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TS - Mathématiques - DM pour le 8/01/2009

Exercice 1 - Maths/Informatique

L’objet de ce travail est l’étude de flux de populations entre trois zones géographiques : une ville notée A, une
zone périphérique notée B et une zone de campagne notée C.
Pour modéliser les flux de population, on fait les hypothèses suivantes :
– La population totale des trois zones reste constante.
– Chaque année la zone A perd 10% de sa population, mais accueille 10% de la population de la zone B et 1% de
la population de la zone C.
– Chaque année la zone B perd 10% de sa population, mais accueille 10% de la population de la zone A et 1% de
la population de la zone C.
– Chaque année la zone C perd 2% de sa population.
Au premier janvier 2008, la zone A comptait 5000 habitants, la zone B en comptait 2000 et la zone C en comptait 4000.
On désigne par an , bn et cn les nombres d’habitants respectifs des zones A, B et C au premier janvier de l’année
2008 + n. On admettra, pour l’étude mathématique, que les nombres réels an , bn et cn peuvent ne pas être entiers.
1. On souhaite décrire, avec le modèle ci-dessus, l’évolution des trois populations.
a. Représenter graphiquement, à l’aide du tableur, ou d’une calculatrice, les suites ( an ), (bn ) et (cn ).
b. Conjecturer le sens de variation et la convergence des suites ( an ), (bn ) et (cn ).
2. Pour chaque année 2008 + n, soit dn la différence de population entre les zones A et B. Conjecturer la nature de
la suite (dn ).
3. On se propose de calculer les limites des suites ( an ), (bn ) et (cn ).
a. Déterminer l’expression de cn et de dn en fonction de n.
b. En déduire l’expression de an et de bn en fonction de n.
c. Déterminer les limites des suites ( an ), (bn ) et (cn ).

Exercice 2 - Maths/Informatique

Dans le plan muni d’un repère orthonormal direct (O; ~u, ~v ), on considère les points A(1; 0) et B(0; 1). À tout point
M du segment [ AB], on associe les points P et Q, projetés orthogonaux respectifs de M sur les droites (OA) et (OB),
−→ − → π
et les points R et S, sommets du carré PRQS de diagonale [ PQ] tels que PR, PS = . On note aussi I le milieu du
2
segment [ PQ].
Le but de l’exercice est d’étudier les lieux des points R et S lorsque M décrit le segment [ AB].
1. a. Réaliser une figure à l’aide d’un logiciel de géométrie dynamique.

b. Visualiser les lieux des points R et S quand M décrit le segment [ AB], puis émettre une conjecture sur la
nature de ces lieux.
c. Déterminer de manière expérimentale une équation du lieu du point S.
2. Dans cette question, on se propose d’étudier ces conjectures en se plaçant dans le plan complexe. On appelle x
l’abscisse du point M, avec x ∈ [0 ; 1].
a. Montrer que l’affixe de M est : x + i(1 − x ).
b. Déterminer l’affixe de R et celle de S. Justifier les conjectures émises à la question 1.

Exercice 3

Le plan est muni d’un repère orthonormal direct O ; − →


u, − →
v (unité graphique : 1 cm).

Soient A, B et I les points d’affixes respectives 1 + i, 3 − i et 2.
À tout point M d’affixe z, on associe le point M ′ d’affixe z′ telle que z′ = z2 − 4z. Le point M ′ est appelé l’image de
M.
1. Faire une figure sur une feuille de papier millimétré et compléter cette figure tout au long de l’exercice.
2. Calculer les affixes des points A′ et B′ , images respectives des points A et B. Que remarque-t-on ?
3. Déterminer les points qui ont pour image le point d’affixe −5.
4. a. Vérifier que pour tout nombre complexe z, on a : z′ + 4 = (z − 2)2 .
b. En déduire une relation entre |z′ + 4| et |z − 2| et, lorsque z est différent de 2, une relation entre arg(z′ + 4)
et arg (z − 2),
c. Que peut-on dire du point M ′ lorsque M décrit le cercle C de centre I et de rayon 2 ?
5. Soient E le point d’affixe 2 + 2ei 3 , J le point d’affixe −4 et E′ l’image de E.
π

−
→ − →
a. Calculer la distance IE et une mesure en radians de l’angle u ; IE .
→ −→
−
b. Calculer la distance JE′ et une mesure en radians de l’angle u ; JE′ .
c. Construire à la règle et au compas le point E′ ; on laissera apparents les traits de construction.

Exercice 4

Soit f la fonction définie sur R par :


9 −2x
f (x) = e − 3e−3x .
2
Partie A :
Soit l’équation différentielle (E) : y′ + 2y = 3e−3x .
1. Résoudre l’équation différentielle (E′ ) : y′ + 2y = 0.
9 −2x
2. En déduire que la fonction h définie sur R par h( x ) = e est solution de (E′ ).
2
3. Vérifier que la fonction g définie sur R par g( x ) = −3e−3x est solution de l’équation (E).
4. En remarquant que f = g + h, montrer que f est une solution de (E).

Partie B :
On nomme C f la courbe représentative de f dans un repère orthonormal O ; −

ı , −
→ d’unité 1 cm.


3
 
1. Montrer que pour tout x de R on a : f ( x ) = 3e−2x − e− x .
2
2. Déterminer la limite de f en +∞ puis la limite de f en −∞.
3. Étudier les variations de la fonction f et dresser le tableau de variations de f .
4. Calculer les coordonnées des points d’intersection de la courbe C f avec les axes du repère.
5. Calculer f (1) et tracer l’allure de la courbe C f .

Exercice 5

On considère la suite (un )n∈N définie par :

2 6
 
u0 = 5 et, pour tout entier n > 1, un = 1+ u n −1 + .
n n

1. a. Calculer u1 .
b. Les valeurs de u2 , u3 , u4 , u5 , u6 , u7 , u8 , u9 , u10 , u11 sont respectivement égales à :
45, 77, 117, 165, 221, 285, 357, 437, 525, 621.
À partir de ces données conjecturer la nature de la suite (dn )n∈N définie par dn = un+1 − un .
2. On considère la suite arithmétique (vn )n∈N de raison 8 et de premier terme v0 = 16.
Justifier que la somme des n premiers termes de cette suite est égale à 4n2 + 12n.
3. Démontrer par récurrence que pour tout entier naturel n on a : un = 4n2 + 12n + 5.
4. Valider la conjecture émise à la question 1. b..

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