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Chers collègues, chères mesdames, chers messieurs,

je vous envoie la résolution de soutien pour nos collègues lacaniens en Grande-Bretagne, qui
sont menacés par une standardisation restrictive et une régulation accablante. Vous pouvez
signer la résolution par un message e-mail adressé à moi (praxismzw@web.de), avec votre
nom, domicile et profession. Je remercie beaucoup Gabrielle Devallet-Gimpel à Toulouse
d'avoir fait la traduction du texte allemand. Je vous demande à transmettre le texte, s.v.p.

Merci à tous...joyeuses fêtes et une bonne nouvelle année,

cordialement, Michael Meyer zum Wischen (Cologne/Allemagne)

Résolution de soutien à l’appel public des Psychanalystes et Psychothérapeutes britanniques


concernant la situation de la Psychothérapie et de la Psychanalyse en Grande-Bretagne
Participants à textura, un groupe psychanalytique orienté par Freud et Lacan à Köln (Cologne,
Allemagne), nous sommes très préoccupés d’apprendre que la pratique de la psychanalyse
pourrait bientôt devenir impossible en Grande-Bretagne du fait que la plupart des pratiques
psychanalytiques seraient rendues illégales. Il s’agit des standardisations actuellement
envisagées de la psychothérapie, dans laquelle le législateur britannique inclut aussi la
clinique psychanalytique et sa pratique dans la cure analytique. Le Health Professions Council
britannique a reçu pour mission d’établir des standards nationaux pour toute activité
psychothérapique. A cet effet ont déjà été élaborées plus de 450 règlementations qui
s’appliqueraient à toute thérapie psychanalytique. Feraient partie de ces prescriptions, qui se
verraient imposées à chaque psychanalyste mais aussi à chaque thérapeute, des règlements qui
fixeraient presque tous les aspects du cadre, de la pratique et du style du travail
psychanalytique et psychothérapique. Elles concerneraient, par exemple, le moment, où une
intervention devrait être posée, des instructions sur l’expression de « sentiments appropriés »,
jusqu’au but recherché par ce processus. La fin d’une cure psychanalytique comme de
diverses psychothérapies ne serait donc conditionnée ni par la parole de ceux qui s’adressent à
un psychanalyste ou à un psychothérapeute, ni par l’orientation de celui-ci, ni par la
singularité de l’accomplissement de chaque travail. L’espace à protéger du travail analytique
et psychothérapique serait ainsi détruit et rendu impossible. Comme nous avons pu le savoir,
la grande majorité des psychanalystes praticiens ainsi que des psychothérapeutes en Grande-
Bretagne – malgré leurs différences théoriques – s’accordent sur le fait qu’une telle
intervention est inacceptable pour tous ceux qui pratiquent la psychanalyse en tant
qu’analysant ou analyste, et qu’en outre différentes formes de psychothérapie deviendraient
impossibles du fait de ne pas être « standardisables ».
Orientés par Lacan, nous sommes convaincus que cette régulation de la psychanalyse et de la
psychothérapie qui est poussée à l’ extrême en Grande-Bretagne, mais qui existe dans toute
l’Europe, contredit fondamentalement non seulement la théorie et la pratique des découvertes
Freudiennes, dont principalement l’inconscient, mais aussi les travaux d’autres psychanalystes
qui -chacun à sa façon- ont poursuivi la cause de Freud et ses questions. La lecture par Lacan
de l’œuvre de Freud et ses apports à la pratique et la théorie de la psychanalyse nous montre
le chemin à suivre. Cette orientation comprend également ce que Lacan a lui-même toujours
prôné : la considération et l’interrogation des écrits et de la pratique des collègues appartenant
à d’autres courants. En Grande-Bretagne, nommons parmi eux principalement Mélanie Klein,
Winfred Bion, Donald Winnicott et Michael Balint. Nous recevons ces ordonnances
britanniques si menaçantes également comme une attaque destructrice envers la tradition
psychanalytique et sa transmission.
Nous rappelons que la formation du psychanalyste comprend de grandes exigences quant à la
qualité de ce travail. En font partie une très longue expérience personnelle de la cure
psychanalytique, la lecture des textes fondateurs de la psychanalyse, la participation à des
séminaires et groupes de travail, ainsi que la supervision et l’analyse de contrôle. Comme il ne
s’agit pas -en ce qui concerne la psychanalyse- d’une technique « standardisable », mais d’une
éthique toujours ouverte à ceux qui viennent avec leur souffrance singulière à la cure par la
parole, la psychanalyse ne peut être transmise qu’à travers des cheminements de formation
qui durent des années et qui ne sont pas réglables par l’Etat. Ceci implique également, que les
psychanalystes sont constamment appelés depuis Freud à questionner leur travail, à échanger
de façon critique avec leurs collègues, à reprendre toujours à nouveau leur propre analyse ou à
retourner en supervision. L’évaluation requise du travail psychanalytique existe bel et bien
depuis son début dans une forme propre et souvent particulièrement intense. Lacan tout
particulièrement, mais aussi Freud, ont en outre toujours incité les psychanalystes à analyser
de façon critique la mesure du savoir de leur temps.
La transmission de l’expérience particulière de la psychanalyse est soumise à des conditions
spécifiques. En font partie sa temporalité propre ainsi que la nécessité de concepts qui
tiennent compte du fait qu’il s’agit en psychanalyse finalement de quelque chose
d’indisponible. Ceci échappe à la logique de notre société marquée par le néo-libéralisme. La
psychanalyse examine et explore le lien social entre les humains, ainsi que les formes
dominantes de la science en questionnant leurs formes de discours et leur rapport au subjectif
dans le sens du singulier.
Nous avons l’impression que la psychanalyse et la psychothérapie sont de plus en plus
appelées à devenir les moyens d’un contrôle étatique ou social, voire même judiciaire. Il est
par l’exemple déjà avéré qu’en Grande-Bretagne des citoyens soupçonnés de terrorisme
doivent être saisis et « traités » dans des cabinets de psychanalystes, ce qui ferait office d’une
rééducation.
Toutes ces évolutions méconnaissent qu’il ne s’agit pas en psychanalyse du statistiquement «
normable », du rapidement saisissable et fixable, mais du singulier de la parole dans la
rencontre entre l’analysant et l’analyste, qui a rapport à des règles de jeu « qui doivent puiser
leur signification dans le contexte du plan de jeu » (Sigmund Freud : Zur Einleitung der
Behandlung (1913), GW VIII, p.454). Ceci correspond à la cure analytique en tant que travail
de culture et contredit l’idée du « citoyen transparent », de la création de normes pour tout et
de la possibilité de contrôler les processus de socialisation. Dans cette mesure, nous ne
considérons surtout pas les événements en Grande-Bretagne et dans d’autres pays d’Europe,
l’Allemagne y comprise, dans le sens d’intérêts catégoriels proprement dits. Pour nous,
l’essence de la psychanalyse que Freud a nommée « travail de culture » est entièrement en
jeu. Il s’agit quant à cette essence de l’affirmation de la loi du désir humain face à un Autre
compris comme un tout, de l’ Autre de l’Etat et de son autorité. A travers la tentative d’une
règlementation de la cure psychanalytique, la « normation » est par contre élevée au niveau de
la « loi ».
Pour nous, en Allemagne, ainsi que pour nos collègues anglais, les Etats Généraux en France
qui ont pu collecter plus de 15000 signatures en juillet 2008, représentent un espoir. Celles-ci
s’adressent à l’Assemblée Nationale contre d’avantage de régulation des conditions requises
pour une installation comme psychothérapeute et pour renforcer le poids de la psychanalyse.
Ces « Etats Généraux » comprennent également des psychanalystes de courants théoriques
différents.
Nous soutenons avec insistance par cette résolution, également dans le cadre de la solidarité
avec le College for psychanalysts à Londres, ainsi qu’avec le Center for freudian and analytic
research, les efforts de nos collègues anglais pour rendre intelligible aux administrations
sanitaires et aux hommes politiques de leur pays la valeur d’une psychanalyse aussi peu
réglementée que possible par l’Etat, et ceci également dans le sens de la tradition
démocratique de la Grande-Bretagne qui donne une valeur particulière au citoyen émancipé.
Nous parions par ailleurs sur le fait que le pays qui a accueilli Sigmund Freud lors de son
émigration va rester fidèle à la tradition de cette hospitalité par rapport à la psychanalyse,
ainsi que pour la transmission de l’œuvre de ceux qui en Grande-Bretagne ont repris la cause
Freudienne et ont continué à la développer.
Ainsi, nous nous adressons à nos collègues de l’Assoziation für die Freudsche Psychoanalyse
(Association pour la psychanalyse Freudienne), des archives Lacan à Brégence (Bregenz), de
la Freud-Lacan-Gesellschaft (Association de psychanalyse, Berlin), du Psychoanalytisches
Kolleg (Collège clinique psychanalytique), du Lehrhaus für Psychoanalyse ( Ecole de
psychanalyse) à Hambourg, du Kasseler Forum für Psychoanalyse (Forum de psychanalyse) à
Kassel, pli à Munich, du Lacan Seminar à Zürich et du Neue Wiener Gruppe (Nouveau
groupe de Vienne, Autriche), avec lesquels nous travaillons depuis de longues années.
Au-delà de ces associations (germanophones), cet appel et la demande de le signer s’adresse
également aux autres cercles psychanalytiques, ainsi qu’à tous ceux qui accordent de la valeur
à la cause Freudienne et à la psychanalyse en tant que travail de culture.
Nous allons remettre cette liste de signatures à nos collègues anglais en février 2009 et la
communiquer aux Etats Généraux en France dans le cadre de leur engagement « Sauvons la
clinique ». Jusque-là, nous vous invitons à joindre votre signature à cet appel en l’adressant à
l’adresse mail de Michael Meyer zum Wischen, Psychanalyste à Köln, Allemagne :
praxismzw@web.de

Traduction par Gabrielle Devallet-Gimpel (Toulouse)

Die Erstunterschreibenden:
Klaus Findl, bildender Künstler, Köln
Miriam Goretzki-Wagner, Coach, Bonn
Andreas Hammer, Dipl.-Psych., Köln
Fotini Ladaki-Schmidt, Dipl.-Psych., psychoanalytische Praxis, Köln
Béatrice Ludwig, Linguistin, Köln
Jean-Baptiste Mariaux, PhD., Köln
Dr. med. Michael Meyer zum Wischen, psychoanalytische Praxis, Köln
Karin Schlechter, bildende Künstlerin, Köln

Weitere Unterzeichnerinnen und Unterzeichner:

Karin Adler, Psychoanalytikerin, Paris


Eckhard Bär, Psychoanalytiker, Kassel
Ute Bergmann-Näher, Ärztin, psychoanalytische Praxis, Rottenburg / Tübingen
Andréa Bryan, bildende Künstlerin, Köln
Cristina Burckas, Lic. Psych., psychoanalytische Praxis, Freiburg
Prof. Dr. Marcus Coelen, Institut für romanistische Philologie LMU München,
Psychoanalytiker, München
Harold Dielmann, Dipl.-Psych., psychoanalytische Praxis, Köln
Dr. U. Oudée Dünkelsbühler, Dozentin und Psychoanalytikerin, Hamburg
Dr. phil. Susanne Gottlob, Psychoanalytikerin, Hamburg
Marylène Guery, Dipl.-Psych., psychotherapeutisch-psychoanalytische Praxis, Köln
Annemarie Hamad, Psychoanalytikerin, Paris
Maire Jaanus, Professor of English and Comparative Literature,
Barnard College/Columbia University, New York, NY
Franz Kaltenbeck, Psychoanalytiker in Paris und Lille, sowie in der medizinisch-
psychologischen Abteilung der Haftanstalt Sequedin am Centre Hospitalier Régional
Universitaire de Lille
Eva Kiefer, psychoanalytische Praxis, Salzburg
Bernhard Kreuz, Dipl.-Psych., psychoanalytische Praxis, Neckartenzlingen / Tübingen
Ursula Lefkowitz, Psychoanalytikerin, Rambouillet
Dr.med. Chrisian Kläui, Psychiater und Psychoanalytiker, Basel
Christian Kohner-Kahler, Bewährungshilfe, Universität Wien, FH Linz
Barbara Meyer zum Wischen, Dipl.-Psych., psychotherapeutische Praxis, Köln
Dr.med. André Michels, Psychiater und Psychoanalytiker, Luxemburg und Paris
Catherine Moser-Fride, Dipl.-Psych., Paris IV Sorbonne, psychoanalytische Praxis, Elchingen
(bei Ulm)
Andreas Gottfried Müller, Dip.-Psych., psychoanalytische Praxis, Bremen
Dr.med. Peter Müller, Arzt und Psychoanalytiker, Karlsruhe
Susanne Müller, Dipl.-Psych., Kunstwissenschaftlerin, Paris
Prof. Dr. Karl Josef Pazzini, Koordinator des Psychoanalytischen Kollegs; Universität
Hamburg, Fakultät für Erziehungswissenschaft, Psychologie und Bewegungswissenschaft,
Sektion 1, Bildungstheorie, Bildende Kunst, Hamburg
Univ.-Prof. Dr. August Ruhs, Universitätsklinik für Psychoanalyse und Psychotherapie, Wien
Avi Rybnicki, Psychoanalytiker, Tel Aviv
Dr.med Georges Schmit, psychoanalytische und psychiatrische Praxis, Brüssel
Dr. phil Bernhard Schwaiger, Dipl.-Psych., psychologischer Psychotherapeut, Neustrelitz
Rivka Warshahawsky, Psychoanalytikerin, Klinische Psychologin, Israel
Mai Wegener, psychoanalytische Praxis, Berlin
Dr. phil. Peter Widmer, psychoanalytische Praxis, Zürich
Mag. Dr. phil. Markus Zöchmeister, psychoanalytische Praxis, Salzburg

Anhang (appendix):

THE COLLEGE OF PSYCHOANALYSTS - UK

PRESS RELEASE
Under proposed new government guidelines, most forms of psychoanalysis could become
illegal in 2009. The Government aims to regulate talking therapies next year and has already
started the process of assessing the field. The Health Professions Council has been given the
task of regulating talking therapies, with its partner Skills for Health (SfH) charged with
developing National Occupational Standards for therapeutic work. Nearly all the
psychotherapy and psychoanalytic organisations protested that HPC was inappropriate for
talking cures, yet this has been totally ignored and HPC imposed as the regulator.

The psychodynamic and psychoanalytic organisations in this country are already regulated by
two main bodies (UKCP and BPC) which have been developed through the profession over
the last twenty-five years. Each of the member organisations of UKCP and BPC has strict
codes of ethics, practice and complaints procedures, and is inspected periodically by the
regulatory body. Yet the new developments will render the existing regulatory structures for
the most part obsolete. With this comes a new vision of what psychodynamic and
psychoanalytic work actually is.

For HPC and SfH, psychoanalytic work is seen more as an intervention to be applied - like a
drug - TO patients than a long and painstaking work done BY patients. This view of therapy
as an external intervention is reflected in the government's plan to 'give' therapy to young
Muslims they suspect of harbouring aspirations to terrorism: psychotherapy becomes a tool of
social control rather than a choice made by the individual to explore their own life.

A consultation process was begun by SfH in 2007, and the results just published in draft
form.More than 450 rules have been listed for psychodynamic and psychoanalytic therapy.
They dictate every aspect of how therapists should organise their sessions, how they should
'monitor' themselves and how they should carry out their work. They go into minute detail
about the timing of interventions, the setting of the therapy, its aims - and even the expression
of appropriate 'feelings'. Such an application of externally-imposed rules - most of which were
expressly contraindicated by Freud, Jung and the analysts who followed, such as Klein, Lacan
and Winnicott - removes the very foundation on which such therapies are based, namely the
freedom of both parties to work together authentically and creatively. If these rules are
accepted, then it will no longer be possible for analysts - and many therapists - to work in this
country.

The SfH project shows how analytic work is being forced into the current culture of
outcomes, where everything can be predicted in advance and evaluated in relation to the
expected results. Analysis, however, involves an open-ended relationship, where results may
emerge that were never predicted or even thought of by the person in analysis. The very
distinction between conscious and unconscious motivation that lies at the heart of analytic
work is ignored by the proposed regulations which encourage a 'false self', a box-ticking
clinician, always fearful of being watched by the authorities and anxious to please them. If
analysis has an aim, it is to help patients free themselves from irrational forms of authority,
exactly those that now threaten to constrain the work of analysts.

According to the government roadmap, HPC will establish a list of reputable practitioners,
which will mean effectively those who adopt their particular formulations as to what
psychoanalysis is about. All the documentation published to date by HPC shows a serious
misunderstanding of the nature of analytic work, together with a new insistence on 'good
character' defined in highly rigid ways. If this goes ahead, then members of the public will no
longer have the freedom to choose their analyst. Rather, they will have to select a practitioner
from a list which only includes those who practise a particular form of therapy.

How did this situation come about after the long process of consultation with the profession?
The working parties at SfH which have drafted the new rules are made up almost exclusively
of members from one single highly partisan grouping, concerned to define psychoanalytic
psychotherapy in a very narrow frame. This narrow frame fits a particular technique
developed by the Chair of the SfH National Strategy Group together with the Chair of the SfH
Working Group known as 'Mentalization Based Therapy' (MBT). Some research shows
evidence for the value of this technique for particular NHS patient categories, but it represents
a tiny minority of the total psychoanalytic therapy that is undertaken, mostly in the private
sector. Its techniques and ethical framework are entirely opposed to most traditional
psychoanalytic work.

The Working Group and the National Strategy group, under these chairs, have excluded
contributions which do not meet this narrow frame. SfH had promised seats on the working
parties to representatives of other groupings, yet these were then withheld and SfH have
admitted that they have not chosen to develop their work democratically. Requests for
documents about the consultation process obtained under the Freedom of Information Act
have shown astonishing failure to follow proper procedures and the hijacking of the
consultation by a small and ambitious group of individuals.

Thousands of therapists have been writing to MPs and politicians about the current situation,
seeking a recognition of the fact that analytic work cannot be reduced to a set of rules to be
mechanistically applied to a patient with predictable outcomes, but involves an exploration of
the meaning of an individual's history which can never be guessed in advance. Analytic work,
for the majority of analysts, should be regulated by the bodies established by the profession
and not by the State.

For more information contact:


Haya Oakley (Site for Contemporary Psychoanalysis) - 07929 559 817
Julia Carne (Psychoanalytic Consortium) - 07774 903204
Darian Leader (Centre for Freudian Analysis and Research) - 07952 520 540
Sian Ellis (Association for Group and Individual Psychotherapy) - 07949 088 963
Joe Suart (The Guild of Psychotherapists) - 07772 510 475
Anne Worthington (The Guild of Psychotherapists) - 07904 870 962
Jason Wright (Association of Independent Psychotherapists) - 0793 274 7724

1 July 2008

BCM Box 2629


LONDON WC1N 3XX
Tel: 01799 584231
Email: enquiries@psychoanalysis-cpuk.org
Website: www.psychoanalysis-cpuk.org

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