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plénière
les points importants de la
prochaine plénière pour la
délégation socialiste française
José Lavezzi
Attaché de presse de la délégation socialiste française au Parlement européen
06 04 04 76 99
jose.lavezzi@europarl.europa.eu
www.deputes-socialistes.eu
Toujours utile : http://www.europarl.europa.eu/sed/reports.do
TRIBUNE « SCHENGEN ET LES OPPORTUNISTES » DE
SYLVIE GUILLAUME
Le
4
mai
dernier,
la
Commissaire
aux
Affaires
Intérieures
Cecilia
Malmström
a
Dans la délégation, ce dossier est
annoncé
une
série
de
mesures
sur
les
ques;ons
migratoires,
d'asile
et
de
mobilités.
suivi par Sylvie Guillaume
Dépassant
largement
la
polémique
sur
la
réintroduc;on
de
mécanismes
de
contrôle
aux
fron;ères,
ces
annonces
vont
clairement
dans
le
sens
d'une
communautarisa;on
de
ces
enjeux,
à
l'opposé
de
la
tenta;on
du
chacun
pour
soi
des
différents
États
membres.
Il
est
évident
que
c'est
par
la
solidarité
européenne
que
l'Union
pourra
répondre
aux
défis
migratoires
qui
se
posent.
Le
Conseil
JAI
du
12
mai
prochain
examinera
ces
proposi;ons.
La
France
voudrait
ainsi
augmenter
le
nombre
de
mo7fs
de
suspension
de
la
libre
circula7on
(sous-‐entendu
«
en
cas
d'afflux
massif
de
migrants
»),
tout
en
considérant
dans
le
même
temps
que
l'afflux
de
migrants
consécu7f
au
printemps
arabe
n'est
pas
assez
«
massif
»
pour
jus7fier
le
déclenchement
de
la
direc7ve
55/2001
sur
la
protec7on
temporaire.
Cherchez
l'erreur
!
L'Italie,
voudrait
une
«
solidarité
»
européenne
dans
la
prise
en
charge
des
migrants,
tout
en
oubliant
qu'elle
a
fait
jouer
au
colonel
Kadhafi
pendant
de
nombreuses
années
le
rôle
(consentant)
de
geôlier
des
migrants
africains,
par
le
biais
d'un
accord
bilatéral
entre
elle-‐même
et
la
Libye...
et
ceci
sans
tenir
compte
des
ins7tu7ons
européennes.
Cherchez
une
nouvelle
fois
l'erreur
!
Le
président
de
la
Commission
européenne,
M.
Barroso
leur
a
adressé
une
de
ces
réponses
dont
il
a
le
secret,
indiquant
que
modifier
les
accords
de
Schengen
étaient
une
«
possibilité
parmi
d'autres
»,
tout
en
meNant
en
garde
contre
une
vision
«trop
sécuritaire
»
de
l'immigra7on.
Comme
souvent,
il
n'est
ni
pour
ni
contre,
bien
au
contraire,
du
moment
qu'il
est
d'accord
avec
tout
le
monde....
Le
prochain
épisode
aura
lieu
dans
la
semaine
à
l'occasion
de
la
publica7on
par
Cécilia
Malmström,
Commissaire
aux
Affaires
Intérieures,
d'une
série
de
mesures
sur
l'immigra7on.
Les
réac7ons
lors
du
Conseil
des
ministres
du
12
mai
vont
être
savoureuses.
Celles
du
Parlement
européen
devraient
l'être
aussi
!
Hasard
du
calendrier,
nous
examinons
également
en
ce
moment
au
Parlement
européen
un
rapport
sur
l'évalua7on
et
le
suivi
de
l'applica7on
des
accords
de
Schengen.
Qu'y
découvre-‐t-‐on
?
Que
les
États
n'ont
font
qu'à
leur
guise
;
les
mêmes
voient
d'ailleurs
d'un
très
mauvais
œil
que
le
Parlement
européen
ait
son
mot
à
dire
sur
la
façon
dont
ils
appliquent
(ou
pas)
les
règles
communes.
Encore
mieux
:
à
l'occasion
de
la
négocia7on
sur
l'entrée
de
la
Bulgarie
et
de
la
Roumanie
dans
l'espace
Schengen,
les
gouvernements
sont
enclins
à
vouloir
instaurer
un
mécanisme
de
suivi
différencié,
au
mo7f
que
ces
«
nouveaux
»
entrants
doivent
être
surveillés
de
plus
près
que
les
anciens.
De
là
à
imaginer
que
ce
téléscopage
sur
les
dossiers
Schengen
donne
lieu
à
un
vaste
marchandage,
il
n'y
a
qu'un
pas
!
Pour
en
revenir
à
la
possibilité
de
rétablir
des
fron7ères,
celle-‐ci
a
tout
d'une
mascarade,
sachant
que
des
mécanismes
de
sauvegarde
existent
déjà
et
ont
été
u7lisés
à
plusieurs
reprises.
Elle
sert
d'abord
et
avant
tout
de
paravent
devant
l'impuissance
à
gérer
la
crise
économique
et
sociale.
Elle
est
u7lisée
pour
des
mo7fs
de
poli7que
na7onale.
Mais
il
faut
également
y
voir
le
symptôme
grandissant
des
gouvernements
européens
de
ne
tolérer
l'Europe
qu'à
la
condi7on
expresse
qu'elle
soit
aux
services
de
leurs
intérêts
na7onaux.
Sur
les
ques7ons
migratoires
et
le
droit
d'asile,
chacun
voit
midi
à
sa
porte.
Les
uns
veulent
renforcer
les
contrôles
en
mer,
les
autres
bloquer
les
fron7ères
intérieures,
les
troisièmes
se
font
discrets
tant
que
les
routes
migratoires
ne
passent
pas
(ou
plus)
par
chez
eux.
Certains
veulent
un
meilleur
partage
du
traitement
des
demandes
d'asile
quand
d'autres
refusent
de
modifier
le
Règlement
Dublin
II,
Celui
là
veut
des
renforcer
les
clauses
de
réadmission
pour
les
personnes
ayant
rejoint
clandes7nement
l'UE
et
celui-‐là
privilégie
la
fin
de
la
libéralisa7on
des
visas.
Toute
propor7on
gardée,
c'est
un
peu
comme
avec
la
«
solidarité
»
nécessaire
pour
gérer
la
crise
financière
et
économique
européenne
:
il
faut
agir
en
commun
pour
sor7r
du
marasme,
mais
seulement
si
chacun
s'occupe
de
ses
problèmes
et
évite
de
contaminer
le
voisin.
Contrairement
aux
déclara7ons,
nous
sommes
donc
en
face
d'une
part
d'une
absence
totale
de
réflexion
sur
la
nécessaire
solidarité
con7nentale
et
d'autre
part
d'un
refus
de
penser
les
ques7ons
migratoires
à
l'échelle
européenne.
Or
c'est
là
qu'il
faut
agir,
sans
diversion
ni
faux
semblant,
en
organisant
sur
des
critères
clairs
et
justes
une
immigra7on
légale
seule
à
même
d'assécher
l'immigra7on
clandes7ne.
Il
ne
faut
pas
tergiverser
:
accéder
aux
demandes
de
modifica7on
des
accords
Schengen,
laisser
ainsi
s'instaurer
un
espace
de
libre
circula7on
à
plusieurs
vitesses,
reviendrait
à
saper
l'un
des
acquis
les
plus
importants
de
la
construc7on
européenne.
Bien
qu'il
soit
très
à
la
mode
d'en
réclamer
le
détricotage,
l'Union
européenne,
au
premier
rang
de
laquelle
la
Commission
européenne
doit
tenir
bon.
L'opportunisme
poli7que
ne
doit
pas
prendre
le
pas
sur
un
demi
siècle
de
confiance
entre
les
États.
RAPPORT MOREIRA - PROPOSITION DE RÈGLEMENT
DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL
INTRODUISANT DES PRÉFÉRENCES COMMERCIALES
AUTONOMES D'URGENCE POUR LE PAKISTAN
-‐
souligner
que
toute
libéralisa7on
des
services
sous
le
Mode
IV
(envoi
de
prestataires
Dans la délégation, ce dossier est
de
services
indiens
en
Europe)
doit
se
faire
dans
le
respect
du
principe
du
traitement
suivi par Kader Arif et Harlem Desir
équitable
et
d'un
salaire
égal
à
travail
égal.
(cf.
lien
avec
la
direc7ve
intracoroporate,
qui
ferait
qu'un
indien,
qui
serait
juste
muté
en
Europe
en
restant
dans
le
même
groupe,
puisse
être
payé
sur
une
base
salariale
indienne
et
pas
européenne)
;
-‐
demander
une
clause
de
sauvegarde,
comme
pour
la
Corée
du
Sud,
pour
nous
protéger
d'importa7ons
dans
le
domaine
automobile
(Tata
fait
des
voitures
à
2000
euros)
ou
même
agricole.
RAPPORT SCHLYTER - PROPOSITION DE RÈGLEMENT
ÉTABLISSANT DES DISPOSITIONS TRANSITOIRES POUR
LES ACCORDS BILATÉRAUX D'INVESTISSEMENT
Débat prévu le lundi 9 mai
Vote prévu le mardi 10 mai
Les
traités
d'inves.ssement
interna.onaux
ont
pour
objec.f
de
protéger
les
inves.sseurs
lorsqu'ils
inves.ssent
dans
des
pays
.ers.
Ils
se
sont
mul.pliés
au
cours
L’essentiel
des
20
dernières
années,
en
par.culier
pour
protéger
les
entreprises
européennes
inves.ssant
dans
des
pays
en
développement.
Avant
le
traité
de
Lisbonne,
les
États
membres
avaient
seuls
la
responsabilité
de
Le contexte
négocier
et
signer
avec
des
pays
7ers
ces
accords
de
protec7on
des
inves7ssements. Le traité de Lisbonne fait des
investissements à l’étranger une
Avec
le
traité
de
Lisbonne,
les
inves7ssements
directs
à
l’étranger
deviennent
une
nouvelle compétence exclusive
compétence
exclusive
de
l'Union
européenne,
et
font
par7e
intégrante
de
la
poli7que
de l’Union européenne. La
commerciale.
C'est
donc
au
niveau
européen
que
se
négocieront
à
l'avenir
les
modalités
de
protec7on
des
inves7ssements
européens
dans
les
pays
7ers,
et
Commission européenne veut
réciproquement. s’assurer de la conformité des
traités d’investissements réalisés
Lors
de
la
session
d’avril
a
été
voté
le
rapport
d’ini*a*ve
de
Kader
Arif
visant
à
par les Etats membres dans le
définir
ce
que
pourrait
être
la
future
poli*que
européenne
d'inves*ssement. passé.
Le
rapport
Schlyter
examiné
ceNe
session
se
prononce
sur
la
proposi7on
de
la
Commission
européenne
de
réglementa7on
transitoire
afin
de
mieux
accompagner
ce
L’enjeu
transfert
de
compétences.
CeNe
proposi7on
s’inscrit
dans
une
logique
communautaire
Tout en donnant aux entreprises
qui
autorise
la
Commission
européenne
à
passer
en
revue
les
accords
les outils nécessaires pour
d’inves7ssements
bilatéraux
des
Etats-‐membres
et
ainsi
de
vérifier
leur
conformité
effectuer à l’étranger des
avec
le
droit
communautaire
et
la
poli7que
commerciale
de
l’Union.
Si
tel
n’est
pas
le
investissements de qualité et
cas,
les
Etats-‐membres
devront
renégocier
leurs
accords.
Le
Conseil
rejeNe
ceNe
sécurisés, l’Union européenne
«
logique
communautaire
»
:
la
plupart
des
Etats-‐membres
craignent
que
cela
ne
meNe
en
danger
les
inves7ssements
de
leurs
entreprises
à
l’étranger.
doit promouvoir un
comportement plus responsable
Lors
du
vote
en
commission
INTA,
la
droite
a
défendu
la
posi7on
du
Conseil,
et
l’a
des investisseurs européens à
emporté
d’une
courte
majorité.
Le
vote
en
plénière
sera
serré. l'étranger, et mieux contrôler les
investissements étrangers
croissants en Europe, pour éviter
que des entreprises privées
puissent attaquer des mesures
prises dans l'intérêt général
Posi*on:
Dans la délégation, ce dossier est
Compte-‐tenu
du
contexte
économique
actuel
et
de
ceNe
nouvelle
augmenta7on
suivi par Catherine Trautmann et
importante
du
prix
du
pétrole,
le
groupe
des
socialistes
et
démocrates
souhaite
a•rer
Estelle Grelier
l'aNen7on
de
la
Commission
européenne
sur
la
situa7on
extrêmement
difficile
dans
laquelle
se
trouvent
les
pêcheurs
européens.
Nous
l'invitons
également
à
vérifier
et
à
s'assurer
que
les
Etats-‐membres
u*lisent
déjà
la
totalité
des
montants
prévus
actuellement
par
le
règlement.
DÉCHARGES BUDGÉTAIRES 2009
Suite
à
un
examen
des
comptes,
au
rapport
annuel
de
la
Cour
des
Comptes
et
à
des
échanges
avec
l'Ins7tu7on
/
l'Agence
concernée,
le
Parlement
est
habilité
à
"libérer"
Le contexte
l'organisme
pour
la
ges7on
d'un
budget
annuel,
l'exercice
pouvant
ainsi
être
clôturé. La procédure de décharge
budgétaire constitue le contrôle
CeNe
procédure
donne
aussi
la
possibilité,
pour
le
Parlement,
d'apporter
des
final de l'exécution des budgets
observa7ons
sur
la
ges7on
des
budgets
communautaires
et
de
faire
des
communautaires par le
recommanda7ons
sur
des
mesures
d'améliora7on.
C'est
aussi
l'occasion
d'apporter
Parlement européen, seule
un
message
poli7que
concernant
les
dépenses
communautaires. autorité compétente en la
matière.
Dans
le
contexte
d'austérité
actuel,
la
procédure
de
décharge
pour
les
comptes
2009
est
marquée
par
le
souhait
des
eurodéputés
de
rappeler
leur
vigilance
en
ma7ère
d'op7misa7on
des
dépenses
communautaires
et
de
limita7on
des
dépenses
L’enjeu
"inu7les"
au
profit
des
programmes
opéra7onnels. Dans le contexte d'austérité
actuel, la procédure de décharge
Ainsi,
l'octroi
de
la
décharge
pour
la
Commission
européenne
sera
l'occasion
de
pour les comptes 2009 est
rappeler
la
nécessité
de
poursuivre
les
efforts
en
ma7ère
de
dépenses
"partagées"
marquée par le souhait des
entre
Commission
et
Etats-‐membres,
en
par7culier
en
ce
qui
concerne
la
ges7on
des
eurodéputés de rappeler leur
fonds
structurels.
vigilance en matière
Le
Parlement
devrait
octroyer
la
décharge
pour
la
Commission,
le
Parlement
et
de
d'optimisation des dépenses
nombreuses
agences
décentralisées
(EURATOM,
FRONTEX,
Autorité
européenne
de
communautaires et de limitation
sécurité
des
aliments,
etc.).
Les
décharges
pour
l'Académie
de
Police
(CEPOL)
et
des dépenses "inutiles" au profit
l'Agence
européenne
des
Médicaments
devraient
au
contraire
être
reportées,
du
fait
des programmes opérationnels.
d'erreurs
manifestes
de
ges7on
financière.
Dans la délégation, ce dossier est
A
noter
que
la
décharge
pour
le
Conseil
européen
fait
l'objet
d'une
demande
de
report,
les
parlementaires
de
la
commission
du
contrôle
budgétaire
es7mant
n'ayant
suivi par Estelle Grelier
pas
avoir
reçu
les
informa7ons
nécessaires
pour
l'octroi.
MODIFICATION DU RÈGLEMENT DU PARLEMENT
EUROPÉEN SUITE À LA MISE EN PLACE D'UN REGISTRE
DE TRANSPARENCE COMMUN ENTRE LE PARLEMENT
EUROPÉEN ET LA COMMISSION
Débat prévu le mardi 10 mai
Vote prévu le mercredi 11 mai
Ce
rapport
propose
la
mise
en
place
d'un
registre
de
transparence
commun
entre
le
Parlement
européen
et
la
Commission
européenne
;
à
l’heure
actuelle,
les
deux
ins7tu7ons
ont
leur
propre
registre.
CeNe
proposi7on
se
présente
sous
la
forme
L’essentiel
d'une
résolu7on
interins7tu7onnelle
et
d'un
rapport
sur
la
modifica7on
du
règlement
du
Parlement
européen,
comme
conséquence
de
cet
accord.
CeNe
ini7a7ve
est
antérieure
au
scandale
révélé
en
début
d’année
par
le
Sunday
Times. Le contexte
Dès 2008, le Parlement européen
Il
s'agit
d'un
registre
à
"guichet
unique"
qui
concernera
toutes
les
organisa*ons
et la Commission européenne ont
dont
les
ac*vités
visent
à
influencer
le
processus
décisionnel
de
l'Union
travaillé conjointement à
européenne
:
lobbyistes
d'entreprises,
think
tanks,
ONG,
églises
et
avocats.
Il
sera
toutefois
fait
une
dis7nc7on
entre
les
intérêts,
selon
qu'ils
sont
liés
ou
non
à
des
l’élaboration d’un registre
sociétés
commerciales
(ex
:
représenta7ons
régionales).
En
s'enregistrant,
les
commun des lobbies dans un
organisa7ons
acceptent
de
publier
des
informa7ons
de
base,
mais
aussi
le
détail
de
souci d’apporter davantage de
leurs
ac7vités
dans
les
ins7tu7ons
européennes
et
les
données
financières
sur
leurs
transparence et de clarté.
ac7vités
qui
entrent
dans
le
champ
du
registre.
Des
"contrôles
surprises"
pourront
être
réalisés
pour
vérifier
l'exac*tude
des
L’enjeu
déclara*ons
d'organisa*ons
inscrites
dans
le
registre
commun. Les scandales de corruption de
ces dernières semaines,
L'inscrip7on
au
registre
ne
sera
pas
obligatoire,
même
si
ceNe
obliga7on
reste
impliquant des parlementaires,
l'objec7f
ul7me
de
nombreux
députés
dont
les
membres
du
groupe
S&D.
Le
PE
viennent renforcer la pertinence
es*me
que
le
registre
est
de
facto
obligatoire
car
les
cartes
d'accès
à
long
terme
aux
bâ*ments
du
PE
(la
«
caroAe
»)
ne
seront
remises
qu'aux
personnes
et
et l’utilité de cette réforme
organisa*ons
inscrites.
Ces
cartes
d'accès
peuvent
être
annulées
pendant
une
période
donnée
(le
«
bâton
»)
lorsque
le
Code
de
conduite
du
registre
n'est
pas
Dans la délégation, ce dossier est
respecté.
suivi par Sylvie Guillaume
En
annexe
figure
l'empreinte
législa*ve
:
l’objec*f
est
que
chaque
rapporteur
précise
dans
une
annexe
de
son
rapport
la
liste
des
lobbyistes
rencontrés.
Par ailleurs...
Dans
un
rapport
dis7nct
entériné
par
la
commission
des
affaires
cons7tu7onnelles
sur
le
règlement
en
vigueur
au
Parlement,
il
est
proposé
que
les
déclara7ons
d’intérêts
financières
des
députés
soient
mises
à
jour
chaque
fois
qu'une
ou
des
modifica7on(s)
y
sont
apportée(s).
Le
groupe
de
travail
dirigé
par
le
président
du
Parlement
européen
Jerzy
Buzek
est
chargé
de
renforcer
les
règles
pour
les
lobbyistes
et
d'établir
un
code
de
conduite
des
eurodéputés
qui
serait
assor7
de
sanc7ons.
RÉSOLUTION SUR LES MARCHÉS PUBLICS