=XO-HISTOIRE auteur du Secret des étolles 0 des milliers de lecleurs & traver: cette forme romanesqu tre notre véritale genese, celle qui figure dans jes textes sumériens qu’en tant que clairvoyant, Parks décrypte sans complexes. Mans notre précédent numéro, nous avions commencé a découvrir le « phénoméne » Anton Parks a travers Ja longue interview qu'il a accordée a Karmaone. © Karmapolls - décembre 2005 © Novembre 2005 Anton Parks, pour les décompasitinns Voici la suite. Accrochez-vous, c'est du Parks | ‘azmaone : Poul Von Ward, un autour américain epécialieg dons Péeude des civilisations anciennes et qui travaille uz Phypothise de influence extareresre sur ces civi- Erstions anriques, pense qe les langues anciennes comme le ‘canskrit, l'akkadien et le sumérien sont les vestiges des langages _que nous auraient enscignés ces visiteurs extraterrestres « colo- cnisateurs ». Ces langues seraient dotées d'un réel pouvoir: un ‘pouvoir créateur, magique et évocateur. Toujours selon Von ‘Ward, out cela aurait été perdu, Qu’en pensez-vous ? Anton Patks : Le vértable pouvoir que je peux identifier st avant tout un pouvoir de codification comme je Vexplique de Jong en large dans mon premier ouvrage. Les sylabes sumérien- es et akkadiennes pertestent de décomposer les principaux mots de langages ancestraux, comme le ehinois, Phebreu, le rec ancien, le lun, Jes angues germaniques ex amérinden- bes, ec... Cela fra sans doure bondlir cous ls linguists, wa Je pense avvir &€ sulfisanunent précis dans le premier come. Diuileurs, non éditeur ct moi avons décidé de placer tous les fusndron ex accents des sylabes que je décompore de fagon oc puitse wérfler mon caval Bice que slimpore quel Je pricive simplemene & tous ceut qui slauraiene pas tu Le Scr de tcilersombre, qveleelahaieaiméien (PF mena = Langage mile) érsie uniquement utilisé par les males Gingabul, alors que les femelle, cxéatrices de ensemble du sllabare Gi- tu¥abul jonglaient adtoitement avec les particules sumériennes ct celles que fon retrouve dans 'akkadion, Cet ensemble formait fn quelque sorte une version intégrale dénommée Eme (le langage matrice). Bien entendu, tout cei n'est pas incrt sur les tablettes, les Gindabul tenaient trop leur code! Quanc’ savoir pourquoi le langage (e le sylabaire) akkadien — qui est appans laductions et interprétations suméro-akkadiennes tetalement form! jean endemaln~ sere premise rue wirérieur an sumétien, vous aurez cece réponse dans le volume AIL: Rising Nebherte (LEveil de Nebheru]. Karmaone : Zecharia Sitchin a présenté les « Anunnakis » comme une seule race, un groupe monolithique compost de plusieurs clans d'une méme famille qui sopposent, Enki opposant & Enlil, etc. Or, lorsqu’on lit voue livre, on Saper- goit que Phistoire est bien plus complexe et que ces entités qui seraiene venues sur ‘Terre, ou qui s'y seraient intéressées, représenteraient plusieurs races dissemblables dont certaines proviendraient méme d/autres dimensions: ily a la race repti- lienne, en général représentée parle terme Gina'abul, race com- prenant les Sutum, les Amasutum, les Kingu, les Musgin ec. Pourriez-yous déralller ces clans, ces différentes races et nous cexpliquer britvement si ues cagatutes ont des catactésstiques pliysiques difézenses des néeres ct d’oit clles viennent. Quel cst le statut précis deo Anunnaki ? Pourquoi lee tablettes su ‘mérienines évoquent particaligrement cvs entités et d’ot vient cc nom, les Annunakis. Anton Parks : Jai du respece pour Zecharia Sitchin il est un précurseur en la matére, Grice i is bon nombre de person- nes se sont familiaisées avec Vunivers mésopotamien. Son csprit de déduction ec ses interprétations ont souvent ment A des conchusions més intéessantes. Cependant, lui comme les autres auteurs se soncils attachés a Torigine des Nungal (NDR: race de planificatcurs reptliens miles) d'Enki (ls [gigi cn akkadien) ? Se sont-ils intéressés aux souches King, Imdu- gd (Anzu) et Muigir? Sls Pavaientfaie un tant soit peu, is ataient res vite compris quil Sagi d’6léments sépants apparte- — NEXUS nea ‘marin a008EXO-HISTOIRE ‘nant ila méme lignée que les Anunna, mais pour la plupart en conflit avec ces derniers. Les autres termes comme Amaguturn, ‘Miminu, etc... ne semblent pas présents sur les tablertes, ce- pendant, je donne dairement leurs définitions dans mon livre. ‘Oui, toutes ces souches, appartenant aux Gindabul, possédent souvent un physique difent. Les Musgie (ite. « reptile fu- ricux»), par exemple, sont des dragons ailés. On les retrouve aussi sous le nom assyrien « Pazunu >. Ils peuvent circuler sans aucun probléme de la premitre 4 a troisitme dimension. Les ‘Miminu sont les extraterrestres dénommés « Gris », Ce terme se rewouve chez les Dogons du Mali et veut dite « fourm», Quant aux Kingi, que Yon identifi &Fakkadien Quingu, ils sont com- ‘me la racine de ce nom Vindique la souche royale des Gindbul. Décomposé en sumérien cela donne KIN-GU «ordonner la terre (ou les régions)». Les Kinggi sont en guerre contr les cré- teurs des Anunina, es Usumgal (ite, « Grands Dragons», terme ‘pris plus tard par les Sumériens pour dénommer leurs dicux et leurs souveraig). Les Kings sont de 3 types différents, les blancs (les ‘grands royaus), les rouges (les guer- ricrsnettoycurs) et les vers (le peur ple, lui aussi guerrcr). Les tabletes akkadiennes présentent, du reste, ‘un cerain Quingu comme un com- plice de la reine Tiamat(), elle-mé- ime en guerre contre les Anunna. Ce sont les différentes guerres qui jalonnent le monde Ginalabul qui ‘ont séparé routes ces souches les tunes des autres. Cest la guerre qui ‘a entrainé les Anunna sur la Terre. Crest pour cet raison que ces exiles foreés setont nommés plus tard Anunnaki (les Anunna de la Terre»). La plus grande. majorite ds tabletes sumériennes relatent les aventures des Anunna sur Ia plandse bleue. C'est une sorte d'ode a rallonge aux guertirs, ‘Anunna. Il Sagit de chroniques plus ou moins déaallées qui relatent leur duablisiement et surtout leur mainmisze sur Phu main quils transformeront génétiquement en bétail pour leur plus grand plas, car les Anunnaki sont plutot pareseux! Diot le fat quils soient considérés comme des « dieu » (ou carrément Dieu) aux yeux de Phumanité. Mais le vrai« Dieu» cst ailleurs ct ses « émisaires angéliques» ne sont pas loin... CCeux qui sineéressent aux « anges » et aux fréquences élevées ne doivent pas perdre de vue que dans lunivers, les opposés stunis- sent toujours pour créer unieé. Dans un monde de séparation comme le nétre, ne jurer que par les anges est un peu comme se vwiler la face et ne crite quaux socigeés secrbtes et aux reptiiens revient & donner dela puissance a ces demiers.. Kermaone : Justement, dans vorre livre vous évoquet Vexisten- ce d'une sorte de caste de « planificateurs », les Kadistus. Qui sontil? Représentenc-ils une race particulitxe ou plurét une communauté de races extraterrestres d’origines différentes ? En {quoi sontils proches de la source originelle ? Quel est leur le? A cet égard, lorsque vous parler de « source originelle », par- Malheureusement pour les Annuna qui dirigent en secret les affaires des Hommes, I'’étre humain est en pleine mutation et va bientét changer de dimension. Cest un moment historique trés attendu dans l'histoire de humanité. Les Kadistu nous surveillent plus que jamais et nous envoient des messages... NEXUS neaa ‘rabjun 2006 lez-vous de la source ultime et originelle de toutes les dimen- sions, de tous les univers? ‘Anton Parks: Les Kaditu sont les émissaires de la Source Ori- ginelle (« Dieu ») dont nous sommes tous issus. On retrouve ce terme sous la forme akkadienne « Qadilw » qui évoque une prétresse de haut rang dont Péquivalence suméricnne est NU- GIG «la non malade » mais aussi « image du mal... Aux yeux des mésoporamiens, la Qadiftu éait une prostiué sacré. Tinsistesuffsamment sur le re du sexe etsa relation avec le di- vin dans le premier ouvrage, je ne reviendrai done pas dessus. I] sme faut, par contre, rappeler que ches les Ginaabul, les femelle (les prétresses Amaiutum) sont des émissaires de la Source et font partie des Kadiita. Il nest done pas &tonnant de rercouver ces prétresses avec des défintions comme « Pimage du mal» ( instar d'Bve qui représente le péché de chair parce qu'elle fut initige au principe « du bien et du mal») et en tant que « non rmalade» du fait quelles connais- saienc les vert de la sexualtésarée qui écarte la maladie... Diailleuss, le terme akkadien Qadiéew décom- post en Emeéa (le langage ma- ‘trice) donne KAD4-I57-TU, litt. sancien(s) assembleur() de vie». Ce voeable est par ailleurs & rap- procher du mot latin « caducéus » (caducé) (NDR: symbole de deux serpents entrlacésreprésentant Vat de guétir employé aujourt’hui par Jes médecins et les pharmaciens). Quill Sagisse des prétreses élevées Qaditeu des traditions akkeadiennes co des Kadir (les planifcaceurs), ‘ous pessédent le secret des chakras symbolisés par le caducée. Une bon- ine maitrse de ensemble des chakras permet 'éévation de la conscience que ne souhaitent jutement pas es Gindabul males qui manipulent ce monde en coulisse depuis des millénaies ! La collecvie det Kadica er aster présente dans Thiswoire que je raconte car elle est en confit avec une grande partie des Gi- ndabul Il sagit plutdt d'une communauté de différentes races cxcratertesures, Son rée est 'unife les espces de notre univers au nom dela Source de toute chose que fon associe & Dieu sur 1a Terte I faue savoir que les Kadiftu sone ts puissants. Mais ils disposent dun principe fondamental qui est celui de ne pas ‘uop interférer dans les affaires des Eres 2 fréquences réduites ui sont en pleine évolution. humanité terestre actuelle fait partie de ce type d'étres & cause de la manipulation millénsire des Anunna, Malheureusement pour ces demiers qui drigent en secret Ies affaires des Hommes, cre humain est en pleine :mutation et va bienttsautet de dimension... C'est un moment historique trés atendu dans histoire de 'humanié. Les Kadiitu nous surveillent plus que jamais et nous envoient des messages par lintermédiaire de personnes quis contactent directement (par abductions) ow de fagon allusve, (par contacts vélépathi- ques), bien qui fille parfois restr vigilant, carla pluparc des personnes contactées de cette fagon sone souvent de bonne foi,oe Se x ROT HHRMCK ea, a GRSTHN NS EM De SH: De Sas SEE bs eo Se Re, a ORO RR Au sujet des abductions, les Gris en pratiquent aussi, alors quill sont habituellement au service des Gina’abul. mais peuvent aussi faire de mauvai ses interprétations de ce quelles ont regues. Dans le cas des abductions, pprécisons que les « Gris en_prati- ‘quent aussi, alors quis sont habirucl- lement au service des Ginaabul. Les Kadi sont en quelque sorte les Elohim de la Bible, cest-adice les Anges de « Dieu » (de la Source Originelle) Is vivent dans les dimen- sions supéricures et «és peu dentze ceux peuvent se mouyoir dans la trot- siéme dimension, ce qui ne faciite pas le contact direct e¢ qui explique leur fagon déwurnée de nous approrhct, En sumétien Pen- setble des dimensions supéricures xt dénommé Angal, cst {dire « Grand Ciel», remarques comme oe terme ert proche ‘du vocable anglophone Angel (ange) ! Karmaone : Vous patler de l'existence de plusieuts dimen- sions. non pas nos tois dimensions mais calles relatives 4 des tunivers qui seraient superposés au nétre, comme une sorte de rille-feuilles. Powzrie-vous expliquer comment fonctionne cette représentation du monde, de quels niveau provien- draient ces races reptiliconcs et o3 nous situetions-nous par rapport h elles? ‘Anton Farks : Oui, mats pour vous réponddre, je vas reprodutre ici une illustration qui sera dans Adam Genisis. Elle décalle le KUR on y sjoucant wutelois ves deux dimensions médianes, siagt d'une schésnatsation du KIGAL (la Grande Terre») ui cat compost du KI (la toisiime dimension) ee du KUR Gui englabe le dimensions ler plus bases. Le KL, correspond au type de dimension oi Ubumanitéévalue su Terre acnvel- lement. To KUIR est invisible ane érrex évoluant en KI car il cst clarement situé en dehors de la perception tridimension- nelle. Le KUR représente le noyau de tout un systéme tiré directement de Vidéologie seeréte Gindabul. La confirmation cece sens cache de ce terme sont apportés en décomposant le terme KUR en KU-UR, ce qui donne : «la fondation ceintu- rée» ou encore en KU-UDr MR - « a base de la tondation » Pous assimiler le KUR, commengons pat le haut, Nous trou- vyons une dimension médiane qut ést le KUR-GLA («le KUR de la source ferme »). La traduction strlcre de ce terme nous evoile quil Sayin Wune ditmeasion wassivive oi les lestent un moment avant de réimdgrer la Source (+ ferme ») ou TANGAL (qui se trouve au dersus du KI er du KUR). Enouice, apparait le KUR-GAL (la deuxiéme dimension), NEXUS neaa Cesticdire «le Grand KUR», monde parallile oi cer- tains Gindabul éabliront leur demeure sur la plandte Terre Juste au-dessous, sintercale une autre dimension médiane qui est le KUR-NU-GI4 (« le KUR du non retour »). La décompo sicion de ce moc nous révée sans Fombre dun doute quil ‘agie dun étage fréquentil ot les mes se sont perdues. C'est ew cit se trouvent les entités restées bloquées ex que I'on assimile aujourdhul aux faneonres. Les Sumidicus vuyaicut das les KUR-GI-A er KUR-NU-GI deus représentations des enters. Finalemene, appara le KUR BALA (la premitre dimension, la plus basse de toutes). Les Sumérions et les spécialistes des tabletes assimilent ce Liew &« Pau-delh», maic son sens exact csr ele KUR du rigne ou de la dynastie ». Sur la Tere. la dimension KUR-BALA fit Lobjet de nombreuses hostlités centre Ginaabul, car M@tre qui détient le KUR-BALA devient obligatoirement le maitre des deus autres dimensions, celles du KUR-GAL ec du KI. Le maitre du KUR-BALA est litcérale- rent « Feeil qui voit tout, en haut de la pyramide... inversée», carl posséde un regard direct sur le KUR-GAL ec le KI! Voila pourcjuoi sur les tablertes, le KUR (ou KUR-BALAh est souvent ‘taduit «en monde ennemt», lew oit le chaos semble régner perpétuellement, Les trois premigres dimenstons forment une sorte de pyramide & Penvers ott ke dimensions KL synibulise la lsc ct la dimension KUR-BALA forme Ic haue de la pyramide inversés. De oot endroit, toute personne aun regard grostzcant (comme ne loupe) sur les dimensions supéricuresjusguau KI En ce qui conceme les dimensions supérieures (PANGAL), cla Fonerionne nn pent de lr méme fagon, mais 'une maniére inversée parle haut. Plus on monte, plus on posséde un regard détaillé (global) sur lensemble de woures les dimensions... De 1s provient Pidée que Dieu (la Source) sit tout et voit cout. Los aifté: du KIGAL IR-GI-A | cus. de la source ferme) “ ension _HURGAL Faire KUR-BALA t" dimension Solon Aton Pa, la moe ca comaoes co plusious dmensins, Lo Ket cle cu véIumanié ‘matJuin 2006 —, se)EXO-HISTOIRE ‘Karmaone : Vous vous servez de la langue sumérienne pour donner du sens & un tas d’événements, d'objets et de per- sonnages qui, selon vous, seraien igs 4 Phistoire de la civil sation humaine. Etes-vous le seul 3 fare ces interprétations, aver-vous pu les vérifier dans les ouvrages d'autres auteurs et spécialistes de la langue sumérienne? ‘Anton Varks : Je ne me sers pas de la langue sumérienne pout valider mes propos, mals Je constare et vérific minuticuse- ‘ment chaque terme rraduisible en rappott aver Thisiwite que jeracome. Désole, 1 Uiague fois une traduction ex possible. Elles sont innombrables. Dans le premier volume, le nombre dde mote que je tsi pas pu ddcomposer 3 'aide du sllabaire suuméro-akkadien se compte sur une seule main Je réinvene ten. Le code est 1 er ne cemandait découvert ! Par fit, jesus, & ma connaissance, le premier 3 décomposer des termes plus ou moins anciens & Taide du syllabaite suméro- akkadien. Je r’ai done pas pu comparer ou méme verifier mes décompositions 3 partir du travail d'autres auteurs Karmaone : Dans votre livre, vous parlez de Parbre de vie et parla méme occasion, vous faites référence & Farbre du Jardin Eden et au soi-disant serpent « tentateur », Quel est le sens réel de cette étrange histoire qui est imagée de facon si <énigmatique dans la Genése ? ‘Auwou Pubs + Je ne vais pas pouvoir xpondre pleine iment a ostte question, car elle sem claiement exprimée dans le deuxitme ouvrage Adam Geniciz. Copendanc, je peux vour fate quslquer révdatinne inélizs sur le serpent st son cnlligne Saran que Von confond souvent & core ! Aprés mille et une pétipéties. le Haut Conseil Anunna se voit dans Fobligation de fabriquer génétiquement un étre humain afin quill accomplise les besognes journaliéres 3 la place des ‘edioux ». Ces humains ne sont pas directement désignés comme étant des A-DAM (animaux), mais plurét des Lili, est-iedire des éses « mélange». Enki fils d'An et de Mami- tu-Nammu, qui ditige sous la contrainte les opérations pour la caste dominance, & savoir les Anunna ~ ne supporte pas de voir sa eration génénique use comme de vulgares A-DAM (animaux). I va progressivement modifier le spécimen exclave Pour le rendre ausoHioune. Le prcwsics spécimen spésialement couyu pour Lille Eat originellement androgynes Enki va Ic Couper » en deus pour en fuse un homme et une femme. Cette icine exis aur une tblere dargile (en haue 3 deite). Que voyons.nous ? Enki appara’ gariche. Antone de lt des serpents (symbole de création er de erie) Sagitent en ryth- me. Nous pouvons en conclure sans 'ombre d'un doute que le serpent de la Bible lest autre qu’Enki le génétcien, autrement dit Nudimmud le cloneur. Da reste, on apergoit & ses cotés tune étoile avec une fléche qui poince vers le bas. Léwoile sym- bolise le terme DINGIR (dicu(s)) ct la fléche, «le desous», «Tabysse», ce qui nous confirme que ce « dieu est bien Enki, puisquil est la divinité de IAbzu, le monde souterrain, Au mila «sévelle» une femme qui semble surgir non pas d'une des cores de FAdam, mais plurér d'une sorce de marmite que Ton peut alsément assimiler 4 une maurice at- ‘maiiuin 2006 et urate sunsoee oT wi Enki coupe on eu ‘unADANM. andtogine pour en fare un hone tune ene. tificille. x Curieusement », cette marmite ressemble au signe archaique sumétien qui correspond & la démone Lilt (Lilith) ‘ui figure la maladie et le mal dont nous avons dj patlé plus haut... De vielles légendes rabbiniques ne racontent- cles pas que la premiére compagne d’Adim était Lilith ? A ses cOtés, un homme tend 4 la femme une branche d'arbre dont les extrémités se finissent en vagins... Le symbolisme est clair ! Mais le plus croustillant se trouve a droite : nous distinguons un monarque toralement trrté qui brandit ses deux fourches. Chez les Sumériens, fa fourche figure « ut het ext rappunt aver la (erie (fe sol). Nous sfevons aucun mal 3 assimiler ce personage 3 un Siam, Ceot& dire un ss adminisersteus reritorial » ou « chef de contrée », Qui est le agyand Sitam chez les Anuana? C'est Enlil, Padversaived'Pnki! Le manuscrit slave d’Adam et Pu (Bibliorhéque Nationale de Sofia, N°433) indique que Satan revendiqua & Adam la possession de la Terre : « Mienne est la terre, divin sont le Ciel et le Paradis. Si eu deviens un homme qui mappastient, tu travailera la Terre... ». D’autres passages bibliques comme ‘Mathieu (4,8) ou Lue (4,6) évoquenc la méme chose. Ce qui ‘ext aser cocasse, ¢est que dans la Bible, Cest plutét « Dieu » aqui surprend le Serpent »inseruisant » Adam et Eve dans son jardin et non Satan !? Comme les Sumériens raffolaient de symbolism, nous ttouvons aux cétés du Stam un Gullum (un char). Le chat a souvent été regardé comme un animal neéfiste. Cee Idéologie est renforeés chez les Suinétieas, cat si nous décompusuus le tute Gullum, nous obrenons GUL (derrurc, anéantir) &t LUM (Gries, ebondance, porter en fruit), ce qui veut dire que le Sitam (Enlil) ala qu'un seul object + « détraie Ia ferite» de sa main-d'ceuvee deve- ‘nue trop abondance er lihre 3 son gait ! Quoi de meilleur aquun chat pour exprimer certeidée ! D’ailleurs oct épisode est confirmé & la fin des tablettes babyloniennes de Atrahasis it Yon voit Enldl commander & Enki de réduire les jours de Phumanité et de rendre certaines femmes infécondes. Vous remarqucrez également que les pieds et les mains Enki sone liés, Ce qui Evogue le fait qu'Enk ne soit pas ibre comme ie soubaiteric cari est bien sous les directives cn [Ne me demande pas pourquoi aucun auteur nia encore fait le rapprochement entre les termes sumentens Satam, Adam et ses ‘quasi homophones bibliques ct surtout ta en la bonne Idée observer que le «dieu » sumérien Enlil dient dintiucvement le role de Sita (eaduinisuatcut cestiovial ow xchef decontrée») sur les tabletes dangle. je sfen ai pas la moindee idée Toujours estil que la vrité ext réablieaujourd’hui... Le fameux Enlfl qui symbolise le « Dieu » de la Bible (ou Te chef des Anunna) nest autre que Satan ! Lailleurs, son nom EN- LIL («le seigneur du soufile» de la parole)) peur également se naduire en sumérien en « le selgneur de l'nfection»... ce est yas une wincideue vat Enll, cel supiéine des Gineabul wex- restresapr’s An, n'gait pas du cout apprésig des Sumésiens qui gardaiene de lui le souvenir d'un monarque desporique et san guinaite ! Ceci ese conforme i idéologie gnostique qui compate Je grand Archonte& Satan ! ‘Karmaone : Vous évoquer. sous le terme « Santana » ou « San- dan», une créauure exraterrestre qui occuperat Ia fonction ingénieur agricole, Phorticulteut, une sore de spécialisce des plantes, Cette dénomination a-t-lle également un rapport avec le terme « Satan » que la trdition désigne comme wn ange rebelle? A-til un rapport avec Iarbre de vie et Vasbre de la connaissance? ‘Anwon Parks : Vous avex roue 8 fae alson de priser «dye ment. Le terme » Satan» est effectvement ui sudlange du Siam («administatcur crrtorial +) cr du Sandan ou Santana (chef de plantation, herboristehorticulteur) des traditions sursé Fiennes. Maie ily aun désil important qui sdpare le Sitam et le Sandan, Cest que ee demier ese wns les oretres du Sitar. Le Leterme SATA exe en egypt. Sa traduction sticteexorme «gone serpent» et «enfant (us) da tee» (8 gaucne) Lorsqu fon assembie ceranes pass dyyplies qui pourlent compose le terme Satan, on oben lis = potr Ia tore» ot porte le mal», C'est inressant car on rebouve le ta forme vorbalo an seconde positon comme chez lee Ginaabul 4 Sumiviens. De pis, imagace qui esse est eonfoeme ‘aux idéologies mésopotamiennes of chrétiennes qui présentent respectvement Satam et Set de marigres smiaes... Pensez- ‘vous wainent ql s'aiso dun nasa ? Dans Adam Gani ‘nous chserverons combienl langage éoypin état aussi important que cau de Mésopotami pour a fomaton de catins termes blues. NEXUS nese ‘makjun 20u0 Satamn posséde les pleins pouvoir il gre des contrées entire, voire un pays. Crest bien le cas d'Enlfl qui régne sur la totale ddu pays de Kalam (Sumer). Ains, il administe ses teritoies par Vintermédiaite des Sandan (Santana) sans lesquels il ne pourrait rien du tout. Car dans Punivers des Anunna (la caste ddominante), une seule chose ne compra 2 leurs yeux : la sur vie rice aux plantations agricoles ! Or, chez les Ginaabul, les Sandan Gantana) yout caclusivenent des Ranells, Bien avant les Sumériens, lo» Sandan (Sancana) étaient uniquement des femmes qui travallaint dane la vaste plaine mécopotamienne énommée Fain ou Eden... Dans Le Serer des ils sombres, j'ai suffisamment déuillé Fassociation éeoite que on resouve dans le monde enticr entre la femme et les arbres du jardin Eden. Je réponds donc a votte demnire question, Karmaone : Les civilisations reptiliennes.que vous décriven raient fondées sur une ségnégation, une separation. Ségrégation entre sexes race féminine, masculine, sexu, robo (représen- t pares Gris). Est-ce le résultat d'une décadence oi la techno- logie ecle génte généxique auraient joué un sole prépondérant? Ces cates» et rates auraien-lles la méme origine? ‘Anton Darks + Gest une fois de pls la gcere qui ext mettre en cause. Ce sont les Anunna qui ont amené le guene sur Tee. A, Vigne, ily aeaeancne dgigaton ence lee deux sexe che et 1@'abul. Lorsque les miles. les fameux Usumgal et Mugir, ont -découvert la puissance sexuelle féminine ct qu'ils ont compris que sils Sen rendaient malt, cea leur donnerait plus de puissance, Une partie d'entre eux voulut emprisonner les femelles Gina'abul ‘pour leur fue subir des abominations. Les prézresses se sont confl- inées sur elles-mémes, multipliant les secrets et les rites hermétiques pour se protéger des miles, C'est d’aileurs& cette époque qu'lles cxéérent les parcicules linguistiques supplémensaires qui forment ['Eme8a (langage matrice) qu’aucun male nest censé pratique Elles pureu de vate fagon communiquer entre elles en tute confance. Les Gindabulancesraux posse ie vig i we nt Jes nombreux conflis qui ponent leur histone gut explique que seulement quelquersone d'enere eux sojene rests en Ulu la conerllation du Dragon), le berceau originel de la race. Les Gi- adabul se sont pandas dans norte inves pus vee son, On retrouve par exemple les Uumgal et la majorité des Amasueum en Nalulkdra (la Grande Ourse), les Kingit en Te (la constellation cde PAigle), les Musgir et les Miminu (les « Gris ») en Urbar'ra (a Lyre), quelques Amasurum en Mulmul (les Pleiades) ob furent faileus crs les Anunna, et. Propos recucillis par Karmaone Suite etn dans Now 1°45 ou surle sie hip:vawn karmepoti bo Note de interviewer. 1 st rate que Jo ma paccionno pour dea personnes gu sont « contacts» ou sont sujete 2 doe vieions mals al rerconté une © Anton Falke, De lls, al demiance son as @ Un ami et ata symbol ‘anton, a tot Parka na faltauerelancer ae rchercher, Jo tie dautant ot houreix de mite ntaassé au travall @nton,