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dist(Sr) > dist(Sh), ce qui contredit le choix de Sr. Comme initialement, contient le sommet I de poids 0 qui est minimal, on a dmontr par rcurrence sur r, que contient bien que des sommets de poids minimal. Comme lalgorithme se termine ds que F est dans , la validit de lalgorithme en dcoule.
Un exemple : cherchons dans le graphe G ci-dessous, un chemin minimal de I F, en utilisant lalgorithme de DIJKSTRA-MOORE, ce qui est possible les poids tant tous positifs.
I
6 1 5
C
3 3 4
1 5
M
12 8
N
4 2
3 4
9 6
2
K
2 1
E
1 7
P
4
L
A
(1,I)
B
(+, ?) (2,A)
C
(6,I)
D
(+, ?) (5,A) (4,B)
E
(+, ?)
G
(+, ?)
H
(+, ?)
K
(+, ?)
L
(+, ?)
M
(+, ?)
N
(+, ?)
P
(+, ?)
F
(+, ?)
I A B D C E H L G M K P N F
(6,D) (9,C) (10,E) (11,H) (16,L) (12,G) (24,M) (23,P) (14,H) (17,H) (17,L)
Dans la dernire colonne ( ), on a indiqu successivement lentre des sommets. Pour retrouver un chemin minimal, on lit le tableau de droite gauche. Le dernier sommet entr est le sommet final F : dans la colonne F, est indiqu (toujours en dernire position) le poids dfinitif attribu F, qui est aussi la longueur minimale du chemin et qui vaut ici 23 . De plus, le prdcesseur de F qui a contribu donner son poids F, est P : on lit dans la colonne P que le prdcesseur (ayant contribu donner son poids dfinitif P) est L. Puis la colonne L va nous donner le prdcesseur qui est E ; la colonne E nous donne ensuite D, la colonne D nous donne B, celle de B nous donne A et celle de A nous donne I. Le chemin de longueur minimale reliant I F est donc : [I, A, B, D, E, L, P, F] et sa longueur est 23. Remarque : la prsence de circuits dans le graphe G interdit son partage en niveau et donc lutilisation de la version prsente de lalgorithme de FORD. De mme, la recherche dun chemin de longueur maximale, na aucun sens.