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INTRODUZIONE

L'illuminismo fu un periodo di grande crescita culturale perchè basato esclusivamente


sulla ragione, sul palpabile. Sopratutto tutto ciò incominciava a indebolire fenomeni
come il dogmatismo e la credenza nel soprannaturale in genere.Nel romanticismo
abbiamo invece una nuova protensione verso i sentimenti e verso l'io interiore
(l'inconscio) e questo insieme a una nuova produzione artistica orientava l'uomo verso
nuove scoperte. Questo lavoro vuole essere la descrizione e la comprensione di come
tramite un ambiente culturale si vengano a creare invenzioni e scoperte che tutt'ora
sono fondamento di una parte della psichiatria modena. Partirò da alcune opere che
includono l'aspetto dell'inconscio come Le reve di G. de Nerval passando per opere che
hanno segnato i punti predominanti della produzione artistica sull'inconscio come Die
Verwandlung (La metamorfosi) di F. Kafka fino ad arrivare a Freud che partirà
propriodall'ipnosi all'inizio della sua carriera anche se poi abbandona questo metodo
per le sue teorie più famose ("L'interpretazione dei sogni" e "Progetto di una
psicologia").

FRANCESE

Gérard de Nerval

Gérard Labrune nait à Paris en 1808. Il tire son nom de la terre de son grand-père qui
est appelée clos de Nerval. Sa mère meurt quand il est petit et le fait que le père doit
quitter tous les actifs, sauf quelques lettres de la mere même, rend le fait encore plus
tragique pour Gérard. Les critiques estiment que c'est précisément cet événement qui
libérera sa folie et son art, aussi parce que toutes les femmes qu'il creera dans ses
œuvres seront des tentatives de recréer la femme idéale, la mère. Après la mort de la
mère, il est amené à Mortefontaine (Oise) par son grand-oncle Antoine Boucher qui
sera son maître. Le milieu de Mortefontaine, où il passera plus tard, même les jours
fériés, est pour Gérard excitant et stimulant: son oncle, décédé en 1820, a été un grand
amant des religions occultes et païennes, et sous sa direction Nerval développe une
relation particulière avec la religion (il aimait dire "Moi, pas de religion? J'en ai dix-
sept!").
Son père veut fair lui étudier la medicine, mais Gérard se réfugie dans la poésie. A 20
ans il fait une excellente traduction du “Faust” de Goethe, qui le rend fier. En 1834 il
rencontre Jenny Colon, une actrice, qu’ il aime à la folie («cette passion c’est l'histoire
de Toutes"). Jenny sera l'inspiratrice de toutes les femmes de ses récits.
En 1840 il commence à avoir des hallucinations. Dans le 1843 pour prouver de être
guéri il fait un voyage pendant le quel il vient en contact avec le monde des légendes et
des mystères. De son retour il écrit ses chefs-d'œuvre: “Les filles du feu” et le recueil de
poèmes “Les Chimères”, mais la crise psychologique lui contraint à soujourner dans
une clinique. Est ici, à Passy, ou il écrit “Aurelia”. Après quelque temps, le 26 Janvier
1855, il vient retrouvé pendu.
Nerval fait entrer le rêve dans le répertoire romantique français, un rêve qui prendera
une place tres importante dans la littérature. Ce sera un repère important pour le
symbolisme, la psychanalyse et le surréalisme.

Gerard de Nerval - Aurelià ou le reve e la vie

Gérard par sa faute vient de perdre Jenny, qu'il s'appelle désormais Aurélia. Il porte en
lui une image qui, nuit et jour, le hante. Un soir il croit distinguer son fantôme puis
pendant son sommeil aperçoit un être mystérieux qui voltige péniblement. Cette
hallucination est l'un des signes précurseurs de sa crise qui éclate en 1841. Au cours de
cette crise commence l'épanchement dans la vie réelle. Il se croit transporté dans une
maison Rhénane, puis dans les rues d'une ville mystérieuse et enfin chez son oncle à
Mortefontaine. Cela lui fait croire que rien ne s'achève dans ce monde et qu'il existe un
refuge aux espérances déçues. Il apprend bientôt la mort d'Aurélia qu'il divinise en
imagination. Puis en 1851 dans un nouveau rêve il voit surgir un esprit qui lui
ressemble, un double et il croit qu'il vient lui enlever Aurélia. Il provoque un scandale à
son réveil. Inquiétude entre le songe et la vie réelle. Et si ce double venait lui reprendre
Aurélia pour le punir d'avoir idolâtréAurélia, définitivement perdue.
Mais une nuit il a une nouvelle illumination : la déesse de ses rêves lui apparaît et lui dit
"je suis la même que ta mère, la même que sous toutes les formes tu as toujours
aimée". Puisque qu'Aurélia s'identifie avec sa mère et avec la vierge Chrétienne, il a pu
l'aimer et le salut demeure possible. Ainsi rassuré, son zèle se transforme en pitié
fraternelle. Dans un dernier rêve Aurélia enfin retrouvée brille pour lui au firmament.

Les theories mediques de cette temps mise en relation le reve avec la folie parce que le
fou n'est pas capable de separer le reve da la vie de tous le jours. Le fou voit les
personages de son reves dans le jour. Nerval aussi concorde avec cette theories: en
fait nous pouvons lire, au but de so roman, “le reve est une seconde vie”.
Avec Aurelià Nerval fais nous voire comme il a utilisé sa maladie comme inspiration et
parce que le fou connait le monde de la realité et aussi le monde immaginaire (le
monde de la folie), il peux tenter de decrir le voyage dans le reve.

Les rêves decrit en Aurelia ne sont pas simplement rêves. Les visions sont rien de plus
qu'une description de ce qu'il a vu et vécu pendant les crises de folie.

Dans Aurélia, Nerval retrace avec une admirable lucidité ses troubles mentaux et
l'itinéraire spirituel qu'ils figurent. On notera en particulier la soudaine transfiguration du
réel et le tragique désarroi qui envahit l'âme du poète, son émouvante sollicitude pour
tous les êtres, ce don de pitié et de sympathie par lequel il ressent la souffrance
universelle et enfin son inquiétude mystique et son désir pathétique de fixer contre des
retours menaçants de l'angoisse, la paix que lui a apportée une vision bénéfique.

Conclusion

Puis, à partir du début du XXe siècle, Nerval est présenté comme le précurseur de la
poésie moderne des symbolistes et comme membre des sectes ésotériques. Les
psychanalystes ont trouvé une vaste documentation pour leurs recherches et ont
apporté leur point de vue, avec les surréalistes. Cela fait partie de la notion très
importante de la psychiatrie (surtout freudienne) que le rêve est une expression de
l'inconscient et que dans la lecture, vous pouvez avoir un lien avec votre inconsce, et
puis le comprendre (au moins en partie). Tant et si bien que l'interprétation des rêves
d'aujourd'hui du patient est une partie importante du processus d'une psychothérapie.

Storia dell' arte

La rilevanza della psicanalisi (e) del sogno in Bunuel e Dalì

Luis Bunuel

Nato a Calanda, in Aragona, Bunuel viene mandato giovanissimo a studiare presso un


collegio di gesuiti a Saragozza, dove gli verranno imposte le ferree regole
dell'educazione cristiana. Qui matura le idee anticlericali che saranno uno dei temi delle
sue opere come anche il suo spirito antiborghese. Studia poi letteratura e filosofia
all'Università di Madrid, dove conosce Federico García Lorca, Salvador Dalí, Rafael
Alberti e Ramón Gómez de la Serna. Nel 1925 si trasferisce a Parigi dove incomincia a
frequentare il gruppo surrealista. Qui realizza il suo primo esperimento cinematografico
(finanziato con i soldi della madre): il cortometraggio diretto assieme all'amico Salvador
Dali, Un chien andalou. Sin dal primo momento è chiaro che il sogno e l'immaginazione
sono la chiave di lettura delle sue opere più significative. Per avere quindi un quadro
completo del significato di questi capolavori si è costretti a ricorrere alla psicanalisi. A
questo primo periodo più rivoluzionario (antiborghese e anticlericale) segue un periodo
più pacato in cui prima lavora al Museum of Modern Art di New York e poi, nel '40, si
trasferisce in Messico girando film per il circuito commerciale e dimostrando grande
abilità nel realizzare belle pellicole con pochissimi fondi.
Dal '52 in poi ritorna a temi più impegnativi con film come "Lui", "L'angelo sterminatore",
"Il fascino discreto della borghesia" e "Il fantasma della libertà".
A "Il fascino discreto della borghesia" viene assegnato l'Oscar per il miglior film straniero
nonostante sia una chiara critica al mondo borghese di cui la produzione
cinematografica fa parte. Bunuel, infatti, nel film seguente ("il fantasma della libertà")
inserisce una scena rivelatrice: un killer da un grattacielo uccide numerosi passanti,
viene preso dalla polizia e viene processato. Ma dopo la condanna a morte da parte del
giudice l'assassino esce libero, trionfante e acclamato dal pubblico. Con ciò Bunuel
vuole indicare proprio se stesso comel"'assassino" che aggredisce la società borghese
eppure nonostante ciò gli viene assegnato l'Oscar e viene acclamato come artista da
quella stessa società che lui tanto critica.
(Buñuel commentò così la vittoria del suo Oscar: "Si trattava di un voto perfettamente
democratico. Certo, il risultato era imprevedibile perché a votare sono stati 2.500
idioti...)
Un chien andalou

Il film è un susseguirsi di scene senza apparente connessione, che causa nello


spettatore l'impressione di assistere alla messa in scena di un delirio onirico. In realtà vi
sono contenuti significati molto profondi, leggibili alla luce della psicanalisi, che sono
stati oggetto di numerosi studi.
La primissima scena è una delle più terrificanti dell'intera storia del cinema: il regista
stesso, dopo aver guardato la luna, affila un rasoio e si avvicina a una donna seduta
alla quale tiene aperto l'occhio sinistro. Nella scena successiva taglia l'occhio in due.
Bunuel intende squarciare l'occhio dello spettatore per fargli vedere, anche a costo di
grandi sofferenze, tutto quello che non ha mai visto e forse non ha mai voluto vedere.
Lui compie comunque due operazioni - tagliare e osservare - interpretabili anche come
azioni fondamentali per qualsiasi regista nella fase di montaggio di un film.
Le didascalie sono completamente fuorvianti e indicano momenti (otto anni prima, alle
tre del mattino, sedici anni prima, in primavera) completamenti slegati da quello che
viene mostrato: Con ciò viene da pensare che Bunuel abbia voluto rendere eterni
(ciclici) gli avvenimenti del fim.
Il tema del film è quello di un uomo e una donna attratti reciprocamente da una pulsione
erotica intensa e violenta, ma sono bloccati da una serie di situazioni e figure si
interpongono fra loro. Le visioni sembrano scaturire dall'inconscio più profondo
dell'uomo (ricordi di scuola, il suo doppio, la scatola con gli oggetti cari), mentre la
donna è quella che guarda, attende e cerca l'uomo. Quando viene toccata,però, lo
respinge con orrore.
All'inizio l'uomo va in bicicletta, mentre una donna sta leggendo un libro in una casa, per
poi buttarlo via: l'inquadratura mostra una pagina con La merlettaia di Vermeer, un
simbolo della femminilità casalinga e tradizionale. La donna si affaccia alla finestra e
vede l'uomo in bicicletta che passa e cade proprio davanti alla sua porta. Allora scende
e, trovandolo ancora immobile, con una misteriosa scatola a righe al collo, lo soccorre e
lo bacia. Tornata in casa apre la scatola a righe e vi trova una cravatta avvolta in carta a
righe, che ella mette in un colletto di cartone, ricreando sul letto la forma dell'uomo con i
suoi abiti distesi. Si siede poi ad aspettare guardando il letto finché non si accorge
dell'uomo nella stanza. Lui si sta guardando la mano, al centro della quale si trova un
foro dal quale escono formiche. Anche la donna si avvicina, allora sovvengono immagini
sessuali (peluria di ascella, paragonata a un riccio di mare).
La scena successiva mostra un personaggio vestito da uomo ma dai tratti femminili, che
per strada, in mezzo a una folla curiosa allontanata a stento da un poliziotto, tocca con
un bastone una mano mozza. L'uomo e la donna guardano dalla finestra. L'androgino
tiene in mano la stessa scatola a righe dell'uomo e rappresenta forse la proiezione della
sua femminilità. L'androgino resta solo con la scatola in mezzo alla strada e le
automobili gli passano vicino, finché una non lo investe, sorprendendo l'uomo. A quel
punto lui è preso da un raptus sessuale e si dirige verso la donna, immobilizzandola
contro un muro e toccandole con insistenza i seni, che lui immagina nudi, con
un'espressione di intensa libido animalesca (arriva anche a sbavare). I seni diventano
poi natiche nude e poi ancora seni, finché lei non lo respinge scappando per la stanza.
Lui la insegue finché lei non resta in un angolo, minacciandolo con una racchetta. Allora
inizia ad avvicinarsi malizioso, ma nell'incedere deve raccogliere due corde e trainare
un misterioso fardello, che si scopre essere composto da due tavole che sembrano
quelle dei Dieci Comandamenti, due pianoforti con sopra una carcassa putrefatta
d'asino ciascuno, ai quali sono legati anche alcuni preti distesi (simbolo dei freni alla
sessualità posti dalla Chiesa e dalla società). Uno dei due preti era interpretato da Dalì,
ma poi nella scena montata fu sostituito da un altro attore; per un errore, però, è
possibile vedere Dalì per pochi fotogrammi la prima volta che vengono inquadrati i due
preti.
La donna allora fugge e blocca nella porta la mano dell'uomo, dalla quale escono
ancora le formiche. Poco dopo lei lo rivede nel letto malato, con la scatola a righe al
collo. Un altro uomo viene a fare visita e suona un campanello. Entra e si avventa
contro il malato e poco dopo si scopre che è la stessa persona. Crudelmente l'uomo
strappa all'alter ego malato la scatola e tutti gli accessori della sua vita precedente,
scaraventandoli fuori dalla finestra. Poi l'alter ego mette l'uomo in castigo e lo fa tornare
sui banchi di scuola, commiserandolo. Mentre fa per andare via, l'uomo blocca l'alter
ego e lo elimina sparandogli. L'alter ego muore all'aperto, aggrappandosi alla schiena di
una donna.
L'uomo liberato passeggia allora con un amico e viene invitato a vedere l'uomo ucciso,
il quale viene poi portato via in una sorta di corteo funebre.
La donna torna a casa e vede sul muro il simbolo macabro della farfalla Sfinge con un
teschio sul corpo. Si trova davanti l'uomo e lo sgrida, ma lui ha perso la bocca: al suo
posto ha i peli d'ascella, che lei non ha più. Lei se ne va offesa, facendo la linguaccia e i
due si ritrovano sul mare. Adesso è lei a cercare l'uomo, ma lui sembra distaccato, le
mostra solo l'orologio. Lei allora lo bacia e lui si riscalda, abbracciandola. Iniziano a
passeggiare e camminano finché l'uomo non nota sulla riva i resti della scatola a righe e
gli oggetti della sua vita passata, che scansa ridendoci su. I due s'incamminano quindi
abbracciati e felici, ma l'ultima scena è demoralizzante: l'uomo e la donna sono sepolti
fino ai gomiti nella sabbia, sono vicini ma immobili, impossibilitati a toccarsi.

Il fascino discreto della borghesia

Due coppie della borghesia parigina e la sorella di una delle due donne, che alza
facilmente il gomito, insieme con un diplomatico di Miranda, un'immaginaria repubblica
delle banane, tentano di organizzare una cena che, per vari motivi, non avrà mai luogo:
un'incomprensione sul giorno dell'invito, un ristorante in cui si assiste alla veglia del
proprietario morto, le manovre dell'esercito nel giardino dei padroni di casa, ecc. In
questo film, il sogno e la realtà formano un mélange indissolubile come vuole la
tradizione surrealista, di cui Luis Buñuel è capostipite e maestro.
La pellicola rivela i vizi di una borghesia meschina; non vuole essere una vera e propria
denuncia quanto un'ironica e surreale presa in giro di questa classe sociale.
L'ambasciatore di Miranda (Fernando Rey) e i suoi amici sono dei gentlemen che
nascondono, dietro al loro culto per le buone maniere, da come tagliare l'arrosto alla
preparazione di un buon Martini, segreti al limite del grottesco: relazioni d'amore
clandestine, traffici di stupefacenti, e così via. Tuttavia, l'effetto comico più riuscito è
quello di dipingere un mondo surreale decifrato da un linguaggio proprio della
borghesia, fatto di gentile ipocrisia.
Questo film non dipinge un mondo logico e razionale e contiene diverse contraddizioni,
senza fornire alcuna spiegazione. Tutto ciò che succede è naturalmente accettato dai
personaggi, anche nell'impossibilità o nella contraddizione, e ciò contribuisce
all'atmosfera onirica nel senso più surrealista del termine.

FILOSOFIA
Sigmund Freud

Sigismund Schlomo Freud, detto Sigmund, nasce a Friburgo il 6 maggio del 1856 e
muore a Londra il 23 settembre del 1939. È un neurologo e psicoanalista austriaco,
fondatore della psicoanalisi, una delle principali correnti della moderna psicologia.
Elabora una teoria scientifica e filosofica secondo la quale l'inconscio esercita influssi
determinanti sul comportamento e sul pensiero umano, nonché sulle interazioni tra
individui. Di formazione medica, tenta sempre di stabilire correlazioni tra la sua visione
dell'inconscio e delle sue componenti e le strutture fisiche del cervello e del corpo
umano: queste speculazioni hanno trovato parziale conferma nella moderna neurologia
e psichiatria.
Nella psicoanalisi l'impulso sessuale e le sue relazioni con l'inconscio sono alla base dei
processi interpretativi. Molti dissensi con Freud, e quindi indirizzi di pensiero alternativi
(Adler, Jung e altri) nascono dalla contestazione del ruolo, ritenuto eccessivo,
riconosciuto dallo stesso Freud alla sessualità.
Freud in un primo momento si dedicò allo studio dell'ipnosi e dei suoi effetti nella cura di
pazienti psicolabili, influenzato dagli studi di Josef Breuer sull'isteria, in particolare quelli
relativi al caso di Anna O. (ossia Bertha Pappenheim, futura fondatrice di movimenti di
assistenza sociale e di emancipazione femminile), al quale si interessò sulla base delle
considerazioni di Charcot che individua nell'isteria un disturbo della psiche e non già
una simulazione come si era ritenuto fino ad allora. Partendo dalle difficoltà incontrate
da Breuer nel caso, Freud costruì progressivamente due principi basilari della
psicoanalisi relativi alle relazioni medico-paziente: la resistenza e il transfert.
Di questo periodo sono anche le idee che formano il nucleo della psicoanalisi: il metodo
di indagine mediante l'analisi di associazioni libere, lapsus , atti involontari, atti mancati
e l'interpretazione dei sogni, nonché concetti come la pulsione, le componenti
del'inconscio e della coscienza, il complesso di Edipo, la libido e le fasi dello sviluppo
psicosessuale.
Le idee di Freud e le sue teorie - viste con diffidenza negli ambienti della Vienna del XIX
secolo - sono ancora oggi al centro di accesi dibattiti e di discussioni, non solo in ambito
medico-scientifico, ma anche accademico, letterario, filosofico e culturale in genere.

La nascita della psicoanalisi

Per convenzione si usa datare la nascita della psicoanalisi con la prima interpretazione
esaustiva di un sogno scritta da Freud: si tratta di un suo sogno personale fatto nella
notte tra il 23 e il 24 luglio 1895 e riportato anche ne L’interpretazione dei sogni come "il
sogno dell'iniezione di Irma". La sua interpretazione rappresenta l'inizio dello sviluppo
della teoria freudiana. L'analisi dei sogni, infatti, segna l'abbandono del metodo ipnotico
utilizzato in quella fase del suo sviluppo, che a ragione si può definire la preistoria della
psicoanalisi. Altri legano la nascita della psicoanalisi alla prima volta in cui Freud usa il
termine "psicoanalitico", e cioè nel 1896, quando, dopo aver già svolto un'esperienza di
10 anni nel settore della psicopatologia, scrive due articoli nei quali, per la prima volta,
parla esplicitamente di "psicoanalisi" per descrivere il suo metodo di ricerca e
trattamento terapeutico. La psicoanalisi è la traduzione del neologismo impiegato da
Freud a partire dal 1896 per indicare:
un procedimento per l'indagine di processi mentali che sono inaccessibili per altra via;
un metodo terapeutico che trae le sue origini dall'indagine psicoanalitica ed ha per fine
la cura delle nevrosi;
un insieme di concezioni psicologiche (teoria della psiche).
Sebbene oggi la paternità del metodo psicanalitico sia comunemente attribuita a Freud,
egli stesso, nella sua prima conferenza a Boston, riconobbe che l'eventuale merito non
spettava a lui stesso, bensì al dottor Josef Breuer, il cui lavoro è antecedente agli studi
di Freud e ne costituisce il punto di partenza.

Anna O.
Il metodo della catarsi (ipnosi)

Anna O. è il nome letterario attribuito a Bertha Pappenheim, famosa paziente trattata da


J. Breuer mediante ipnosi per diversi sintomi dell’isteria. Ad un certo punto del caso si
occuperà Freud ma solamente dopo la remissione dei sintomi dell’isteria. Infatti, pur
essendo firmata J. Breuer e S. Freud è chiaro che la relazione non poteva che essere
stilata da Breuer, essendo lui il medico che si è occupato di Anna O. come lo stesso
Freud afferma: “Se è un merito l’aver dato vita alla psicoanalisi, il merito non è mio. Non
ho preso parte al suo primo avvio. Ero studente, impegnato nel dare gli ultimi esami,
quando un altro medico viennese, il dott. Josef Breuer, applicò per la prima volta questo
procedimento (dal 1880 al 1882) per curare una ragazza malata d’isteria (Anna O.)”
Decorso clinico
Nel 1880 il padre di Bertha è molto malato e la giovane gli si dedica con sacrificio.
Incomincia a trascurare se stessa e a non mangiare e ciò le causa una grave anemia;
per l’aggravarsi di tali problemi è costretta ad abbandonare le cure del padre. Per una
tosse persistente viene chiamato un medico, ed è così che Bertha incontra per la prima
volta Joseph Breuer. Egli ritiene, dopo varie considerazioni, che si tratti di sintomi di una
malattia nervosa e, considerati gli altri numerosi sintomi, inizia a praticarle l’ipnosi.
Diversi fenomeni si presentano nel corso della malattia; tra questi le "assenze diurne" in
cui ella immagina situazioni delle quali talvolta riferisce qualcosa e, se alla sera durante
un suo stato di autoipnosi una persona presente vi fa riferimento anche solo con una
parola, inizia a descrivere scene, con un’ altissima capacità di immaginazione, o a
narrare storie tristi. Solitamente sono storie con una ragazza seduta al capezzale di un
malato. Si addormenta solo a notte fonda, con un sonno agitato, per risvegliarsi al
mattino con nuove storie. Durante il trattamento di Breuer, se durante l'ipnosi serale per
qualche motivo non è riuscita a raccontare la sua storia, il giorno dopo per calmarsi
deve raccontarne due e, col passare del tempo, si tratta di storie sempre più tragiche e
spaventose anche se progressivamente l’immaginazione si impoverisce.
All'inizio del dicembre 1880 compaiono uno strabismo convergente e un’astenia che la
tiene a letto fino all'inizio dell’aprile 1881. Durante questo periodo compaiono nuovi
disturbi fra cui cefalea occipitale sinistra, diverse turbe visive, contratture del braccio
destro e della gamba destra. In ogni circostanza Bertha prova sensazioni d'ansia
incontenibile.
Breuer intraprende la cura già sospettando la gravità della paziente in base ai sintomi;
ella soffre di due diversi stati: in uno riconosce l'ambiente circostante, è depressa,
ansiosa ma relativamente normale; nell'altro è sotto l'effetto di allucinazioni, è
aggressiva e scaglia oggetti contro le persone. Nel primo stato soffre di vuoti di
memoria e lamenta di "aver perso una parte del tempo", ma se viene rassicurata dai
presenti passa al secondo stato e reagisce accusandoli di volerla confondere, e
affermando di essere sul punto d'impazzire.
Con la morte del padre, il 5 aprile 1881, Bertha subisce il trauma psichico più grave che
potesse colpirla. Le sue condizioni peggiorano e in giugno temendo che la casa, situata
al terzo piano, possa rappresentare per lei un pericolo di suicidio, la trasferiscono in
campagna. Qui Breuer non può andarla a trovare giornalmente e il lavoro con l’ipnosi
diventa più faticoso. Nonostante ciò è proprio qui che la maggior parte dei suoi sintomi
si risolvono con l’ipnosi e la talking cure (ndr: cura parlata: la paziente semplicemente
parlava del motivo scatenante i suoi singoli disturbi per risolverli. Es: L’episodio
dell’acqua: a un certo punto Bertha incomincia a rifiutare l’acqua, apparentemente
senza motivo. Porta il bicchiere vicino alla bocca e poi lo allontana nauseata. Durante
una di queste talking cure rivela di aver visto il cagnolino della dama di compagnia, che
le sta antipatico, che beve da un bicchiere. Una volta rivelata questa informazione
prende una brocca d’acqua e beve forsennatamente.).
Breuer così esegue la prima applicazione del metodo catartico, che consiste nel visitare
la paziente di sera ponendola sotto ipnosi e inducendola a raccontare tutti i pensieri che
hanno occupato la sua mente dall'ultima visita del medico. In seguito a tale nuova
modalità di relazione il rapporto fra Anna e il medico si fa più intenso, la ragazza non
riesce ad aprirsi con nessun altro, ogni volta che Breuer è costretto ad allontanarsi per
qualche giorno tutti i progressi che ha raggiunto con le sedute sembrano sparire ed ella
diventa irrequieta, agitata, intrattabile. La conduzione del caso diviene impossibile per il
manifestarsi del fenomeno che successivamente Freud chiamerà "passione di
transfert", a causa del quale la paziente ha iniziato a provare sentimenti d’amore per il
medico.
In ragione della “passione di transfert” si sta creando fra Anna e Breuer uno stretto
legame che provoca problemi alla vita matrimoniale del medico; nell'impossibilità di
tollerare la situazione e non essendo possibile a quel tempo una spiegazione scientifica
egli decide di non occuparsi più del caso. Subito dopo tale decisione ella ha un episodio
di “parto isterico”, che deve essere apparentemente il frutto di un rapporto immaginario
con Breuer ma nel quale si mette in scena il desiderio inconscio di avere un figlio da un
rapporto incestuoso col padre. Breuer praticando l’ipnosi ottenne che tale
manifestazione termini ma, spaventato dalla reazione emotiva della paziente, la
abbandona e parte con la moglie per una seconda luna di miele.
Conclusione

Scopo di questa tesi è analizzare gli elementi che segnano l’inizio di ciò che adesso
viene chiamata PSICHIATRIA DINAMICA (o psicoterapia dinamica) come L’IPNOSI. In
realtà Freud, dopo un primo momento, abbandona l’interesse per l’ipnosi per dedicarsi
alle sue teorie più conosciute come, per esempio, “L’interpretazione dei sogni” e
“Progetto di una psicologia”. Ciò si deve alla transitorietà dei risultati terapeutici, alla
laboriosità dei procedimenti ipnotici, alla limitazione delle applicazioni terapeutiche e,
non ultima, all'individuazione da parte sua di “un misterioso elemento” di natura
sessuale, che lo spinsero ad abbandonare l'ipnosi e a creare un nuovo metodo: la
psicoanalisi. Infatti l’errore più grande che fa Freud è quello di dare troppa importanza
alla sfera sessuale.
Oggi l’ipnosi viene usata scientificamente nella ricerca clinica e in ambito terapeutico
perché sappiamo che essa non è altro che la manifestazione plastica
dell'immaginazione creativa adeguatamente orientata in una precisa rappresentazione
mentale, sia autonomamente (autoipnosi), sia con l'aiuto di un operatore con il quale si
è in relazione. Dato che l'esperienza ipnotica è molto individuale, essa mantiene un
carattere inesplicabile e affascinante, ma per questo stesso motivo continua a rimanere
esposta a ciarlatani di ogni genere e anche a sperimentatori con buone intenzioni ma
privi di una competenza ipnotica sufficiente. Ciò vale anche per chi opera in ambito
clinico con l'ipnosi. Ad esempio, nell'ipnosi l'eventuale processo terapeutico non
dipende affatto dalle parole o dalle azioni dell'operatore, come comunemente si crede,
ma deriva interamente da una riorganizzazione interna che solo il paziente medesimo
può portare a termine in un ambiente favorevole.

Psichiatria dinamica

Secondo Henri Ellenberger, il percorso concettuale della psicoanalisi parte dal medico
tedesco Franz Mesmer (1734 - 1815) e dalla sua teoria del magnetismo animale,
passando per un punto essenziale per la relativa applicazione concreta dell'ipnotismo e
della suggestione ipnotica in campo medico (J. Breuer-S. Freud “Anna O.”), per arrivare
all’odierna psichiatria dinamica.
Anticipazioni della psicoanalisi si possono trovare nell'ambito del movimento filosofico
romantico tedesco, per esempio in Novalis e Schelling.
In natura nulla si crea e nulla si distrugge, ma tutto si trasforma; così anche la
psicoanalisi non nacque dal nulla, ma derivò le sue concettualizzazioni da una
"preistoria delle idee psicoanalitiche", una lenta evoluzione del pensiero che preparò
impercettibilmente le basi per la nascita di questa nuova scienza.
Col termine di "psichiatria dinamica" si intende un indirizzo della psichiatria che:
1) Tende ad una sintesi tra psichiatria e psicoanalisi
2) Valorizza gli aspetti psicologici ed interpersonali rispetto a quelli medico . .
biologici
3) Pone tra i fondamenti il concetto di inconscio
4) Interpreta il disturbo nei termini del tentativo di risoluzione di un conflitto . . tra
pulsioni diverse

STORIA

La buona e la cattiva pratica. L'abuso della psichiatria nei regimi totalitari

Mussolini bigamo - La tragica storia della prima moglie del Duce, Ida Irene
Dalser e di suo figlio.

Benito Amilcare Andrea Mussolini nasce nel 1883 a Dovia, frazione di Predappio. Il
padre è un socialista dell'estrema ala anarchica. Il nome Benito Amilcare Andrea deriva
infatti da: Benito Juarez (ex presidente rivoluzionario messicano), Amilcare Cipriani
(patriota italiano e socialista) e Andrea Costa (!° deputato socialista eletto al parlamento
italiano). Dopo alcuni problemi di violenza dimostrati a scuola (ferisce con un coltello un
compagno di classe), si avvicina al Socialismo militante. Nel !890 si iscrive al Partito
Socialista Italiano. Due anni dopo, nel 1902, scappa in Svizzera per evitare il servizio
militare.
Qui viene arrestato ed espulso. Nel 1904 viene di nuovo arrestato a Bellinzona (CH) per
un permesso di soggiorno falso. Intanto viene condannato, in Italia, ad un anno di
carcere per non aver adempiuto ai suoi obblighi di leva. Viene però protetto da alcuni
socialisti del Canton Ticino.
Quando, nel novembre del 1904, cade la sua condanna per un'amnistia indetta dal re,
torna in Italia. In questo periodo sviluppa la sua passione per il giornalismo che lo
accompagnerà fino alla fine dei suoi giorni. Dai suoi primi scritti si può evincere
l'estraneità delle sue idee dalla tradizione ideologica fortemente positivistica
predominante nel Socialismo italiano. Deve ancora adempiere ai doveri di leva e viene
assegnato al 10° Regg. Bersaglieri di Verona. Finisce il militare con una dichiarazione di
buona condotta e contegno disiplinato. Torna a Dovia di Predazzo (1906) e nel 1909 si
trasferisce a Trento dove,lavorando al giornale L'Avanti, conosce Ida Dalser. I due
cominciano a frequentarsi. Intanto Mussolini per le sue idee a favore della guerra
("Questa guerra è rivoluzionaria. Darà, col sangue, alla ruota della storia il movimento"
accademia futurista 1910 ca.) viene estromesso dalla redazione dell'Avanti (1909). Ida,
che aveva già intrapreso una relazione stabile con Mussolini, vende tutti i suoi beni per
permettergli di aprire il proprio giornale, "Il popolo d'Italia" con cui si schiererà a favore
dell interventismo a fianco della Francia. Secondo alcune fonti (Marco Zeni e altri) in
questo periodo i due si sarebbero sposati con rito cattolico ma dei documenti si persero
le tracce. Sicuro invece è che: i due abbiano avuto un figlio, Benito Albino Dalser,
riconosciuto da Mussolini (vi è un atto notarile che lo dimostra).
Benito Albino Dalser è nato a Milano l'11/11/1915 e l'atto di riconoscimento è datato
1916. Ma nel frattempo Mussolini aveva avuto da un'altra donna un'altra figlia: Edda
Mussolini, nata nel 1910 da Benito Mussolini e Rachele Guidi. Rachele Guidi, che
diventerà poi la moglie ufficiale (e ufficialmente cornificata) del Duce, è di umili origini
essendo la sua una famiglia di contadini. Frequenta la scuola elementare dove insegna
la madre di Mussolini, Rosa Maltoni. Ogni tanto Benito soleva sostituire la madre nelle
lezioni scolastiche ed è così che i due si conoscono per la prima volta. Nel 1910 i due
cominciano a frequentarsi e nel 1915, dopo che il futuro duce viene ferito sul Carso,
succede ciò: Ida Dalser, che aveva appena partorito Benito Albino, raggiunge l'ospedale
dove Mussolini era ricoverato e lo trova con Rachele Guidi. Tra le due scoppia una
violenta lite. Alla fine di essa, la Dalser se ne va e Mussolini sposa donna Rachele.
Curioso come però l'atto di riconosciento di Benito Albino sia del 1916 (cosa che fa
supporre come i rapporti tra Mussolini e la Dalser continuassero). Nonostante ciò, il
temperamento di donna Rachele si fece sentire ben presto (Edda,la figlia, la definirà: Il
vero dittatore di casa) e Mussolini si allontanò sempre di più dalla Dalser. Lei però non
si arrende e continua a cercare di convincere il marito (presunto, visto che il certificato
nascosto dalla Dalser non è mai stato trovato) di non abbandonare lei e suo figlio.
Nel '19 la Dalser si presenta sotto la sede de "Il popolo d'Italia" e dopo un breve
diverbio lo accusa di essere un ladro. Così i Carabinieri intervenono, la accompagnano
a casa del fratello e le minacciano di togliere la tutela del figlio. Nel '25 Benito Mussolini,
da circa tre anni capo del governo, nello stesso anno del suo matrimonio religioso con
Rachele Guidi, avrebbe assegnato al piccolo Benito Albino una dote di centomila lire in
Buoni del Tesoro ma, al di fuori di questa elargizione, non si occupò direttamente del
figlio. Nel '26, con Mussolini dittatore, a casa sua si presentano una delegazione di
fascisti che la rinchiude in manicomio a Pergine dopo che ella continua ad insistere di
essere la moglie di Mussolini. Di Benito Albino si occupa dal '26 in poi, lo zio, Arnaldo
Mussolini, il quale lo aveva preso in simpatia. Lo manda dai Bernabiti, in uno dei collegi
più prestigiosi.
Poi nel '31 quando muore Arnaldo Mussolini, Benito Albino Dalser viene mandato in
collegi meno prestigiosi e nel 1932 fu adottato da Giulio Bernardi, che ne divenne anche
il tutore. Benito Albino non riuscì mai più a rivedere la madre ed è vissuto nel desiderio
costante di essere riconosciuto dal padre.
Fatto rimpatriare, fu anch'esso, come la madre, rinchiuso in un istituto psichiatrico a
Mombello di Limbiate (l'allora grande manicomio provinciale di Milano), dove morì nel
1942 per consunzione.

Ida Dalser - alcune considerazioni

La prima eroina antifascista, anche piuttosto antipatica, una vera rompiscatole che
vuole affermare ad ogni costo la verità. Insomma, una donna unica, segnata dal rifiuto
di qualsiasi compromesso. In fondo avrebbe potuto accettare di tornare nell’ombra,
magari lautamente ricompensata, come avvenne per tante altre amanti del duce. Invece
tenne duro, si espose platealmente, non accettò il tradimento dell’uomo amato in quel
modo assoluto, al quale tutto aveva donato, patrimonio incluso.

Per farla breve, mentre Ida Dalser vive una dura prigionia manicomiale, senza poter
vedere il figlio e sapere nulla di lui , questi giunto all' età dell' arruolamento in marina,
viene trasferito su una nave da guerra dislocata in un porto cinese. Di là sarà presto
rimpatriato, fattogli credere che la madre sia morta. Anche lui verrà rinchiuso in
manicomio (sistema in ogni dittatura per neutralizzare ed eliminare avversari e
personaggi scomodi). Ida Dalser muore nella casa per pazzi di San Clemente a Venezia
nel '37 per una emorragia celebrale, Benito Albino si spegne, in altro manicomio,
secondo la diagnosi per deperimento fisico, nel 1942 -quando suo padre, trascinata l'
Italia in guerra accanto di Hitler, la conduce alla disfatta meno di un anno dopo-, nella
realtà a causa di ripetute iniezioni di insulina (una trentina), vere torture, che lo
mandano nove volte in coma, come si evince dalle cartelle cliniche reperite.

Vincere - Marco Bellocchio

Incuriosisce sapere come Bellocchio, nel mostrare donna Rachele, la moglie sposata
subito dopo Ida, renderà l’imbarazzo progressivo di Mussolini, la sua determinazione
nel disfarsi, pure per ragioni di opportunità politica, di quell’antico amore. Pronto subito
dopo a soddisfare le famose necessità di ordine sessuale con la più candida e fresca
disinvoltura.

Note:
Sulla rivista Storia illustrata, Arnoldo Mondadori Editore, numero 259, giugno 1979,
nell'articolo "Gli arricchiti all'ombra di Palazzo Venezia" di Silvio Bertoldi, nella pagina
97, viene citato un certificato del comune di Milano, del 21 ottobre 1916, nel quale si
dichiara: "... la famiglia del militare Mussolini Benito è composta dalla moglie Dalser Ida
e di numero 1 figli ..."

Conclusioni

Così come la storia di Anna O. e Breuer (Szasz 1963)costituisce un vero modello di


'incontro personale' tra paziente e medico, la storia di S. E. e Cerletti è un modello di
vero 'contatto impersonale' tra soggetto disumanizzato e sperimentatore medico. La
prima è un esempio di rapporto volontario tra 'nevrotico' e 'psicoterapista', la seconda è
un esempio di rapporto involontario tra 'psicotico'e 'psichiatria istituzionale'.

Excursus sull' Antipsichiatria

Così come la storia di Anna O. e Breuer (Szasz 1963) costituisce un vero modello di
'incontro personale' tra paziente e medico, la storia di S. E. e Cerletti è un modello di
vero 'contato impersonale' tra soggetto disumanizzato e sperimentatore medico.La
prima è un esempio di rapporto volontario tra 'nevrotico' e 'psicoterapista', la seconda è
un esempio di rapporto involontario tra 'psicotico'e 'psichiatria istituzionale'.
Ma per vedere come si è arrivati a questo punto bisogna capire come la società vedeva
i malati mentali durante la storia (dall'anno 1000):
Durante il medioevo la malattia mentale era vista come una punizione divina (es: lo
scemo del villaggio) o addirittura una possessione demoniaca (es: Povere donne che a
causa della loro malattia mostravano una personalità un pò alterata, venivano credute
streghe e bruciate sul rogo). Dal 1400 al 1450 si usò una cosa alquanto singolare che
veniva chiamata "Nave dei pazzi (Narrenschip, DE)". Erano delle vere e proprie navi,
spesso e volentieri mercantili, che come equipaggio avevano appunto i malati mentali
tenuti sotto controllo. Dopo, con lo sviluppo demografico delle grandi città come, in
particolare, Parigi. Qui infatti nasce "L'Hopital general", voluto da Luigi 14°, che aveva
come funzione quella di "accogliere" tutti i malati mentali, gli indigenti e i mendicanti. La
società infatti li vedeva come "alieni". Questo è il primo manicomio ("L'Hopital general").
Il problema infatti era ed è tutt'oggi ancora molto delicato: Il potere decisionale del
paziente (che se ovviamente si trova in stato alterato può arrecare danno a se stesso e
altrui) e il potere illimitato che si viene a creare nelle mani del medico in queste
situazioni. Ovviamente se il medico è in buona fede non c'è nulla da temere ma, per
esempio, come avevo detto prima, in un regime questo potere significa poter eliminare
una persona.
Dallo stesso atteggiamento di Charcot si può dedurre come la psichiatria effettivamente
potesse diventare una forma di controllo sociale.
Charcot dirigeva il manicomio della Salpettierre e nelle lezioni all'università diceva ciò
mentre mostrava le pazienti: "Tutte queste donne sono qui perchè hanno qualcosa che
non va con i nervi". Ma al di fuori dell'ambiente universitario dove poteva esprimersi
liberamente disse: " Il problema dell'isterismo e di molte di quelle 5000 donne che ci
sono in manicomio è legato esclusivamente al conflitto delle stesse con i costumi
sessuali repressivi dell'epoca". Effettivamente in questo si può concordare con le tesi
degli Antipsichiatri che la psichiatria è stata e viene ancora usata dalla società come
spauracchio del tipo: "Se non segui i miei schemi ti emargino e ti rinchiudo in
manicomio/ospedale" ma da qui a dire che è solo uno strumento di potere inventato
dalla casta dei medici (i quali si sarebbero inventati le malattie mentali???) ce ne vuole.

I metodi di repressione più usati nei regimi e la malapratica nei


manicomi.

TEC

Le convulsioni indotte, se non modificate, sono più intense di quelle prodotte durante
una crisi epilettica. L'induzione di adeguate convulsioni generalizzate è necessaria per
produrre l'effetto terapeutico.
Terminate le convulsioni si ha un periodo di tempo durante il quale l'attività corticale è
sospesa e il tracciato elettroencefalografico è piatto. Alcuni psichiatri oppositori della
TEC affermano che questa fase equivalga alla morte cerebrale e sia causa di danno
cellulare, tuttavia non esistono prove al riguardo. Al risveglio i pazienti non hanno alcun
ricordo delle convulsioni e dei momenti precedenti la sessione. Alcuni medici hanno
paragonato la TEC e il meccanismo terapeutico che offre al reset dei computer: Lo
psichiatra Franco Basaglia affermò che curare una persona con l'elettroshock era come
"prendere a pugni un televisore per aggiustarne la frequenza".

Il ciclo terapeutico comprende da sei a dodici trattamenti somministrati al ritmo di tre


volte a settimana. Secondo studi le sedute devono essere separate da almeno un
giorno.
Il meccanismo di azione della TEC è basato su quest'idea: Nei primi decenni del '900 si
era osservato come nei depressi e negli schizofrenici migliorassero nettamente le
condizioni psichiche dopo una convulsione (In pazienti epilettici). Così per anni si è
studiato come indurre una convulsione controllata in un individuo umano. Si utilizzò
addirittura un farmaco convulsivante per cercare di ottenere l'effetto (il METRAZOLE ma
il trattamento presentava dei seri effetti collaterali) finchè Lucio Bini e Ugo Cerletti
ipotizzarono l'ottenimento di quella convulsione con l'elettroshock. In realtà è Bini il vero
ideatore di questa teoria. Cerletti osservò come i maiali che stavano venendo portati al
macello venivano sistematicamente sottoposti ad elettroshock ad un voltaggio di 125 V
ma nonostante ciò rimanessero vivi. Da ciò egli dedusse la non mortalità del metodo
TEC.
Diversi studi hanno dimostrato che la ripetuta applicazione del trattamento influisce su
diversi neurotrasmettitori nel sistema nervoso centrale. La TEC sembra sensibilizzare
due sottotipi di recettori per la serotonina aumentando la trasmissione del segnale.
Inoltre è stato dimostrato che, al contrario di quanto affermano molti ( e cioè che la TEC
causi una momentanea morte del cervello e con ciò danni permanenti) la TEC è in
grado di stimolare una ripresa, deatrofizzando e proteggendo i neuroni che altrimenti
sarebbero stati atrofizzati dalla depressione.

Attualmente la TEC è utilizzata prevalentemente nel trattamento della depressione


grave, in particolare nelle forme complicate da psicosi. Può essere impiegata anche in
casi di depressione grave in cui la terapia con antidepressivi ripetuta e/o la psicoterapia
non si sono rivelati efficaci, nei casi in cui queste terapie siano inapplicabili o quando il
tempo a disposizione è limitato (per esempio nei casi di tendenze suicide). In alcuni casi
la TEC è anche usata per trattare le fasi maniacali del disturbo bipolare e condizioni non
comuni di catatonia.
Il vero motivo della caduta, o quasi, in disuso di questo metodo si deve a 2 fattori:
1) L'energia elettrica non è brevettabile mentre ovviamente qualsiasi nuova molecola si.
Ciò si traduce nel fatto che nessuna casa farmaceutica sponsorizzerà questo tipo di
trattamento perchè il ritorno economico è praticamente nullo.
2) Negli anni, purtroppo, come descrivevo prima la TEC è stata usata
indiscriminatamente nei manicomi (in molti casi come misura di punizione e non per
scopi terapeutici) e dai torturatori (figura essenziale nei regimi totalitari). Ciò ha portato
ad una demonizzazione della tecnica stessa ma le tesi degli accusatori della TEC non
sono mai state dimostrate (processo irreversibile, momentanea morte celebrale, etc.).

L'elettroshock deve essere somministrato in condizioni controllate e da personale


specializzato, come prescritto da diverse legislazioni relative alla salute mentale. In
Italia il riferimento principale è la circolare del Ministero della Salute del 15 febbraio
1999. La circolare stabilisce che la TEC deve essere somministrata esclusivamente nei
casi di "episodi depressivi gravi con sintomi psicotici e rallentamento psicomotorio",
dopo avere ottenuto il consenso informato scritto del paziente, al quale devono essere
esposti i rischi ed i benefici del trattamento e le possibili alternative. L'applicazione dello
shock deve avvenire su paziente incosciente per l'effetto di anestetici e trattato con
rilassanti muscolari per controllare le contrazioni muscolari.
Lobotomia

Consiste nel recidere le connessioni della corteccia prefrontale dell'encefalo. Può


essere eseguita con la variante dell'asportazione o distruzione diretta di esse. Il risultato
più riscontrato è il cambiamento radicale della personalità e sopperimento. La lobotomia
era usata in passato per trattare una vasta gamma di malattie psichiatriche come la
schizofrenia, la depressione, la psicosi maniaco-depressiva o disturbi derivati dall'ansia.
Risulta chiaro che al contrario della TEC ciò andava ad influire permanentemente sul
cervello del paziente nel senso che una volta eseguito il trattamento non si poteva
tornare indietro. Fortunatamente con l'avvento degli psicofarmaci questa tecnica era
sempre meno usata ed oggi vi si ricorre soltanto in casi eccezionalmente gravi (Oggi la
lobotomia viene praticata, in una forma meno distruttiva e più selettiva, in casi di
epilessia se il paziente è farmaco-resistente, e prende il nome di: leucotomia temporale
anteriore.

Rosemary Kennedy, sorella di John Fitzgerald Kennedy, all'età di 23 anni fu sottoposta


alla lobotomia quando suo padre si lamentò con i medici degli sbalzi di umore della
figlia e del suo interesse per i ragazzi. Il padre, inoltre, nascose l'operazione al resto
della famiglia. L'intervento in sé produsse gli effetti desiderati, ma ridusse Rosemary ad
uno stadio cerebralmente infantile, divenne incontinente e trascorreva ore a fissare le
pareti. Le sue abilità verbali si ridussero a parole senza senso. Sua sorella Eunice
Kennedy Shriver fondò nel 1968 la "Special Olympics" in suo onore.

FISICA

Il pendolo. Lo strumento più usato per indurre l'ipnosi.

Un pendolo è un peso legato ad un perno, tramite un filo inestensibile, in modo che


possa oscillare liberamente.

Quando un pendolo viene spostato dalla sua posizione di equilibrio di riposo, è soggetta
ad una forza di ripristino a causa della gravità che lo accelera di nuovo verso la
posizione di equilibrio. Quando viene rilasciata, la forza di ripristino combinata con la
massa del pendolo, lo induce a oscillare sulla posizione di equilibrio. Il tempo di un ciclo
completo, un'oscillazione a sinistra e un'oscillazione a destra, si chiama periodo. Un
pendolo oscilla con un periodo specifico che dipende (soprattutto) sulla sua lunghezza.
Dalla sua scoperta, avvenuta circa nel 1602 da parte di Galileo Galilei, il movimento
regolare del pendolo è stato usato per il cronometraggio, ed è stata la tecnologia di
cronometraggio più preciso al mondo fino al 1930 . I pendoli, infatti, sono usati per
regolare gli orologi a pendolo, e sono utilizzati in strumenti scientifici come
accelerometri e sismometri. Storicamente sono stati usati come Gravimetri per misurare
l'accelerazione di gravità in indagini geofisiche, e anche come uno standard di
lunghezza. La parola 'Pendolo' deriva dal latino, pendulus, che significa 'sospeso'.
Il pendolo semplice o pendolo matematico è un sistema fisico costituito da un filo e da
una massa puntiforme m fissata alla sua estremità e soggetta all'attrazione
gravitazionale (che supponiamo uniforme nello spazio e costante nel tempo). Questo
sistema apparentemente banale è stato reso celebre dall'impegno sperimentale e
teorico profuso da Galileo Galilei, che ne ha correttamente descritto la proprietà
principale, ovvero l'isocronismo.
Se accelerazione di gravità, velocità iniziale e direzione iniziale del filo sono complanari il pendolo oscilla
in un piano verticale, descrivendo in particolare una traiettoria circolare, a causa dell'inestensibilità del
filo. Se si scelgono coordinate polari (come illustrato nel disegno), si possono scrivere le equazioni del
moto.

Ma il pendolo semplice non è che un caso particolare: un qualunque oggetto fissato ad


un punto di sospensione e soggetto alla gravità costituisce un pendolo, talvolta
denominato pendolo fisico.

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