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COMBUSTION Page
INSTITUT DE REGULATION
& AUTOMATION
I I
N N
S S
T T
I I
T T
U
T
COMBUSTION U
T
D D
E E
R R
E E
G G
U U
L L
A A
T T
I I
O O
N N
E E
T T
A A
U U
T T
O O
M M
A A
T T
I I
O O
N N
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I I
N N
S S
T 1 GENERALITES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 T
I I
T T
U U
T 2 PARAMETRES DE LA COMBUSTION . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 T
3 POUVOIR CALORIFIQUE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
D D
E E
4 EXPLOSIVITE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
R R
E E
G G
U U
L 5 ETUDE DE COMBUSTION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14 L
A A
T T
I I
O 6 COMBUSTIBLES SOLIDES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21 O
N N
E E
T 7 COMBUSTIBLES LIQUIDES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26 T
8 COMBUSTIBLES GAZEUX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35
A A
U U
T 9 OPTIMISATION DE LA COMBUSTION . . . . . . . . . . . . . . . 42 T
O O
M M
A A
T T
I
10 REGLEMENTATION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55 I
O O
N N
COMBUSTION Page
COMBUSTION Page
COMBUSTION Page
D D
E E
POUVOIR FUMIGENE
R R
E Le pouvoir fumigène est le volume de fumées produite par la combustion neutre d'une unité de E
G G
U combustible. Il s'exprime en Nm3 de fumée / Nm3 pour les gaz et en Nm3 de fumée / kg pour U
L les liquides et les solides. L
A A
T T
I I
O
Il faut considérer deux cas : O
N N
- Le pouvoir fumigène humide (symbole V'f ), l'eau produite par la combustion étant à
E l'état de vapeur et on est en présence de fumées humides. C'est le volume qui est réel- E
T T
lement à évacuer.
- Le pouvoir fumigène sec (symbole Vf ), l'eau produite par la combustion est condensée
et on est en présence de fumées sèches. On ne tient compte que du volume des corps
A gazeux. A
U U
T T
O O
M M
A
Pour tous les gaz combustibles distribués, le pouvoir fumigène humide rapporté au A
T kWh (PCI) est compris entre 1,00 et 1,07 (0,99 pour les fiouls). T
I I
O O
N N
COMBUSTION Page
Cette teneur, pour un combustible donné, dépend de sa dilution avec l'air en excès.
Elle constitue un moyen commode de caractériser une combustion.
I I
N N
S S
T T
I I
T TENEUR EN O2 DANS LES FUMEES : T
U U
T T
C'est le rapport du volume d' O2 au volume des fumées (symbole Vo2 ).
Cette teneur, pour un combustible donné, dépend de l'excès d'air. Elle constitue aussi
D un moyen commode de caractériser une combustion. D
E E
R R
E E
G AIR EN EXCES ET EXCES D'AIR : G
U U
L L
A Dans la pratique on ne peut amener la quantité d'air necessaire et suffisante pour réaliser une A
T combustion théorique et complète. Il faut ajouter au volume d'air théorique ( Va ) un volume d'air T
I I
O supplémentaire appelé air en excès Ae. O
N N
VA - Va
A e % = x 100 A
U Va U
T T
O O
M Va étant le volume d'air d'une combustion stoechiométrique et VA le volume d'air réellement M
A A
T utlisé pour la combustion T
I I
O O
N N
La détermination de l'excès d'air se pose à tout exploitant de générateurs thermiques
(chaudières, fours,...) qui veut connaitre les conditions de fonctionnement de son installation dans le but
COMBUSTION Page
La mesure de la teneur en oxygène dans les fumées humides permet de chiffrer cet
excès d'air au moyen de la relation suivante :
Vo2
e % = 0,208 - Vo2 x 100
A A
U Les abaques 1,2,3 permettent de trouver l'excès d'air e lorsque le combustible est du U
T fuel lourd n°2 (abaque 1 ),du fuel lourd n°2 BTS (a baque 2) et du fuel lourd n°2 TBTS T
O O
M (abaque 3). M
A A
T T
I Ces abaques fournissent d'autres paramètres utiles : I
O O
N N
- Pourcentage volume de vapeur d'eau en %H2O
- Va pouvoir comburivore en Nm3
- Vf volume des fumées sèches à la combustion neutre en Nm3.
- V'f volume des fumées humides à la combustion neutre en Nm3.
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POUVOIR CALORIFIQUE :
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A A
U U
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A A
T T
I I
O O
N N
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Les conditions nécessaires pour amorcer une combustion gaz dans un mélange air-gaz sont :
- Que la concentration de gaz dans le mélange soit comprise entre la LIE (limite inférieure
d'explosivité) et la LIS (limite supérieure d'explosivité).
I I
N N
S - Que ce mélange soit mis en contact avec une flamme ou une étincelle ou un corps dont la S
T température dépasse la température d'inflammation (ou d'auto-inflammation) du gaz. T
I I
T T
U La flamme peut alors se propager dans le mélange à la vitesse de déflagration. U
T T
Limite Limite
inférieure Mélange supérieure
D d'explosivité stochiométrique d'explosivité Température D
E Vitesse de E
(exprimée en (exprimé en % (exprimée en d'inflammation
Composés Formule % de de concentration % de du mélange en
déflagration
volume dans degrés celcius en m/s
concentration concentration
R volume dans l'air) volume dans R
E E
l'air) l'air)
G G
U U
L Hydrogène H2 4,0 29,38 74,5 570 170 / 245 L
A A
T T
I Monoxyde de carbone CO 12,5 29,38 74 630 28 / 32 I
O O
N N
Méthane CH4 5 9.42 15 580 38 / 44
E E
T T
Ethane C2H6 3 5,61 12,5 490 36 / 48
COMBUSTION Page
Le pouvoir calorifique d'un mélange de fluides peut être déterminé à partir de la connaissance
de la composition du mélange, en tenant compte du pouvoir calorifique de chaque constituant. La
composition du mélange pourra être déterminée par un analyseur à principe physicochimique tel
I qu'un chromatographe. I
N N
S S
T T
I I
T T
U Exemple : U
T Calcul du Pci et Pcs d'un mélange de gaz de haut fourneau. T
D D
E E
3 3
H2 3% Pci = 2567 Kcal/Nm Pcs = 3047 Kcal/Nm
R
N2 57% ne participe pas à la combustion R
E CO 25% Pci = Pcs =3018 Kcal/Nm3 E
G G
U
CO2 15% ne participe pas à la combustion U
L L
A A
T T
I I
O O
N
Pci = 0,03 x 2567 + 0,25 x 3018 = 831,5 Kcal/Nm3 N
= 3475,7 KJ/Nm3
E E
T Pcs = 0,03 x 3047 + 0,25 x 3018 = 845,9 Kcal/Nm3 T
= 3535,9 KJ/Nm3
A A
U U
T T
O O
M M
A A
T T
I I
O O
N N
COMBUSTION Page
EXEMPLES
1. Etudier la combustion stoechiométrique d'un débit masse de 100 kg/h de fioul n°2
dont la composition est la suivante :
I I
N 88 % de carbone N
S 12 % d'hydrogène S
T T
I I
T T
U U
T Réactions chimiques T
D * C + O2 → CO2 D
E (12g) + (32g) → (44g) E
R * 2H2 + O2 → 2H2 O R
→ (2x18g)
E E
G (4g) + (32g) G
U U
L L
A A
T 1-1 Débit masse d'oxygène nécessaire T
I I
O 32 x 88 O
N * pour C 12 = 234 kg/h N
32 x 12
E * pour H2 = 96 kg/h E
T 4 T
231 x100
Air : 21% O2 Débit d'air = = 1100 Nm3/h
21
79% N2
COMBUSTION Page
44 x 88
* pour CO2 = 322 Kg/h
12
D D
E
Soit le débit volume des fumées : E
R
QVCO + QVH O + QVN = 164 + 134 + 1100 x 79 = 1 167 Nm3/h R
E
2 2 2 100 E
G G
U U
L L
A A
T T
I I
O O
N N
E E
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A A
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O O
M M
A A
T T
I I
O O
N N
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2- Soit un gaz de raffinerie (ou fuel gaz) dont l'analyse a donné les résultats siuvants :
Hydrogène H2 = 10 %
Méthane CH4 = 50 %
I Ethane C2H6 = 10 % I
N N
S Propane C3H8 = 25 % S
T Azote N2 = 5% T
I I
T T
U Dans les cinq consituants, un seul n'est pas combustible : l'azote (N2). U
T T
50 m3 + 2 x 50 m3 → 50 m3 + 2 x 50 m3
Ethane
A A
U U
7
T C2H6 + O → 2CO2 + 3H2O T
O 2 2 O
M 7 M
A 10 m3 + 2 10 m
3
→ 2 x 10 m3 + 3 x 10 m3 A
T T
I I
O Propane O
N N
25 m3 + 5 x 25 m3 → 3 x 25 m3 + 4 x 25 m3
COMBUSTION Page
I I
N Composition du gaz O2 nécessaire Volume des fumées N
S S
T T
I I
T T
U
Constituants Nm3 Nm3 CO2 N2 H2O U
T T
COMBUSTIBLES
H2 10 5 10
C2H6 10 35 20 30
R R
E E
G C3H8 25 125 75 100 G
U U
L L
A N2 5 5 A
T T
I I
O O
N 100 N
Gaz 265 145 5 240
E E
T T
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GAZ AIR
100 m3 1 262 m3
I I
N N
S S
T T
I I
T T
U U
T T
CO2 N2 H2O
145 m3 1 002 m3 240 m3
D D
E E
R R
E E
G G
U U
L FUMEES L
A A
T 1 387 m3 T
I I
O O
N N
Remarques :
E E
T T
Les formules pratiques (Rosin et Fehluaz) permettent de calculer le volume d'air
théorique et le volume des fumées pour 2 types de gaz (PCI faible, PCI fort).
On considère qu'un gaz est pauvre si son PCI est infèrieur à 1200 Kcal/Nm3.
A A
U U
T T
O O
M GAZ AIR THEORIQUE FUMEES M
A A
T T
I GAZ PAUVRE 0,875 0,725 x PCI + 1 I
O x PCI O
N (PCI faible) 1 000 1 000 N
COMBUSTION Page
En reprenant l'exemple du fuel gaz, on détermine le PCI à partir des PCI des différents
constituants.
I I
N
S
H2 = 10 763 KJ/Nm3 C2H6 = 63 700 KJ/Nm3 N
S
T T
I
T
CH4 = 35 800 KJ/Nm3 C3H8 = 91 186 KJ/Nm3 I
T
U U
T D'où le PCI du mélange sera égal à : T
R
Ce qui donne, d'après les formules ci-dessus pour un gaz riche :
R
E E
G Air théorique : 1,09 x 11 500 - 0,25 = 12,30 m3(n)/m3(n) G
U 1 U
L L
A 000 A
T
Fumées : 1,14 x 11 500 + 0,25 = 13,36 m3(n)/m3(n)
T
I I
O 1 O
N 000 N
E E
T T
A A
U U
T T
O O
M M
A A
T T
I I
O O
N N
COMBUSTION Page
- matières organiques,
- matières minérales,
D - d'eau. D
E E
R R
E Matières organiques E
G G
U U
L Les principales sont le carbone, l'hydrogène, l'oxygène, le soufre (à faible teneur). L
A A
T
Ces constituants sont la partie utile du combustible. T
I I
O O
N N
Matières minérales
E E
T Ce sont des composés : T
On prend en compte l'humidité totale qui est la somme des deux humidités.
COMBUSTION Page
COKE
I I
N
La qualité du coke dépend des charbons utilisés et des conditions de cokéfaction. N
S S
T T
I
On peut classer le coke en trois natures : I
T T
U U
T
- coke de haut-fourneau : avec des caractéristiques draconiennes : T
taux de cendres, humidité, calibrage ...
Ce combustible est obtenu en fin de craquage du pétrole brut à partir d'un résidu très
lourd.
A A
U
Peu utilisé en France jusqu'en 1975, la consommation actuelle (1982) est de 1,5 MT U
T avec de gros consommateurs : les cimentiers. T
O O
M M
A Les caractéristiques sont les suivantes : A
T T
I I
O - un pouvoir calorifique élevé : 31,5 MJ/kg O
N N
- teneur en cendres résiduelles : 0,5 %
- teneur en matières volatiles faible : ~ 10 %.
COMBUSTION Page
HOUILLES
D D
E Critères E
COMBUSTION Page
BOIS ET DECHETS
Les caractéristiques sont très variables suivant les origines et les essences. La
I I
N composition chimique du bois sec est estimé à : N
S S
T T
I - carbone : 50 % I
T - oxygène : 43 % T
U U
T - hydrogène : 6 % T
- azote : 1 %
E E
T T
TOURBES
A A
U Après extraction des tourbières et séjour prolongé à l'air, la teneur en humidité passe de U
T 85 % environ à 25 % environ. Les tourbes se présentent sous forme de briquettes plus ou T
O O
M moins compactes suivant leur origine. M
A A
T T
I La composition chimique est estimée à : I
O O
N N
- carbone : 52 %
- hydrogène : 8 %
- oxygène : 39 %
- azote + soufre : 1 %
COMBUSTION Page
BAGASSE
D D
E E
DECHETS URBAINS
R R
E Provenance E
G G
U U
L L
A A
T
- nettoyage des voies publiques T
I - habitations ; collectivités I
O - industries ; commerces O
N N
E E
T Poids T
- 1 Kg / jour / habitant
PCI
A A
U U
T - zones rurales :~ 5 000 K J.K g -1. T
O O
M - zones urbaines : ~ 7 000 KJ.Kg-1. M
A
T
- Paris : ~ 10 000 KJ.Kg-1. A
T
I - Abidjan : ~ 3 750 KJ.Kg-1. I
O O
N - USA : ~ 9 000 KJ.Kg-1. N
COMBUSTION Page
E E
T T
A A
U U
T T
O O
M M
A A
T T
I I
O O
N N
COMBUSTION Page
FIOUL LOURD
Composition - PCI
En effet, le PCI de l'hydrogène est environ 3,6 fois celui du carbone (H2 : 120 MJ/Kg
R - R
E E
G C : 32,75 MJ/kg), d'où : G
U U
L
- C/H → 6 PCI → 42,4 MJ/kg (10 150 Kcal/Kg)
L
A A
T - C/H → 8 PCI → 40 MJ/kg ( 9 600 Kcal/Kg). T
I I
O O
N N
E E
T T
COMBUSTION Page
Propriétés à froid
D D
E 4- Eau - Sédiments E
L'eau et les sédiments d'origine externe doivent être éliminés par des purges périodi-
R ques et un R
E E
G
filtrage efficace. G
U U
L L
A A
T T
I I
O O
N Teneur en soufre N
- la corrosion : le SO2, résultat de l'oxydation du SO, forme avec l'eau de condensation des
A fumées A
U d'acide sulfurique SO4H2 qui corrode les parties métalliques. U
T T
O O
M M
A A
T En conséquence, la température des fumées devra toujours être supérieure à 145°C à T
I la sortie de la cheminée. I
O O
N N
Si les fiouls domestiques sont désulfurés, il n'en est pas de même pour les fiouls lourds
dont la teneur en soufre est obtenue par ségrégation des bruts (la désulfuration étant très
onéreuse).
COMBUSTION Page
Point éclair
Le point éclair est la température minimale à laquelle le fioul doit être porté pour que les
vapeurs s'enflamment en présence d'une étincelle ou d'une flamme pilote.
I I
N N
S S
T T
I I
T T
U U
T T
Indice de CORADSON
D D
E C'est le % de poids des sédiments qui restent après la combustion à l'air libre du fioul. E
Cet indice (~1 %) permet de se faire une idée du dépôt sur les brûleurs.
R R
E E
G G
U U
L Teneur en asphaltène L
A A
T T
I Cette teneur en produits lourds, dans les fiouls de 2 à 5 %, il y a dix ans, à tendance à I
O O
N augmenter actuellement de 5 à 10 % et parfois de 15 à 20 %. N
La connaissance de cette teneur donne des indications des conditions de pulvérisation
E aux brûleurs. Une forte teneur en asphaltène oblige à réchauffer le fioul entre 150 et 180°C. E
T T
Viscosité
A A
U C'est le premier critère de la bonne pulvérisation aux brûleurs. U
T T
O O
M En général, la viscosité est calculée : M
A A
T T
I - à 20°C pour le FOD I
O O
N
- à 100°C pour les fiouls lourds. N
COMBUSTION Page
Masse volumique
Pour les fiouls lourds, la masse volumique ρ est déterminée à une tempértature
supérieure au point d'écoulement.
R Pouvoir calorifique R
E E
G G
U La détermination du pouvoir calorifique est faite à partir de la formule de CRAGOE U
L L
A simplifiée dans laquelle on ne prend en compte que la teneur en soufre. A
T T
I I
O O
N N
PCI = 55,5 - 14,4 ρ15°C - 0,32 (S)
E E
T T
avec PCI : en MJ/kg
(S) : teneur en soufre
ρ15°C : masse volumique en kg/litre.
A A
U On détermine également le PCI par graphique (voir page24) U
T T
O O
M M
A A
T Métaux, eau, sédiments T
I I
O O
N N
- Métaux (vanadium, sodium)
La teneur en vanadium peut varier de 50 à 200 ppm suivant l'origine des bruits (1ppm = 1 mg/
kg)
- Eau
L'eau répartie de façon homogène n'est pas gênante. On admet 0,1 à 0,3 % en général
COMBUSTION Page
1250
750
500
I I
N N
S
T
250 S
T
I I
T T
U U
T T
100
F.
D
50 D
O
.
E E
Viscosité : mm2 .s-1 ou cSt
n°
F.
2
R R
O.
E E
G 25 G
n°
U U
L L
1
A 20 A
T T
I I
O O
F.
N 15 N
O.
LE
E E
T T
GE
10
R
A A
F.
U U
T 7,5 T
O.
O O
M M
D.
A A
T T
I I
O O
N 4 N
3
20 50 100 150
Température °C
COMBUSTION Page
0,900 0,910 0,920 0,930 0,940 0,950 0,960 0,970 0,980 0,990 1,000
10 000 10 000
I I
N DETERMINATION DU PCI N
S 9 950 9 950 S
DES FUELS
T T
PCI kcal/kg
I I
T T
U 9 900 9 900 U
T T
9 850 9 850
0
D 0,5 D
E 9 800 9 800 E
1,0
R 1,5
R
9 750 9 750
E E
G G
U 2,0 U
L L
9 700 9 700
A 2,5 A
T T
I 3,0 I
O 9 650 9 650 O
N 3,5 N
4,0
E E
PCI kcal/kg
9 600 9 600
T 4,5 T
5,0
9 550 9 550
% SOUFRE
A 9 500 9 500 A
U U
T T
O O
M 9 450 9 450 M
A A
T 15 T
DENSITE d 4
I I
O 9 400 9 400 O
N N
0,900 0,910 0,920 0,930 0,940 0,950 0,960 0,970 0,980 0,990 1,000
DOC ENSPM
COMBUSTION Page
injecteur
injection de mousse
eau de refroidisse- =
ment ...
de la paroi ... .. émulseur
I .. I
N eau N
S S
T T
I I
T T
U U
T T
AC
R
tunnel
réglette de reprise
graduée ↑ vapeur
D
E
remplissage FO .......................................
...................................... ..
D
E
........................................
......................................
...................................... ..
.......................................
R aspiration FO R
plaque de jauge
E E
G G
U U
L L
A galette sandwich traçage A
T (épaisseur 25 cm) vers remplissage FO traçeur T
I sol d'origine sable + bitume vapeur I
O (purgé de ses points durs O
N et cylindré) N
PLAN DE COUPE
E E
T T
ossature support
de serpentin
de dégourdissage
A AC A
U calorifuge du bac R U
T ↓ T
O O
M M
A
.............................................
.......................................... ..
A
T
...........................................
.......................................... .
T
........................................... .
I
O
........................................... I
O
N N
serpentin
circonférentiel
purgeur
calorifuge sur
tuyauterie
serpentin de
dégourdissage
purgeur porte de visite (trou
d'homme)
T
T
T
O
M
G
N
A
U
R
D
U
N
N
A
U
A
T
E
E
T
T
T
O
O
Distribution du fioul lourd
N/Réf: 4355.PM6
Schéma de principe
Les températures et pressions sont données à titre indicatif
Ce schéma ne préjuge pas de l'implantation éventuelle REGULATEUR DE PRESSION
d'organes tels que les clapets anti-retour, les soupapes.
135°C
Gabriel ROCHE
RECHAUFFEUR VAPEUR
15
bars
VANNE REGULATION DEBIT
CIRCUIT HP
POMPES HP
www.PoleIRA.com
3,5
COMBUSTION
FILTRES
Institut de Régulation et Automation
bars
[x]
RECHAUFFEUR
CREPINE
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Institut de Régulation et Automation
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I I
N N
S On distingue deux types de combustible gazeux : S
T T
I I
T - gaz commercialisés, T
U - gaz à utiliser "in situ". U
T T
A A
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O O
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A A
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O O
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GAZ NATUREL
Les gaz naturels sont essentiellement constitués de méthane.
I Les gaz naturels ne contiennent pas d'oxyde de carbone et ne sont donc pas I
N N
S toxiques. S
T T
I I
T L'exploitation du gaz naturel, à son origine, se développait à partir d'une seule T
U source et le gaz distribué avait des caractéristiques constantes et identiques en tous U
T T
points du réseau.
Désormais l’approvisionnement en gaz de la France est bien diversifié : en 2008, 33 % du gaz
importé par la France arrive de Norvège, 18 % des Pays-Bas, 17 % d’Algérie, 15 % de Russie. En
D raison de l'interconnexion des réseaux de transport, une même région peut recevoir des gaz D
E E
d'origines différentes, purs ou en mélange, les proportions pouvant varier en fonction des conditions
d'exploitation.
R R
E E
G Le gaz naturel représente aujourd’hui le quart de l’énergie primaire consommée dans l’Union G
U U
L
européenne (UE) et 15 % en France. La demande degaz naturel a connu une expansion rapide dans L
A les vingtdernières années pour la France comme pour l’UE : elle a augmenté de 52 % en France A
T (49 % en UE) entre 1990 et 2006, tandis que la consommation totale d’énergie primaire ne T
I I
O progressait que de 10 % en Europe et 20 % en France. Sa croissance a été très forte entre 1990 O
N et 2004, mais elle semble se stabiliser depuis. Le gaz a tendance à se substituer au charbon : entre N
1990 et 2006, la part du charbon (tourbe incluse) dans le bouquet énergétique européen est passée
E E
T
de 27 % à 18 %, celle du gaz naturel de 18 % à 24 %, tandis que celles du pétrole et de l’électricité T
primaire restaient quasi stables. Ces évolutions sont observables dans tous les pays.
Le gaz naturel est moins cher que le pétrole avec des prix moyens à l’importation en France
inférieurs de plus de 50 % pour une même quantité d'énergie. Le charbon, qui était à peu près au
même prix que le gaz entre 1987,et 1999, coûte aujourd’hui 40 % à 50 % moins cher.
A Le développement rapide de la consommation de gaz dans les années récentes tient aussi à ses A
U U
T
qualités physiques : il n’émet pas de particules, ni de dioxyde de soufre (SO2). Et surtout, argument T
O devenu très important, il émet moins de carbone que les autres énergies fossiles : en moyenne 0,65 O
M M
A
tonne de carbone par tonne équivalent pétrole (tep) consommée, contre 0,83 tonne pour le pétrole A
T et 1,12 tonne pour le charbon. T
I I
O O
N Deux type de gaz naturels sont distribués : N
- ceux dits de type H dont le pouvoir calorifique supérieur est compris entre 10,7 et 12,8 kWh/Nm3
- ceux dits de type B dont le pouvoir calorifique supérieur est compris entre 9,5 et 10,5 kWh/Nm3
En fait, le seul gaz de type B est le gaz de Groningue. Il est progressivement remplacé par du
gaz de type H.
Tous les autres gisements connus fournissent ou fourniront des gaz de type H.
COMBUSTION Page
Lacq 11,3 40,6 9,7 10,2 36,6 8,7 0,74 0,57 15,3 56,1 13,2 13,8 49,6 11,9 0,90
A Algérie(Le Havre) 12,4 44,7 10,7 11,2 40,3 9,6 0,82 0,64 15,1 54,3 13,0 13,6 49,0 11,7 0,90 A
U U
T Agérie(Fos) 11,8 42,3 10,1 10,6 38,1 9,1 0,78 0,60 15,0 54,2 12,9 13,6 48,8 11,7 0,90 T
O O
M Algérie(Montoir) 12,3 44,5 10,6 11,1 40,1 9,6 0,82 0,64 15,0 54,0 12,9 13,5 48,7 11,6 0,90 M
A A
T Mer du Nord 11,2 40,2 9,6 10,1 36,2 8,7 0,81 0,62 13,8 49,8 11,9 12,5 44,9 10,7 0,90 T
I I
O Russie 11,2 40,3 9,6 10,1 36,3 8,7 0,78 0,60 14,4 52,0 12,4 13,1 47,3 11,3 0,90 O
N N
GRONINGUE 10,1 36,3 8,7 9,1 32,7 7,8 0,83 0,64 12,2 43,9 10,5 11,0 39,5 9,4 0,90
Propanecommercial 27,5 99,0 23,6 26,4 91,4 21,8 1,98 1,83 13,9 50,0 11,9 12,8 46,1 11,0 0,92
Butanecommercial 36,6 128,4 30,6 32,9 118,7 28,3 2,60 2,00 13,7 49,4 11,8 12,7 45,7 10,9 0,92
Air propané à7,5 kWh/m3(n) 7,5 27,0 6,4 6,9 24,9 5,9 1,47 1,14 Grandeurs non-utilisées dans 0,92
Air propanéà15,6 kWh/m3(n) 15,6 56,1 13,4 14,4 51,8 12,4 1,68 1,30 la pratique pour les mélanges 0,92
Air propané à7,3 kWh/m3(n) 7,3 26,3 6,3 6,7 24,3 5,8 1,55 1,20 Air - GPL 0,92
Gaz Cokerie à 5,5 kWh/m3(n) 5,5 19,9 4,7 4,9 17,7 4,2 0,56 0,44 9,7 35,2 8,4 8,7 31,3 7,5 0,90
COMBUSTION Page
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TENEUR EN SOUFRE
I I
N
Teneurs réglementaires N
NATURE maximales Teneurs pratiques
S S
T DU T
I COMBUSTIBLE I
T
mg/kWh T
U mg/m3 (n) mg/kWh mg/m3 (n) valeurs U
T arrondies T
Lacq
D Algérie D
E GAZ
NATURELS
Mer du Nord
Groningue
} 150 13 environ
10
environ
0,9
E
R R
E Russie E
G G
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L L
A A
100 3,6 10 à 40 0,5 à 2
T PROPANE T
I (50 mg/kg) I
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FUEL - GAS
E E
T T
Ce gaz est constitué des matières volatiles contenues dans la houille et libérées lors de
sa distillation dans les fours à coke :
A - Composition : Hydrogène : 62 % A
U Méthane : 25 % U
T T
O Ethane + Ethylène : 3 % O
M Monoxyde de carbone : 6 % M
A A
T Dioxyde de carbone : 2 % T
I Azote : 2 % I
O O
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COMBUSTION Page
GAZ DE HAUTS-FOURNEAUX
E E
T T
- Densité / Air : 1
COMBUSTION Page
Pour minimiser les pertes d'énergie et l'émission des gaz toxiques et d'imbrûlés, il est
nécessaire de déterminer et de réguler l'excès d'air.
I I
N N
S La figure 1 (page 43) montre les pertes d'énergie d'un système de combustion idéal. Un S
T défaut d'air ou un excès d'air trop faible conduisent à une combustion incomplète, à la T
I I
T formation de monoxyde de carbone (CO), à l'émission de particules solides imbrûlées (suies) T
U et dans le cas d'une combustion en fioul, à l'apparition de fumées noires. Le rendement U
T T
maximal d'un système de combustion à lieu en un point tel qu'il y a formation d'une faible
quantité de CO, de l'ordre de 100 ppm (0,01 % volume).
D
La boucle de régulation idéale devra donc tendre à ajuster le rapport combustible/air
D
E carburant à une valeur X pour que la concentration minimale de CO (> 100 ppm) soit atteinte, E
quelles que soient les allures de fonctionnement du système de combustion.
R R
E En effet, la figure 2 (page 44) montre que l'excès d'air nécessaire à la combustion E
G G
U complète varie avec la charge (ou allure de chauffe). La quantité d'excès d'air pour un U
L rendement maximal de la combustion, se déplace de la position A1 à pleine charge, à la L
A A
T position A2 pour une allure de chauffe plus faible. T
I I
O O
N Cette augmentation d'excès d'air se traduit directement par une augmentation des N
pertes d'énergie. E2 représente alors le rendement maximal qui peut être obtenu par réglage
E du seul rapport fioul/air à cette allure particulière de chauffe (A2). E
T T
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Pour les analyseurs de gaz, nous allons nous intéresser à la partie échantillonnage et à
l'unité analytique.
D D
E E
R
Les systèmes de conditionnement d'échantillon classiques utilisés sur les gaz de
R
E combustion se résument en fait à un ou plusieurs dispositifs de filtration et à un réfrigérant pour E
G condenser la vapeur d'eau. Quel que soit le composé analysé, l'erreur la plus importante va G
U U
L être introduite par la condensation de l'eau et ce pour deux raisons : L
A A
T T
I - condenser l'eau revient en fait à supprimer l'un des composants principaux du mélange que I
O constitue un gaz de combustion. O
N N
E
- la condensation de l'eau s'accompagne inévitablement de la dissolution partielle de certains
E
T composés tel que le CO2 en particulier. T
L'erreur introduite par la suppression de l'eau dans le mélange ne peut pas être corrigée
systématiquement car il n'est pas possible de connaître, à priori, l'humidité d'un gaz de
A combustion. En effet, l'eau qu'il contient à deux origines : A
U U
T T
O - celle provenant de la combustion elle-même et dont la quantité est directement liée au rapport O
M M
A C/H du combustible. Par exemple, la combustion du méthane (CH4) avec de l'air sec conduit A
T à un gaz contenant 35% d'eau alors que pour le propane, il n'en contient dans les mêmes T
I I
O conditions que 14,3 %. O
N N
- celle introduite dans le foyer avec l'air de combustion et dont la quantité est, cette fois,
directement liée à l'humidité relative de l'air ambiant.
Pour résumer, faire une analyse de gaz de combustion en négligeant les phénomènes
qui se produisent au niveau du réfrigérant de la ligne d'échantillonnage conduit inévitablement
à introduire dans la mesure, une erreur non-négligeable d'une part, et très difficile à corriger
d'autre-part.
COMBUSTION Page
L'introduction, ces dernières années, de la mesure d'oxygène par sonde à oxyde de zirconium
(ZrO2) permet de travailler directement sur les gaz chauds sans aucun
conditionnement préalable de l'échantillon. La sonde est placée directement dans les gaz de
combustion (sonde "in-situ").
L'oxygénomètre :
I I
N Il est dans ce cas à principe électrochimique et il est muni d'une sonde de zirconium ( ZrO2). N
S S
T T
I Principe de fonctionnement : I
T T
U U
T L'élément sensible de l'analyseur (voir figure 3) est un tube en céramique (oxyde de zirconium T
ZrO2) fermé à une extrémité.
D D
E E
R R
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G G
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L L
A A
T T
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E E
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A A
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M M
A A
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I I
O O
N N
A chaud, il conduit l'électricité par la mobilité des ions O2 dans la maille cristalline. ce tube est
recouvert intérieurement et extérieurement de platine poreux qui constitue les électrodes de
cette allure électrochimique. Quand la pression partielle d'oxygène est différente entre
l'intérieur et l'extérieur de la paroi, une force électromotrice proportionnelle au rapport des
pressions partielles se crèe entre les deux électrodes.
COMBUSTION Page
Si une des pressions patielles est connue, par exemple celle du gaz de référence qui est l'air,
l'autre peut être facilement calculée
E = A T log 0,209
[O2]
I I
N Température N
S S
T T
I I
T Précisons que, comme la force électromotrice produite dépend de la température, celle-ci est T
U U
T maintenue constante (aux environs de 750°C). L'avan tage de cette mesure d'oxygène en dehors du T
fait qu'elle est fiable et peu coûteuse, est d'offrir la possibilité d'agir directement sur le rendement
de toutes les combustions puisque l'excès d'air total envoyé à l'atmosphère est directement
proportionnel à l'excès d'O2.
D D
E E
R R
E E
G G
U U
L L
A A
T T
I I
O Cette mesure présente néanmoins un certain nombre d'inconvénients : O
N N
E E
T - tout changement des conditions de la combustion retentit sur le niveau d'excès d'air pour que T
la combustion demeure complète et impose de modifier le point de consigne de la teneur en
O2 pour atteindre cet objectif. La mesure d' O2 étant située au niveau des fumées, cela
implique un retard que l'on compensera en envoyant un fort excès d'air pour maintenir une
A combustion complète dans toutes les conditions possibles de marche du système. A
U U
T T
O - le second problème est lié aux introductions d'air parasite. En effet, la plupart des systèmes O
M M
A de combustion fonctionnent sous une certaine dépression. Comme il est pratiquement A
T impossible de rendre totalement étanche un four ou une chaudière, cette dépression favorise T
I I
O l'entrée d'air provenant de l'atmosphère environnante et dilue les gaz de combustion. Les O
N N
erreurs qui en résultent sur la mesure de l'O2 dans les fumées peuvent parfois être
conséquentes.
COMBUSTION Page
Mesure du monoxyde :
E
T
λCO = 4,6 µm λCO = 2,7 et 4,7 µm E
T
2
COMBUSTION Page
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S S
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Principe :
I I
N N
S S
T Source infrarouge T
I I
T T
U C : chopper U
T T
H : emetteur infrarouge
L : lentille de focalisation
P : circuit amplificateur
D : détecteur
D D
E
G : cellule à gaz E
P1 : circuit amplificateur
R
P2 : circuit de commande R
E S : schopper E
G G
U U
L L
A
La valeur de l'intensité I est donc fonction de la concentration. Pour éliminer l'influence de la A
T vapeur d'eau et du gaz carbonique, on place alternativement dans le faisceau, une cellule T
I I
O
remplie d'azote et une cellule remplie de CO. Cette dernière a pour rôle d'éliminer la radiation O
N correspondante à la raie spectrale caractéristique du CO dans le spectre IR et mesure les N
radiations perturbatrices de la vapeur d'eau et du CO2.
E E
T T
La mesure de l'opacité :
Sur de petites chaudières, dans certaines circonstances, de la fumée peut être émise
A avant de déceler une augmentation de CO. Ainsi, en mesurant l'opacité, on détecte ces A
U conditions inhabituelles. U
T T
O O
M L'opacité de différentes façons : M
A A
T T
I - échelle de Ringelmann dont les indices vont de 0 à 5 (0 à 100 %). I
O O
N N
- échelle de Bacharach que l'on utilise pour les faibles quantités, dont les indices de
noircissement vont de 0 à 9 et correspondent au noircissement d'un papier filtre traversé par
un certain volume de fumée.
COMBUSTION Page
L'OPACIMETRE
Principe :
I I
N N
S S
T T
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Légende :
R R
E E
G 1 : fibre optique émettrice vers boîtier électronique G
U U
L 2 : cadre support soudé sur la cheminée L
A 3 : flux lumineux A
T T
I 4 : capteur amovible en acier inoxydable I
O 5 : déflecteur O
N N
6 : air de balayage
7 : particules en suspension réfléchissante de la
E E
T lumière vers la fiber optique réceptrice T
8 : fibre optique réceptrice vers boîtier électronique
9 : gaine protectriceen laiton chromé
A A
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Fonctionnement :
COMBUSTION Page
On désigne par polluant, tout corps solide, liquide ou gazeux contenu dans l'atmosphère
qui ne fait pas partie de la composition normale de l'air ou qui y est en quantité anormale.
I I
N N
S
La composition normale de l'air sec "en volume" est : S
T T
I I
T
- Azote N2 : 78,08 % - Néon Ne : 18 ppm T
U U
T
- Oxygène O2 : 20,95 % - Helium He : 5 ppm T
- Argon Ar : 0,93 % - Krypton Kr : 1 ppm
- Dioxyde de carbone CO2: 0,035 % - Xenon Xe : 1 ppm
D D
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R R
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COMBUSTION Page
PRINCIPAUX POLLUANTS
Les polluants actuellement les plus reconnus sont O3, NOx, Pb, SO2. La directive euro-
péenne prévoit d'élargir cette liste en la rapportant à 13.
I I
N N
S S
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G G
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L L
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Valeur limite F.N. : 250 µg/m3 : moyenne journalière à ne pas dépasser plus de
7j/an.
N/Réf: 4355.PM6 Chemin des Moines - 13200 ARLES
Tél: 04.90.99.47.00 / Fax: 04.90.93.03.15
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Institut de Régulation et Automation
COMBUSTION Page
Poussières : Particules fines - 400 000 t/an, 60 % des poussières émis par entreprises sidérurgiques.
Exemple : ArcelorMittal produit 11 000 t/an de poussières, ce qui représente 35 % des émissions de la
région PACA
I I
N N
S S
T T
I MONOXYDE D'AZOTE ET DIOXYDE D'AZOTE : NO, NO2 I
T T
U U
T Le monoxyde d’azote NO et le dioxyde d’azote NO2 sont émis lors des phénomènes T
de combustion. Le NO2 est issu de l’oxydation du NO. Les sources principales sont les
véhicules (près de 60%) et les installations de combustion (centrales thermiques, chauffa-
ges...). Le pot catalytique a permis, depuis 1993, une diminution des émissions des véhicu-
D les à essence, mais l’effet reste encore peu perceptible compte tenu de l’augmentation forte D
E E
du trafic et de la durée de renouvellement du parc automobile. Le NO2 se rencontre égale-
ment à l’intérieur des locaux où fonctionnent des appareils au gaz tels que gazinières, chauffe-
R R
E eau.... E
G G
U U
L Les composés azotés émis par combustion, soit NO, NO2, sont souvent réunis sous la L
A même formule NOX. ceux-ci ont deux origines principales : A
T T
I I
O - l'oxydation de l'azote de l'air comburant O
N N
- l'oxydation des composés azotés qui peuvent se trouver dans le combustible.
E E
T Monoxyde d'azote NO : T
COMBUSTION Page
I Aux conditions standards (25°C, 1 013 h), il se pré sentera sous la forme polymérisée I
N N
S
N2O4 en mélange avec NO2 selon l'équilibre : S
T T
I I
T N2O4 ⇔ 2 NO2 T
U U
T T
Cet équilibre est déplacé vers la droite lorsque la température croît.
A A
U LES OXYDES DE SOUFRE : SO2, SO3 U
T T
O SO2 : Le dioxyde de soufre SO2 est émis lors de la combustion des combustibles fossiles O
M tels que charbons et fiouls. Les sources principales sont les centrales thermiques, les gros- M
A A
T ses installations de combustion industrielles et les unités de chauffage individuel et collectif. T
I La part des transports (diesel) est faible et baisse avec la suppression progressive du sou- I
O O
N fre dans les carburants. Depuis une quinzaine d’années, les émissions de SO2 sont en forte N
baisse, du fait des mesures techniques et réglementaires qui ont été prises, de la diminution
de la consommation des fiouls et charbons fortement soufrés et de l’importance prise par
l’énergie nucléaire.
Ce sont les valeurs rencontrées les plus importantes dans les zones industrielles, ils ont
pourtant diminuées d'un facteur 3 en 25 ans. Le SO2 est un polluant qui est soumis à des
procédures d'alerte, c'est à dire que des mesures restrictives au niveau des émissions ont
cours dès que le seuil d'alerte (350 µg/m3) est dépassé. Ce qui arrive assez souvent.
COMBUSTION Page
I 2 types d'alerte : I
N - STERNES généraux N
S S
T - STERNES directionnels, concerne un industriel bien précis pour une direction de vent pré- T
I cise. Par exemple les industriels de Lavéra, en cas de vent de Sud-Est car leurs fumées se diri- I
T T
U gent vers le ville de Port de Bouc (se déclenche 35 fois dans l'année sur une durée de 5 heures). U
T T
SO2 : Dioxyde de Soufre - 370 000 t/an émise à 60 % par entreprise du secteur de la chimie.
D D
E E
Dioxyde d'azote SO2 :
R R
E - état gazeux dans les conditions normales (0°C, 1 013 hPa) E
G G
U - incolore U
L - odeur piquante très irritante (seuil de l'odorat : 3 ppm) L
A A
T - toxique CAM : 5 ppm T
I Concentration immédiatement dangereuse pour la vie 400 ppm vol. I
O O
N - soluble dans l'eau en présence d'un excès d'oxygène : N
2SO2 + O2 ⇒ 2 SO3
E E
T T
- formation d'acide sulfurique suivant la réaction :
SO3 + H2O ⇒ H2 SO4
L'acide formé peu ensuite se condenser sur les parois dont la température est inférieure au
A point de rosée acide. Il y aura formation de dépôts corrosifs. Il peut être également responsable des A
U pluies acides. U
T T
O O
M M
A A
T MONOXYDES DE CARBONE : CO T
I I
O O
N - état gazeux dans les conditions standards (25°C, 1 013 hPa) N
- incolore
- inodore
- très toxique. Il se combine à l'hémoglobine pour former la carboxyhémoglobine qui ne peut
plus fixer l'oxygène. Cette diminution en O agit sur le cerveau et le coeur.
COMBUSTION Page
REGLEMENTATION DES EMISSIONS Chapitre
Gabriel ROCHE INDUSTRIELLES 57
2 DIRECTIVES EUROPÉENNES
R R
E E
G La synthèse des anciennes normes nationales des divers pays a conduit à l’éta- G
U U
L blissement des Directives Européennes, qui a leur tour sont retranscrites par chaque na- L
A tion sous forme d’arrêtés constituant la base de la législation légale. Les directives A
T T
I Européennes sont évolutives tenant compte des connaissances à une époque donnée. I
O Bien des aspects concernant la toxicité ou le pouvoir cancérigène des substances, leur O
N N
cycle biologique dans l’environnement, les milieux vivants, les sédiments…sont encore à
l’étude. Le principe étant de dresser des barrières pour éviter les accidents les plus
E E
T graves. T
- des installations de combustion sur site pétrolier (Arrêté du 27/06/90 relatif à la limitation
des rejets atmosphériques des grandes installations de combustion et aux conditions d’éva-
cuation des rejets des installations de combustion)
COMBUSTION Page
REGLEMENTATION DES EMISSIONS Chapitre
Gabriel ROCHE 58
INDUSTRIELLES
R
CHAP I : DISPOSITIONS GENERALES R
E Ce chapitre traite des dispositions générales, parmi lesquelles peuvent être relevées no- E
G G
U
tamment : U
L - Les stockages des pulvérulents et des vracs, L
A A
T
- Les canalisations de fluides dangereux qui, sauf exception motivée doivent rester à T
I l’extérieur, I
O O
N
- L’intégration des installations dans le paysage (aspect esthétique). N
E
Plus généralement, les installations doivent être conçues de manière à limiter les émis- E
T sions polluantes dans l’environnement, notamment par la mise en œuvre de technolo- T
gies propres, le développement de techniques de valorisation, la collecte sélective
et le traitement des effluents et déchets en fonction de leurs caractéristiques, et la
réduction des quantités rejetées.
A A
U CHAPITRE II : PREVENTION DES ACCIDENTS ET POLLUTIONS AC- U
T T
O CIDENTELLES O
M M
A A
T Ce chapitre s’occupe de “ prévention des accidents et pollutions accidentelles y compris T
I par les eaux fluviales et lors des prélèvements ”. Pour les rejets à l’atmosphère, des I
O O
N appareils de détection adaptés, complétés de “ dispositifs, visibles de jour et de nuit, N
indiquant la direction du vent ”, doivent être mis en place à proximité des installations
susceptibles d’émettre à l’atmosphère des substances dangereuses en cas de dysfonc-
tionnement.
Ce chapitre traite également des eaux pluviales, des stockages, des bassins de
confinement, des prélèvements et consommation d’eau.
COMBUSTION Page
REGLEMENTATION DES EMISSIONS Chapitre
Gabriel ROCHE 59
INDUSTRIELLES
E E
T T
POUSSIERES TOTALES
COMBUSTION Page
REGLEMENTATION DES EMISSIONS Chapitre
Gabriel ROCHE 60
INDUSTRIELLES
COMBUSTION Page
REGLEMENTATION DES EMISSIONS Chapitre
Gabriel ROCHE 61
INDUSTRIELLES
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REGLEMENTATION DES EMISSIONS Chapitre
Gabriel ROCHE 62
INDUSTRIELLES
http://www.afnor.fr
R R
E E
G G
U U
L L
A A
T T
I
COMPOSES ORGANIQUES I
O O
N Si DMH > 2 kg/h des VL = 50 mg/m3 + mesure en permanence + mesure périodique de N
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REGLEMENTATION DES EMISSIONS Chapitre
Gabriel ROCHE 63
INDUSTRIELLES
R Si le flux horaire total des composés organiques visés à l’annexe III dépasse 0,1 kg/h, R
E la valeur limite d’émission de la concentration globale de l’ensemble de ces composés E
G G
U est de 20 mg/m3. U
L En cas de mélange de composés à la fois visés et non visés à l’annexe III, la valeur li- L
A A
T mite de 20 mg/m3 ne s’impose qu’aux composés visés à l’annexe III et une valeur de T
I 110 mg/m3, exprimée en carbone total, s’impose à l’ensemble des composés. I
O O
N N
E E
T T
A A
U U
T T
O O
M METAUX ET COMPOSES DE METAUX M
A A
T T
I 1. EXP. Cd + Hg +Th +composés I
O O
N Si DMH > 20 g/h VL = 0.1 mg/m3 + mesure journalière des N
émissions réalisée sur un prélèvement
représentatif effectué en continu
Si DMH > 1 g/h VL = 0.1 mg/m3
NOR.(émissions source fixe) Hg : XP X 43308
COMBUSTION Page
REGLEMENTATION DES EMISSIONS Chapitre
Gabriel ROCHE 64
INDUSTRIELLES
E E
T
DIVERSES SUBSTANCES GAZEUSES T
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REGLEMENTATION DES EMISSIONS Chapitre
Gabriel ROCHE 65
INDUSTRIELLES
3. EXP. Ammoniac
Si DMH > 10 kg/h VL = 50 mg/m3 + mesure en permanence
Si DMH > 100 g/h VL = 50 mg/m3
NOR.(émissions source fixe)
I I
N N
S S
T T
I I
T T
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T AMIANTE T
D D
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RÉGLEMENTATIONS DE LA QUALITÉ Chapitre
Gabriel ROCHE DE L'AIR AMBIANT 66
Directive européenne qui concerne l'évaluation et la gestion de l'air ambiant qui est reprise en droit français
I par la Loi sur l'air et utilisation rationnelle de l'énergie (Loi du 30 décembre 1993). La directive européenne ne I
N concerne que l'air extérieure, alors que la loi du 30 décembre 1993 s'étend à la qualité de l'air intérieure. C'est en N
S S
T fait un droit reconnu à chacun à respirer un air qui ne nuise pas à sa santé.Cette loi prévient, réduit et si possible T
I annule les risques. I
T T
U U
T T
D D
E Le respect de ces directives et normes a pu être effectué en créant 35 associations agrées par le ministère de E
E E
T T
A A
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T T
O O
M M
A A
T T
I I
O O
N N
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RÉGLEMENTATIONS DE LA QUALITÉ Chapitre
Gabriel ROCHE DE L'AIR AMBIANT 67
Présentation
La loi sur l”air et l'utilisation rationnelle de l'énergie (30 décembre 1996) prévoit que
l'air de toutes les villes de plus de 100 000 habitants (hb) soit surveillé.
La fédération ATMO représente l'ensemble des 39 associations - France et Outre mer,
I I
N agréees pour la surveillance de la qualité de l'air. N
S S
T T
I La Fédération ATMO représente l’ensemble des 39 associations - France et Outre I
T Mer, agréées pour la surveillance de la qualité de l’air. T
U U
T T
Composition des associations agréées :
- Services de l’Etat
D D
E - Collectivités locales et territoriales E
COMBUSTION Page
1999 : 22
R budget de fonctionnement annuel R
E E
G 1995 : 75 MF G
U 1999 : 190 MF U
L L
A A
T T
I I
O O
N N
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T T
Répartition géographique
A Au niveau national, chaque région s'est dotée d'une association en se permettant une A
U U
T liberté quant à l'appellation.Elles permettent toutes d'évaluer qualité de l'air des agglo- T
O mérations de plus de 100 000 hb. O
M M
A Au niveau régional, prenons l'exemple de la région PACA couverte par l'association A
T AIRMARAIX. Dans ce cas 3 zones urbaines ont été définies : T
I I
O O
N - Marseille / Aubagne N
- Agglomération Avignonnaise
- Agglomération Aixoise
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RÉGLEMENTATIONS DE LA QUALITÉ Chapitre
Gabriel ROCHE DE L'AIR AMBIANT 69
I I
N N
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R R
E E
G G
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A A
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I I
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N N
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T
Pour chaque zone, l'emplacement d'une série de stations sont étudiées en prenant en T
O compte la qualité des vents dominants en fonction des saisons, la géométrie du pay- O
M M
A
sage, les sites les plus contraignants d'un point de vue rejets de polluants dans l'atmos- A
T phère. Elles auront en fonction de leur localisation une appellation particulière. Depuis le T
I I
O
centre de la ville à la périphérie se rencontreront : O
N N
- Station urbaine dense
- station de proximité (du trafic automobile...)
- Station périurbaine
- station météorologique
COMBUSTION Page
RÉGLEMENTATIONS DE LA QUALITÉ Chapitre
Gabriel ROCHE DE L'AIR AMBIANT 70
Pour visualiser d'un peu plus près ces stations, prenons l'exemple de la zone d'action
Marseille / Aubagne.
L'air de l'agglomération marseillaise est surveillé depuis 1982 par AIRMARAIX. Ces
dernières années, la surveillance s'est étendue aux agglométrations d'Aubagne et de la
Penne sur Huveaune. Ainsi, 16 stations permanentes analysent en continu les polluants
des zones urbaines (1,2 million d'habitants) et des activités industrielles (Vallée de
I l'Huveaune notamment). I
N N
S S
T Marseille est situé dans un bassin côtier souvent protégé de l'influence des régions T
I industrielles voisines, grâce aux vents et au relief. Les vents dominants locaux sont I
T T
U favorables à une bonne dilution des polluants (mistral : 20 % du temps sur l'année et U
T vent de sud-est : 10 % du temps sur l'année) ou favorisent des niveaux moyens de T
E E
T T
A A
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O O
M M
A A
T T
I I
O O
N N
Cet indice est construit à partir des valeurs mesurées des polluants suivants :
-le dioxyde de soufre, SO2
- le dioxyde d'azote, NO2
- l'ozone, O3
- les poussières.
N/Réf: 4355.PM6 Chemin des Moines - 13200 ARLES
Tél: 04.90.99.47.00 / Fax: 04.90.93.03.15
www.PoleIRA.com
Institut de Régulation et Automation
COMBUSTION Page
RÉGLEMENTATIONS DE LA QUALITÉ Chapitre
Gabriel ROCHE DE L'AIR AMBIANT 71
Chaque polluant doit être au minimum mesuré en deux points situés dans une zone ur-
baine où la densité de population est supérieure à 4 000 hab/Km2.Le dioxyde d'azote,
l'ozone et les poussières doivent être mesurés dens des stations urbaines, placées à
l'écart d'une influence directe des sources de pollution (le rapport annuel doit être inférieur
I à 1). I
N N
S S
T
Classe du sous-indice Seuils SO2 et poussières Seuils O3 Seuils NO 2
T
Moyennes des moy. Jours µg/m 3 Moyennes des max.hor.µg/m 3 Moyennes des max.hor.µg/m 3
I I
T 10 >350 >360 >400 T
U 9 271 – 350 251 – 360 271 – 400 U
T 8 211 – 270 181 – 250 181 – 270 T
7 151 – 210 146 – 180 156 – 180
6 111 – 150 111 – 145 136 – 155
5 86 – 110 91 – 110 106 – 135
4 61 – 85 71 – 90 81 – 105
3 31 – 60 51 – 70 61 – 80
D D
E 2 16 –30 31 – 50 31 – 60 E
1 0 – 15 0 - 30 0 - 30
R R
E E
G G
U L'indice atmo est composé de sous-indices pour chacun des polluants mesurés : SO2, U
L L
A NO2,O3 et poussières. Airmaraix donne l'indice du jour et une prévision pour le lendemain. A
T T
I I
O Pour une journée : O
N - le calcul du sous-indice SO2 et poussières s'obtient en faisant la moyenne des N
"moyennes journalières de chacune des stations prises en compte".
E - le calcul des sous-indices NO2 et O3 s'obtient en faisant la moyenne des "maxi- E
T T
mums horaires de chacunes des stations prisese en compte"
- ces sous-indices sont comparés à une grille d'évaluation nationale qui donne la
note sur l'échelle atmo. L'indice ATMO pour une journée correspond au plus fort sous-
indice de cette journée.
A A
U ATMO descend difficilement au dessous de 3 sur l'ensemble des agglomérations. Ce U
T T
O chiffre est tributaire du niveau de fond en ozone que l'on trouve dans ces agglomérations, O
M en raison de leur exposition climatique (soleil et températures douces en hiver, élevées M
A A
T en été). T
I Les 4 niveaux les plus fréquents sont 3 "bonne", 4 "assez bonne", 5 "moyenne", 6 "médio- I
O O
N cre". Les niveaux 1 "excellente" et 10 "exécrable" ne sont jamais apparus. N
COMBUSTION Page
Diagramme de combustion. Gaz de lacq. Diagramme établi pour une réaction égale à 1200 °C.
I I
N N
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I I
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