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·, ,D'où, par ironie, le sens péjoratif : quées par un autre excitant que la
•. '..b,straction faussement prise pour une lumière (compression, choc, trauma-
,6a)ité. tisme, inflammation, etc.). Voir Phos -
· B. Un objet concret, mais qui n'a phène• .
. pas d'unité ou d'identité matérielles :
9Be vague, un courant d'air, une mon- ENTROPIE, D. Entropie ; E. En-
&agne, Voir ci-dessous, obser1>ations. tropy ; 1. Entropia.
c. Un • quelque chose » ; un objet L'entropie est une fonction dont les
de pensée que l'on conçoit comme un variations permettent de donner une
•tre dépourvu de toute détermination expression quantitative au second prin-
particulière. cipe de la thermodynamique (Principe
CRITIQUE de CARNOT-CLAusrns). Elle peut être
définie ainsi qu'il suit :
Ce terme est surtout employé au 1. On appelle 1Jariation de l'entropie
1111na C par les logiciens anglais, par d'un système entre un état A et un
1Uite de ce fait que dans leur langue le état B la fonction
mot entily est d'un usage courant, et
possède un sens concret : • un être.
une chose •. Il y aurait lieu de ne pas
!."di
auivre cet usage qui manque de clarté, dans laquelle T désigne la température
et d'employer plutôt, suivant les cas, absolue des sources calorifiques et Q la
Jea désignations plus précises de classe, quantité de chaleur fournie par elles,
d'individu ou de relation. l'intégrale étant prise le long d'une
Rad. int. : A. Entec; B. Ent. transformation réversible (c'est-à-dire
telle qu'on puisse ramener le système
ENTOPTIQUES (Lueurs ou images). de l'état B à l'état A en repassant à
- Se dit des sensations visuelles provo- très peu près par tous les mêmes état s
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contraires (• vel ex consequentibus, vel ex repugnantibus »), et il ajoute que
certains auteurs ne lui donnent que ce dernier sens,• argument tiré des contraires•.
li sait d'ailleurs qu'on l'appelle • syllogisme rhétorique », par opposition au
ayllogism e proprement dit ; mais il ne parait pas connai tre l'origine aristotélicienne
de cette expression, ni la définition d'Aristote.
Le mot, en grec, appartenait au langage courant. Outre le premier sens rapporté
par QuINTILIEN, il voulait dire aussi raisonnem ent, réflexion, motif, conseil, etc.
Sur Entité. - D'après LEIBNIZ (De principio individui, Gerh., IV, 18) ce prin-
cipe, selon certains scolastiques, - et c'est l'opinion qu'adopte Leibniz lui-
même, - était entitas tota, c'est-à-dire la réalité tout entière de l'être individuel,
par opposition à son existentia ou à son haecceitas. (J, Lachelier.)
CouRNOT a essayé de réhabiliter et de restaurer ce mot. Cf. Essai sur les fonde-
lllents de nos connaissances, ch. XI : • Des diverses sortes d' abstractions et d'en-
tités. 1 Il y distingue des entités artificielles ou log iques et des entités rationnelles.
Ces demiêres sont • fondées sur la nature et la raison des choses • ; elles ont une
Yaleur objective : ainsi les • constellations naturelles » de Herschel, les genres ou
les espèces de nos classifications, une onde liquide, un fleuve, une montagne.
Il faudrait les définir, non par une communauté de substance ou d'essence , mais
par l'idée d'une • solidarité des causes qui les ont produites •. Une entité est
h&tionnelle ou naturelle quand elle constitue un groupe d'objets dont les ressem-
blances ne sont pas fortuites, mais résultent d'une même cause ou d'une même
espèce de causes. (D. Parodl.)

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