Cours JDBC

L ’API JDBC
Enseignante : Ettouil Monia
2008/2009
Plan
Problème
Qu’est ce que JDBC ?
Objectifs de JDBC
Avantages
L’API JDBC
Architecture JDBC (modèle à 2 couches)
Drivers JDBC
Modèles de connexion en Java
Scénarios d’utilisation
Mettre en œuvre JDBC
Avec JDBC, on peut aussi ...
Conclusion
2 Enseignante : Ettouil Monia 22/02/2009

Problème
Problème: comment accéder à une BD depuis JAVA ?
Solution: JDBC
Avant le JDBC, il était difficile d’accéder à des bases de données SQL

depuis Java ( obligé d’utiliser des API comme ODBC)

Qu’est ce que JDBC ?
Java DataBase Connectivity .
API Java adaptée à la connexion avec les bases de données

relationnelles (SGBDR)
Fournit un ensemble de classes et d’interfaces permettant

l’utilisation sur le réseau d’un ou plusieurs SGBDR à partir d’un
programme Java.

Objectifs de JDBC
Permettre aux programmeurs Java d’écrire un code indépendant
de la base de données et du moyen de connectivité utilisé
Par l’API JDBC, on peut réaliser :
 une interface uniforme permettant un accès homogène aux SGBD
 simple à mettre en œuvre
 indépendant de la SGBD cible
 supportant les fonctionnalités de base du langage SQL

Avantages
Liés a Java :
portabilité sur de nombreuses SGBDR (Oracle, Informix, Sybase, ..)
uniformité du langage de description des applications, des applets et

des accès aux bases de données
liberté totale vis a vis des constructeurs

L’API JDBC
Est fournie par le package java.sql
permet de formuler et gérer les requêtes aux bases de données
relationnelles
8 interfaces définissant les objets nécessaires :
 à la connexion à une base éloignée
 et à la création et exécution de requêtes SQL
(Statement, CallableStatement, PreparedStatement

DatabaseMetaData, ResultSetMetaData,ResultSet,
Connection, Driver )

L’API JDBC
Vue d’ensemble
du paquetage java.sql

Applets ?
Principe :
 code Java exécuté sur le poste client
 entièrement développé en Java (AWT ou Swing)
Avantages :
 gratuit, pas de code HTML
 permet de gérer des applications complexes
 portable (JDBC)
 indépendant des plate-formes matérielles et logicielles
Inconvénients :
 lent à charger
 les serveursWEB et SGBD doivent être sur la même machine

Architecture JDBC (modèle à 2 couches)
-c’est la couche visible et utile pour
Java Appli/Applet
développer des applications Java accédant à
La couche externe : JDBC
des SGBDR. API
-représentée par le package java.sql
JDBC DriverManager
Les couches
inférieures:
JDBC
DriverAPI
JDBC-ODBC JDBC JDBC JDBC-Net

bridge driver driver driver driver
for for
ODBC Oracle Sybase
driver
Proprietary protocol JDBC protocol
Proprietary protocol
-destinées à faciliter l’implémentation de drivers
Oracle Sybase pour des bases de données.
Oracle Sybase -représentent une interface entre les accès de bas
niveau au moteur du SGBDR et la partie
applicative
Drivers JDBC
Drivers JDBC
4 types de drivers :
Type I : JDBC-ODBC bridge driver
Type II : Native-API, partly-Java driver
Type III : Net-protocol, all-Java driver
Type IV : Native-protocol, all-Java driver
Tous les drivers :

http://www.javasoft.com/products/jdbc/drivers.html

Driver de type I
• Le driver accède à un SGBDR en passant par les drivers ODBC
(standard Microsoft) via un pont JDBC-ODBC.
appels JDBC traduits en appels ODBC
(presque tous les SGBDR sont accessibles (Windows).
nécessite l’installation d’un driver ODBC chez le client.
Avantages :
possibilité d’écrire des applications accédant à des données
réparties entre plusieurs sources hétérogènes
on développe l’application indépendamment de la source de données
la base de données utilisée côté serveur peut être inter-changée sans
aucune modification du développement fait dans la partie cliente

Driver de type II
fait appel à des fonctions natives (non Java) de l ’API du SGBDR
 gère des appels C/C++ directement avec la base
fourni par les éditeurs de SGBD et généralement payant

moins ouvert que le pont JDBC-ODBC
plus performant

Driver de type III
• Driver JDBC-Net
• appels JDBC convertis suivant un protocole réseau générique.
• Driver portable car il est entièrement écrit en Java.

Driver de type IV
• Driver 100% Java.
• ne nécessite aucune configuration chez le client.
• interaction directe avec le SGBD via sockets.
Protocole BD spécifique

Types de drivers et applets
Une application Java peut travailler avec tous les types de drivers
Pour une applet :
type I ou II : impossible
 une applet ne peut pas charger à distance du code natif (non Java) sur son poste
d’exécution
type III : possible
 si le serveur middleware se situe au même endroit que le serveurWeb (car
communication par sockets avec l’applet)
type IV : possible
 si le SGBDR installé au même endroit que le serveurWeb

Modèles de connexion en Java
Modèle 2-tiers
Client Serveur
TCP / Protocole propriétaire
Application J
D SGBD
ou
B
Applet C
BD

Modèle 2-tiers
Avantages :
 simple à mettre en œuvre
 bon choix pour des applications clientes peu évoluées, à livrer rapidement et
n’exigeant que peu de maintenance
Inconvénients :
 dépendance forte entre le client et la structure du SGBDR
 modification du client si l’environnement serveur change
 tout le traitement est du côté client

Modèle 3-tiers
Client Serveur
TCP / RMI / CORBA
Application Middleware
ou
Applet JDBC
SGBD
BD

Modèle 3-tiers
Avantages:
 le middleware peut ajouter un niveau de sécurité
 plusieurs supports pour les échanges avec le client :
 sockets, RMI Java, CORBA, …
 applets : le SGBDR peut se trouver sur une autre machine :
 mais le serveurWeb et le middleware dans le même endroit
 facilite l’utilisation de clients « légers »

Scénarios d’utilisation
Scénario 1 :architecture 2-tiers avec une application Java
Client
Java appli
JDBC DriverManager
BD
JDBC Appli. Driver (I ou II)
Intranet
Server
SGBDR
BD

Scénario 2 : architecture 2-tiers avec une applet Java
Client
Java applet
JDBC DriverManager
JDBC Applet Driver (III ou IV)
Intranet
Internet
SGBDR Web server
BD
Server

Scénario 3 :architecture 3-tiers et applet/application Java
Client
Java applet /
application
Intranet/
Internet
Database Server
Middleware server Web server
JDBC DriverManager
SGBDR JDBC Appli. Driver SGBDR
BD BD
Application Server
Intranet
Mettre en œuvre JDBC
API JAVA
• java.sql.DriverManager
Classes de connexion
• java.sql.Connection
• java.sql.Statement
Interfaces de requête sql
• java.sql.PreparedStatement
• java.sql.CallableStatement
• java.sql.ResultSet Classe de traitement des résultats
• java.sql.DatabaseMetaData Classe de récupération d ’info sur

la structure de la BD

Mettre en œuvre JDBC
0. Importer le package java.sql
1. Enregistrer le driver JDBC
2. Établir la connexion à la base de données
3. Créer une zone de description de requête
4. Exécuter la requête (un Statement)
5.Traiter les données retournées (un ResultSet)
6. Fermer les différents espaces

1. Enregistrer le driver JDBC
Fait en instanciant une classe implémentant ce driver :
Class.forName("com.mysql.jdbc.Driver ");
ou
DriverManager.registerDriver(new com.mysql.jdbc.Driver());

2. Connexion à la base
Méthode getConnection() de DriverManager
3 arguments :
 l’URL de la base de données
 le nom de l ’utilisateur de la base
 son mot de passe
String dbUrl = "jdbc:mysql://localhost:3306/yaps";

Stringuser = "root", password
le DriverManager = "";
essaye tous les drivers qui se sont enregistrés
Connection conn;
(chargement en mémoire avec Class.forName()) jusqu’à ce qu’il trouve
conn =un driver qui peut se connecter à la base
DriverManager.getConnection(bdUrl,user,password);

3. Création d’une requête (1/2)
L’objet Statement possède les méthodes nécessaires pour
réaliser les requêtes sur la base associée à la connexion dont il
dépend.
3 types de Statement :
Statement : requêtes statiques simples
PreparedStatement : requêtes dynamiques pré-compilées
(avec paramètres d’entrée/sortie)
CallableStatement : procédures stockées

3. Création d’une requête (2/2)
A partir de l’instance de l’objet Connection, on récupère le
Statement associé :
Statement req1 = connexion.createStatement();
PreparedStatement req2=connexion.prepareStatement(str);
CallableStatement req3 = onnexion.prepareCall(str);

4. Exécution d’une requête (1/3)
3 types d’exécution :
executeQuery() : pour les requêtes (SELECT) qui retournent
un ResultSet.
executeUpdate() : pour les requêtes (INSERT, UPDATE,

DELETE, CREATETABLE, DROP TABLE) qui retournent un entier
(nombre de tuples traités)
execute() : procédures stockées (cas rares)

executeQuery() et executeUpdate() de la classe
Statement prennent comme argument une chaîne (String)
indiquant la requête SQL à exécuter :
Statement st = connexion.createStatement();
ResultSet rs = st.executeQuery(
"SELECT nom, prenom FROM clients " +
"WHERE nom=‘Ali’ ORDER BY prenom");
int nb = st.executeUpdate("INSERT INTO dept(DEPT) " +
"VALUES(06)");

2 remarques :
le code SQL n’est pas interprété par Java.
 c’est le pilote associé à la connexion (et au final par le moteur de la base de
données) qui interprète la requête SQL
 si une requête ne peut s’exécuter ou qu’une erreur de syntaxe SQL a été
détectée, l’exception SQLException est levée
le driver JDBC effectue d’abord un accès à la base pour découvrir les
types des colonnes impliquées dans la requête puis un 2ème pour
l’exécuter..

5. Traiter les données retournées
L ’objet ResultSet (retourné par l’exécution de
executeQuery() ) permet d’accéder aux champs des tuples
sélectionnés
seules les données demandées sont transférées en mémoire par le

driver JDBC
 il faut donc les lire "manuellement" et les stocker dans des variables pour un
usage ultérieur

Le résultat : ResultSet (1/4)
JDBC 1.x : Il se parcourt itérativement ligne par ligne
par la méthode next()
 retourne false si dernier tuple lu, true sinon
 chaque appel fait avancer le curseur sur le tuple suivant
 initialement, le curseur est positionné avant le premier tuple
 exécuter next() au moins une fois pour avoir le premier
while(rs.next()) {// Traitement de chaque tuple}
impossible de revenir au tuple précédent ou de parcourir l’ensemble

dans un ordre aléatoire

Avec le JDBC 2.0 :
on peut parcourir le ResultSet d’avant en arrière :
 next() vs. previous()
en déplacement absolu : aller à la n-ième ligne
 absolute(int row), first(), last(), ...
en déplacement relatif : aller à la n-ième ligne à partir de la position
courante du curseur, … :
 relative(int row), afterLast(), beforeFirst(), ...

Les colonnes sont référencées par leur numéro ou par leur nom
L’accès aux valeurs des colonnes se fait par les méthodes de la

forme getXXX()
lecture du type de données XXX dans chaque colonne du tuple
courant
int val = rs.getInt(3) ; // accès à la 3e colonne

String prod = rs.getString("PRODUIT") ;

Exemple
Statement st = connexion.createStatement();
ResultSet rs = st.executeQuery(
"SELECT a, b, c, FROM Table1 "
);
while(rs.next()) {
int i = rs.getInt("a");
String s = rs.getString("b");
byte[] b = rs.getBytes("c");
}

Types de données JDBC
Le driver JDBC traduit le type JDBC retourné par le SGBD en un
type Java correspondant
le XXX de getXXX() est le nom du type Java correspondant au type
JDBC attendu
chaque driver a des correspondances entre les types SQL du SGBD et

les types JDBC
le programmeur est responsable du choix de ces méthodes

 SQLException générée si mauvais choix

Correspondance des types
Type JDBC Type Java
CHAR,VARCHAR , LONGVARCHAR String
NUMERIC, DECIMAL java.math.BigDecimal
BINARY,VARBINARY, LONGVARBINARY byte[]
BIT boolean
INTEGER int
BIGINT long
REAL float
DOUBLE, FLOAT double
DATE java.sql.Date
TIME java.sql.Time
…. …..

Cas des valeurs nulles
Pour repérer les valeurs NULL de la base :
utiliser la méthode wasNull() de ResultSet
 renvoie true si l’on vient de lire un NULL, false sinon
les méthodes getXXX() de ResultSet convertissent une valeur

NULL SQL en une valeur acceptable par le type d’objet demandé :
 les méthodes retournant un objet (getString(), getDate(),... )
retournent un "null " Java
 les méthodes numériques (getByte() , getInt() , etc) retournent "0"
 getBoolean() retourne " false "

6. Fermer les différents espaces
Pour terminer proprement un traitement, il faut fermer les
différents espaces ouverts.
Chaque objet possède une méthode close() :
resultset.close();
statement.close();
connection.close();

Exemple
import java.sql.*; try {
public class TestJDBC { con = DriverManager.getConnection(url,args[0],args[1]);
public static void main(String args[]) throws stmt = con.createStatement();
SQLException { ResultSet rs = stmt.executeQuery(query);
String url = System.out.println("Skieurs avec leur specialite:");
"jdbc:oracle:thin:@charlemagne:1521:infodb";
Connection con; while (rs.next()) {
String s = rs.getString("nomski");
Statement stmt;
String query = "select nomski,specialite from skieur"; String n = rs.getString("specialite");
try { System.out.println(s + " " + n);
}
Class.forName("oracle.jdbc.driver.OracleDriver");
//Class.forName("com.mysql.jdbc.Driver"); stmt.close();
con.close();
} catch(java.lang.ClassNotFoundException e) {
System.err.print("ClassNotFoundException (try): "); } catch(SQLException ex) {
System.err.println("SQLException: " + ex.getMessage());
System.err.println(e.getMessage());
} }
}
}

Exemple2
 Invocation d'une requête SQL de mise à jour
Dans le cas d ’une modification de donnée (INSERT, UPDATE, DELETE), on utilise la méthode
executeUpdate(…) qui renvoie un entier spécifiant le nombre d’enregistrements modifiés:
String reqSql = "DELETE FROM ...";
int n = st.executeUpdate(reqSql);
 Invocation d'une requête SQL de sélection
String a = "SELECT prenom, nom, age FROM employe";

// Création d'un statement
Statement st = conn.createStatement();
// Exécution de la requête
ResultSet r = st.executeQuery(a);

Avec JDBC, on peut aussi ...
Avec JDBC, on peut aussi ...
1. Exécuter des requêtes SQL pré-compilées
java.sql.PreparedStatement
2. Exécuter des procédures stockées
java.sql.CallableStatement
3. Utiliser des transactions
4. Accéder aux méta-données (schéma) de la base
java.sql.DatabaseMetaData
5. Manipuler des BLOBs

1. requête SQL précompilée
// requête SQL dynamique paramétrée par des ?
String a = "SELECT * FROM employe WHERE age > ? ";
// Création d'un PreparedStatement
PreparedStatement p = conn.prepareStatement(a);
// => requête SQL compilée par le SGBD
// Passage des paramètres par setXXX
p.setInt(1, 55); // => age > 55
// Exécution de la requête
ResultSet r = p.executeQuery();

2. procédure stockée
// procédure stockée paramétrée par des ?
String aCall = "{ ? = call getNumberOfAgeGreaterThan( ? ) } ";
// Création d'un CallableStatement
CallableStatement cst = conn.prepareCall(aCall);
cst.setInt(2, 55); // => age > 55
// Passage des paramètres d’output
cst.registerOutParameter(1, java.sql.TYPES.INTEGER, 0);
cst.executeQuery(); // Exécution de la procédure
int nb = cst.getInt(1); // Récupération du résultat

3. Transactions
3 services déclarés dans l ’interface Connection :
• setAutoCommit(boolean b)
• commit() : valide une transaction
• rollback() : annule une transaction
Les nouvelles connexions sont initialement en mode autocommit
=> commit implicite après chaque requête SQL
Pour définir une transaction composée de plusieurs requêtes SQL, il
faut désactiver l ’auto-commit :
conn.setAutoCommit(false)
Un appel à commit() ou rollback() va alors créer implicitement une
nouvelle transaction

3. Transactions
Validation de transaction : Commit
Utiliser pour valider tout un groupe de transactions à la fois
Par défaut : mode auto-commit : un "commit " est effectué
automatiquement après chaque ordre SQL
Pour repasser en mode manuel :
connexion.setAutoCommit(false);
L’application doit alors envoyer à la base un "commit" pour rendre

permanent tous les changements occasionnés par la transaction :
connexion.commit();

3. Transactions
Annulation de transaction : Rollback
De même, pour annuler une transaction (ensemble de requêtes
SQL), l’application peut envoyer à la base un "rollback" par :
connexion.rollback();
restauration de l’état de la base après le dernier "commit"

3. Transactions – Exemple
// Désactiver l'auto-commit
conn.setAutoCommit(false);
try {
// les requêtes SQL suivantes constituent une seule transaction
st.executeUpdate("INSERT ...");
st.executeUpdate("DELETE ...");
st.executeUpdate("UPDATE ...");
// valider la transaction
conn.commit();
st.close();
}
catch(java.sql.SQLException e) { conn.rollback(); }

4. Accès aux méta-données
La méthode getMetaData() permet d’obtenir des informations
sur les types de données du ResultSet
elle renvoie des ResultSetMetaData
on peut connaître entre autres :
 le nombre de colonne : getColumnCount()
 le nom d’une colonne : getColumnName(int col)
 le nom de la table : getTableName(int col)
 si un NULL SQL peut être stocké dans une colonne : isNullable()

ResultSetMetaData
ResultSet rs = stmt.executeQuery("SELECT * FROM emp");

ResultSetMetaData rsmd = rs.getMetatData();
int nbColonnes = rsmd.getColumnCount();

for(int i = 1; i <= nbColonnes; i++) {
// colonnes numerotées à partir de 1 (et non 0)
String nomCol = rsmd.getColumnName(i);
}

DatabaseMetaData
Pour récupérer des informations sur la base de données elle-
même, utiliser la méthode getMetaData() de l ’objet
Connection
dépend du SGBD avec lequel on travaille
elle renvoie des DatabaseMetaData
on peut connaître entre autres :

 les tables de la base : getTables()
 le nom de l ’utilisateur : getUserName()
 ...

private DatabaseMetaData metaData;
private java.awt.List listTables= new List(10);
…
String[] types = { "TABLE", "VIEW" };
String nomTables;
…
metaData = conn.getMetaData();
ResultSet rs = metaData.getTables(null, null, "%", types);
while (rs.next()) {
nomTable = rs.getString(3);
listTables.add(nomTable);
}

5. CLOB et BLOB
Types pour les données de grande taille
BLOB :Binary Large OBject
Une colonne de type BLOB est en fait un pointeur vers un fichier
CLOB : Character Large OBject
 permettent de stocker des données de grande taille (ex. : fichier)
dans une table

Exemple
1. La table :
create table userImages (
user varchar(50),
image BLOB
)
2. Insérer un BLOB 3. Lire un BLOB
String a = String a = "select image from userImages ";
"insert into userImages values(‘img', ?)"; ResultSet rs = stmt.executeQuery(a);
Statement pstmt = con.prepareStatement(a); while (rs.next) {
File file = new File(" img.jpg"); Blob b = rs.getBlob("image");
InputStream fin = new FileInputStream(file); InputStream stream = b.getBinaryStream();
pstmt.setBinaryStream (1, fin, file.length()); // ...
pstmt.executeUpdate(); }

Exceptions
SQLException est levée dès qu’une connexion ou un ordre
SQL ne se passe pas correctement
la méthode getMessage() donne le message en clair de l’erreur
renvoie aussi des informations spécifiques au gestionnaire de la base

comme :
 SQLState
 code d’erreur fabricant
SQLWarning : avertissements SQL

Conclusions
l ’API JDBC est :
Un jeu unique d’interfaces pour un accès homogène :cache au maximum
les diverses syntaxes SQL des SGBD.
le principe des drivers permet au développeur d’ignorer les détails
techniques liés aux différents moyens d’accès aux BDs :une convention de
nommage basée sur les URL est utilisée pour localiser le bon pilote et lui
passer des informations.
Problèmes
• JDBC n'effectue aucun contrôle sur les instructions SQL
• Correspondance entre classes Java et relations est un travail de bas
niveau.
• API de bas niveau :nécessaire de connaître la syntaxe SQL

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JDBC Applet Driver (III ou IV)

SGBDR Web server

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Fait en instanciant une classe implémentant ce driver :

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String dbUrl = "jdbc:mysql://localhost:3306/yaps";

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CallableStatement req3 = onnexion.prepareCall(str);

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executeUpdate() : pour les requêtes (INSERT, UPDATE,

execute() : procédures stockées (cas rares)

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seules les données demandées sont transférées en mémoire par le

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while(rs.next()) {// Traitement de chaque tuple}

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L’accès aux valeurs des colonnes se fait par les méthodes de la

int val = rs.getInt(3) ; // accès à la 3e colonne

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