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NI DIEU, NI DARWIN
L’exogenèse
O
n oppose traditionnellement aux tenants du
darwinisme, ceux du créationnisme dont le schéma
de l’origine de la vie est calqué sur la chronologie
de la Genèse, revenant à dater l’âge de la Terre à
seulement six milliers d’années. On leur assimile un récent
courant qui soutient une origine intelligente aux processus du
vivant, le « design intelligent », jugé coupable, en décembre
dernier, d’avoir voulu mentionner dans les manuels scolaires
de Pennsylvanie que le darwinisme n’était qu’une théorie.
Les deux camps adversaires de l’évolutionnisme et du
créationnisme, obnubilés par l’enjeu de décider si oui ou non
la religion peut répondre aux questionnements scientifiques,
passent à côté d’une troisième voie qui offre pourtant les
meilleures réponses : celle de l’intervention extérieure, ou
exogène à notre planète.
Nous avons choisi dans ce dossier de regarder de près ce qui
cloche dans l’hypothèse évolutionniste, et d’examiner de plus
près les archives révélatrices de l’une des plus anciennes
civilisations, celle de Sumer.
On ne peut nier que la théorie de l’évolution des espèces
formulée en 1859 par Charles Darwin ait eu le mérite
d’émanciper les mentalités du formatage judéo-chrétien
qui réduit les individus à de coupables pécheurs en mal de
rédemption auprès d’un Dieu punisseur et vengeur.
Mais abordée aujourd’hui comme une réalité incontestable
par les programmes scolaires, évoquée systématiquement
dans les médias comme une vérité absolue, cette théorie
scientifique s’est vue, au fil du XXe siècle, érigée au rang d’un
dogme inexpugnable, tels ceux rencontrés habituellement
chez les plus intégristes des religieux.
Ce culte du matérialisme évolutionniste qui, sous couvert
de détrôner le « Grand Barbu créateur » de son nuage au
profit du dieu « hasard » et de la raison du plus fort, rejette
par principe toute velléité de donner un sens à la vie. Cette
démarche ne résiste pas à l’examen du nombre impressionnant
d’incohérences mises en évidence par une observation
rigoureuse, tant dans le domaine de la paléontologie, de la
biologie que de la génétique.
David Dennery © 2006
(docteur ès bon sens de l’université de la vie)
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8 mars-avril 2006
du
vivant
L a sélection naturelle était envisagée par les naturalistes du
XVIIIe siècle comme un mécanisme naturel protégeant les
espèces des altérations, en privilégiant l’élimination des indivi-
Pour Colin Patterson, paléontologue du Musée d’histoire na-
turelle en Angleterre : « Personne n’a jamais produit une espèce
grâce aux mécanismes de sélection naturelle. Personne n’a ja-
dus les plus faibles ; jusqu’à l’apparition du concept d’évolution mais pu s’en approcher et c’est sur ce point que la polémique se
formulée par Lamarck (1744-1829). Selon lui, l’évolution focalise dans le néo-darwinisme1. »
d’une espèce était non pas due au hasard, mais à une adapta-
tion à l’environnement améliorée de génération en génération La sélection naturelle, principe de destruction
(Lamarck utilisait l’exemple des girafes cherchant à atteindre
les branchages pour se nourrir).
Ainsi l’évolution est censée se produire au hasard des mutations
Cette hypothèse fit long feu à l’observation du terrain qui
graduelles ou totales (selon les différents courants de pensée),
démontrait que si un individu pouvait manifester certaines
la sélection naturelle se chargeant de favoriser les résultats les
adaptations anatomiques à ses conditions de vie, elles n’étaient
plus avantageux. Pourtant, toutes les observations de mutations
jamais transmises à sa descendance.
faites à ce jour n’ont donné que des résultats désavantageux :
Darwin sut contourner ce problème en intégrant la notion de
malformations, stérilité, incapacités et handicaps divers.
hasard à l’hypothèse évolutionniste
Si la sélection naturelle s’exerce
de Lamarck. Pour lui, la sélection
bel et bien en éliminant les
naturelle opérait pas le biais des Si la sélection naturelle s’exerce plus faibles, elle ne fournit
mutations aléatoires se manifes-
tant sur une beaucoup longue pé- bel et bien en éliminant pas d’explication satisfaisan-
te au passage d’une espèce à
riode de temps, les plus propices les plus faibles, elle ne fournit pas l’autre. Ce n’est pas parce que
à la survie provoquant l’évolution d’explication satisfaisante les individus les plus faibles
de l’espèce.
Contrairement à ce que laisse croire au passage d’une espèce à l’autre. d’un troupeau d’antilopes sont
systématiquement tués par les
le courant majoritaire de pensée ;
prédateurs que les antilopes
la théorie évolutionniste est loin
vont se changer en zèbres, chevaux ou lémuriens. À l’inverse
de faire l’unanimité chez ses propres adeptes qui se contredisent
de provoquer des modifications, le processus de cette sélection
au sein de divers courants (théorie synthétique, neutralisme,
naturelle tend à préserver une espèce de toute dégénérescence et
équilibrisme ponctué, mutationnisme, néodarwinisme, macro-
toute transformation. Les phalènes « mélaniques » (papillons)
évolution) pour tenter de résoudre les innombrables anomalies
« étudiés » par l’Anglais Bernard Kettlewell en 1953, censées
observées sur le terrain.
changer de couleur à cause de la pollution industrielle, se sont
Citons W. R. Thompson, entomologiste de renommée mon-
avérées n’être que deux variétés d’une même espèce, une claire
diale, qui fut sollicité pour la rédaction de la préface de l’édition
et une sombre, dont les populations se sont vues devenir tour à
du centenaire de L’Origine des espèces de Darwin, et qui n’hé-
tour plus ciblées par leurs prédateurs, du fait du changement de
sitait pas à écrire : « Cette situation dans laquelle des hommes
couleur de l’écorce des arbres provoqué par la pollution.
s’unissent pour défendre une doctrine qu’ils sont incapables de
Pierre-Paul Grasse, éminent zoologue français et auteur d’une
définir scientifiquement et encore moins de démontrer avec
encyclopédie en 35 volumes Traité de Zoologie, ancien président
toute la rigueur scientifique, essayant d’en maintenir le mérite
de l’Académie française des sciences, écrivit : « La théorie de
auprès du public par la suppression des critiques et l’élimina-
J. Huxley et des autres biologistes selon laquelle l’évolution
tion des difficultés, cette situation est anormale et indésirable
fonctionne avec le mécanisme de la sélection naturelle, n’est
en science… Le succès du darwinisme a eu comme corollaire
rien d’autre qu’une observation des réalités démographiques,
un déclin de la probité scientifique ».
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de l’agitation régionale des génotypes et de la dispersion géo- exactement le contraire de l’allégation de Darwin soutenant
graphique. La majorité des espèces observées subsistent sans que « d’innombrables formes transitoires doivent exister, mais
subir la moindre modification pendant des dizaines de milliers pourquoi n’arrive-t-on pas à les trouver dans les innombrables
d’années. Les agitations apparaissant à la suite des contraintes couches terrestres ? » Darwin pensait que « cette lacune des fos-
environnementales lorsqu’elles sont prises en compte avec les siles » serait comblée par les fouilles futures. Or, les fouilles ont
modifications génétiques antérieures, ne peuvent être utilisées beau être aussi nombreuses qu’attendu, on observe que quasi-
comme des preuves de l’évolution ; la plus belle démonstration ment toutes les espèces découvertes, sans exception, ressemblent
de ceci sont les espèces vivantes n’ayant subi aucune modifica- énormément aux espèces vivantes actuelles7.Face à cette absence
tion depuis des millions d’années2. » criante de traces dans les archives de la paléontologie, et à la
suite de la découverte de la complexité des mécanismes de la
La lacune des fossiles génétique au début du XXe siècle, les darwiniens remplacèrent
le concept d’évolution graduelle par celui de macro-mutations.
Si la théorie de l’évolution était exacte, on aurait dû décou- Le problème devint alors insoluble au regard de l’importance
vrir les fossiles retraçant les étapes successives d’une espèce à démesurée des conditions à remplir pour répondre favorable-
l’autre ; au lieu de cela, les espèces apparaissent spontanément, ment à cette thèse.
totalement formées et abouties pour ne plus évoluer ensuite. Le
problème n’est pas l’absence de quelques chaînons manquants La complexité irréductible
mais celui de leur ensemble. Et ce n’est faute d’exemplaires dé-
couverts depuis le début de la paléontologie. Selon Porter Kier, Elle s’applique à tout système ou organe qui ne saurait remplir
de la Smithsonian Institution : « Dans les musées du monde sa fonction en l’absence de l’une de ses composantes. Ainsi en
entier sont conservés une centaine de est-il de l’œil qui ne saurait remplir
millions de fossiles, tous catalogués et son rôle avec une cornée opaque,
identifiés3. » Pour Richard Carrington, de l’aile qui ne pourrait permettre le
dans son livre Histoire de la Terre : vol avec des plumes trop courtes, ou
« Grâce aux fossiles, les paléontologis- encore de la briques élémentaires des
tes peuvent maintenant nous donner organismes vivants que constitue la
une excellente image de la vie telle cellule. L’absence de l’une de ses très
qu’elle existait dans les périodes an- nombreuses organelles, ou un simple
ciennes4. » dérèglement de la complexe harmo-
Le célèbre Derek W. Ager, paléontolo- nie rend tout bonnement impossible
gue évolutionniste de renom confesse sa survie, encore moins sa multipli-
l’extrême difficulté posée par l’obser- cation. La cellule ne peut attendre
vation des fossiles : « Notre problème que le hasard des mutations, tel que
est le suivant : lorsque les archives de celui présidant à la sélection natu-
fossiles sont étudiées en détail, que relle, lui permette de se développer.
ce soit au niveau des espèces ou des Dans l’hypothèse évolutionniste, elle
genres, nous sommes confrontés con- s’avère totalement formée et fonc-
tinuellement à la réalité suivante : nous tionnelle dès son apparition sur Terre.
ne voyons pas des groupes évoluer de C’est évidemment le cas pour des
façon progressive, mais plutôt apparaî- systèmes mille fois plus complexes
tre subitement5.» comme l’œil, l’aile, le rein, etc. Pour
Le paléontologue, Mark Czarnecki se W. H. Thorpe, professeur en zoolo-
fait également l’écho de cette problé- gie à l’université de Cambrige, « la
matique : « Le plus grand obstacle à la cellule la plus élémentaire constitue
démonstration de la théorie de l’évolu- un “mécanisme” plus complexe que
tion a toujours été les traces fossiles… n’importe quelle machine imaginée à
Ces traces n’ont jamais révélé les formes transitoires supposées ce jour, sans parler de celles conçues par l’homme8 ». Puisque
par Darwin. Les espèces apparaissent subitement et disparais- la sélection naturelle est seule déterminée par le hasard des
sent de la même manière. Cette situation inattendue, appuie mutations, elle est dénuée de conscience et de volonté, et in-
l’argument de la création des espèces6.» capable d’anticiper une telle succession de transformations. Ce
Le célèbre biologiste, Francis Hitching, écrit : « Si nous trou- casse-tête n’avait pas échappé à Darwin : « Si la démonstration
vons des fossiles, et si la théorie de Darwin est fondée, des pouvait être faite que l’organe complexe existe sans avoir été
traces montrant l’évolution graduelle d’une espèce vers une formé par de nombreuses petites modifications successives, ma
autre espèce plus complexe, ces petites “transformations” pro- théorie ne tiendrait plus. » Et encore au sujet de l’œil, dont
gressant de génération en génération devrait très bien être con- la complexité est extraordinaire : « Les yeux, aujourd’hui, me
servées. Cependant, la situation est tout autre. En réalité, c’est donnent des sueurs froides9 » et : « De supposer que l’œil, avec
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toutes ses capacités d’adaptation inimitables pour ajuster le Fausses pistes et
foyer sur différentes distances, pour admettre différentes quan- supercheries de l’évolution
tités de lumière et pour la correction de l’aberration sphérique
et chromatique, pourrait avoir été créé par sélection naturelle, Gros comme une baleine
semble, je l’admets librement, absurde au plus haut degré10.» Premier exemple d’histoire à dormir debout,
Un insecte illustre au mieux la question de complexité irréduc- celle de l’évolution ayant mené à l’apparition des baleines, publiée
tible et a fait couler beaucoup d’encre : le scarabée bombardier dans la pourtant très sérieuse et réputée revue National Geographic :
« La dominance des baleines dans le monde des immenses créatures
a apparemment commencé il y a soixante millions d’années, lorsque
des quadrupèdes mammifères poilus se sont aventurés dans l’eau
à la recherche de nourriture ou de sanctuaire. Avec les années qui
passaient, des changements se sont produits. Les pattes postérieures
ont disparu, les pattes frontales se sont transformées en nageoires, les
poils ont cédé la place à un épais et doux manteau blanc, les narines
se sont déplacées vers le haut de la tête, les pattes se sont élargies en
queue, et dans ce monde d’eau flottable, le corps est devenu énorme.»
Victor B. Scheffer, «Exploring the Lives of Whales»,
National Geographic, vol. 50, December 1976, p. 752.
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Le Pithecanthropus erectus
ou « homme de Java » fut découvert en 1891 par Eugène Dubois, anatomiste
hollandais, dans le lit d’une rivière. Les vestiges (une calotte crânienne
simiesque et un fémur humain) restèrent cachés 30 années durant par
l’inventeur qui ne mit à disposition que des moulages de plâtre. Il confessa
avant de mourir la supercherie : les sites de découverte des os étaient distants
de 15 mètres et la calotte crânienne voisinait deux crânes d’homme moderne.
Les évolutionnistes continuent, malgré cela, à placer l’homme de Java dans les
diagrammes pédagogiques retraçant l’évolution de l’humain.
Australopithèque
Rien n’est moins sûr que la bipédie des australopithèques, dont le plus
complet est la célèbre « Lucy ». Seul son genou serait effectivement
Presque toutes les traditions humaines font référence à des êtres venus attribuable à la famille humaine, sinon que l’inventeur, Donald Carl Johanson,
du ciel. Ici, un détail du grand panneau de la grotte de Pech-Merle (Lot).
admit l’avoir découvert à plusieurs kilomètres, dans des strates encore plus
anciennes. Quant aux restes, très érodés de la hanche, la controverse existe
l’évolution aux yeux d’une mondialisation néo-libérale assuré- encore sur ses caractéristiques de bipédie.
ment organisée au service du plus fort. Il est édifiant de per-
cevoir communément employés dans les médias économiques
les termes de « prédateurs », de « jeunes loups », de « loi de la East Side Story
jungle », un système au service du plus fort (darwinisme social), Cette théorie émise en 1981 par Yves Coppens, un des plus célèbres
malgré ses conséquences destructrices pour l’intérêt commun et paléontologues, n’hésitait pas à reprendre les principes lamarkiens de
l’écosystème planétaire. l’adaptation des espèces aux conditions environnementales (le cou des girafes
Alors que de nombreux éléments contredisent la théorie de s’allongeant avec leurs besoins d’atteindre les branchages), pourtant devenus
l’évolution : caduques par la découverte de la génétique qui ne permet pas de considérer
- apparition spontanée des espèces mammifères, des oiseaux, transmissibles les adaptions d’un individu à sa descendance. L’idée qui
des animaux domestiques consistait à expliquer le passage à la bipédie par une modification climatique
- caractère inchangé de familles entières animales (reptiles, in- de l’Afrique de l’est qui changea les forêt en savanes. Yves Coppens eut
sectes…) ou végétales. l’honnêteté de reconnaître que les récentes découvertes de plusieurs bipèdes
- absence d’intermédiaires entre proches espèces sauvages et (Abel et Toumaï) dans restée forestière invalidaient sa théorie.
domestiques en apparence apparentées
- absence de souches sauvages identifiées d’espèces animales
et végétales (les évolutionnistes estiment que les hommes du
néolithique ont su anticiper et se transmettre sur de très nom-
breuses générations les principes de sélection génétique pour
aboutir aux céréales à partir des espèces sauvages de graminées
sans valeur nutritive), etc.
Notes
L’hypothèse d’une intervention extérieure à la Terre, amenant
ces nouvelles espèces, permet de répondre à toutes les ques- 1. «Cladistics», Interview avec Brian Leek, Peter Franz, 4 mars
1982, BBC.
tions posées par l’observation scientifique. Or, la quasi-totalité 2. Pierre Paul Grassé, “Evolution on Living Organisms”: Evidence
des traditions humaines font référence aux êtres venus du for a New Theory of Information, Academic Press, Ocak
1978, s. 122.
ciel (les elohim de la bible, qui trouvèrent que les filles des 3. New Scientist du 15 janvier 1981, p. 129.
hommes leur convenaient et ils prirent pour femmes toutes 4. Payot, 1956, p. 51.
5. Derek A. Ager, «The Nature of the Fossil Record», Proceedings
celles qu’il leur plut» Gn 6:2), à leur propre origine cosmique of the British Geological Association,
(amérindiens, Dogons), à des dieux voyageant sur des chars cilt 87, 1976, s. 133.
6. Mark Czarnecki, «The Revival of the Creationist Crusade»,
célestes (Inde), etc. MacLean’s, 19 Ocak 1981, s. 56.
Nos deux articles suivants proposent une interprétation très 7. Francis Hitching, The Neck of the Giraffe: Where Darwin Went
Wrong, Tichnor and Fields, New Haven, 1982, s. 40.
intéressante des mythes de Sumer et présentent la personnalité 8. W. R. Bird, The Origin of Species Revisited., Nashville:
réelle de ceux qui y sont décrits comme des dieux, leurs origines Thomas Nelson Co., 1991, pp. 298-99.
9. Lettre de Charles Darwin, Londres, 1888,V2-273.
et leurs dessein. Ils jettent un éclairage très différent du consensus 10. Brill, Dieter R., Falk, David S. and Stork, David G. Seeing
majoritaire de la pensée historique et anthropologique sur les évè- The Light: Optics in Nature, Photography, ColourVision, and
Holography, Harper & Row Publishers Inc., New York, 1986,
nements qui se déroulèrent jusqu’à nos jours, suggérant les vrais pp. 192-193.
enjeux, des luttes qui secouent plus que jamais l’humanité.□
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DOSSIER
INTERVENTIONNISME
La troisième voie
Les êtres humains seraient le produit de « génies de la génétique », les dieux Anunnaki, et non le fruit
d’une évolution for tuite. Objectif : créer une sor te de « bétail » à leur ser vice. Un thèse qui s’appuie sur
les dernières recherches en génétique et sur une autre lecture de la Bible et des grands my thes.
P ar A lan F. A lf or d © 1996
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14 mars-avril 2006