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Correction du devoir de contrôle

Première partie :

A. Régulation de la fonction reproductrice féminine :


1) Une cellule cible possède des récepteurs de forme complémentaire de la molécule d’hormone d’où la
spécificité vis-à-vis de l’hormone ; la formation du complexe hormone-récepteur est responsable de l’action
hormonale sur cette cellule.
2)
a Pendant la phase folliculaire, les follicules grossissent : les cellules de la granulosa et de la thèque
interne sont plus nombreuses et sécrètent donc plus d’œstrogènes.
b La concentration de l’hormone ovarienne progestérone est relativement importante pendant la phase
lutéale. Elle exerce un rétrocontrôle négatif sur le complexe hypothalamo-hypophysaire d’où la
diminution de la concentration de gonadostimulines pendant la phase lutéale.
c La concentration d’hormones ovariennes est alors relativement faible. Il n’existe plus de rétrocontrôle
négatif sur le complexe hypothalamo-hypophysaire d’où l’augmentation de la concentration de
gonadostimulines en début de la phase folliculaire.
d A partir d’un certain seuil de concentration, les œstrogènes exercent un rétrocontrôle positif sur l’axe
hypothalamo-hypophysaire, qui sécrète plus de GnRH et LH. Ce pic de LH provoque l’ovulation au
14ème jour.
e La variation cyclique hormonale ovarienne est responsable du développement de la muqueuse utérine
et son évolution vers l’état de dentelle. Dans le cas d’une non-fécondation la concentration des
hormones ovariennes chute ce qui cause l’apparition des règles marquant le début d’un autre cycle
f Les cellules de la muqueuse utérine d’une guenon impubère ne possèdent pas de récepteurs pour la
progestérone
g Les cellules de la muqueuse utérine d’une guenon impubère possèdent des récepteurs pour
l’œstradiol qui permet leur prolifération et la mise en place des récepteurs à la progestérone
responsable du développement glandulaire.
B. La procréation :
1) a)
1 : Enzymes 2 : Récepteur
3 : Zone pellucide 4 : membrane cytoplasmique
5 : Granule cortical 6 : Espace péri-ovocytaire
7 : Récepteur dégradé 8 : Enzymes
9 : Granule cortical den exocytose 10 : Spermaster (centriole)
11 : Cytoplasme de l’ovocyte II 12 : Noyau mâle
b) Schéma 1 : Réaction acrosomique ; Schéma 2 : Réaction corticale
2) a) Trois points en commun : interviennent dans la fécondation qui a lieu au 1/3 supérieur de la trompe de
Fallope ; font intervenir des enzymes ; ont pour cible la zone pellucide.
b) Réaction acrosomique : pour favoriser la traversée de la zone pellucide par le spermatozoïde.
Réaction corticale : pour favoriser la monospermie.

C. Le brassage de l’information génétique :


Les deux mécanismes biologiques de la reproduction sexuée sont la méiose et la fécondation qui assurent un
brassage de l’information génétique. En effet la méiose par l’intermédiaire des brassages intrachromosomique
et interchromosomique aboutit à la formation de gamètes aux combinaisons alléliques variés entre les gènes
hétérozygotes chez les parents. La fécondation permet la réunion de manière aléatoire de deux combinaisons
originales d'allèles et ains elle permet la création d'individus uniques génétiquement.
Deuxième partie :
A-
1) a) Un caractère est mis en jeux : la taille des pattes avec ses deux aspects, pattes courtes etr pattes
normales, contrôlé par un couple d’allèles. C’est un cas de monohybridisme.
Le 1er croisement a été réalisé entre deux individus aux pattes courtes, il a donné une descendance
hétérogène formée d’individus aux pattes courtes et d’autres aux pattes normales donc au moins
1
chez un des parents croisés existe l’allèle responsable de la formation des pattes normales à l’état
masqué, il ne s’est pas exprimé phénotypiquement, il est récessif.
Soit les allèles : C contrôlant l’aspect court des pattes et n contrôlant l’aspect normal des pattes
avec C domine n.
b) – Hypothèse 1 : le gène est porté par un chromosome autosomal.

Phénotypes des parents P1 : [C] X P2 : [C]


Génotypes des parents P1 : C//n P2 : C//n
Gamètes des parents P1 : ½ C ; ½ n et P2 : ½ C ; ½ n
Descendance :
Génotypes ; phénotypes Tableau de rencontre des C ½ n½
et proportions. gamètes des parents
C ½ C//C : C//n : [C]
[C] ¼ ¼
n ½ C//n : n//n : |n]
[C] ¼ ¼
¾ [C] = 75% et ¼ [n] = 25%. Les proportions expérimentales sont
conformes aux proportions théoriques. Donc l’hypothèse est
possible
- Hypothèse 2 : Le gène est porté par un chromosome sexuel X.
1er cas : le sexe homogamétique est la femelle.
Phénotypes des parents [C] X : [C]
Génotypes des parents : XC//Y : XC//Xn
Gamètes des parents : ½ XC ; ½ Y et : ½ XC ; ½ Xn
Descendance :
Génotypes ; phénotypes Tableau de rencontre des XC ½ Y½
et proportions gamètes des parents
XC ½ XC//XC : XC//Y :
[C] [C]
¼ ¼
Xn ½ XC//Xn : Xn//Y :
[C] ¼ |n]
¼
¾ [C] = 75% et ¼ [n] = 25%. Les proportions expérimentales sont
conformes aux proportions théoriques. Donc l’hypothèse est
possible.
2ème cas : Le sexe homogamétique est le mâle
Phénotypes des parents [C] X : [C]
Génotypes des parents : XC//Y : XC//Xn
Gamètes des parents : ½ XC ; ½ Y et : ½ XC ; ½ Xn
Descendance :
Génotypes ; phénotypes Tableau de rencontre des XC ½ Y½
et proportions gamètes des parents
XC ½ XC//XC XC//Y
[C] ¼ [C] ¼
Xn ½ XC//Xn : Xn//Y
[C] ¼ |n]¼
¾ [C] = 75% et ¼ [n] = 25%. Les proportions expérimentales sont
conformes aux proportions théoriques. Donc l’hypothèse est
possible.
ème
2) a) Le 2 croisement a été réalisé entre deux individus de phénotypes récessif : pattes normales
ceci justifie une descendance uniforme de phénotype récessif.

2
Le 3ème croisement, montre l’apparition de deux résultats différents : on remarque dans le résultat
2 que le phénotype pattes normales est apparu uniquement chez les femelles. Si le gène est
autosomal il devrait apparaitre avec la même probabilité chez les deux sexes or ce n’est pas le cas
donc le gène est lié au sexe. L’apparition des deux phénotypes chez les femelles prouve que le sexe
homogamétique est le mâle et le sexe hétérogamétique est la femelle.
Pour le résultat 1, on a 100% |C] donc le mâle parentale est homozygote.
b) le gène est porté par X et le sexe homogamétique est le mâle.
Génotypes des parents du 1er croisement : le mâle : XC//Xn et la femelle : XC//Y
B-
1) a) La garniture chromosomique A : n = 2 chromosomes dupliqués : 1 autosome (21) + 1 sexuel X.
C’est la garniture chromosomique d’un ovocyte II
La garniture chromosomique B : n = 2 chromosomes simples : 1 autosome (21) + 1 sexuel X. C’est
la garniture chromosomique d’un spermatozoïde.
b) La garniture chromosomique du fœtus montre : (3 chromosomes 21 + 2 chromosomes sexuels)
dupliqués. Le fœtus est atteint d’une trisomie 21. D’après les données les garnitures
chromosomiques des gamètes proposés sont celles qui ont contribué à avoir le fœtus. Donc il y a eu
une non-disjonction des chromatides sœurs 21 à l’anaphase II après clivage du centromère lors de
l’achèvement de la division équationnelle de l’ovocyte II.

Origine de la trisomie 21 du fœtus

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