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Considération générale
• Examen :
qcm uniquement cette année
• Matière :
notes de cours + transparents sur l’uv (assez complet)
Utiliser le forum pour poser des questions
• Site du cours :
www.psycho-psysoc.site.ulb.ac.be
• Textes :
coopérative : complémentaire, en plus, complète les exposé ,pfs ac un peu
plus de matière pr mieux préparer l’examen. Pas de question sur des
parties de matière pas du tt vue en cours et qui se trouve ds les textes.
• Présence au cours :
non obligatoire mais encouragée
• Type de communication :
Types de communication souhaitée : prof étudiants, étudiantprof
Types de communications à éviter : étudiantsétudiants,
étudiantstierce personne
Matière
• Introduction: communication et psychologie sociale
• Communication verbale
• Communication non-verbale
• L’espace
• Le Modèle systémique
• L’identité, perspective inter-individuelle
• L’identité, perspective sociale
• Communication, mémoire et cognition
• La communication interculturelle
• Les Rumeurs
• Représentations sociales en période de crise
1. Introduction : communication et psychologie
sociale
Nous allons développer les liens entre les 2
Communication
Il s’agit d’un thème extrêmement large pas seulement abordé par psy soc.
Thème transversal dans les sciences humaines: linguistique, sociologie,
anthropologie, philosophie, sciences de la communication. Il y a moyen de
faire bcp de choses autour de la communication
Ici on se focalise sur une approche du point de vue de la psy soc… Mais
quasi tt la psy soc est une psy soc de la communication (gens svt en
relation ac d’autres) La communication est au centre de la psychologie
sociale
On va aussi faire référence a d’autre disciplines mais tjs en lien ac la psy
soc,
La psy soc permet de comprendre certaines chose ds la communication
qu’on ne voyais pas ac d’autres approches, elle permet d’enrichir la
connaissance des processus de communication
Elle suppose l’idée d’échange, il s’agit de qqch qui circule, on échange des
chose : des mots, des signes.
L ‘objet de l’échange est intéressant, on échange pas n’importe quoi. On
échange des signes (verbaux, non verbaux : est-ce qu’on peu les
comparer les utiliser de manière interchangeable ?). Les signes composent
un message. On échange des messages.
Le message peut partir d’un émetteur vers qqn d’autre que l’on peut
qualifier de récepteur.
Les signes peuvent être verbaux ou non. Ex.: Policier qui règle la
circulation : le signe fait partie d’un code qu’on est censé partagé et dc
peut être interprété. Le policier utilise un code ou langage, un répertoire
de signes partagé ac d’autre.
Si une personne a un répertoire qu’elle ne partage ac personne, on se
trouve plus ds la psychose que ds la communication.
Le langage est un répertoire de signe partagé ac d’autres.
La communication est un terme plus large que l’interaction, cette dernière
signifie qu’on s’engage volontairement dans un échange. La personne qui
marche ds la rue par ex transmet une info, communique une info ds sa
démarche sans le vouloir et on peut l’interpréter et en tenir compte si on
va interagir ac elle. Vous voyez quelqu’un de dos: communication
(vêtements, posture, démarche, etc.) sans interaction
La communication peut être unilatérale : le récepteur est passif (cf mass
média : ils s‘adresse a un certain nombre de gens sans que ceux-ci ne leur
répondent.
D’autres communications sont bilatérales (cf communication
interindividuelle).
C’est un modèle assez ancien mais qui reste utile. Qd on est face à un
exemple de communication, il n’est pas inutile de se poser ces questions,
ca ouvre la porte d’une pragmatique de langage, de communication.
La théorie mathématique du transfert de l’info de Claude Shannon
et Warren Weaver (1948)
On part d’une source. Cette source émet, propose un msg. Ce msg est
transféré vers un émetteur. Cet émetteur va transformer le msg initial en
signaux. Ces signaux vont être transporté par un canal qui va les amené
vers un récepteur qui va lui même les transformer en un msg qui va
arriver vers un destinataire.
La réduction de l’incertitude :
Ex :
Vous téléphonez de l’étranger, en réponse à un message de votre petite
ami(e), qui a eu vent du fait que vous êtes parti(e) en vacances avec un(e)
de vos collègues
Son message est le suivant : « Appelle-moi et dis-moi ‘Oui, c’est vrai’ ou
‘Non, c’est faux’ et rien de plus »
Cette simple réponse va permettre de réduire son incertitude de 50%
= BIT (binary digit ( le système informatique est aussi binaire)):
communication qui peut couper l’entropie en deux, il s’agit de l’unité
d’information qui fait réduire l’incertitude par la moitié de sa valeur, c’est
l’info qui coupe l’entropie en 2.
Au début de la conversation, vous avouez éprouver des sentiments
amoureux pour quelqu’un d’autre. Votre (ex) petite amie voudrait savoir
laquelle, parmi vos 16 collègues, fait l’objet de votre affection
–Ex: Est-ce qu’elle fait partie des professeurs ou des assistantes?
–Vous: Assistantes [16/2 = 8]
–Ex: Travaille-t-elle au 9ème étage ou au 10ème?
–Vous: Au 9ème [8/2 = 4]
–Ex: En psychologie clinique ou en psychologie du travail?
–Vous: clinique [4/2 = 2]
–Ex: La rousse ou la blonde?
–Vous: La blonde [plus aucune incertitude]
Avec 4 BIT d’info on a pu transformer une situation d’incertitude en
certitude totale.
Le bruit
Ex:
Vous n’avez que trois minutes pour téléphoner; la ligne est mauvaise +
jalousie de votre ex (déforme tt ce qu’on lui dit) perte d’info
Comment lutter contre le bruit pr que le msg arrive comme on le veut ?
Une des solution de Shannon est la redondance : il faut ajouter de l’info
pas strictement nécessaire a la compréhension du msg ms qui permet de
s’assurer que le msg arrive a notre destinataire comme on le voudrait
Appartenir
Elle structure son exposé a travers les 5 motivation de base. Il s’agit des 5
motivations sociales à la base de toute la psychologie sociale. Ces
motivations facilitent la vie en groupe et augmentent les chances de
survie.
Il s’agit d’une grille de lecture de base pour les différentes parties du
cours.
Ce sont des motivations ressentie par les individus mais qui on aussi des
bénéfices pr le grp. Le fait que les individu ressente ces motivations et
veuille les satisfaire va faciliter la vie en grp en la rendant plus
harmonieuse facilite la survie ds ce grp. Une stratégie de survie est de
s’allier aux autres de nôtres espèces. Un être humain seul n’a pas de
chance de survivre. Le fait de ressentir ces motivation sociale est hérité et
actualisé a chaque génération et permet de vivre en grp et de mieux faire
face aux situation de la vie.
Les motivation d’appartenir à un grp sont les suivantes : être accepté par
les autres, lien affectifs, solidarité
Les 4 autres motivations sont ds deux gd catégorie comprise dans la
catégorie générale d’appartenir :
Motivations Cognitives : comprendre et contrôler
Motivations Affectives : se valoriser et faire confiance
Il s’agit de motivation soc : ce qui lie les besoins individuels ac les besoins
groupals
Appartenir :
Les gens ont besoin de relations fortes et stables avec les autres. Dans
des situations ac des personnes inconnues, en qlq jours des liens peuvent
se former entre personnes. Les gens ont tendance à faire du lien, à s’unir.
Comprendre :
Attente seule 67 % 33 %
Attente avec 33 % 63 %
d’autres
Exp 2 :
Il s’agit de la même exp mais il n’y a que la condition anxiété :ici on va
manipuler la disponibilité ou non de l’info. Soit les participants vont
attendre ac d’autre personne qui participe a la meme exp (qui possède dc
de l’info pertinente) ou avec des personne qui attende pr un autre rendez
vs. Si les étudiants recherches de l’informations, ils vont choisir d’attendre
avec les personnes qui participe a la même exp sinon leur choix serait
aléatoire.
On obtient une confirmation des résultats : choix des personnes ayant
des info pertinentes.
Résultat :
Les info partagée sont d’avantage communiqué que celle non partagée.
Les étudiants répètent ce que tt le monde sait déjà, il se rassurent chacun
alors qu’il devrai venir ac qqch de nv. Les info partagées vienne plus vite
que les info non partagée. Tout ca à des fonctions.
Les gens ds les grp passe leur temps à répété des chose qu’il savent que
les autres savent. Ca permet de faire un bon groupe, tout le monde
partage la même chose. Les motivation soc peuvent dc les induire en
erreur mais ca a une fct imp de permettre d’exister entre grp.
Comprendre, les représentation soc permettent de s’adapter même si
parfois ca peut ns induire en erreur. Partager des représentation soc
permettent au grp de fonctionner.
Ca permet de prendre des décisions même si elle sont mauvaise.
Même des représentations erronées permettent de coordonner les
membres du groupe
Ex.: Les membres d’une secte (Festinger, Riecken & Schachter, 1956) ont
suivi les instructions d’extraterrestres – relayées par deux gourous.
Persuadés d’un déluge imminent, ils se réunirent, recrutèrent de
nouveaux adeptes, et planifièrent leur sauvetage par les extraterrestres.
Ils se débarrassèrent de tous leurs objets métalliques (dangereux pour la
soucoupe volante) et rompirent tous leurs liens sociaux.
« Je vais devoir partir loin. Je me suis débarrassé de tout. J’ai coupé tous
les liens, j’ai brûlé tous les ponts. Je quitte ce monde… »
Contrôler :
Cf ds la vita e bella : Jeu inventé par le père Guido pour donne a son fils
Josué le sentiment que la situation est maitrisable
Cf enquête sur des fonctionnaire britannique (Stansfeld et al., 1998): les
gens tentent tjs de rétablir le contrôle s’il sente qu’il le perdent. Il y a un
apport entre leurs efforts et les récompenses au travail. Si déséquilibre
manque de contrôle santé physique et mentale basses
Se valoriser
En quoi l’estime de soi élevée sert au grp ? Quel est l’apport de l’estime
de soi au groupe?
Une faible estime de soit est lié a des comportements et a des état
psychochologiques qui font que les individus vont moins participer aux
intérêts du grp et ces comportements interférent même ac les objectif du
grps. Une faible estime de sois entraine des comportements facilitant
l’exclusion.Par exemple, on peut pfs même observer des comportements
d’autodestruction qui mette le grp en péril.
Une haute estime de soi assure la pérénité du grp car la personne a des
comportements facilitant l’inclusion. Cette haute estime de soit facilite des
relation positives, la collaboration ce qui permet la cohésion du groupe.
Faire confiance
Cf film la vita e bella : le père dit a son fils qu’il peut avoir confiance car
les autres ne sont pas méchant.
Faire confiance met en jeu la vulnérabilité propre et celle des autres. La
confiance permet de lutter contre un sentiment de vulnérabilité mais on
laisse au gens un certain nbr de liberté qui pourrait ns nuire. C’est en se
mettant en danger par rapport aux autre que ceux-ci von pouvoir ns
protéger. Cette motivation à se faire confiance est basé sur un sentiment
de vulnérabilité réciproque. Si on est vulnérable on a besoin des autre, on
leur fait dc confiance et on se met dc en danger.
Si on brise la confiance, que celle-ci est mise à mal, les gens vont essayer
de la rétablir. Ils vont investir de l’énergie pr rétablir une relation où la
confiance règne. Si la relation est très conflictuelle entre les membre d’un
grp, on essaye, avant d’amener les gens à se réconcilier, de ramener un
niveau de confiance minimal pr que les gens puisse vivre cote à cote sans
s’entretuer.
Ex: Truth and Reconciliation Commission (Afrique du Sud); juridictions
Gacaca : procès où il ya des punitions mais où on tente aussi de rétablir la
confiance entre les gens(Rwanda), etc.
Verbal/Vocal
Le langage
Le langage se différencie du domaine du monde empirique, réel concret ds
le sen où il fait partir du monde symbolique, représenté. Il s’agit d’un
monde représenté par un système de signes de symbole.
Le référent est l’objet du monde empirique que l’on peut représenter
symboliquement (ce qui représente le référent est le mot correspondant,
le signe linguistique variable selon le langage utilisé)
L’enjeu pr certaine sc humaine est de comprendre la relation entre le
langage et le monde empirique.
Système de symbole
Langue :
Un signe peut être n’importe quoi du moment que c’est qqch que l’on peut
percevoir. Un signe peut être un mot, une image, un son, une odeur, un
goût, un acte ou un objet.
Il n’y a pas de lien naturel entre le référent et le signe verbal mais il s’agit
d’un lien arbitraire établi au sein d’un grp culturel donné partageant le
même système de signes verbaux.
Un signe devient un signe des le moment où on lui donne un sens ou on se
met d’accord pr lui donner un sens.
« Rien n’est un signe s’il n’est pas interprété comme un signe » (Peirce,
1931)
Exemple :
Lien entre signes :
Les signes qui constitue un langage ont des lien entre eux selon de
Saussure et ces lien peuvent avoir lieu au plan du signifié et au plan du
signifiant (jeu de mots).
Le signe existe uniquement qd qqch au plan du signifié est mis en rapport
ac qqch de matériel au plan du signifiant. Les deux plans peuvent exister
sans qu’il y ait de rapport.
• A = plan du signifié
–Contenu
• B = plan du signifiant
–Expression
• Pointillés: relations entre les deux plans formant des signes
Les poètes travaille sur les deux lien à la fois, ils travaillent sur
l’intercation signifiant-signifié afin d’émerger qqch de beau, de spécial.
Ex : Rimes, allitérations*, etc.
• Pour de Saussure :
Le lien est arbitraite,il vient de la convention sociale.
• Pour Pierce :
Il essaye de dégager différents types de lien et esssaye de dégager une
typologie. Dans sa typologie du type de liens il propose 59049 types de
signes.
D’autres auteurs vont réduire la complexiété de Pierce dt Chandler.
Chandler résume en 3 catégories en fonction du degré d’arbitraire :
• Lien purement symbolique : il s’agit de convention, d’un lien
purement conventionnel. cf certain panneau routier.
• Lien iconique : le signifiant ressemble ou imite le signifié. Par ex : la
peinture imite le réel mais il n’y a pas de lien directe entre les 2 :
seulement une ressemblance. (cf onomatopée)
• Lien indexique : le signifiant est directement lié au signifié, il ne lui
ressemble p-e pas direcetment mais il indique directement le signifié
(cf pas ds le sable, ils représente les empreintes réelles du pied;
fumée : on peut en déduire qu’il y a du feu ; photgraphie : la
personne est vrmt devant la pellicule; les symptôme médicaux
mais quant est-il des symptômes hystérique ? signe symbolique)
En parlant d’ « index »
Signification et interprétation
Je sais que vous croyez comprendre ce que vous pensez que j’ai dit, mais
je ne suis pas certain que vous vous rendiez compte que ce que vous avez
entendu n’est pas ce que j’ai voulu dire (Myers & Myers)
L’activité d’interprétation est faillible. Le sens n’est pas fixé, on peut tjs
renégocier le lien entre un symbole et un référent.
Exemple :
Niveaux d’abstraction
Il arrive que l’utilisation de mots soit pfs très concrete et dans d’autres cas
pfs très abstraite.
Pour se référer au même référent on peut utiliser du vocabulaire très
abstrait ou concret. Plus le terme est abstrait plus les associations,
connoation sont nombreuses et plus l’interprétation est ambigue. On
travail sur le niveau d’abstraction du jugement d’autrui.
Exemples :
Les stéréotypes sont des abstractions focalisées sur des membres de grps
particuliers. Il y a un lien entre le niveau d’abstraction qu’on utilise et ce
qu’on fait passer sur les membres d’un grp.
Langage et pensée
Selon Edward Sapir (1951) et Benjamin Whorf ((1956) le langage n’est pas
simplement un ensemble de symboles qu’on peut manier à sa guise pr
transmettre de l’info. Il ne sous sert pas seulement à parler du monde. Le
langage détermine ce qu’on peut penser et ne pas penser. Il détermine ce
que ns cherchons à voir (il cache une partie de la réalité : on voit ce qui
est pensé déjà ds notre grp social). Le langage influence notre manière de
penser les choses que ns percevons.
En fct des langues que l’on parle, on découpe le réel de manière
différente. variabilité du découpage du réel par les langues.
En fonction de la langue qu’on parle, on se représente le monde de
manière radicalement différente.
C’est une hypothèse très forte qui suppose donc un lien entre le type de
pensée et le type de langue
L’apprentissage de la langue impose une certaine façon de voir le monde.
Les mots attirent notre attention sur certains aspects de la réalité et
détournent notre attention d’autres aspects
Exemples:
Critiques :
• On peut oublier un mot sans oublier le concept
• On peut oublier la signification d’un mot sans oublier le mot
• On peut apprendre des concepts qui n’existent pas dans sa langue.
Ex: Les Dani (Nouvelle Guinée) ont facilement appris les couleurs
anglaises, alors qu’il ne possédaient que deux mots désignant des
couleurs (Rosch, 1975)
• La pensée opère également en fonction d’images et de relations
entre elles (Paivio, 1986)
• La communication interculturelle n’est pas impossible
Le lien entre la langue et la pensée n’est pas si univoque.
Langue et genre
L’emploi du masculin comme forme générique et neutre entraînerait
l’exclusion et la dépréciation des femmes (Yaguello, 1987 «Les mots et les
femmes»). En effet, on utilise le pronom ILS s’il y a au moins un homme.
En anglais, ‘he’ est considéré comme épicène (forme neutre désignant
aussi bien les hommes et les femmes)
Les femme ne sont activée ds les représentation mentale que si on veut
vrtm y faire référence.
Cf Études: on demande aux sujets de lire des textes utilisant un pronom
Neutre (they); Masculin (he); ou Féminin (she). Puis ils devaiuent écrire
une histoire ou choisir un dessin représentant le personnage. Les résultats
montrent que l’épicène n’est pas neutre, il évoque des personnages
masculins
Langage et catégorisation
Pq polarise-t-on ? :
Ex. 1:
1.« Je m’ennuie tellement! Je n’ai rien à faire ce soir »
2.« J’ai envie d’aller au cinéma. As-tu envie de venir avec moi? »
Ex. 2:
1.« As-tu envie de manger des pizzas ce soir? »
2.« J’ai envie de manger des pizzas ce soir. Et toi? »
Messages indirects
Messages directs
Ex :
Stéphanie: « J’aimerais bien inviter mes parents à souper ce soir. Qu’en
penses-tu? »
Mathieu: « Hum, moi je préférerais plutôt faire une balade et me reposer
ensuite … »
• Stéréotypes
Les femmes emploieraient plus souvent un style indirect pour formuler
des demandes ou donner des ordres forme d’impuissance
Ex :
«Ce serait bien que ces lettres soient envoyées aujourd’hui»
«Envoyez ces lettres avant 15 heures»
Fonctions différenciées :
1. L’apparence corporelle
2. Les gestes
3. Le visage
4. Le regard
5. Le toucher
6. Le paralangage
7. Les silences
1. Apparence corporelle
Taille :
Les postures :
Posture général
Une position détendue exprime une relation de domination
Bras et jambes asymétriques; corps penché de côté ou vers l’arrière;
mains détendues
Une position tendue exprime une relation de soumission
Corps droit, pieds ensemble posés par terre, bras près du corps
3. Le visage
Les yeux varient en fait très peu en fonction de l’état émotionnel : ils
donnent très peu info sur la qualité de l’émotion
Selon Argyle (1986), le regard varie en fonction de l’intensité de
l’émotion, plutôt qu’en fonction de sa nature : la pupille varie
La signification attribuée au regard dépend du décodage des autres
signaux non verbaux
Argyle (1988), mène une étude du regard lors d’interactions face à face (à
2 m) afin de savoir a quel point on regarde l’autre ou pas .
• Se regardent: 60 % du temps de la conversation
-75 % durant l’écoute
-40 % en parlant
• Regards mutuels: 30 %
-Coups d’œil de 1.5 secondes
Fonctions du regard
• Percevoir les réactions des auditeurs par rapport à ce qu’on lui dit.
• Inviter l’autre à parler (dans la parole, un regard à l’autre montre
qu’on l’écoute)
• Information concernant la nature de la relation (hiérérachie)
-un regard attentif signifie une relation positive
-un évitement signifie une relation négative
-Selon Exline et al.,1975, comportement de domination
visuelle se traduit pas regarder l’autre quand on parle
5. Le toucher
• Les hommes touchent moins les autres hommes que les femmes
touchent les autres femmes
• Les femmes évitent davantage de toucher les hommes que les
hommes évitent de toucher les femmes
Différences culturelles
6. Le paralangage
Le paralangage est important. Il donne des info sur l’état émotionnel d’une
autre personne.
• Manière de dire ‘Allô’ au téléphone influence la suite de la
conversation
Informations sur l’état émotionnel du locuteur
7. Les silences
Fonctions:
• Temps de réflexion
• Exprimer son mécontentement: bouder
• Faire face à l’anxiété: se taire pour se mettre à l’abri du rejet
• Éviter les conflits: prendre le temps de se calmer
• Communiquer des réactions émotionnelles
-Refus de coopération
-Contrariété
-Affection, amour
• Interprétation à partir des autres indices non verbaux
Linguistique descriptive
Kinésique
Kinésique
Critiques
Les résultats montrent que toutes les zones sont affectées, sauf le tronc
( les gens attaché font plus de mimique que les autres)
-Mouvements des mains, sourcils et yeux s’accentuent pendant les
phases de parole dès que le sujet est immobilisé
-Retour à la normale dès que le sujet est libéré
-Pas de différences durant les phases d’écoute : c’est pd les phase
d’expression qu’on observe les différences
Activité motrice compensatoire