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Les demoiselles d Avignon,

Picasso
1907
(243,9 x 233,7 cm)
huile sur toile

25 Marilyn Monroe
Andy Warhol
1962
208,5 x 144,5cm

Rêve causé par le vol d'une abeille autour d'une pomme


grenade, une seconde avant l'éveil
Salvador Dalì
1944
51 x 40,5cm
huile sur toile
On peut voir dans l' uvre de Picasso, cinq jeunes femmes nues, aux cheveux noirs e
t au teint clair .il n'y a qu'une seul femme d'assise et dos au publique, les qu
atre autres debout, face ou de profil, s'étirant dans des poses sensuelles. Les de
moiselles sont à l'avant d'un voile se glissant par dessus la cuisse de deux d'ent
re elles. Les traits de leur visages ressembles énormément à ceux des masques africain
s. Elles fixent toutes le spectateur. À l'avant plan, on peut voir une table avec
une nature morte, composée d'une corne de fruit dans laquelle se trouve des raisin
s et des oranges. Le lointain est constitué de divers teintes de brun. On peut aus
si voir une main par dessus la tête de la femme la plus à gauche, cela pourrait être c
elle de la demoiselle, mais elle pourrait aussi appartenir à un homme, due à ses tra
its plus grossier comparé aux autres mains. La toile est travaillée avec un grand
nombre de formes géométriques constituant les divers éléments de l' uvre.

Chauve femme avec squelette en dit énormément sur se que l'on peut bien distinguer d
e cet uvre. Le sujet de l' uvre est très centralisé. Au premier plan, on y trouve un sq
uelette animal, probablement celui d'un immense oiseau allongé sur le dos, sur leq
uel une femme chauve est accroupies. On peut supposer que la femme est dans la
fleur de l'âge si on porte attention à l'état de son jeune corps malgré son manque de c
heveux. Un sombre liquide semble s'échapper de la dépouille de l'animal. Celui-ci co
ule jusqu'au bord de la toile. Le reste de l' uvre est une abstraction, aux formes
rappelant des éléments figuratifs, aux teintes de jaune,de brun, de rouge et de noi
r . Pour bien expliquer cette idée, on peut voir à coté du bec du squelette une vieil
le femme tenant un jeune enfant dans ses bras. Cette vision se poursuit sur tout
e la largeur de la toile. En arrière plan, on remarque aussi deux grandes lignes b
risées rappelant des ailes se tenant au dessus de la femme. Le lointain est composé
de quelques nuances de rouge et de noir donnant l'idée d'un feu

Les vint-cinq marilyn est un tableau fort simple. Il s'agit de vin-cinq répétition
du visage de Marilyn Monroe. Elles sont toutes identiques à quelques détails près, tel
que les zones d'ombres plus ou moins éclairés. Les visages sont tous bien droit et
le tout forme cinq colonnes de cinq rangés. Elles ont toutes les cheveux jaunes, d
u fard à paupières vert, du rouge à lèvres bien rouge la peau d'une couleur chair un-peu
rosé et un col de vêtement aussi vert que son maquillage. Le font est d'un bleu un
i.

Rêve causé par le vol d'une abeille autour d'une pomme grenade, une seconde avant l'év
eil est un tableau formidable au niveau de sa composition. On peut voir au premi
er plan un plancher de pierre au contour brisé et érodé. Ce sol donne sur une immense ét
endu d'eau qui se termine à l'horizon. On peut remarquer le fait que le sol ne flo
tte pas en portant attention à l'ombre de la petite pomme grenade lévitant au dessus
de l'eau. Une jeune femme flotte aussi . Celle ci est est couchée de tout son lon
g dans une position de détente. La dame a la peau claire, les cheveux bruns foncés e
t la position de sa tête cache son visage au spectateur. Une pomme grenade géante lévi
te dans le lointain et deux pépins gravitent autour. Celle-ci est entrouverte et u
n énorme poisson gouge en surgit et semble avaler un tigre d'une taille tout aussi
monumental. Ce tigre bondit pour mordre la queue d'un second tigre qui lui se j
ette sur une carabine pointant la jeune femme se prélassant. Une forme architectur
al se démarque du coté droit de l' uvre. Elle rappèle le sol de pierre au niveau de la t
exture de pierre brisée, à l' exception que celui plus loin possède un mur de pierre b
runâtre. Dans le lointain, de l'autre extrémité de l'immense pomme grenade, un éléphant à l
peau très pâle et aux extrêmement longues pattes traverse l' uvre de la droite vers la
gauche. Sur son dos, un monolithe aux couleurs tirant vers le bleu-gris se dres
se vers le ciel. On peut voir au bord de l'horizon, une île sablonneuse couronnée pa
r une montagne.

Les demoiselles d'Avignon ont une organisation picturale complexes malgré ses aire
s simples. Tout d'abord, l' uvre est découpée en plusieurs formes planes s'accordant
les unes aux autres créant les différents éléments de l' uvre. Ces formes possèdent des lig
es brisées, courbes et droites. Les couleurs dans les formes ne sont pas travaillées
en aplat mais plutôt en modulé subtile de différentes teintes rompues ou noircies des
couleurs. On peut sentir un certain clair obscur entre le lointain et le drapé en
tourant les demoiselles ainsi qu'un léger contraste de chaud froid. Le tableau peu
t être divisé en quatre plans. Le premier est celui ou on retrouve la corbeille de f
ruit. Le second est la femme assise. Le troisième est composé des quatre autres fem
mes ainsi que le drapé et le dernier est le lointain composé de brun. Les dames sont
disposées de différentes façons, deux de profil, deux frontales et une en angle suggéra
nt le dos. La corbeille de fruit est réalisé en deux dimensions, aucune tentative d
e profondeur n'est appliqué. On peut voire de près la touche du peintre dans toute l
a réalisation de son huile sur toile.

L' uvre de Pollock possède des caractéristiques techniques fort intéressantes sur tous l
es niveaux de sa composition. D'abord, on ne peut pas passer à coté de la touche très
présente et expressive dans l'ensemble de son huile sur toile. Le sujet est au cen
tre de l'image, créant une certaine rigidité se dégagent du tableau. Il y a trois plan
s principales à l' uvre. Le premier regroupe la flaque verte, le cadavre ainsi que l
a femme chauve et des formes abstraites l'entourant. Le second est constitué des d
ivers formes abstraites derrière la femme et le dernier plan est le lointain. Les
couleurs sont principalement des couleurs chaudes (rouge, orange, beige foncé) ai
nsi que des couleurs lumineuses (jaune, beige pâle et bleu pâle.) et des couleurs fo
ncées (beige foncé, noire, brun et vert foncé.) ce mélange crée une multitude de contraste
s qui dominerons l' uvre dans son entier. D'abord, le contraste de claire obscure
donne une tonalité très sombre même dramatique à la facture de l' uvre. Secondement, le co
ntraste de chaud froid vient aussi s'installer au près du regardeur. Ce contraste
apporte un certain coté morbide. Cette idée se dégage du fait que tout est chaud à l'exc
eption de l'étrange liquide s'écoulant du cadavre et de l'unique zone bleutée se trouv
ant sur le crane de la dépouille. Les couleurs chaudes viennent apporter un climat
d'émotion forte à la toile. Les formes sont toutes cernées d'épaisses lignes noires.
La facture des vint-cinq Marilyns est forte simple. Les Marilyns sont toutes légèrem
ent en angle tout en priorisant le plan frontal. Il n'y a que très peu de profonde
ur dans l' uvre de Warhol. Cette profondeur est la simple présence d'ombre sur la jo
ue gauche ainsi que dans les cheveux des Marilyns. Le tableau ne présente qu'un pl
an, celui des visages de la célèbre actrice. Le fond ne présente aucun arrière plan ou d
'élément de décor, il ne s'agit que d'un monochrome bleu. Les couleurs sont toutes viv
es et lumineuses à l'exception du noir qui vient faire un contraste de claire obsc
ure mettant en valeur les visages des femmes. La répétition de visages dans un ordr
e précis de cinq colonnes par cinq rangées dégage une certaine abondance contrôlée. Les mu
ltiples impressions ont finis par causer certaines irrégularité ente les visages, qu
e ce soit dans la disposition des différents éléments, ou de la justesse des couleurs.
Somme toute, les formes sont très épurées et comme les demoiselles d'Avignon, les icône
s sont représentés par des masses, qui, les unes avec les autres, forment les éléments f
iguratifs de l' uvre. Les traits des visages sont limités aux zones ombragées, la bouc
he et les yeux. Les cheveux sont régis par le même principe.
Le travail de Dali possède un vaste répertoire au niveau de ses composantes techniqu
es. D'abord, plusieurs plans règnent dans l' uvre. Le premier est celui de la femme
allongée, la petite pomme grenade et le sol de pierre. Ensuite, il y a l'arme-à-feu,
puis le tigre bondissant et la structure à droite, en arrière il y a le second tigr
e sortant de la bouche du poisson, qui lui constitue l'avant dernier plan. Pour
finir, le dernier plan regroupe la géante pomme grenade, l'île et l'éléphant aux longues
pattes, ce plan se termine à l'horizon. Un imposant vecteur est crée par la success
ion d'éléments s'écoulant de la pomme grenade au fusil. Ce vecteur semble vouloir mett
re en évidence la femme. Deux répétitions marquantes font place dans la facture de l' uv
re. La première est celle des pommes grenades et la seconde est les deux tigres. L
a palette de couleur est surtout composée des trois couleurs primaires constituant
un contraste de couleur en sois venant alors ajouter du dynamisme à la facture de
l' uvre. Les couleurs sont pour la plupart blanchies et le gris possède une teinte
légèrement bleu. Les éléments rouges viennent créer un faible contraste de chaud froid. Il
n'y a pas suffisamment de couleurs foncées pour souligner un claire obscure. Le t
ravaille de la touche de Dali est très léché et ne laisse paraître ni traces ni touches.

Les demoiselles d'Avignon est classée comme uvre cubiste pour plusieurs raisons. To
ut d'abord, par son style de réalisation. En terme plus concret, il est question d
e la déconstructions des formes pour en voire le tour seulement en regardant une s
eule face. Cette façon de travailler se fait bien comprendre si on porte attention
à la jambe droite de la dame à la droite. Ses formes géométriques sont la représentation
de sa jambe déconstruite qui représentent la jambe de devant, derrière et de coté. De pl
us, la position des dames favorise une vision relativement complète des corps des
femme. Son thème fait aussi énormément penser au cubisme. Une scène de genre composée de
femme fait aussi rappeler le lien avec le courent cubiste se dégagent du tableau.
Il faut comprendre que les cubistes étudiaient principalement le travaille des for
mes et qu'ils les étudiaient principalement avec des éléments à proximité. Le sujet n'avai
t donc pas d'importance comparé à sa représentation. L'approche d'un certain primitivi
sme vient aussi s'ajouter aux approches cubistes cézanniens. En effet, les premier
s cubistes, qui tentaient de peindre à la Cézanne, reprenaient l'aspect exotique et
un-peu naïf de l'art africain. Cette vision des cubistes se démarque ,dans Les Demo
iselles d'Avignon, au niveau des visages des cinq femmes. Les traits accentués aux
yeux en amande et aux formes de leur visages.

La toile de Pollock est une uvre faisant partie de l'expressionnisme abstrait. Ce


rtain seraient en désaccord envers cette opinion puis qu'il y a de la figuration.
Il faut comprendre qu'il y a bien des éléments qui rattachent cette toile à l'expressi
onnisme abstrait. D'abord il y a tout l'émotion de tristesse, de peine, de colère e
t tout une panoplie d'émotions négatives imprègnent tout ceux qui regardent la toile.
Les expressionnistes abstrait aimaient bien faire dégager cette palette de sentime
nts aux spectateurs. Dans un même élan d'idée, il y a aussi une grande partie de l' uvr
e qui est travaillé en abstraction. Cette zone entourant le personnage peut alors
bien représenter les émotions de douleur, de rage et autre de personnage, ce qui vie
nt soutenir encore plus le désir de représenter les émotions négatives. La touche très prés
nte est aussi un très bon indice pour remarquer le courant de l'expressionnisme-ab
strait. Si on se penche sur d'autres toiles de Pollock, on aperçoit les mêmes critères
majeurs. Le désir de représenter une multitude de sentiments seulement grasse à de l'
abstraction, travailler les couleurs souvent sombres pour faire sortir d'avantag
e ces sentiments et la touche très présente venant amplifier le tout.
Warhol et ses vint-cinq Marilyns sont en plein dans le courant du pop-art. Pour
commencer, il traite d'un sujet très prisé de la société américaine de l'époque. Le fait de
travailler en utilisant l'actrice la plus connue de son époque rappèle presque tout
les autre uvres pop-art dans leur choix de sujet, un sujet se basant sur les prod
uits de consommation. Le fait de faire un uvre sur Marilyn Monroe soutien le fait
que les acteurs finissent par être un produit plus qu'une personne. Dans un secon
d sens, le choix des couleurs est aussi un excellant indice pour déchiffrer le cou
rant artistique pop-art. Les couleurs très rétro rappelant les affiches de cinéma ou l
es annonces de produit. (encore un lien avec les produits de consommation qui se
réfèrent encore directement au pop-art. La qualité picturale vient rappeler le style
des bandes dessinées de l'époque (autre produit de consommation très prisé aux États-Unis
dans ces années.) le concept qui remet en question l'acteur en-temps qu'objet sou
tien de nouveau l'objet de sur consommation. Bref, tout les éléments des vint-cinq m
arilyns se rattachent toujours aux produits de consommation, ce qui se rattache
directement au courent du pop-art
le travail de Dali dans l' uvre d'une seconde avant l'éveil est clairement surréaliste
. Le titre de l' uvre est un très bel exemple de surréalisme, puisqu'il fait directeme
nt appel à l'idée d'un rêve dans son titre. Les surréalistes voulaient représenter se qui
se détache du monde réel, qui se connecte au concept du rêve. La composition de l' uvre
est aussi un lien direct au surréalisme. La femme qui lévite, rappelant le désir de s
e libérer des lois de la physique. Les animaux monumentales, les distorsions et e
xagérations qui, eux, rappèlent de nouveau l'idée de rêve.
Pour conclure, les différents artistes, des différentes époques, des différents courants
artistiques ont tous sus représenter la femme sous toutes les coutures. D'abord,
dans les uvres modernes, les prostituées de Picasso aux aires exotiques et aux rega
rds perçants qui finissent par rendre le spectateur mal-à-l'aise devant leur tailles
gigantesques et leur nudités provocantes. Par la suite, il y a la demoiselle de D
ali semblant être dans un profond rêve. Elle paraît paisible devant le danger bondissa
nt sur elle. Impersonnelle elle nous fait questionner sur qui elle pourrait être,
nous laissant ainsi sur un profond doute. Puis dans l'art contemporain, Pollock
nous fait voire une femme mais sans cheveux. Celle-ci semble dégager de la colère et
de l'amour et comme la demoiselle de Dali, son visage est caché, la rendant ainsi
impersonnelle mais par les émotions, elle donne envie au regardeur de se mettre à l
a place de cette femme. Warhol, lui, montre la femme célèbre d'avantage comme un obj
et de consommation plutôt que comme une personne à part entière. Ainsi les quatre arti
stes présentés ont sus décrypter la femme de quatre façons différentes en introduisant po
urtant des signes semblables par moments. Mais si la femme a pue ainsi se faire
représenter qu'en serait-il de l'homme si il serait décrit par quatre femmes des même
s époques?

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