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À la recherche du “Delaunayʼs Dilemma”

Principalment cʼest un beau tableau. Il repose sur le mur de mon salon. Cʼest
une humble copie de la “Joie du vivre” de Robert Delaunay et je lʼaime. Je ne
veux pas raconter pourquoi il est chez moi.

Le dessin est très simple: Une spirale


des couleurs avec quatre sphères divisé
en quatre parts comme quatre
danseureuses sur une explotion de
couleurs: Rouge, blanc, noir, vert, jaune,
orange... que changent en chaque part
de la spirale. Les couleurs plus froid sont
à côté des les plus chaud. Rythme et
contrast, comme dans le jazz. Avec cette
idée je mʼasseoir devant lʼordinateur et le
demande a Google: “Delaunay” et “jazz”.
Et.. Quelle la reponse?. Delaunayʼs
Dilemma.

II

(Frank Sinatra.... I love Paris)

Avec mon père et ma mère jʼarrive a Paris un pluvieux soir dʼhiver. Mon
parent et moi jamais avons été à Paris. Ils aiment les palais, la Tour Eiffel, la
place de la Concorde, lʼavenue de Champs-Elisées, la Cathédrale de Notre-
Damme et lʼhorloge du musée dʼOrsay. Pas moi... moi... je tombe amoureux
de Seine.

Nous nous baladons sur les quais de Seine, et je regarde le bouquinistes et


son livre. Je me demande si ils ont le livre. Je cherche pour un livre. Ça cʼest
une chose que je veux faire à Paris, mais je ne le trouve pas. À mon avis, ça
ne va pas arriver. Mon livre nʼest plus classé et cʼest trés vieux... mais tout
est possible à Paris.
III

(Ella Fitzgerald.... A tisket a tasket)

- Uhhhh.... jʼadore le swing. Quelle est la chanteuse?, Ne


me dis rien! cʼest... elle est... ehhh... comment sʼapelle-t-
elle?..... Fitzgerald!, cʼest vrai? Ella Fitzgerald... uhhhh
jʼadore Ella Fitzgerald... elle est très... très...
- Trés grosse!
- Et tu est trés stupid.
- Je pense que tu as dit vrai. Ella est très grosse et très
bonne chanteuse, et je suis très stupid et très sympa
aussi. Dʼaccord?
- Je vais oublier cette fois parce que le musique est très chick chez toi, et le
vin est super...ehhhh... Qu'est-ce que tu fais là?...
- Je change le vinyle... jʼai reçu aujourdʼhui ce disque de jazz... Coleman. Est-
ce que vous le connaissez, madame?.
- Non, je ne le connais pas. Il est dʼoù?
- Il est americaine... il joue free jazz... écoutez vous!

(Ornette Coleman .... science fiction sessions.)

- Mon dieu.. ça... cʼest... jazz?.


- Effectivament.
- Il ne me plaît pas.
- Quel dommage!.
- Mais tu ne peux pas dire serieusement
que ça cʼest jazz... oú est le swing?.
- Non tout le jazz a swing.... et plus...
Que-ce que cʼest le jazz?. Je ne peux
pas dire que-ce que cʼest le jazz... et toi?
- Moi.. non plus. Mais qui peut dire?...
- Jʼai un livre qui parle de cela... Où
pout-il être? Jʼai le trouvé à Paris....
- Un livre?
- Oui... Mira el cuadro, sabes quien lo
pinto?
- Tu.
- Si, pero es solo una copia, lo pintó Robert Delaunay, y su hijo, Charles
Delaunay, fue músico de jazz y ha escrito un libro que se titula “Delaunayʼs
Dilemma”, sobre la defensa del arte moderno y la “modernidad”...
IV

(Le son de la pluie)

Este es mi último día en París. Las calles de esta ciudad me miran


somnolientas, recogidas, como ausentes bajo la espesa lluvia. He caminado
entre los edificios y recordado pasajes del libro “Rayuela”, de Cortázar,
donde los personajes deambulan por París, siguen tan solo su instinto para
encontrarse, accidentalmente, al doblar una esquina.
Cada esquina de esta ciudad me sugiere belleza y arte. Historias de artistas
en búsqueda de la belleza.

Ahora me encuentro en el Centro


Pompidou, mis padres se quedan
tomando un café y descansando
del duro trabajo de turista, no les
interesa visitar un museo más.. y
menos un museo de arte
“contemporáneo”. No entienden
el arte contemporáneo.
A ellos les gustan los cuadros de
Va n G o g h o R u b e n s . . . n o
aprecian el lenguaje abstracto.
No se dan cuenta de que un
cuadro, aunque refleje la realidad, no es la realidad, es una abstracción de la
realidad, así lo afirma burlonamente René Magritte y su famoso “Ceci nʼest
pas une pipe”.

Salgo afuera, a las escaleras. Miro hacia la plaza de Georges Pompidou y


admiro su gran belleza. Abajo, a la izquierda, unos chicos salen de la
IRCAM, el centro de investigación musical, fundado por Pierre Boulez y cuyo
primer director fue Igor Stravinsky.

Uno de esos chicos camina resuelto en una dirección. Me intriga descubrirlo


y me dispongo a seguirle, entro de nuevo en el centro de arte y bajo a la
recepción. Su figura se destaca fácilmente de entre la multitud, sus pasos
son seguros, camina hacia un lugar con un gran cartel... “Biblioteca”.
No sabía que el Centro Pompidou tuviera Biblioteca.
V

¿Una biblioteca de arte moderno? ¿Pero cómo puedo ser tan tonto? ¿Dónde
voy a encontrar un libro francés, viejo y descatalogado, sobre el arte
moderno y el jazz?

Y después de un par de vueltas.. lo encuentro. Por fin. Es hermoso tenerlo


entre mis manos después de buscarlo tanto tiempo. En él leo:

Demeure une denrée toujours aussi rare, à toute époque el tout lieu: le don
d'invention des artistes. Irremplaçable, inimitable, se moquant des catalogues
comme des moyens de reproduction, il illustre l'une des facettes les plus
exaltantes du bonheur de vivre. Le jazz, s'il s'agit encore de jazz, sera ce que
les musiciens sauront en faire. Éternel dilemme...

A Charles Delaunay no le va a importar que lo fotocopie. Es por el bien del


arte... y del jazz
“Queda un producto siempre tan raro, en toda época el todo lugar: el don de
invención de los artistas. Irreemplazable, inimitable, burlándose de catálogos
como medios de reproducción, ilustra una de las facetas más exaltantes de
la felicidad de vivir. El jazz, si todavía se trata de jazz, será lo que los
músicos sabrán hacerlo. Eterno dilema....”

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