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PARTIE I

A) L'étude physique de l'Autriche

Les Alpes couvrent 60.000 km² du pays. Le relief se divise en trois ensembles nettement
individualisés. Au nord du Danube, l'extrémité du massif de Bohême est un plateau granitique de
faible altitude (entre 350 et 900 m), en majeure partie couvert de forêts. Au sud, la partie orientale
des Alpes s'étire d'ouest en est, couvrant près des trois quarts du pays d'un relief ordonné par les
vallées en zones parallèles, découpées en massifs bien individualisés: une chaîne centrale élevée, où
se succèdent les massifs cristallins de l'Ötztal et des Hohe Tauern (3.797 m au Grossglockner, point
culminant du pays), forme un faîte granitique long de 250 km et porteur de grands glaciers; des
cols, dont le Brenner, à 1.316 m, en facilitent le franchissement. Au sud, les Alpes de Carinthie et de
Styrie, séparées de la chaîne centrale par les vallées de la Mur et de la Drave, ont une structure
longitudinale en plis serrés où s'ouvre le col du Tarvis. Au nord, au-delà du sillon de l'Inn, de la
Salzach, de l'Enns et de la Leitha, les Préalpes alignent croupes calcaires et sommets dénudés, de la
Bavière à Salzbourg et à Vienne. Le cœur du pays correspond à la jonction de trois plaines: la plaine
de Moravie, au nord de Vienne, celle de Pannonie, au sud de Vienne, et enfin la vallée du Danube.
Étroite à l'ouest, puis s'élargissant vers la plaine hongroise à partir de la capitale, la vallée du
Danube est riche en alluvions fertiles. L'altitude varie entre 365 m dans les vallées de l'ouest et
185m dans les plaines de l'est.

Le Danube est le plus grand fleuve d'Autriche qui passe également par l'Allemagne
la Slovaquie, la Hongrie, la Croatie, la Serbie, la Bulgarie, la Roumanie, la Moldavie et l'Ukraine.
Il parcoure le pays sur 350km soit 10,3% de sa totalité. Il passe pas Vienne, la capitale et Linz au
nord-est du pays .

L'Autriche est située au coeur de l'Europe et présente des paysages, climats et formes de
végétation très diverses
Trois zones climatiques se distinguent nettement en Autriche :

- l'Est est caractérisé par le climat Pannonien continental, étés secs et chaud, hiver froid.
- les régions des Alpes sont sous l'influence du climat alpin, riche en précipitations, étés courts,
soirées fraîches.
- le reste du territoire accuse un climat de transition propre à l'Europe centrale, tempéré et humide.
Les précipitations diminuent nettement de l'ouest à l'est et augmentent avec l'altitude en montagne,
le temps peut changer très vite.

Grâce à la grande diversité de ses reliefs et de ses climats, l’Autriche offre de nombreuses espèces
végétales. L’Autriche compte parmi les pays européens où il y a le plus de forêts et les nombreuses
sortes d’arbres diffèrent selon les régions. La flore alpine est particulièrement variée et colorée :
edelweiss, gentiane, arnica, rhododendrons, bruyère et bien d’autres encore. Dans la partie nord des
Alpes, on trouve surtout de grandes prairies verdoyantes et dans la région pannonique, ce sont
maquis et steppe qui dominent. Les parcs nationaux autrichiens, qui s’étendent sur plus de 3% du
territoire total participent largement à la diversité animale et végétale du pays, avec notamment des
paysages naturels surprenants.
B- L'histoire autrichienne !

Déjà peuplée par les Celtes, appartenant à l’Empire romain puis en partie possédée par la Francie
orientale, l’Autriche est pendant tout le Moyen Âge une des nombreuses principautés
germanophones composant le Saint Empire romain germanique. Grâce à la Privilegium Minus et la
Maison de Babenberg, indépendante de la Bavière depuis 1156, l'Autriche adoptée par la maison de
Habsbourg en 1278 (Rodolphe Ier) a longtemps été la force dominante de l’Empire, plaçant à sa tête
beaucoup de ses souverains, jusqu’à sa dissolution en 1806 par le double-empereur autrichien
François II/I.

À la fin du Moyen Âge, la maison de Habsbourg transforme ses possessions en puissance


européenne par rattachement des pays germanophones et non-germanophones, centralise
l’administration et le droit dans l’Archiduché d'Autriche — notamment après la Guerre de
Succession d'Autriche par Marie-Thérèse et leur fils Joseph II — et forme enfin en 1804 l’Empire
d'Autriche.
En 1815 — après le Congrès de Vienne — l’Autriche et les autres pays germanophones essayent à
nouveau de former une confédération allemande, mais l’opposition austro-prussienne domine, donc
la guerre austro-prussienne achève cette confédération en 1866 et résout la question allemande
définitivement de la part de l’Autriche. Donc en 1867 l’Autriche, sous le règne de François-
Joseph Ier se tourne vers le sud-est de l’Europe de sorte que l’Empire d’Autriche se transforme et
s’agrandit pour former la monarchie danubienne , l’Autriche-Hongrie.

Le 28 juin 1914, l'héritier au trône impérial, l'archiduc François-Ferdinand et sa femme sont


assassinés à Sarajevo par Gavrilo Princip, un nationaliste serbe. Après avoir envoyé un pseudo-
ultimatum à la Serbie et s'être assurée du soutien total de l'Empire Allemand, le vieil Empereur
François-Joseph déclare la guerre à la Serbie le 28 juillet. En moins d'une semaine, le conflit se
transforme en une guerre mondiale.

L'Autriche-Hongrie s'engage dans cette guerre avec morosité, n'éprouvant aucunement le même
enthousiasme que connaissent l'Allemagne ou la France au début du conflit. En effet, le pays
connaît de nombreux troubles nationalistes et ethniques, ainsi qu'une aspiration républicaine qui se
fait de plus en plus importante. Les Hongrois refusent également dans un premier temps de se
mobiliser pour l'effort de guerre.
Au printemps 1918, les armées austro-hongroise sont au bord de la rupture. En manque de
ravitaillement et en proie au climat séparatiste, elle reculent sur la plupart des fronts et connaissent
de graves mutineries. A l'intérieur du pays, l'agitation nationaliste conduit à la formation de Conseils
Nationaux indépendants qui ébranlent la double Monarchie. De plus, le pays connaît des grèves
générales à Budapest et Prague à partir du 15 janvier, qui l'empêche de poursuivre son effort de
guerre. Les traités de paix avec la Russie puis avec la Roumanie le 7 mai ne changent absolument
rien, les minorités réclament toujours plus d'autonomie et le manifestent violemment. En ultime
recours, l'empereur reconnait les droits des peuples autrichiens à l'autodétermination le 4 octobre
1918 et tente de transformer la monarchie en fédération le 17 octobre, mais cela n'empêche pas les
Slaves du sud d'approuver le 7 octobre 1918 l'union avec la Serbie, rejoint par les Tchèques qui
proclament leur indépendance le 28 octobre. L'armistice intervient finalement le 3 novembre 1918,
en même temps que le gouvernement hongrois annonce sa séparation avec l'Autriche. Charles 1er
quitte le pouvoir et le pays le 12 novembre permettant aux deux pays de devenir officiellement des
républiques. Le traité de Saint-Germain-en-Laye entre en vigueur le 16 juillet 1920, sans aucune
consultation de la part de l'Autriche, abolissant définitivement l'empire des Habsbourg et
affaiblissant le pays de manière considérable par de lourdes sanctions économiques, militaire et
géographique.
Les partis politiques de la République ont été fondés sous la monarchie
Après la chute de la monarchie, les « non-Allemands » obtiennent l’indépendance et sont rattachés
aux différents pays frontaliers (Pologne...), et les « Allemands » fondent leur propre État, l'Autriche.
La République autrichienne est proclamée le 12 novembre 1918. Le régime de l’État a été changé à
cause des problèmes sociaux : la faim et les mauvaises conditions de vie provoquent de grandes
grèves dès janvier 1918.
Le rattachement à l’Allemagne est proposé, justifié par le Programme du président américain
Wilson, dans lequel il exige l’autodétermination des peuples, permettant ainsi aux germanophones
d’Allemagne et d’Autriche de se considérer comme un seul et même peuple. La république «
austro-allemande »naît, le rattachement à l’Allemagne étant prévu pour plus tard : parallèlement au
choix de la République, les députés se prononcent aussi pour le rattachement à l’Allemagne.

L’Autriche est un pays vaincu, les négociations de paix se font donc avec les pays vainqueurs. Selon
le principe de l’autodétermination des peuples, on aurait pu penser à un rattachement de l’Autriche
à l’Allemagne, or, le traité de Saint-Germain-en-Laye (1919) l’interdit formellement pour ne pas
renforcer l’Allemagne. De plus, l’Autriche-Hongrie représentait pour Clemenceau le cléricalisme, il
n’était donc pas question de le favoriser. Ce traité redéfinit les frontières de l’Autriche.
Autriche dans l'Europe après le traité de Ste-Germaine-en-Laye.

Une question reste cependant en suspens : l’occupation. Le 15 mai 1955 est signé le Traité d’État
entre les quatre puissances alliées et l’Autriche. C’est un traité de paix dans lequel l’Autriche
proclame sa « neutralité permanente », suivant le modèle suisse. En échange, les Alliés quittent
l’Autriche. Les troupes étrangères se retirent le 25 octobre et le lendemain, le parlement adopte
officiellement ce traité, faisant du 26 octobre la fête nationale autrichienne. De plus, en décembre de
cette même année, l’Autriche entre à l’ONU.

Actuellement, l'Autriche fait intégralement partie de l'Union Européenne depuis 1995 !

3-L'administration et la politique en Autriche


Le gouvernement et la Politique en Autriche sont presque un fait de sculpter de paix et de stabilité
depuis le commencement de démocratie en 1945. Les années suite à la période de guerre et de
bouleversements en Autriche, tension politique existante, inimitiés nationales et interférence
étrangère ont presque immobilisé les activités du gouvernement autrichien qui a tiré ses pouvoirs et
autorités de la Constitution 1920. C'était seulement après la Deuxième guerre Mondiale que la
Démocratie Parlementaire a vu son rétablissement et a commencé à opérer doucement comme
toujours.

L'Autriche est une république fédérale démocratique qui fonctionne efficacement sur la base de
l'Exécutif, la Législature et le Système judiciaire (la Magistrature). Les Pouvoirs Exécutifs
appartiennent surtout au Gouvernement en Autriche et il exerce aussi les Pouvoirs Législatifs avec
l'aide et la participation d'entre tous les deux les Maisons de Parlement. Le Système judiciaire
pourtant, n'est un corps autonome, responsable ni à l'Exécutif, ni Législature pour ses actions.

On appelle la tête Exécutive du Gouvernement autrichien Bunderprasident ” ou le Président


Fédéral, qui est élu par les gens pour un terme de deux ans en fonction. Il à son tour, nomme
d'autres ministres du cabinet sur la base des recommandations Présidentielles.

L'unité Législative du Gouvernement autrichien comprend le Parlement bicaméral. C'est le Conseil


national avec 183 membres, est élu pendant un bail de quatre ans au moyen de la représentation
proportionnelle. Le Système judiciaire est retenu dans l'offre de la solution amicale des problèmes
juridiques divers apparaissant au cours de diriger le gouvernement.

La politique en Autriche est dirigée par plusieurs partis politiques qui agissent comme les colonnes
principales de la structure politique du pays, les activités et la stabilité. Il était après la Seconde
Guerre mondiale que la nation autrichienne entière a apprécié la stabilité politique et cette tendance
réussie progresse toujours .

Ci-dessous mentionné sont certains partis politiques illustres impliqués sérieusement dans la
Politique en Autriche :

- Parti Démocratique Social de l'Autriche


- Le Parti des Gens autrichiens
- Les Légumes – l'Alternative Verte
- Parti de Liberté de l'Autriche
- L'alliance pour l'Avenir de l'Autriche
- Forum Libéral
- Parti Gauche Socialiste
- Initiativ
- Liste de Stark's

Le gouvernement et la Politique en Autriche sont extrêmement capables de diriger l'administration


du pays efficacement. C'est en raison de la compétence et de la compétence de Gouvernement et de
Politique en Autriche que le pays a une condition politique ferme(stable), depuis le règne de guerres
et de troubles populaires dans le passé.
Les principaux dirigeants du pays actuellement sont :

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