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Introduction 

:
Parmi les ressources utilisées par les sociétés humaines, il en est une qui est vitale au
même titre que l’air : il s’agit de l’eau. Une ressource qui est porteuse de beaucoup de
spécificités, ou elle est à la fois abondante et rare.
La rareté de l’eau devient un problème majeur, car la disponibilité en eau par habitant
tend à se réduire alors que les besoin augmentent. A cet effet, il s’avère nécessaire pour les
gouvernements de la plupart des pays, notamment ceux en voie de développement ; de penser
à une véritable stratégie visant à préserver durablement la ressource en eau et d’en assurer
l’accès à tous.
En tant qu’activité de réseau, l’eau doit répondre à un certain nombre de principes de
service public à savoir : la continuité, l’adaptabilité et l’égalité ; dont le premier implique la
satisfaction de la manière régulière des différents besoins en eau, la deuxième concerne la
potentialisation de l’eau et le respect des normes de la qualité telles qu’elles sont édictées au
niveau national et internationale, quant au dernier il concerne à la fois, la qualité de l’eau
autrement dit une répartition égale des couts entre les différents catégories des
consommateurs et entre les différents territoires. Ces principes doivent être respectés afin
d’assurer et de préserver ce patrimoine qui est l’eau.
Compte tenu de la croissance démographique observée au niveau des villes, plusieurs
services méritent d’être étudie et suscitent énormément de question dont l’un des plus
importants est relatif à la problématique d’accès à l’eau potable.
Comme la plupart des pays en développement, l’Algérie est aujourd’hui confrontée a ce
véritable problème qui est relatif à la vulnérabilité de la ressource en eau, au manque de
l’infrastructure de mobilisation de l’eau et de traitement des eaux usées et l’usage rationnel de
ce service public.
Durent ces trente dernière années, l’Algérie a souffert d’un manque d’eau sans
précédent. Les aléas climatique persistants, caractérisés par un déficit pluviométrique évalué
à 30 %, conjugués à une forte croissance de la population dans les grands centre urbains ont
fortement contribué à aggraver le déséquilibre entre une demande en eau croissante et offre
jusque-là limitée par les insuffisances tant sur le plan de la mobilisation des ressources
potentielles qu’au niveau de la gestion des ressources de la gestion des ressource disponible ,
notamment les défaillances de gestion des services publics de
distribution de l’eau.
En effet, ces derniers se caractérisaient par un état de
délabrement avancé (gaspillage,non satisfaction des besoins
manque de professionnalisme, distribution anarchique ;
dégradation des installation …etc)
Cela est du principalement à un déficit de récupération a de
adéquate des dépones effectuées vu le faible niveau de tarifs
appliqué .Cela à donné lieu à des taux de subvention très
élevés et souvent justifiés par les pouvoirs publics au nom de
l’équité dans le sens de permettre aux conclues a revenus
faibles ou modestes d’accéder à cette ressource vitale.
Pour remédier à cette situation , le secteur de l’eau est devenu
ces quinze dernière années, l’une des préoccupations
majeures des pouvoirs publics .En effet ,des efforts considérables ont été déployés pour la
construction de nombreuses hydraulique (barrage, transferts, unités de dessalement,…
etc)financées en grande partie par l’Etat .Cela est rendu possible grâce à une même financière
confortable issue des recettes pétrolière².En outre plusieurs réformes légales intentionnelles et
organisationnelles ont été engagées depuis 1995 lors de la tenue d’assise s nationales de l’eau
au cours desquelles ont été adoptés les principes d’une nouvelle politique de l’eau basée sur
une gestion intégrée et durable de la ressource .Le vaste programme de réformes engagé
depuis cette date a donné lieu , pour ce qui est du secteur de l’alimentation en eau potable , à
la création en 2001 de l’Algérienne des Eaux (ADE).Cette société nationale sous forme
d’EPIC (établissement à caractère Industriel et commercial ) est chargée de la œuvre de la
politique nationale de l’eau potable.
Incontestablement , la réalisation des objectifs assignés à
cette jeune entreprise en matière d’amélioration des
normes de desserte ainsi que la fourniture d’un service
public de l’eau durable passe par récupération appropriée
des couts des services rendus. Par ailleurs, le caractère
commercial de l’ADE (un EPIC) implique une structure
tarifaire qui lui permet de couvrir toute, ou la quasi-
totalité, des dépenses effectuées (notamment les charges
d’exploitation, de maintenance et de renouvellement
sachant pertinemment que la contribution des usagers
constitue la source principale de revenus dans la viabilité
financière en dépend. Ces dernière années, les pouvoirs
publics semblent décidée de réduire les subventions
attribuées à le secteur de l’eau.
Et parmi les sociétés intéressées par cette stratégie
la « SEAAL »

La Société des Eaux et de l’Assainissement d’Alger « SEAAL », est une Société


Publique par Actions, détenue à 70% par l’Algérienne Des Eaux « ADE » et à 30% par
l’Office National de l’Assainissement « ONA ».
La principale mission de SEAAL est de produire et de desservir en eau potable, puis de
collecter et traiter les eaux usées sur le périmètre des wilayas d’Alger et de Tipasa. Elle
dessert ainsi 3,8 millions d’habitants soit environ 10% de la population Nationale.
SEAAL gère également la Station de Traitement d’eau potable de Taksebt  (la plus
importante station de traitement algérienne) qui approvisionne en eau potable les Wilayas de
Tizi Ouzou, Boumerdes et Alger.
Au total, elle fournit donc, directement ou indirectement,  de l’eau potable à une population
d’environ 5 millions d’habitants.
SEAAL assure le service auprès de 761 824 clients (ménages, administrations,
commerces, industriels et sites touristiques) et le nombre de ses salariés s’élève à 6.293.
Destination  :
L’objectif principal de cette visite consistait à identifier les clés de la réussite du projet
SEAAL en matière de modernisation de la gestion opérationnelle et managériale du Service
Public de l’Eau et de l’Assainissement dans les wilayas d’Alger et de Tipasa et de comprendre
la gouvernance et les mécanismes de ce partenariat Public.

Le jeudi 11 mai 2016 le département de génie civil


sous la bienveillance des professeurs joints, nous a invité à
une visite guidée par Mr BOUACH Mohammed aux centre
de télécontrole et laboratoires SEAAL situé a KOUBA a la
wilaya d’Alger.

Localisation  :
Adresse : Parc Ben Omar, 97, Kouba 16050
Téléphone : 021 98 65 00

Le processus de visite
A notre arrivée, nous nous sommes dirigés vers le centre
de contrôle l’ingénieur de la station nous dit que
l’application utilisées pour le contrôle des différents
secteurs (STEP-barrage-station de pompage…) appel
TALKAPIE. Elle permet de régulier les flux, elle contient
tous les paramètres qui peuvent idées à gérer la station
(les débits, les niveaux des pressions, la turbidité…) en
générale des paramètres physico-chimiques et
microbiologique.
L’ingénieur nous instruire les différentes supervisions secteurs qui sont :

Boudouaou, garidi et el harrach) il nous informe que ces secteurs s’occupe des périmètres

 le secteur de MAZAFRAN s’occupe la partie ouest


d’Alger.

 le secteur de GARIDI s’occupe la


partie centrale d’Alger.

 le secteur d’EL HARRACH s’occupe la partie est


d’Alger.
Il nous dit qu’ils ont à la fois un problème de
communication instantanément. L’application
contient toutes les données nécessaires talque les
barrages, le réseau d’adduction.il nous indique que la
station de BOUDOUAOU est la station la plus
importante en Alger puisqu’elle produit pres de
500000 mm3 / jour en tant que ils ont une production
de 10000000 mm3 / jours ; de 25% des eaux
souterraine et le reste vient de déssalement.

Après nous sommes allés aux laboratoires ou se fait les analyse de l’eau
Nous nous accueillis par une dame chimiste. Elle nous
explique les étapes de traitement de l’eau.

Les analyses sont quotidienne la matinée c’est le prélèvement et


l’échantillonnage.

Et l’après-midi ils font les analyses parce que les


paramètres de pollution ont un délai de 24h par contre les analyses chimique complète comme
les Mg, Ca, THM, Cl, MO…. Ont un délai de 4 à 5 jours.

Analyse de MS d’eau (phase liquide) voir est ce que l’eau est traité et l’ajoute du chlorure

Analyses de BTX (benzène – type benzène – aurtho_méthane…)


Analyses de CODO ( M2Cl benzène - MT chloro éthylène – 3Cl éthylène…)

Elle nous dit qu’ils utilisent des méthodes classiques titrimétrie.

Ils utilisent aussi des méthodes par spectrophotomètre (ammoniums).

Analyses des eaux usées (MES- MVS-


DBO-DCO…)
Salle de gout et odeur

Salle de préparation

Et
en
fin
nous sommes dirigé vers la salle des analyses microbiologique (laboratoire des produits) ou se
faite les contrôle de l’efficacité de traitement.

Echantillonnage quotidienne de tous les autres secteurs


(abonnées) 24/24h avec des équipes de contrôle de jour et
nuit

En cas urgent d’une pollution il existe des équipes spéciales qui interviennent le problème.
Les fiches techniques  :
Conclusion  :
La problématique de l’eau est indissociable de la question du
développement durable, dans la mesure où l’eau doit répondre au
besoin des générations futures à satisfaire. Ce processus de
développement ne peut être mené si l’on n’accorde pas une
importance considérable aux processus de gestion administrative
technique et financière des services de l’eau et de l’assainissement et a
l’organisation institutionnelle des différents acteurs.

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