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Gestion de l’instance
Structure de gestion

Les trois principaux composants de la structure de gestion de base de données


Oracle sont les suivants :

1. Instance de base de données.


2. Processus d'écoute (listener) permettant les connexions à la base de
données.
3. Interface de gestion, qu'il s'agisse d'un agent de gestion qui s'exécute sur
le serveur de base de données ou de l'interface Oracle Enterprise
Manager Database Control autonome. Cette interface est également
appelée Database Console.
Démarrer et Arrêter Database control

Oracle fournit une console de gestion autonome appelée Database Control.


Chaque base de données gérée à l'aide de cette console comprend une
installation Database Control distincte
A partir d'une console Database Control, vous ne pouvez gérer qu'une seule base.
Pour le faire il faut démarrer le processus dbconsole à l’aide de la commande :
emctl start dbconsole

Pour arrêter database control il suffit de lancer la commande :


emctl stop dbconsole
Oracle Entreprise Manager

Enterprise Manager fournit une interface graphique permettant d'effectuer


presque toutes les tâches dont vous êtes chargé en tant qu'administrateur de
base de données (DBA).
Pour accéder à dbconsole, vous devez donc entrer une URL de la forme suivante:
http://nom_machine(adresse_ip):port/em.
Dans notre cas nous utiliserons le lien suivant:
http://oracle.uae.ac.ma:1158/em
Pour se connecter à Database Control il faut utiliser un utilisateur autorisé à
accèder tel que SYSTEM, SYSMAN ou bien SYS
Accueil de OEM
Autres outils oracle

Outre Enterprise Manager, vous pouvez utiliser SQL*Plus et SQL Developer pour
exécuter des instructions SQL. Ces outils vous permettent d'effectuer un grand
nombre d'opérations de gestion de base de données, ainsi que de sélectionner,
d'insérer, de mettre à jour ou de supprimer des données dans la base.
• SQL*Plus est un programme en mode ligne de commande qui permet de:
• Effectuer des opérations de gestion de BD
• Exécuter des instructions SQL et PL/SQL pour interroger une BD

• SQL Developer est une interface graphique qui permet de:


• Gérer l’instance Oracle Database
• Prendre en charge le développement en SQL et PL/SQL
Processus d’écoute (Listner)

Le processus d'écoute Oracle Net (ou simplement le processus d'écoute) est la


passerelle vers l'instance Oracle pour toutes les connexions utilisateur non locales.
Un même processus d'écoute peut gérer plusieurs instances de base de données
et des milliers de connexions client.
Enterprise Manager est l'un des moyens permettant d'accéder à ce processus.
Paramètres d’initialisation

Les paramètres d'initialisation constituent le moyen le plus puissant pour


optimiser les performances du système. Ils sont de deux types: paramètres de
base et paramètres avancés.
Dans la plupart des cas, il suffit de définir et régler les 30 paramètres de base
pour obtenir des performances satisfaisantes de la base de données
Le terme "paramètre de base" désigne un paramètre que vous pouvez avoir à
définir pour assurer les bonnes performances de la base de données. Tous les
autres paramètres sont considérés comme des paramètres avancés.
Fichiers de paramètres d’initialisation

Lorsque une instance est démarrée, un fichier de paramètres d'initialisation est


lu. Il existe deux types de fichier de paramètres :
• Fichier de paramètres serveur (SPFILE):Il s'agit du type de fichier de
paramètres d'initialisation préféré. Ce fichier binaire est accessible en lecture et
en écriture par le serveur de base de données et il ne doit pas être modifié
manuellement. Le nom par défaut de ce fichier (recherché automatiquement
au démarrage) est spfile<SID>.ora
• Fichier de paramètres d'initialisation au format texte:Ce type de fichier de
paramètres d'initialisation peut être lu par le serveur de base de données, mais
il n'est pas accessible en écriture par le serveur. Le nom par défaut de ce fichier
(recherché automatiquement au démarrage si aucun fichier SPFILE n'est
trouvé) est init<SID>.ora.
Exemples

Quelques exemples de paramètres d’initialisation:

Paramètre Signification
CONTROL_FILES Un ou plusieurs noms de fichier de contrôle
DB_FILES Nombre maximal de fichiers de BD
PROCESSES Nombre maximal de processus utilisateur du système
d’exploitation pouvant se connecter simultanément
DB_BLOCK_SIZE Taille (en octets) d'un bloc de base de données Oracle.
DB_CACHE_SIZE Taille du cache de tampons
PGA_AGGREGATE_TARGET Quantité de mémoire PGA allouée à tous les processus
serveur
SHARED_POOL_SIZE Taille de la zone de mémoire partagée (en octet)
UNDO_MANAGEMENT Mode de gestion du volume d'annulation à utiliser
Exemples

PGA_ AGGREGATE _TARGET

DB_CACHE
LOG_BUFFER
SHARED_POOL_SIZE _SIZE
Ta

LARGE_POOL_SIZE JAVA_POOL STREAMS_


_SIZ POOL_SIZ

SGA_TARGET Taille totale de tous les composants SGA


MEMORY_TARGET Mémoire totale utilisable à l’échelle du système
Types de valeurs des paramètres d’initialisation

Types de valeur des paramètres d'initialisation


Le serveur de base de données Oracle reconnaît les types de valeur suivants pour
les paramètres d'initialisation:
• Boolean ; String; Integer; Parameter file; Reserved; Big Integer
Valeurs des paramètres dérivés
Certains paramètres d'initialisation sont dérivés, c'est-à-dire que leurs valeurs sont
calculées à partir des valeurs d'autres paramètres. Normalement, vous ne devez pas
modifier les valeurs des paramètres dérivés. (Si vous le faites, la valeur que vous
indiquez remplace la valeur calculée)
Valeurs des paramètres dépendants du système d'exploitation
Les valeurs ou fourchettes de valeurs valides de certains paramètres
d'initialisation dépendent du système d'exploitation hôte.
Par exemple:
le paramètre DB_FILE_MULTIBLOCK_READ_COUNT définit le nombre maximal de
blocs lus en une seule opération d'E/S pendant une analyse séquentielle.
Sa valeur dépend de la plate-forme utilisée. La taille de ces blocs (définie par le
DB_BLOCK_SIZE) a une valeur par défaut qui dépend du système d'exploitation.
Utiliser SQl*Plus pour afficher des paramètres d’initialisation

Pour avoir les informations sur les différentes paramètres, il suffit d’interroger
la vue du dictionnaire de données V$PARAMETER:

On peut également afficher les détails des paramètres à l’aide de la commande


SHOW PARAMETER [paramètre], comme on peut afficher tous les paramètre qui
contient une chaîne de caractère:
Modifier les valeurs des paramètres d’initialisation

Les paramètres d'initialisation sont de deux types:


Les paramètres statiques:
• Affectent l'instance ou la base de données entière
• Ils ne peuvent être modifié que dans le fichier de paramètres init.ora ou le
fichier SPFILE
• Un redémarrage de l’instance est nécessaire pour que les modifications
prennent effet.
• On ne peut pas les modifier pour l’instance en cours.
Les paramètres dynamiques:
• Ils peuvent être modifié pendant que la base de données est en ligne.
• Les modifications peuvent être effectuées sur deux niveaux:
• Session: affectent uniquement une session utilisateur et expirent à la
fin de celle-ci.
• Système: affectent l'ensemble de la base de données et toutes les
sessions.
Exemple de modification de valeurs

1. Un exemple de modification d’un paramètre de niveau session (date ):

Toutes les interrogations portant sur des dates afficheront donc les dates dans ce
format

2. On peut modifier le nombre maximal de tentatives de connexion infructueuses au


bout duquel la connexion est abandonnée. on indique explicitement que la
modification ne doit être effectuée que dans le fichier de paramètres serveur.

Lorsque le nombre d'échecs de connexion précisé est atteint, la connexion est


automatiquement abandonnée par le processus serveur. Comme il ne s'agit pas d'un
paramètre dynamique, sa modification ne prend effet qu'après le redémarrage de
l'instance de base de données Oracle.
Questions

1- Entreprise Manager Database Control peut être utilisé pour gérer plusieurs
bases de données simultanément:
• Vrai
• Faux

2- Les paramètres d’initialisation sont majoritairement dynamiques et vous


pouvez les modifier sans arrêter l’instance:
• Vrai
• Faux
Les étapes de démarrage d’une BD Oracle

Une base de données évolue entre quatre états:

• SHUTDOWN: Base fermée, aucun processus n'est présent et aucune zone


mémoire n'est réservée. le SGBD n'est pas actif sur le système.
• NOMOUNT: Instance démarrée, cet état est spécifique à la création. Les
fichiers de contrôle ne sont pas ouverts, mais des processus sont présents et la
mémoire partagée (SGA) est réservée.
• MOUNT: Instance démarrée et les fichiers de contrôle sont ouverts, ici
l'instance peut être considérée comme en utilisation pour l'administrateur seul,
aucun autre utilisateur ne peut se connecter, mais toutes les opérations sont
déjà possibles.
• OPEN: L’instance est accessible à l'utilisateur. Nous trouvons ici le mode de
fonctionnement « normal » d'une base de données.
Démarrage d’une BD en mode NOMOUNT

En règle générale, une instance est démarrée uniquement en mode NOMOUNT


au cours de la création de la base de données, pendant la regénération des
fichiers de contrôle ou dans certains scénarios de sauvegarde et de récupération.

Le démarrage d'une instance inclut les opérations suivantes:


• Recherche dans $ORACLE_HOME/dbs d'un fichier portant un nom particulier,
dans l'ordre suivant:
1.Recherchez spfile<SID>.ora.
2.Si spfile<SID>.ora est introuvable, recherchez spfile.ora.
3.Si spfile.ora est introuvable, recherchez init<SID>.ora. Il s'agit du fichier
qui contient les paramètres d'initialisation de l'instance.
• Allocation de la mémoire SGA
• Démarrage des processus en arrière-plan
• Ouverture du fichier alert_<SID>.log et des fichiers trace
Démarrage d’une BD en mode MOUNT

Une fois l'instance démarrée, on peut procéder au montage de la base qui permet
à Oracle de trouver et lire les fichiers de contrôle afin de connaitre la localisation
des fichiers de données et des fichiers de journalisation.

Le montage d'une base de données inclut les opérations suivantes:


• Associer une base de données à une instance démarrée précédemment;
• Localiser et ouvrir tous les fichiers de contrôle indiqués dans le fichier de
paramètres;
• Lire les fichiers de contrôle pour obtenir les noms et les statuts des fichiers de
données et des fichiers de journalisation en ligne (mais l'existence de ces
fichiers n'est pas vérifiée à ce stade).
Le mode MOUNT est utile pour les opérations de maintenance particulières:
• Renommer des fichiers de données;
• Activer et désactiver les options d'archivage des fichiers
de journalisation en ligne;
• Procéder à une récupération complète
de la base de données.
Démarrage d’une BD en mode OPEN

Lorsqu'une base de données est en mode de fonctionnement normal, une


instance est démarrée, et la base est montée et ouverte.
N'importe quel utilisateur valide peut se connecter à celle-ci et effectuer des
opérations standard d'accès aux données.

L'ouverture de la base de données inclut les opérations suivantes:


• Ouverture des fichiers de données;
• Ouverture des fichiers de journalisation en ligne (online redo logs).
Les modes d’arrêt d’une BD Oracle

Ils existent quatre modes d’arrêt d’une base de données Oracle:

• ABORT: effectue des tâches minimales avant l'arrêt. Il requiert une opération
de récupération avant le démarrage. Il est utilisé qu'en cas d'urgence, et si
aucun autre mode d'arrêt ne fonctionne.
• IMMEDIATE: est l'option la plus fréquemment utilisée. la base de données
Oracle est fermée proprement et assez rapidement selon les transactions en
cours dans la base.
• TRANSACTIONAL: est un mode d'arrêt utilisé pour éviter des pertes de
données sur des transactions en cours. Il attend la fin de toutes les transactions
en cours en interdisant toute nouvelle transaction. Ce mode d'arrêt peut être
long.
• NORMAL: est le mode d'arrêt par défaut si aucun mode n'est précisé. C'est le
plus long car Oracle attend que l’ensemble des utilisateurs soit déconnecté
pour fermer la base de données.
SHUTDOWN NORMAL

Shutdown Normal est le mode d'arrêt par défaut si aucun mode n'est précisé.
C'est le plus long car Oracle attend que l’ensemble des utilisateurs soit
déconnecté pour fermer la base de données. Ce mode a lieu dans les conditions
suivantes:

• Attente de déconnexion des utilisateurs,


• Aucune nouvelle connexion ne peut être établie,
• Les Redo Log Buffers sont écrits sur disques,
• Processus d'arrière-plans sont arrêtés,
• La mémoire SGA libérée,
• La base de données est fermée,
• La base de données est démontée,
• L'instance est arrêtée,
• Le démarrage suivant ne nécessite pas de récupération d'instance.
SHUTDOWN TRANSACTIONAL

Un arrêt en mode TRANSACTIONAL évite aux clients de perdre des données,


notamment les résultats des activités en cours. Ce mode d’arrêt de la base de
données s'accompagne des conditions suivantes:

• Les nouvelles transactions sont interdites,


• Les utilisateurs sont déconnectés à la fin de la transaction,
• La base de données est fermée,
• La base de données est démontée,
• L'instance est arrêtée,
• Le démarrage suivant ne nécessite pas de récupération d'instance.
SHUTDOWN IMMEDIATE

Un arrêt en mode IMMEDIATE est le mode d'arrêt le plus utilisé, notamment dans
les scripts, la base de données Oracle est fermée proprement et assez rapidement
selon les transactions en cours dans la base. Ce mode d’arrêt de la base de
données s'accompagne des conditions suivantes:

• Les transactions non validées actives sont annulées (ROLLBACK),


• Les utilisateurs sont déconnectés,
• La base de données est fermée,
• La base de données est démontée,
• L'instance est arrêtée,
• Le démarrage suivant ne nécessite pas de récupération d'instance.
SHUTDOWN ABORT

Le mode d'arrêt Abort est utilisé qu'en cas d'urgence, et si aucun autre mode
d'arrêt ne fonctionne. Ce mode d’arrêt de la base de données s'accompagne des
conditions suivantes :

• les transactions sont interrompues,


• L'instance est arrêtée sans fermeture des fichiers,
• Les Redo log buffers ne sont pas écrits sur le disque,
• Les utilisateurs sont déconnectés,
• La base de données n'est ni fermée, ni démontée,
• Le démarrage suivant nécessite au préalable la récupération de l'instance.

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