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S1 les lois de réaction : elles expriment des réactions de très courte période de quelques mois à 1 an voici 4 exp.d/p =-
dD/D DR=DC DC=di di=Dr
L’action des conditions sur l’existence de la réaction : DC engendre un investissement que si les biens de consommation
ont un équipement insuffisant (condition objective) et si les producteurs de biens estiment que DC a un caractère durable
(condition subjective)
Les lois économiques ne permettent pas d’effectuer des évaluations précises et ne peuvent qu’exposer des relations
stochastiques
Elles relatent stochastiques
Les relations stochastiques sont ainsi lorsque à une valeurs donnée de la variable indépendante correspondent diverses
valeurs possibles de la variable dépendante dont une seule se réalisera mais on ignore à l’avance laquelle.
Les relations économiques sont généralement exprimées par des relations fonctionnelles et ainsi elle revêt une apparence
d’exactitude qu’elle n’a pas .
Les lois d’évolution : la plus célèbre étant la loi de COLIN CLARK ET FOURASTIE elle pressente l’évolution de la
structure de production nationale .cette loi précise que l’accroissement de la production s’accompagne impérativement d’un
changement de sa structure caractérise par une baisse de la production agricole compense par une hausse de la production
industrielle et des services.
ainsi a travers cette loi on constate que la baisse de la production agricole est effective dans plusieurs pays sauf que cette
baisse n’est pas régulière entre autre chose l’évolution de l’industrie n’est pas nette et par conséquent cette loi manque de
précision pour l’évaluation de l’industrie.
Analyse micro Eco : relative au unîtes élémentaire de l’économie telle que : l’entreprise, un revenu, une consommation, elle
peut consister au calcul du consommateur ou celui du producteur ou a la rencontre d’une offre et d’une demande.
Analyse macro Eco elle concerne des agrégats de grandeurs micro économiques ainsi elle peut avoir trait à l’investissement
où a l’épargne ou même a la consommation d’une nation d’une région ou simplement d’un village
L’analyse étatique peut être macro ou micro économique.
Les études nationales être macro ou micro économique
Une étude peut être intermédiaire entre le macro et la micro eco et elle devient méso-economique.
L’analyse de courte ou de longue période
La courte période concrète : elle s’étale sur quelques années, les conditions fondamentales de l’activité économique
demeurent relativement stables, parce que ses éléments varient peu dans la courte période (ex : le rapport entre la
consommation et le revenu).
La courte période théorique : c’est un procédé simplificateur qui est utilisé pour schématiser les variations des grandeurs
économiques, donc des mécanismes de la courte période concrète (ex : la relation entre la variation des revenus et la
variation de la consommation.
La longue période est une période telle que l’élément relativement stable de la courte période peut avoir de la modification
non négligeable. Analyse met l’accent sur les fluctuations de longue période.
L’analyse statique et dynamique
(Ça concerne l’analyse théorique de la courte période)
L’analyse statique : les événements économiques sont représentées comme instantané et exclut les délais de réaction.
L’analyse dynamique :Rt-1=Ct et b Ct=It+1 elle date les variables et démontre une évolution à travers le temps.
L’analyse marginaliste : c’est la confrontation entre les accroissements et les diminutions successives des valeurs
absolues de ces variations c à d se référer aux marges existantes entre les grandeurs (leurs intervalles)
L’analyse mathématique (les modèles)
C’est une évolution historique extrêmement importante car elle évoque un changement radical d’une économie décrite en
termes littéraires à une économie plus moderne et de ce fait plus assoiffé de précision et donc une économie exprimer en
termes mathématiques .
L’analyse économique actuelle tend à être sous forme de modèles …………….
Le vocable modèle à une signification différente (organisme eco-social ou bien un ensemble théorique)
Or, ici il a un sens technique et désigne une représentation simplifiée et mathématisée des relations économiques.
Les modèles peuvent être micro ou macro économique.
L’articulation des modèles : un modèle peut être statique ou dynamique il est statique lorsque toutes ses équation sont
statiques ou dynamique lorsque une ou plusieurs de ses équations sont dynamiques.
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Dans les 2 cas il peut être marginaliste ou non. Le modèle suivant est simple et comprend 2equations de définition (1) et (4)
et une structurelle (2) et une équation de comportement (3) il n’est pas marginaliste :
1. R=W+Z revenu national, W salaire, Z profits
2. W=y R ou y= 0,6
3. C=a1W+a2Z ou C est consommation nationale avec a1=0,9et a2=0,5
4. I=R-C
Une relation économique dynamique :aRt-1=Ct et Ct=It+1
Une relation économique statique : R=C C=I I=R P=D
Une relation économique marginaliste : dC/dR
LE MODELE ECONOMETRIQUE
Un modèle reste théorique tant que ces coefficients ne sont pas ceux de la réalité au contraire s ses coefficients résultent de
l’observation et plus exactement des statistiques il devient économétrique et alors applicables à des variables indépendantes
concrètes. Un modèle économétrique résulte de l’association de 3 apports :
1er théorique qui crée les relations entre les variables en se basant sur la réalité
2eme mathématique qui offre une forme mathématique aux relations et assure la cohérence du système d’équation pour
enfin donnée naissance à un modèle théorique.
3eme statistique qui opéré un changement fondamentale c à d du modèle théorique au modèle économétrique.
L’apport statistique est un élément vital du modèle puisqu’il permet la rentrée de la réalité dans le modèle et ainsi permet la
quantification de ces concepts ainsi que la mesure de leurs rapports.
Les modèles économétriques peuvent avoir une utilisation rétrospective (le passe) ou prospective (le future).
S2 : LE MODE DE REGULATION
Le mécanisme pur du marché :
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Dans son sens le plus strict peut se résumé de la sorte lorsque la demande d’un bien excède sa production le prix augmente
ce qui stimule la production et réduit la demande et lorsque la production d’un bien excède sa demande c’est le mécanisme
inverse qui se réalise. D’où un ajustement dans les 2cas. Ce mécanisme est intimement lié a celui du revenu il s’agit d’un
mécanisme plus global qui prévoit qu’un accroissement du revenu accroît la demande et q’une réduction la réduit.
Le mécanisme du marché et l’action de l’Etat :
Le mécanisme du marché implique des fluctuations des prix et du revenu qui perturbe l’économie et n’offre pas
nécessairement les dispositions les plus favorables au développement économique .En plus il implique des inégalités sociale
intolérable d’où la nécessité d’une action étatique correctrice qui peut être sous forme d’une direction non planifiée ou d’une
planification souple.
• La direction non planifiée : en addition à une action sociale destinée à protéger les travailleurs elle comporte
2 sortes d’actions étatiques :
1. une action globale sur la production et les revenus réaliser a travers les prélèvement fiscaux et des
investissements publics et en contrôlant l’accroissement de la masse monétaire ce contrôle impliquant
celui du crédit bancaire.
2. une action sectorielle limitée aux secteurs qu’on veut protéger comme l’agriculture cette action
consiste à accroître directement les revenus concernés à fixer des prix supérieurs à ceux du marché et
à accorder des aides à l’équipement.
Ces 2 actions globale et sectorielle visent essentiellement la 1ere à régulariser la seconde à préserver.
• La planification souple : il s’agit de réaliser une structure de production nationale plus efficace càd
plus apte a assurer une amélioration a long terme du niveau de vie pour ce faire l’Etat schématise la
structure de production et des revenus pour les entreprises afin de réalise la structure souhaitée.
On tend moins a préciser les objectifs en vue es écarts constaté entre prévision et réalisation.
S3 : LE SOUS -DEVLOPPEMENT
Il est caractérisé par plusieurs situations mais voici les caractéristiques principales et les plus manifestes :
• l’importance de l’emploi agricole
• le caractère incomplet de l’industrie
• l’importance du secteur informel
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• Une théorie de l’équilibre général
L’appareil marxiste : A la différence des néo-classiques. L’apport marxiste est pour l’essentiel l’œuvre d’un seul homme
en l’occurrence Karl Marx. La théorie marxiste a sûrement subit des développement depuis Marx mais ce dernier a apporte
tous les principes fondamentaux.
L’analyse de K. Marx est une critique de l’économie politique centrée sur les écrits des néo-classiques. Cette critique a un
objet : le projet de Marx est d’analyser le fonctionnement concret du mode de production sa méthode est une philosophie de
l’histoire du capitalisme.
Le capitalisme est considéré par Karl Marx comme la dernière phase de la « préhistoire » humaine et donc sa destruction
sonnera le début de l’histoire.
La théorie Marxiste rassemble 2sortes d’analyse :
• Une analyse sociologique de l’évolution
• Une analyse du fonctionnement de l’économie capitaliste fondée sur la théorie de la valeur.
Cet ana lyse met en évidence l’exploitation des salariés par les capitalistes et fait apparaître une tendance à la baisse du taux
de profit qui implique à long terme la disposition du système capitaliste. Et par conséquent. L’analyse économique du
capitalisme s’intègre à l’analyse sociologique de l’évolution.
Par conséquent la théorie néo-classique et Marxiste ne permet ni l’une ni l’autre d’élaborer une politique économique la
1ere car le fonctionnement libre de l’économie apparaît comme le plus satisfaisant possible, la 2éme car les défauts mis en
évidence sont inhérent au capitalisme et donc irrémédiables.
S3 : LA SCIENCE ECONOMIQUE OPERATIONNELLE DE 1936 à NOS JOURS
L’époque car de la science économique opérationnelle càd propre a diriger l’action notamment étatique a été ouverte une
après une crise globale est multiforme qu’avait traversé les pays capitalistes d’une manière générale entre 1923et 1936 les
effets de cette crise sont particulièrement lourds en grande Bretagne où le chômage croissant se conjugue avec les déficits
considérables de la balance commerciale la détérioration des termes de l’échange …etc.
Keynes s’est rendu compte de l’inadéquation des préceptes de l’économie politique et de leurs incapacités à expliquer
encore moins à résoudre les problèmes des pays développés.
C’est ainsi qu’a été l’ouverture brusque de cette époque en 1936 par l’économiste Keynes qui a donnée une orientation
pratique à la science économique par son ouvrage magistrale « la théorie générale de l’emploi de l’intérêt et de la
monnaie »
IL y a l’apport de propre de Keynes et le développement scientifique suscité par celui-ci.
• L’apport Keynésien :
Keynes a doctriné une orientation pratique a la science économique en appliquant le marginalisme a la macroéconomie dans
le cadre de la courte période .Il a pu ainsi explorer les rouages du circuit qui conduit a la production nationale a la dépense
nationale et mettre n évidence les relations marginales qui l’animent notamment la relation (a∆R=∆C et ∆I=∆R) Or cette
analyse macroéconomique et marginaliste lui permis de faire apparaître le mauvais fonctionnement du capitalisme
notamment le risque permanent du chômage qui n’apparaît pas dans l’analyse néo-classique il fait remarquer que le
capitalisme libérale possède 2vices le 1er le risque permanent du chômage le second la répartition arbitraire des revenus et le
manque d’équité.
Keynes souligne le rôle de la politique fiscale, du taux d’intérêt de la demande effective …etc. le rôle de l’Etat est de pallier
les carences structurelles du marché de concurrence imparfaite en vigueur.
Il préconise des contrôles centraux et une extension des fonctions traditionnelles de l’Etat ainsi à la différence de Marx
Keynes estime que l’Etat peut résoudre. Les problèmes de courtes périodes en utilisant la monnaie, l’impôt et surtout
l’investissement public Keynes aborde le taux d’intérêt d’une façon nouvelle et innovent telle que la préférence pour la
liquidité et la propension marginale a épargnée …etc. Il place aussi la fonction de consommation au centre de sa théorie des
fluctuations économique.
• Le développement scientifique post Keynésien
Il y 6 apports principaux :
• La création et la généralisation de la comptabilité nationale
• L’établissement de modèles économétrique méso économiques (Matrices)
• L’établissement de modèles économétrique macro économique afin d’élaborer des scénarios de la planification
souple soit de mesurer les effets d’une intervention public isolée.
• l’analyse du développement
• l’utilisation de la théorie Marxiste pour expliquer l’inégalité des échanges internationaux (exploitation des PSD par
les Pays développés)
• la modernisation de la théorie des prix.
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Les revenus
1 - LEUR REPARTITION.
Les revenus produits sont également appelés « revenus primaires », et ils font l'objet d'une répartition tripartite
fondamentale, constituée par : le salaire, l'intérêt et le profit.
A-le salaire.
C'est le revenu des personnes qui louent leur capacité (ou leur force) de travail, et c'est en même temps le prix de cette
location, qui se détermine sur le marché du travail. Le salaire est donc à la fois un revenu et un prix, ce que l'on peut exprimer
en disant que c'est un revenu prix
Le salaire est le revenu que l'on protège pour des raisons sociales. En conséquence, le prix qu'il représente est réglementé et ne
peut se fixer au dessous d'un certain minimum imposé par l'Etat. Ainsi, au Maroc, il existe un SMIG (salaire minimum
interprofessionnel garanti) pour l'industrie, le commerce ainsi que les professions libérales, fixé à environ 2011 DH en 2004, et
un SMAG, un peu inférieur, pour les salaires de l'agriculture.
On précisera que le salaire versé à chaque travailleur, à l'heure, à la journée, ou .au||l mois, est appelé «taux de salaire». Or,
ce dernier diffère nécessairement selon le niveau .de qualification du travail, mais les schémas théoriques se
réfèrent généralement à un taux de salaire
B- L'intérêt
C- Le profit.
II correspond aux bénéfices des entreprises et échoit aux propriétaires de ces dernières. A la différence du salaire et de
l'intérêt, le profit est un revenu différentiel, car il résulte d'une différence entre le coût de production et le prix de vente. Il
est donc éventuel, puisqu’il n'existe que dans la mesure ou le prix de vente dépasse le coût. Contrairement au salaire et au
taux d'intérêt, .il. Peut donc être nul. Le profit n'est sans doute jamais nul pour l'ensemble de la nation, mais il peut l'être
pour une entreprise, ce qui est évident.