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Parce qu’il est aussi d’usage de raconter les événements marquants de sa vie sur son blog et

afin de faire comme tout le monde pour une fois, voici le déroulement du moment le plus
important de ma vie.

C’est arrivé une nuit, mon père s’était absenté depuis plusieurs jours et des GM venaient
souvent me rendre visite et moi qui étais souvent seul, et qui accorde à priori ma confiance
jusqu’à ce que cette confiance soit remise en question par des torts subits ou dont j’ai pu être
témoin à l’encontre d’une tierce personne, j’étais plutôt heureux de cela. Depuis un certain
temps je me procurais par l’intermédiaire d’un GM, des spécialités du club Med
habituellement réservées à ceux qui avaient une grande endurance, face à de tels produits.
Donc j’ai passé une soirée avec mes camarades, à boire, moins que d’habitude mais quand
même trop et j’ai absorbé le cocktail des spécialités. Je commençais à m’endormir sur le
canapé bouche béante, mes camarades moqueurs prirent une photo de moi ainsi. Le
lendemain, réveillé tôt, je remarque au bord du lit assis l’un des GM (celui qui avait pris la
photo), lui et sa copine qui étaient les seuls encore là repartent sans attendre que je me lève
pour les raccompagner et ce afin emporter la quasi-totalité de l’argent que j’avais mis de côté
dans une enveloppe ce qui pour moi représentait une grosse somme. Je me suis recouché, et
j’ai essayé de retrouver le sommeil, je ne me sentais pas très bien mais cela ne m’étonnant
avec ce que j’avais consommé, je suis resté comme cela toute la journée allongée à rien faire
comme à mon habitude, c’est une fois la nuit de nouveau tombée que c’est arrivé, je
somnolais avec mon chat sur le lit allongé sur mon ventre, un chat noir appelée Lucie, et j’ai
commencé à me sentir très mal, mon cœur semblait être pris dans un étau, mon bras me
lançait, je ressentais des décharges électriques violentes dans le cerveau et répétitives, j’essaye
de me rendormir, trouvant une position qui ne me ferait pas souffrir pensant qu’au réveil j’irai
mieux, seulement à chaque fois que je basculais dans le sommeil, je me sentais quitter mon
corps, attiré vers le plafond, cela me faisait assez peur, et à chaque fois aussi stupide que cela
puisse paraître, je me raccrochais à la présence du chat sur mon ventre pour reprendre
conscience, c’est idiot mais j’ai toujours de l’affection pour cet animal qui me l’a toujours
rendue contrairement aux personnes de mon entourage. Le problème, c’est que comme
souvent vis à vis des gens de mon entourage, on a utilisé mes bons sentiments pour me perdre.
Ainsi mon père avait admis qu’il avait nommé cet animal ainsi à cause d’une bête d’un autre
genre beaucoup moins affectueuse, à une autre époque ayant fait le rapprochement, je le lui
avais dit mais à ce moment il était plus judicieux pour lui de me répondre que je délirais. Je
me suis finalement endormi et j’ai commencé à rêver que j’étais allongé dans mon lit, (je vois
pas comment formuler cela autrement), j’ai vu le chat se promener devant moi et j’ai eu
l’inconscience au vu de ma situation de l’appeler par le nom de celui dont elle tenait le sien, et
bien sûr, « le chat » m’a répondu, j’ai commencé à alors entendre des voix sans distinguer
quiconque (ce qui selon les idées reçues à mon encontre doit être fréquent), visiblement des
incantations psalmodiées, dans une langue inconnue, que j’imaginais de consonance celtique
(je sais pas pourquoi j’ai pensé cela n’ayant jamais entendu de celte et si cela était une vérité
qui n’était pas une fiction, cela était probablement une autre langue, cependant c ce que je me
suis dit). Enfin, j’ai vu celui qui portait le nom de mon chat, toujours très naïvement je pensais
qu’il était là par simple visite de courtoisie, et je pensais aussi que je rêvais et des rêves où
j’étais en train mauvaises postures, j’y étais habitué depuis ma plus tendre enfance, je ne
trouvais pas cela agréable mais j’avais appris à y faire face, il m’a dit alors que j’étais très
apprécié dans son monde et moi toujours naïf et pas habitué au compliment, j’ai réagi au mot
« apprécier » sans me rendre compte sur l’instant de ce qu’il me disait et je lui est répondu
que c’était gentil ce qui sembla le perturber (après coup j’ai compris que cela tenait à un
accord que j’avais passé de façon inconsidérée parce que je n’étais pas superstitieux et que je
n’accordais pas foi à des pratiques que je trouvais grandguignolesque, auquel je m’étais livré
pour pas vexer des camarades, le fait est que contrairement à la majorité des gens qui font ce
genre de démarche, je me suis dit dans une démarche altruiste et de révolte vis à vis du
concept de la damnation éternelle, qu’il fallait au cas où faire un vœu ou cas où pour remédier
à cela, (avant d’en être moi-même un, j’accordais toujours plus d’importance à la part
d’humanité des démons qu’à leur part démoniaque, ce qui était très idéaliste et encore une fois
naïf). On a longuement discuté, il me disait que j’allais rejoindre son monde, ce qui me
semblait somme toute assez logique, vu qu’à cette époque, j’avais des doutes concernant la
patience et la capacité de pardon de Dieu, (en même temps j’avais reçu une éducation athée de
gens qui ne l’étaient pas et j’ai été pendant longtemps, l’un des rares véritables athée
convaincu de ce monde) et que j’avais très peu d’estime pour moi-même cela étant du aussi à
mon éducation. Je lui ai demandé s’il comptait me torturer parce que c’est la première chose
dont l’on s’inquiète quand on vous annonce que vous allez aller dans cet endroit surtout quant
on a été exposé à ce genre de chose, et il m’a répondu tout d’abord, non, puis se corrigeant
« un peu », (je ne savais pas qu’on pouvait torturer à différents degrés ou du moins je voulais
pas le savoir), je lui ai demandé combien de temps il m’a répondu jusqu’au printemps, puis
parce que c’est un grand joueur il m’a fait valdinguer à travers la pièce façon manège de foire
à sensations, quant ça s’est arrêté, j’ai décidé de me recoucher dans l’espoir de me réveiller et
là à peine J’essayais de m’installer que le matelas que celui ci et moi avec nous nous
retrouvions projeté au bout de la pièce, j’ai recommencé l’opération plusieurs fois et malgré
que je rêve, je me sentais fatigué et pressé de dormir, finalement agacé j’ai dit « les plus
courtes sont les meilleures » parce que c’était quand même assez puéril, j’ai pu enfin
m’endormir et donc me réveiller le lendemain matin, soulagé que ce n’était qu’un rêve, j’ai
passé quand même une mauvaise journée parce que bien que je n’avais plus de douleur au
cœur mais je me prenais des sortes de décharges dans la tête de forte intensités à intervalles
régulières et rapprochées, qui me donnait l’effet d’un hoquet cérébral ce que je mettais sur le
compte de l’absorption des produits deux jours avant et qui durèrent jusqu’au coucher.
Suite à cela, la vie semblait être la même autour de moi, les personnes de mon entourage était
toutes aussi cruelles et insensibles qu’avant à mon égard, par contre beaucoup plus tard, j’ai
rêvé que je prenais conscience à un moment particulier de cette nuit là, j’étais au milieu de
personnes aux sourires sadiques qui m’annonçaient sans déplaisir que je ne mourrais jamais.
L’une d’entre elle à la figure d’une vieille sorcière aux cheveux blancs possédait à son
auriculaire un ongle très long, elle s’en servit pour arracher une sorte de grain de beauté et une
fumée blanche sortit de mon corps, elle se transforma en colombe qu’après avoir saisie, je
libérais dans la nuit au dehors.
C’est seulement plus tard au vu de l’aspect mécanique que prenait le sort à mon égard, des
comportements des personnes autour de moi et des règles auxquels ils se pliaient et
qu’apparemment il n’avait pas la possibilité de transgresser orienté exclusivement dans le
sens du mal.
L’ironie c’est que la personne qui m’a fournit ces produits à vu sa propre femme subir le
même sort cependant je l’ai découvert qu’après puisque à ça moment là encore une fois il était
judicieux de me raconter que cela était du à d’autres mélanges.

Et je raconte cela puisque apparemment il est courant d’utiliser mes bons sentiments comme
les mauvais que l’on m’a plus ou moins ancré en moi de façon inconsciente pour me
contrôler, et me nuire et qu’après cinq minutes de réflexion logique le phénomène s’est révélé
encore d’actualité, j’ai compris qu’il me fallait abandonner tout espoir puisque j’étais bel et
bien mort et en Enfer.

Ouvre les yeux, Vanilla Sky


Stay
L’échelle de Jacob

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