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Des démocraties en construction

Le Maroc est aujourd’hui encore un royaume, mais qui depuis trois ans , en fait depuis que
Mohammed VI a succédé à Hassan II tente d’établir une démocratie. Un passée lourd
d’interdiction et de crainte de prendre la parole est un poids lourd à porté mais le défi marocain
est des plus intéressant. Pour en faire un bref analyse le Maroc est souvent décrit comme
socialement à deux vitesse , il y a un nouveau Maroc riche jeune occidentalisé c’est celui du
milieu des affaires dont les enfants mangent du Mcdo et vont en boite de nuit . Et puis il y a le
Maroc traditionnel, les bidonvilles (de mieux en mieux caché derrière de beaux murs blancs) et
celui des campagnes ou même simplement des médinas. La médina c’est la vielle ville et partout
c’est l’autre Maroc en plein Casablanca on entre dans un deuxième monde, une deuxième réalité
en en franchissant les portes. Le Maroc est aussi celui des touristes, comme à Fès où lorsque l’on
franchi Bab Boujloud on se trouve happé dans un monde des milles et une nuit où se mêlent
habitants et touristes.
C’est dans ce décor que vont avoir lieu dans quelques jours les élections législatives, des
élections qui ont quelques difficultés à mobilisé les foules.
Le récent sondage CSA-TMO pour Jeune Afrique révèle une grande méconnaissance des partis
avec 49 % d’individu se déclarant peu intéressé par la politique et 32% pas du tout intéressé.
Cette étude amène à s'interroger, aujourd'hui sur les effets néfastes de la multiplication des partis
politiques, 28 seraient présents dans tout ou partis des circonscriptions électorales, alors que les
partis actuellement représentaient au Parlement sont pour certains méconnus.

Pourquoi tant d’abstention ? Tous simplement parce que la démocratie ne naît pas en un jour et
aussi peut être tout comme en France ou des records d’abstention furent récemment enregistré
parce que les électeurs n’y croit pas ou plus.

51 % des abstentionnistes déclarent qu’ils iraient aux urnes s’il avait l'assurance que les élections
ne seront pas truquées , Et comment leurs assurés cela dans un univers politique ou la corruption
se cache à peine.

Dans un récent sondage publié par Maroc 2020 53% des individus interrogés pensent que ces
élections seront plus honnêtes que les précédentes cependant pour 35% ce sera la même choses
et 9% s’attendent même à pire. Concernant le rôle de l’argent et de l’influence 48% des futurs
électeurs ne se déclarent pas très confiant quant au fait qu’ils ne fausseront pas les résultats des
élections, à ceux là s’ajoute les 26% qui ne sont pas du tout confiants sur le sujet.
Nous nous trouvons donc dans l’expectative car la classe politique marocaine semble quant à elle
espérer beaucoup de ses élections, elles permettraient au Maroc d’établir un précédent et de
prouver que le gouvernement marocain tient ses engagements ce qu’il fait présentement en
ayant fixé la date de ces élections. Je vous donne donc rendez vous au 27 septembre 2002

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