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TERMINOLOGIE

Lycée Albert Claveille 80 rue Victor Hugo BP 1085 24 001 Périgueux 1/7
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Appentis : toiture à une seule pente adossée à un mur ou un bâtiment, souvent plus grand, par son
bord supérieur (faîtage) et dont le bord inférieur est soutenu par une sablière et un poteau.

Arbalétrier : membrure supérieure d’une ferme (assimilable à une poutre treillis) qui dans les
combles supporte les pannes et autres éléments de toiture. Par extension, se dit également de toute
traverse supportant des pannes.

Arêtier : ligne de rencontre de deux versants de toiture formant un angle saillant (arête). C’est
également la pièce de charpente placée sous l’arête et sur laquelle s’assemblent les autres éléments
de charpente.

Auvent : petit toit en appentis débordant à l’extérieur de la ligne des poteaux du bâtiment, au-dessus
d’une entrée, d’un passage …. .

Bandeau : élément en tôle pliée par exemple) montré le long de la ligne de chêneau pour masquer
ce dernier et la rive de toiture.

Bardage : revêtement de façade (habillage vertical) mis en place par fixations mécaniques.
Généralement composé, en structures métalliques, de tôles nervurées montées en simple peau (une
tôle) ou double-peau avec isolant intégré.

Bavette : lame (tôle fine) métallique protégeant des infiltrations d’eau les interstices de pénétrations.

Boulon : organe de fixation de différentes pièces d’un assemblage composé d’une vis et d’un écrou
avec rondelle pour les boulons à haute résistance (HR) et serrage contrôlé ou sans rondelle pour les
boulons ordinaires.

Bracon ou contrefiche ou jambe de force : pièce montée en diagonale pour assurer, par un appui
complémentaire la stabilité (au déversement par exemple) des poutres ou membrures de fermes
assemblées sur des poteaux.

Bretelle : ensemble de deux liens disposés en diagonale et attachés à des points fixes, au niveau du
faîtage pour les pannes, de l’arbalétrier pour les lisses.

Chêneau : canal, généralement, en tôle pliée disposée en bas de pente de toiture (une en rive, deux
en noue) et servant de recueillir les eaux de pluies et à les diriger vers les tuyaux de descentes ; sa
section est fonction de sa pente et de la surface de rampant (versant de toiture) à desservir.

Comble : volume supérieur d’un bâtiment situé sous les versants de la toiture, permettant parfois un
aménagement ; ferme mansardé.

Console : poutre à une travée en liaison (unique) encastrement à une extrémité. Par extension, la
partie d’une poutre située en porte-à-faux d’un appui oui pièce de charpente encastrée sur poteau et
pouvant servir de corbeau.

Contreventement : dispositif assurant la stabilité d’une ossature, s’posant à la déformation, au


déversement et renversement des bâtiments sous l’action des forces horizontales de vents. Le
contreventement peut être obtenu par : paroi rigide pleine, palée triangulée ou palée rigide en
portique.

Corniche : partie saillante ceinturant une construction à la partie supérieure de la façade.

Corbeau : pièce à un usage de support faisant saillie sur une façade ou une ossature, c’est une
petite console.
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Crapaud : système d’attache permettant de suspendre une charge sous une poutre ou d’assurer,
par calage latéral, le maintien des rails d’appareils de levage, et ce sans perçage des semelles des
poutres ou rails. Le système est généralement constitué par deux équerres enserrant les semelles et
fixées par boulonnage.

Croix de Saint-André : barres de charpente disposées en forme de X et servant le plus souvent à


assurer la stabilité : contreventement par palée triangulée.

Crosses ou tiges d’ancrage : tiges droites dont l’une des extrémités est filetée pour le boulonnage
sur les platines de pieds de poteaux et l’autre extrémité en crochet, anneau, queue de carpe ou
« tête de marteau » et incorporée au massif de fondation.

Diagonales : barres positionnées en diagonale et reliant les deux membrures dans les poutres treillis
ou fermes (contrefiches). Par extension, toute barre en diagonale dans une ossature.

Échantignole : équerre ou pièce en tôle pliée servant à l’attache des pannes sur les arbalétriers.

Entrait : membrure inférieure d’une ferme dans un comble à deux ou plusieurs pentes.

Entretoise : élément disposé entre deux pièces afin d’en assurer le constant écartement ; par
exemple, les poutrelles disposées transversalement entre les solives de plancher. Par extension, on
parle d’entretoisement lors de la disposition, par exemple, de ciseaux (barres disposées en croix
mais dont la fonction n’est pas celle d’un contreventement) entre les fermes d’une ossature afin d’en
éviter les déplacements latéraux ou le déversement.

Faîtage : ligne longitudinale de rencontre des versants de toiture en son sommet. Par extension,
zone de liaison des deux versants d’une toiture. D’où l’adjectif faîtière pour « de faîtage ».

Fermes : poutres triangulées (treillis) dont les membrures supérieures à simple ou double inclinaison
imposent la (ou les) pente(s) de la, toiture. Suivant formes et triangulation on parle de fermes : shed,
Polonceau, américaine … .

Fondations : ouvrages, en maçonnerie, béton armé ou acier assurant l’assise, et donc la reprise des
charges et surcharges du bâtiment.

Fourrure : pièce de tôle ou plat utilisé pour compenser un vide entre pièces dans un assemblage.

Gousset : pièce de tôle plane ou parfois légèrement pliée sur laquelle viennent s’assembler
plusieurs barres convergentes dans les poutres treillis ou fermes par exemple.

Gouttière : canal le plus souvent de forme demi-circulaire disposé à la partie basse d’une toiture afin
de recueillir et d’évacuer les eaux pluviales d’un seul versant de toiture (contrairement au chéneau).
Suivant sa forme, sa disposition, son mode d’attaches, elle peut être dénommée anglaise, havraise
ou nantaise et pendante.

Habillage : élément accessoire en tôle (ou autres matériaux) utilisé dans un but décoratif en
dissimulant barres et assemblages, par exemple au joint mur/poutre. Il peut jouer en rôle comme
élément de protection incendie ou isolant thermique ou phonique.

Hauban : câble métallique composé de torons (ensemble de fils métalliques torsadés et liés) de
haute résistance à la traction. Il permet d’assurer le réglage (mise en position) d’une ossature et sa
stabilité (structure haubanée) : ponts suspendus, toitures suspendues ….

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Hourdis : dalle de béton armé supportée par les solives d’un plancher (ou le tablier d’un pont).
Antérieurement, remplissages, de compositions, effectuées successivement entre toutes les solives
pour l’obtention d’un plancher.

Isolation : procédé permettant d’assurer l’isolement du point de vue acoustique (non-propagation


des sons) et/ou du point de vue thermique (éviter les échanges de chaleur avec l’extérieur) par
utilisation de matériaux spécifiques.

Jarret : zone d’assemblage du poteau de portique (angle du portique). Par extension, la pièce en
plats soudés ou tronçon de profilé ajouté pour l’assemblage (encastrement) des deux éléments.

Lien : tige de petite section en rond, plat ou cornière reliant deux à deux les pannes ou lisses de
bardage afin de créer un appui supplémentaire pour limiter la flèche. Les liernes sont des liens
disposés en ciseaux afin de relier les membrures inférieure et supérieure des pannes permettant
ainsi de les « stabiliser » plus efficacement.

Lisse : poutres horizontales rattachées aux montants et poteaux et sur lesquelles sont fixés les
éléments de bardage.

Long-pan : paroi de la construction située dans le plan parallèle à l’axe de gouttière (la rive) de la
toiture. Pour une construction à base rectangulaire, les longs-pans sont les parois longitudinales,
parallèles au faîtage et généralement les plus « longues ».

Longrine : poutre longitudinale disposée à la base d’une paroi dont elle supporte tout ou en partie du
poids et sur laquelle se fixe l’ossature de cette paroi. Poutre de béton armé entretoisant les massifs
de fondations.

Membrures : parties supérieure et inférieure d’une poutre perpendiculaires à l’âme ou au treillis. Ce


sont les ailes (par extension : semelles) pour les profilés laminés, les semelles pour les profils
reconstitués soudés.

Montants : barres positionnées perpendiculairement à au moins une des deux membrures qu’elles
relient dans les poutres treillis ou fermes (fiches). Par extension, tout poteau de pans de fer ou
bardage dans une ossature.

Nœuds : lieux de l’ossature ou aboutissent deux ou plusieurs barres.

Noue : ligne de rencontre de deux versants de toiture formant un angle obtus (inverse de l’arêtier).
Par extension, se dit du chêneau situé à cette jonction.

Ossature : ensemble de tous les éléments : traverses, poteaux, solives, pannes … assemblés entre
eux afin de former le « squelette » du bâtiment sur lequel viendront prendre appui les hourdis de
plancher, panneaux de bardage, couverture, cloisons … On distingue :
Ossature primaire : elle est constituée par tous les éléments porteurs assurant la descente de
charge directe jusqu’aux fondations : portiques, fermes, poteaux et traverses de pignons,
corbeaux de chemins de roulements ainsi que la boulonnerie d’ancrage ; par tous les éléments
assurant la stabilité du bâtiment : portiques, croix de Saint-André …
Ossature secondaire : elle est constituée par tous les éléments porteurs assurant la fixation
du bardage et de la couverture du bâtiment, essentiellement donc lisses et pannes.
Palée de stabilité : portique (rigide) ou contreventement en X, K ou K brisé (triangulée) situé entre
deux poteaux et reprenant tous les efforts horizontaux appliqués à l’ossature dans le plan des
poteaux.

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Pannes : poutres horizontales et parallèles au faîtage rattachées aux traverses ou aux fermes de
l’ossature et sur lesquelles se fixe la couverture. Suivant leur position, elles sont dites de faîtage,
courantes, de rive ou sablière.

Pignons : façades, généralement, les plus étroites d’un bâtiment, perpendiculaires au faîtage (et
donc aux longs-pans).

Platine : plaque d’assemblage disposée aux extrémités des poutres et poteaux, fixée le plus souvent
par soudage.

Poinçon : montant central d’une ferme à deux pentes.

Portée : distance entre les appuis, d’axe à axe, d’une poutre, solive ou tout élément porteur.

Portique : ensemble formé d’au moins deux poteaux, verticaux ou inclinés et d’une traverse, droite
ou brisée, avec encastrement aux jarrets. Le portique peut être à travées multiples (succession)
et/ou à étages (superposition) : plusieurs poteaux et traverses répondant aux règles précitées. Un
portique à 3 articulations, une au faîtage (traverse brisée) ou au milieu de traverse (droite) et une à
chaque pied de poteau à la particularité d’être un ensemble isostatique. Un semi-portique est un
portique à 3 articulations dont deux sont sur une même verticale (ou axe peu incliné) : travers/poteau
+ poteau bi-articulé. Un portique roulant est un système de levage mobile dont la traverse peut être
un chemin de roulement ou un support pour appareillage de levage et les pieds de poteaux mobiles
en translation.

Poteau : élément vertical (ou peu incliné) d’une ossature recevant les charges et surcharges issues
des poutres et les transmettant aux fondations ou à un plancher.

Potelet : poteau de section réduite sollicité le plus souvent par des charges horizontales par exemple
pour assurer la fixation des lisses et du bardage (montant de bardage). Le potelet de hauteur
réduite (< hauteur d’homme) est appelé quille.

Poutraison : ensemble des poutres formant le maillage d’un plancher. Pour un pont, on parle de
tablier.

Poutre : élément généralement horizontal recevant des charges, le plus souvent, verticales (donc
sollicité principalement en flexion) et pour lequel toutes les combinaisons de liaisons peuvent être
envisagées. La poutre peut être un profilé classique, reconstitué, à treillis (soudé, boulonné …), à
section en caisson, cantilever : en plusieurs éléments articulés entre eux …

Profilés : produit sidérurgique long de section constante et obtenu par laminage à chaud : carré,
rond, plats, tés … ou à froid : cornières, oméga, cé, zed …

Raidisseur : plat, L, T ou demi-profil soudés perpendiculairement à l’âme, ainsi que le plus souvent
aux semelles, de l’élément concerné afin d’éviter le flambement de l’âme (voilement) ou le « pliage »
élastique transversal des semelles (pages 8, 10 et 23***). Le raidisseur utilisé pour la « stabilité » des
platines sera, le plus souvent, positionné parallèlement à l’âme de l’élément porteur.

Rampant : surface inclinée, le versant d’une toiture en structures métalliques. Utilisé, le plus
souvent, comme adjectif, par exemple : contreventement de rampant.

Renfort : plat ou pièce de tôle directement accolée et le plus souvent soudée à la pièce à renforcer
localement ; du fait d’une augmentation des sollicitations ou d’une localement importante.

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Solive : poutrelle constituante de l’ossature d’un plancher, elle s’appuie directement sur les murs
(construction traditionnelle) ou sur des poutres de section plus importante en structure métallique et
de béton armé.

Tasseau : pièce d’appui, de dimensions réduites, en plat épais ou cornière fixée sur la pièce
porteuse et assurant l’appui (simple) de la pièce portée.

Tirant : élément d’une ossature métallique uniquement sollicité par des efforts de traction (système
soumis à deux forces).

Trémie : ouverture ménagée dans un plancher pour assurer les communications entre étages
(ascenseurs, escaliers, conduits …). Partie basse, de section évolutive, d’un silo assurant la fonction
« d’entonnoir ».

Travée : distance séparant deux fermes ou deux portiques donc la distance entre deux poteaux pris
dans le sens longitudinal. Par extension, distance entre deux poteaux (exemple : portique à travées
multiples).

Traverse : ferme de portique simple ou à travées multiples ou poutre maintenant l’écartement entre
montants de pans de fer ou de bardage. Par extension, poutre de portique.

Treillis : désigne, dans les poutres du même nom, l’ensemble composé par les diagonales et les
montants et correspondant à l’âme de la poutre ; les membrures inférieures et supérieures
correspondant aux semelles.

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ABREVIATIONS

CV Chemin vicinal V Ventilation

CD Chemin départemental VH Ventilation haute

RD Route départementale VB Ventilation basse

RN ou N Route nationale VMC Ventilation mécanique contrôlée

AF Air frais

EU Eaux usées LNB Largeur nominale de baie

EV Eaux vannes HNB Hauteur nominale de baie

EP Eaux pluviales HSP Hauteur sous plafond

ES Épandage Souterrain HE Hauteur étage

TAE Tout à l’égout HA Hauteur allège

FSTE Fosse toutes eaux

GdF Gaz NGF Nivellement général de la France

EdF Électricité TN Terrain naturel

Tel Téléphone TP Terre plein

BT Basse tension SF Sol fini

DB Dalle brute

VS Vide sanitaire CE Chauffe eau

VO Vide ordure R Radiateur

CF Conduit de fumée PL Placard

VR Volet roulant

RDC Rez-de-chaussée PP Porte pleine

WC Toilettes PV Porte vitrée

SDB Salle de bain PM Porte métallique

SAM Salle à manger SL Sèche linge

Dgt Dégagement MAL Machine à laver

Cuis. Cuisine ……. ………………………………………..


CH Chambre ……. ………………………………………..
……. ……………………………………….. ……. ………………………………………..
……. ……………………………………….. ……. ………………………………………..

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