
peuvent être causées par des vibrations de :

A. Très basses fréquences (<2 Hz)


B. Basses fréquences (2 à 20 Hz)
C. Moyennes fréquences (20 à 50 Hz)
D. Haute fréquences (50 à 100 Hz)
E. Très haute fréquences (> 100 Hz)
Fréquence
Vibrations
Sources Pathologies
Très basse fréquence - Bateaux -Mal de transport
(<2 Hz) - Véhicules légers - Illusions visuelles
Basse fréquence -Engins, -Troubles vertébraux (60%)
(2-20 Hz) -Tracteur agricole, - Troubles digestifs (30%)
- hélicoptère - Autres (dysurie, TA, troubles du
rythme…)

Moyenne fréquence -Marteaux-piqueurs Pathologies ostéo-articulaires (Coude et


( 20-50 Hz) de chantier poignet)
- outils pneumatiques
portatifs
Grande fréquence - marteaux – - 40- 300 Hz :Troubles vaso-moteurs
(50-1000Hz) piqueurs en (Syndrome de Raynaud)
sidérurgie - > 300 Hz : Troubles neuro-musculaires
- Forestiers avec les (paresthésies, crampes, amyotrophie de
tronçonneuses la loge thénar et hypothénar ) :
 préférentiellment territoire du nerf
cubital
10- La maladie de Kienboch :

A. Est liée aux vibrations de basses fréquences


B. Atteinte de l’os du carpe du semi-lunaire
C. N’est pas réparée au titre de maladie
professionnelle
D. Son diagnostic repose sur l’examen clinique
E. Occasionnée chez les conducteurs d’engins.
10- La maladie de Kienboch :

A. Est liée aux vibrations de basses fréquences


B. Atteinte de l’os du carpe du semi-lunaire
C. N’est pas réparée au titre de maladie
professionnelle
D. Son diagnostic repose sur l’examen clinique
E. Occasionnée chez les conducteurs d’engins.
Pathologies ostéo-articulaires
2- Lésions carpiennes
 A- Maladie de KIENBOCK
 Ostéonécrose du semi-lunaire
 la plus typique, la plus fréquente
 Clinique : douleur aux mouvements de flexion, extension de la radio-carpienne
 Rx : aplatissement du semi-lunaire + images de condensation plus ou moins
homogènes
 B- Maladie de KOHLER
 ostéonécrose du scaphoïde carpien
 clinique : douleur de l’extension flexion du poignet ; diminution de la force de
préhension.
 Rx : remaniement de la structure du scaphoïde :
 lyse osseuse
 lacunes
 traits de fracture
 Evolution : arthrose radio-carpienne
 Traitement chirurgical : bons résultats
11- Les effets génétiques des
radiations ionisantes sont :
A. Effets déterministes
B. Précoces
C. Peuvent engendrer des anomalies dans
la descendance de l’individu irradié
D. Apparaissent à partir d’une dose seuil
E. Leur gravité est proportionnelle à la
dose
11- Les effets génétiques des
radiations ionisantes sont :
A. Effets déterministes
B. Précoces
C. Peuvent engendrer des anomalies dans
la descendance de l’individu irradié
D. Apparaissent à partir d’une dose seuil
E. Leur gravité est proportionnelle à la dose
Effets des rayonnements : notion essentielle
A distinguer
 immédiats (précoces)
Effets
Effets
survenant toujours au dessus d’un seuil
déterministes
déterministes de dose
gravité proportionnelle à la dose

 tardifs
aléatoires : notion de risque : probabilité accrue
(par rapport à la population générale) mais faible de
Effets survenue
stochastiques dépourvus de seuil ??
 gravité indépendante de la dose
notion d’instabilité génétique et de susceptibilité
individuelle
12- Toutes les propositions concernant la prévention
médicale des travailleurs exposés aux radiations
ionisantes sont incorrectes sauf une. Laquelle ?
A. La visite d’embauche se base sur un examen
clinque uniquement
B. La visite périodique se fait tous les ans
C. La visite périodique se fait tous les mois
D. La visite périodique nécessite une surveillance
par NFS
E. L’irradiation individuelle interne est surveillée
par le dosimètre photographique
12- Toutes les propositions concernant la prévention
médicale des travailleurs exposés aux radiations
ionisantes sont incorrectes sauf une. Laquelle ?
A. La visite d’embauche se base sur un examen
clinque uniquement
B. La visite périodique se fait tous les ans
C. La visite périodique se fait tous les mois
D. La visite périodique nécessite une
surveillance par NFS
E. L’irradiation individuelle interne est surveillée
par le dosimètre photographique
13- Toutes les propositions suivantes concernant le
rôle du médecin du travail dans la prévention des
effets des radiations ionisantes sont correctes sauf
une. Laquelle?
A. Informer les travailleurs des risques probables de
l’exposition aux RI
B. Veiller sur la maitrise des sources de rayonnement
avec délimitation des zones de contrôle autour des
sources
C. Insister sur le port des moyens de protection
individuels pour les exposés
D. Faire une visite périodique tous les ans
E. Faire une surveillance périodique de l’irradiation
individuelle des travailleurs
13- Toutes les propositions suivantes concernant le
rôle du médecin du travail dans la prévention des
effets des radiations ionisantes sont correctes sauf
une. Laquelle?
A. Informer les travailleurs des risques probables de
l’exposition aux RI
B. Veiller sur la maitrise des sources de rayonnement
avec délimitation des zones de contrôle autour des
sources
C. Insister sur le port des moyens de protection
individuels pour les exposés
D. Faire une visite périodique tous les ans
E. Faire une surveillance périodique de l’irradiation
individuelle des travailleurs
Prévention
2- Prévention médicale
• Surveillance individuelle de l’irradiation du
personnel
– irradiation externe : dosimètre photographique
– irradiation interne : examens toxicologiques
• Examens médicaux
– Embauche : clinique et hématologique, étude des
antécédents
– Périodiques : tous les 6 mois avec examen
hématologique, NFS, Hémoglobine, Volume
globulaire.
14- Toutes les propositions suivantes concernant le
travail au froid sont exactes, sauf une. Laquelle ?
A. Perte de la dextérité avec risque accru d’accident
de travail,
B. Hypotension artérielle,
C. Hypothermie avec atteinte du SNC et
perturbation de la respiration,
D. Engelure des extrémités,
E. Risque accru de troubles musculosquelettiques
(TMS)
14- Toutes les propositions suivantes concernant le
travail au froid sont exactes, sauf une. Laquelle ?
A. Perte de la dextérité avec risque accru d’accident
de travail,
B. Hypotension artérielle,
C. Hypothermie avec atteinte du SNC et
perturbation de la respiration,
D. Engelure des extrémités,
E. Risque accru de troubles musculosquelettiques
(TMS)
Travail au froid
– Absence de définition réglementaire.
– Travail < 10° peut être considéré comme du travail au froid.
– Métiers : industries alimentaires, travail à l’extérieur durant
les saisons froides
– Principaux effets sur la santé
• Perte de la dextérité (port de gants) avec risque accru d’AT
• Hypothermie avec atteinte du SNC et perturbation de la respiration
• Engelure des extrémités,
• risque accru de troubles musculosquelettiques (TMS)
•  TA (vasoconstriction) et des risques d’accidents cardiaques.
– Prévention : vêtements adaptés+Chaussures
antidérapantes imperméables avec isolation thermique
– CI aux postes de froid : ?
15- Toutes les propositions suivantes concernant le
travail à la chaleur sont exactes, sauf une.
Laquelle ?
A. Une thermolyse avec vasoconstriction
B. Une syncope de chaleur pouvant entrainer la mort du
travailleur
C. Une augmentation de la fréquence cardiaque
D. Une hypertension artérielle
E. Le diabète constitue une contre-indication au travail à
la chaleur
15- Toutes les propositions suivantes concernant le
travail à la chaleur sont exactes, sauf une.
Laquelle ?
A. Une thermolyse avec vasoconstriction
B. Une syncope de chaleur pouvant entrainer la mort du
travailleur
C. Une augmentation de la fréquence cardiaque
D. Une hypertension artérielle
E. Le diabète constitue une contre-indication au travail à
la chaleur
Ambiances thermiques
Equilibre des échanges thermiques
Travail à la chaleur

•Travail durant les saisons chaudes à


Exposition l’extérieur
•Fonderies, restauration, vulcanisation

• FC avec risque de syncope


•Fatigue, vertiges, nausées (déficit en eau
et sels par la sudation)
Risques sur • Affections cutanées : rougeur, brûlure
la santé : •Coup de chaleur avec perte de
connaissance pouvant entrainer la mort
(appel syncope de chaleur).
16- Toutes les propositions suivantes concernant la
prévention des risques liés au travail à la chaleur
sont exactes, sauf une. Laquelle ?
A. Bonne hydratation (un verre d’eau toutes les 15 à 20
min)
B. Alimentation avec une faible proportion en sels
minéraux
C. Réduction de la cadence du travail
D. Adapter le rythme de travail selon la tolérance à la
chaleur
E. Port de vêtements légers, amples, absorbantes (en
coton)
16- Toutes les propositions suivantes concernant la
prévention des risques liés au travail à la chaleur
sont exactes, sauf une. Laquelle ?
A. Une bonne hydratation (un verre d’eau toutes les 15 à
20 min)
B. Alimentation avec une faible proportion en sels
minéraux
C. Réduction de la cadence du travail
D. Adapter le rythme de travail selon la tolérance à la
chaleur
E. Port de vêtements légers, amples, absorbantes (en
coton)
17- Parmi les propositions suivantes concernant les
troubles musculosquelettiques (TMS), laquelle est
fausse ?
A. Affections périaticulaires d’hypersollicitation qui
affectent les tissus mous
B. Multifactorielles à composante essentiellement
professionnelle
C. Facteurs psychosociaux ne sont pas des facteurs de
risque des TMS
D. Rachis lombaire est le plus touché par les TMS
E. Facteurs environnementaux sont des contraintes
aggravantes des TMS
17- Parmi les propositions suivantes concernant les
troubles musculosquelettiques (TMS), laquelle est
fausse ?
A. Affections périaticulaires d’hypersollicitation qui
affectent les tissus mous
B. Multifactorielles à composante essentiellement
professionnelle
C. Facteurs psychosociaux ne sont pas des facteurs
de risque des TMS
D. Rachis lombaire est le plus touché par les TMS
E. Facteurs environnementaux sont des contraintes
aggravantes des TMS
Facteurs de risque des TMS
MODELISATION GENERALE DU RISQUE DE TMS

Facteurs
biomécaniques
Facteurs psycho-
sociaux liés au Facteurs
travail
(comment le geste est +/- +/- organisationnels
vécu, et produit)

Probabilité +/-
+/- Facteurs
Facteurs de TMS
environnementaux individuels
18- Quel est le trouble musculosquelettique du
membre supérieur le plus fréquent ?

A. Tendinopathie de la coiffe des rotateurs


B. Syndrome du canal carpien
C. Ténosynovites du poignet
D. Epicondylites
E. Epitrochléïtes
18- Quel est le trouble musculosquelettique du
membre supérieur le plus fréquent ?

A. Tendinopathie de la coiffe des rotateurs


B. Syndrome du canal carpien
C. Ténosynovites du poignet
D. Epicondylites
E. Epitrochléïtes
Répartition des MP déclarées
selon leur nature en 2017
Autres maladies Maladies
Surdité
5% dermatologiques
professionnelle
Asthme 2%
6%
7%

Troubles
musculo-
squelettiques
80%
Epidémiologie-3-
TMS reconnus par le Comité de Reconnaissance des MP du Centre
2012 2013 2014
Nbre % Nbre % Nbre %
TMS du membre
177 100 284 100 316 100
supérieur
Syndrome du canal
115 65,1 155 54,6 167 52,8
carpien
Epaule 39 22,1 79 27,8 92 29,1
Epicondylite 13 7,3 37 13,0 38 12,1
Tendinite main 8 4,5 10 3,5 11 3,5
Ténosynovite 2 11,3 3 1,1 8 2,5
Syndrome canalaire
0 0 1 0,3 0 0
du nerf ulnaire
19- Parmi les troubles musculo-squettiques
suivants, lequel n’est pas pris en charge au
titre de maladie professionnelle ?
A. Epicondylite
B. Epithrochléite
C. Lombosciatalgie
D. Tendinopathie de la coiffe des rotateurs
E. Hygroma du genou
19- Parmi les troubles musculo-squettiques
suivants, lequel n’est pas pris en charge au
titre de maladie professionnelle ?
A. Epicondylite
B. Epithrochléite
C. Lombosciatalgie
D. Tendinopathie de la coiffe des rotateurs
E. Hygroma du genou
20- Toutes les propositions suivantes concernant la
démarche préventive à adopter par le médecin du
travail pour lutter contre les TMS sont correctes,
sauf une. Laquelle ?
A. Dépistage précoce des facteurs de risque des TMS
B. Actions ergonomiques portant sur le poste du
travail
C. Alternance des tâches et l’introduction de pauses
D. Actions sur les facteurs de risques individuels n’ont
aucun intérêt dans la prévention des TMS
E. Action sur les facteurs psychosociaux
20- Toutes les propositions suivantes concernant la
démarche préventive à adopter par le médecin du
travail pour lutter contre les TMS sont correctes,
sauf une. Laquelle?
A. Dépistage précoce des facteurs de risque des TMS
B. Actions ergonomiques portant sur le poste du
travail
C. Alternance des tâches et l’introduction de pauses
D. Actions sur les facteurs de risques individuels
n’ont aucun intérêt dans la prévention des
TMS
E. Actions sur les facteurs psychosociaux
Vignette
 Monsieur Ali, âgé de 45 ans, embauché depuis 20 ans dans
une industrie de matières plastiques au poste d’ouvrier sur
machine de broyage, sans antécédents pathologiques
particuliers, qui consulte pour des bourdonnements
d’oreilles associées à des céphalées frontales.

 L’examen physique : TA : 13/10, l’examen par otoscopie :


tympans d’aspect normal.

 L’audiométrie tonale pratiquée ci-jointe :


Oreille 55 dB 60 dB 65dB 70 dB 70dB 80dB
droite

Oreille
gauche
55 dB 60 dB 65dB 70 dB 70dB 80dB
1- Le seuil du danger du bruit est de :
A. 80 dB
B. 85 dB
C. 90 dB
D. 100 dB
E. 120 dB
1- Le seuil du danger du bruit est de :
A. 80 dB
B. 85 dB
C. 90 dB
D. 100 dB
E. 120 dB
Facteurs de nocivité du bruit
A- Caractéristiques du bruit
2- Intensité :
2- L’aspect des deux courbes est évocateur :

A. Surdité de transmission
B. Surdité de perception
C. Surdité mixte
D. Absence de déficit auditif
E. Rinne ouvert
2- L’aspect des deux courbes est évocateur :

A. Surdité de transmission
B. Surdité de perception
C. Surdité mixte
D. Absence de déficit auditif
E. Rinne ouvert
3- Le déficit auditif moyen de l’oreille droite est de :

A. 36 dB
B. 48 dB
C. 54 dB
D. 66 dB
E. 76 dB
3- Le déficit auditif moyen de l’oreille droite est de :

A. 36 dB
B. 48 dB
C. 54 dB
D. 66 dB
E. 76 dB
4- Le Déficit auditif moyen de l’oreille gauche est de :

A. 36 dB
B. 48 dB
C. 54 dB
D. 66 dB
E. 76 dB
4- Le Déficit auditif moyen de l’oreille gauche est de :

A. 36 dB
B. 48 dB
C. 54 dB
D. 66 dB
E. 76 dB
Reconnaissance-2-
Tableau n°80 : Les bruits lésionnels
(JORT 18 Mai 2018; N°40 : Arrété du 29 Mars 2018)
Déficit auditf moyen
 OD : 60 dB (500 Hz) x 2 + 65 dB (1000 Hz) x 4 + 70 dB (2000 Hz) x 3

+ 70 dB (4000 Hz) x 1 = (120+260+210+70) /10 (dB) = 66 dB

 OG : 60 dB (500 Hz) x 2 + 65 dB (1000 Hz) x 4 + 70 dB (2000 Hz) x 3

+ 70 dB (4000 Hz) x 1 = (120+260+210+70) /10 (dB) = 66 dB


5- En cas de simulation de la surdité quel
examen demandez-vous pour déterminer le
déficit auditif :
A. Audiométrie vocale
B. Reflexe stapédien
C. Impédencemètrie
D. Test de Weber
E. Potentiels évoqués auditifs
5- En cas de simulation de la surdité quel
examen demandez-vous pour déterminer le
déficit auditif :
A. Audiométrie vocale
B. Reflexe stapédien
C. Impédencemètrie
D. Test de Weber
E. Potentiels évoqués auditifs
6- Toutes les propositions suivantes concernant la
conduite à tenir du médecin du travail sont
correctes, sauf une. Laquelle?
A. Etude du poste de travail avec mesurage du
son
B. Action sur les sources sonores,
C. Remplir le CMI de déclaration au titre de
maladie professionnelle,
D. Isolement des postes bruyants,
E. Garder le salarié au même poste de travail
6- Toutes les propositions suivantes concernant la
conduite à tenir du médecin du travail sont
correctes, sauf une. Laquelle?
A. Etude du poste de travail avec mesurage du
son
B. Action sur les sources sonores,
C. Remplir le CMI de déclaration au titre de
maladie professionnelle,
D. Isolement des postes bruyants,
E. Garder le salarié au même poste de travail
7- La tension artérielle diastolique
présentée par Mr Ali :
A. Peut être causée par le bruit
B. Est prise en charge au titre de maladie
professionnelle
C. Ne nécessite pas un suivi médical régulier
D. Constitue une contre-indication à l’exposition
au bruit
E. Elle ne s’aggrave pas à l’exposition au bruit
7- La tension artérielle diastolique
présentée par Mr Ali :
A. Peut être causée par le bruit
B. Est prise en charge au titre de maladie
professionnelle
C. Ne nécessite pas un suivi médical régulier
D. Constitue une contre-indication à l’exposition
au bruit
E. Elle ne s’aggrave pas à l’exposition au bruit
Vignette :

 Madame Salwa, âgée de 45 ans, obèse, droitière, embauchée depuis 20 ans

dans une entreprise de montage de câbles électriques pour

véhicules, affectée au poste de découpage des câbles électrique avec

une cadence élevée (100 câbles par heure/ 8h jours avec une pause de

une heure), consulte pour des fourmillements des doigts de la main droite

évoluant depuis 6 mois.

 Son médecin traitant a suspecté un syndrôme du canal carpien droit.

Sachant que la salariée n’a pas cessé son activité professionnelle au

moment de la déclaration.

 A noter qu’il existe un tableau de maladie professionnelle qui répare

les troubles musculosquelettiques (Tableau n°82).


Tableau n°82
Les Gestes et les postures
1- Quel est la structure anatomique impliquée dans
l’apparition du syndrome du canal carpien :

A. Le plexus brachial
B. Le nerf circonflexe
C. Le nerf cubital
D. Le nerf médian
E. Le nerf radial
1- Quel est la structure anatomique impliquée dans
l’apparition du syndrome du canal carpien :

A. Le plexus brachial
B. Le nerf circonflexe
C. Le nerf cubital
D. Le nerf médian
E. Le nerf radial
2- Toutes les propositions suivantes concernant les facteurs
de risque du syndrome du canal carpien pour Madame
Salwa, sont correctes, sauf une. Laquelle?

A. La répétitivité des gestes


B. La satisfaction au travail
C. L’âge
D. L’Obésité
E. La monotonie
2- Toutes les propositions suivantes concernant les facteurs
de risque du syndrome du canal carpien pour Madame
Salwa, sont correctes, sauf une. Laquelle?

A. La répétitivité des gestes


B. La satisfaction au travail
C. L’âge
D. L’Obésité
E. La monotonie
3- La commission médicale de la CNAM n’a pas reconnu se
syndrome du canal carpien au titre de maladie
professionnelle pour le motif suivant :

A. Dépassement du délai de prise en charge

B. Durée d’exposition insuffisante

C. L’affection ne figure pas dans le tableau sus-cité

D. Diagnostic non confirmé par un examen complémentaire

E. Profession non incluse dans la liste des métiers


3- La commission médicale de la CNAM n’a pas reconnu se
syndrome du canal carpien au titre de maladie
professionnelle pour le motif suivant :

A. Dépassement du délai de prise en charge

B. Durée d’exposition insuffisante

C. L’affection ne figure pas dans le tableau sus-cité

D. Diagnostic non confirmé par un examen


complémentaire

E. Profession non incluse dans la liste des métiers


4- Toutes les propositions suivantes concernant la
démarche préventive du médecin du travail pour lutter
contre cette affection sont correctes, sauf une.
Laquelle?
A. Détermination de l’ampleur du problème

B. Etude du poste de travail avec analyse des gestes

C. Eviter l’alternance des tâches

D. Introduction des pauses

E. Rotation des postes.


4- Toutes les propositions suivantes concernant la
démarche préventive du médecin du travail pour lutter
contre cette affection sont correctes, sauf une.
Laquelle?
A. Détermination de l’ampleur du problème

B. Etude du poste de travail avec analyse des gestes

C. Eviter l’alternance des tâches

D. Introduction des pauses

E. Rotation des postes.

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