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Conclusion

Bonjour ! Je m'apelle Aurelia Nedelcu, je suis étudiante à l'Université


"Ovidius" de Constanta, la spécialisation psychopedagogie spéciale, deuxième anée
et j'ai fait mon stage au Foyer du Lantel de Brest.
Quand je suis arrivé ici, à Brest, je m'ai paniqué, pensant que cinq mois va
durer éternellement. Je jamais pensée que je peux m'intégrer facilement dans un
environnement différent, beaucoup moins dans un autre pays.
Quand j'ai été informée que je vais ferai mon stage dans un foyer pour les
adultes qui ont des problèmes spéciales, j'ai été un peu réticente parce que, en
Roumanie, j'ai travaillé uniquement avec des enfants. Après, j'ai decouvert que cet
stage m'a aidé et maintenant je peux dire que j'ai une expérience vaste avec des
personnes de toutes âges.
Je peux dire que je suis heureux avec tout ce que j'ai vécu ici, en France, et
certainement j'ai beaucoup des choses renconter au gens de Roumanie.
La perception sociale concernant les personnes handicapées dans notre pays est
encore pauvre et limitée. Même s'ils n'ont pas choisit leur situation, les personnes
handicapées roumaines, tout contraintes de supporter le regard ironique et totalement
déplacés. Contrairement à la maladie, le handicap ne reçoit pas de considération ou
d'aide de la société.

Le stage en France m'a donné l'opportunité de connaître une mentalité


différente de celle des roumains. En effet, nous ne pouvons pas généraliser, mais la
Roumanie a eu le malheur d'être sous le régime communiste pendant des décennies,
ce qui a contribué à la détérioration de la mentalité.

Aujourd'hui, c'est différent! La Roumanie récupère ses valeurs morales, qui, en


fait, quelque part dans le subconscient, sont restées en sommeil.
Quand je suis arrivé à Brest, j'ai eu le privilège d'être accueillie par les
éducateurs avec beaucoup de chaleur et d'hospitalité. Il y a une grande différence en
termes de conditions de travail entre les deux pays.

L’état Roumain n'est pas complètement finance. Ces conditions conduit à un


manque de motivation de la formation du personnel.

De telle pratiques perpétuent :

 la marginalisation de certaines catégories de personnes

 l'inégalité des droits des personnes dans notre société moderne

 le jugement et la condamnation de ceux qui n'ont pas eu la chance d'avoir un


vie décente.

Le handicap c'est seulement une question de perception. Chaque personne peut


faire des choses que d'autres ne peuvent pas faire. Mais le plus douloureux est la
discrimination subtile, la plupart des gens qui ne souffrent pas d'un handicap,
génèrent et perpétuent des normes et des règles, directement ou indirectement,
intentionnellement ou non, et les impose à tout le monde. Une telle discrimination est
constatée, par exemple, dans les « étiquettes » attribuées à ces personnes.

Si tous les centres dans le monde étaient comme celui ou j'ai fait mon stage à
Brest, le monde serait certainement beaucoup mieux. Dans ce foyer, les résidents sont
considérés comme des Personnes « normales ». Le respect est important pour les
résidents ainsi que pour le personnel. Et en effet, qui définit ce qui est normal et ce
qui n'est pas?

Les éducateurs en grand nombre, veillent à ce que ses habitants ne manque de


rien. Les attentions et les activités dans la vie quotidienne sont nombreuses et
diversifiées, et permettent aux résidents du centre de révéler et de montrer leurs
qualités, aptitudes et compétences. Les activités de théâtre, de danse, de musique ou
les sports, sont toutes conçues pour développer les capacités physiques et
intellectuelles des résidents.

Le respect est le mot qui caractérise ce centre. J'ai été impressionnée dès le
premier jour par la patience formidable des éducateurs et des résidents, et comme ça
ma période d'adaptation a été considérablement réduite. Quand j'ai rencontré des
difficultés, ils ont été très attentifs et compréhensifs, m'expliquant ce qui était
nécessaire.

Je suis très heureuse de cette expérience inoubliable, incomparable avec


d'autres choses. Chaque fois que j'ai participé aux activités du centre, j'ai été
constamment surprise par la capacité des résidents de percevoir le monde.

Les résidents ont des compétences que peut-être les personnes non handicapées
n'ont pas.

Le stage ici, à Brest, est une expérience que j’aimerai continuer parce qu'il m'a
enrichi moralement, spirituellement et socialement.

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