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www.imnlp-p.org
Concours
d’histoires de vie.
Dix formations de praticien
PNL
complètes et certifiantes à
gagner
(valeur : 790 € /1190 CHF)
organisé par
l’association imnlp‐p
L’association européenne des
PNListes
Pour participer visitez notre site
http://www.imnlp‐p.org
Existerions‐nous sans nos
croyances?
Ne serions‐nous pas d’abord ce que
nous croyons et en quoi nous
croyons ?
Nos croyances dirigent, dessinent et
sculptent notre parcours de vie
mais notre vie
n’est‐elle pas une succession
d’histoires ?
Dans cet espace, nous vous proposons
certaines de ces histoires de vie et nous vous
invitons à participer à cette compilation. En
attendant nous vous invitons à vous laisser
toucher par chacune de ces histoires. Ecoutez
les mots dans votre cœur aussi bien que dans
votre tête.
Savourez chaque histoire. Demandez‐vous ce
que chacune éveille en vous ? Certaines vont
vous faire rire, d’autres vont vous émouvoir.
Essayez de les saisir et de les comprendre au‐
delà des mots car ces histoires peuvent être
des métaphores. Prenez votre temps pour
comprendre leur essence.
Ces histoires sont là pour vous inspirer et vous
motiver.
Vous êtres invité à revenir plus souvent sur cet
espace et de participer à cette collection
d’histoires de vie, en nous soumettant d’autres
histoires ; la vôtre ou une autre qui vous a
touchés ou émus. Si une histoire vous émeut,
partagez‐la avec d’autres personnes, si une
histoire vous fait penser à quelqu’un que vous
connaissez, appelez‐le et racontez‐lui. De notre
côté, nous espérons que vous aurez autant de
plaisir à lire ce recueil que nous en avons eu à
l’écrire. Partagez avec nous.
Nous aimerions connaître vos réactions aux
histoires, faites‐nous savoir celles que vous
préférez and comment elles vous ont touchés.
Nous vous invitons à nous soumettre les
histoires que vous aimeriez voir publier sur cet
espace. Peut‐être seront‐elles sélectionnées
pour faire partie de la version papier et du
concours organisé par la maison d’édition de
l’association imnlp‐p.org. De nombreux prix
sont prévus dont le premier est de : 1000 euros
plus sept copies du livre.
Il était une fois un aigle …
(Histoire extraite de « L’Heure ? C’est maintenant ! »
Axel Bourgais)
Il était une fois un paysan, qui un jour, décida
d’aller chercher des herbes médicinales dans la
montagne. Pendant sa cueillette, il remarqua
un œuf, posé entre deux pierres. Il le ramassa
et de retour à la ferme, il le déposa sous une
poule qui couvait des œufs dans son poulailler.
Quelques semaines se passèrent et les œufs
ont éclos. Il y eut une bonne douzaine de petits
poussins tout jaunes et tout mignons et, parmi
eux, il y en avait un qui était plutôt chétif et
plutôt gris. Il est vrai qu’il avait quelques
difficultés à faire comme les autres : gratter le
sol pour trouver des petits vers, chanter
comme un poulet… Quelque temps plus tard le
paysan s’aperçut que c’était plutôt un aigle
mais ni les oiseaux du poulailler, ni ses frères
poulets, ni même lui ne le savaient. Alors il
passa toute sa vie à gratter le sol, à chanter
comme un poulet et à battre des ailes sans
pouvoir voler. Vers la fin de sa vie, alors qu’il
chauffait ses vieux os au soleil, il aperçut un
aigle qui volait dans le ciel. Il le regarda les
yeux plein d’admiration : cet oiseau
majestueux, avec ses ailes déployées et qui
semblait planer dans les airs. Il était ébahi de
voir un si bel oiseau et il se prit à rêver de
pouvoir lui ressembler. Un de ses copains du
poulailler venait de le rejoindre et lui dit : «
Qu’est‐ce que tu fais ? Je t’ai cherché partout !
» Il lui dit : « Regarde, regarde, cet oiseau
magnifique ! ». « Allez viens ne reste pas ici,
c’est un aigle et il vaut mieux ne pas se faire
remarquer. » dit son ami. « Viens, allons nous‐
en chercher des vers. »
L’Extra‐terrestre.
(Histoire extraite de « L’Heure ? C’est maintenant ! »
Axel Bourgais)
Il était une fois un humain qui avait invité un
gentil extra‐terrestre qui n’avait jamais visité la
Terre. Une fois arrivé sur la Terre l’extra‐
terrestre est reçu par son hôte humain et celui‐
ci le dirige vers une voiture, ouvre la portière et
lui demande de s’installer dans le véhicule.
L’extraterrestre n’ayant jamais vu de voiture ?
demande à l’humain : « C’est quoi cette
chose ?» L’humain répond : « C’est un véhicule
qui va nous servir pour aller chez moi. »L’extra‐
terrestre s’installe comme suggéré puis son
hôte entreprend de conduire la voiture. Au
cours du trajet l’extra‐terrestre demande : «
C’est un véhicule que vous, les humains,
fabriquez ? ». Son hôte lui répond : « Oui, oui.
»
Au cours du trajet l’extra‐terrestre voit des
immeubles, des gens qui s’appliquent à
construire des maisons, d’autres en train de
nettoyer la chaussée pendant que d’autres
réparent les trottoirs. Une fois arrivés devant la
maison l’extra‐ terrestre demande si tout cela
aussi est fabriqué par les humains. « Oui, oui »,
répond l’hôte. En rentrant à la maison l’extra‐
terrestre est reçu par l´épouse de son hôte et il
remarque que celle‐ci est physiquement
différente mais il se retient de poser des
questions, regarde les meubles et le décor
dans le salon de la maison et demande : « C’est
vous qui fabriquez tout cela ? » Son hôte
répond : « Oui, oui, c’est nous les humains qui
fabriquons tout cela.» « Alors comment faites‐
vous pour faire tout cela et qu’est‐ce que vous
êtes en train de fabriquer en ce moment ? »
L’hôte, réalisant que l’extra‐terrestre ne
comprend pas, rectifie : « Enfin, ce n’est pas
moi qui ai fabriqué tout cela. Ce sont d’autres
humains qui l’ont fait pour moi.» « Et vous,
qu’est‐ce que vous avez fait pour eux ? » « Je
les ai payés avec de l’argent.» « C’est quoi
l’argent ? » « Oh, l’argent, c’est un concept »,
répond l’hôte. « Un concept, que voulez‐vous
dire ? » « Eh bien, euh…c’est une
représentation abstraite, mais ce qui compte,
pour nous, les humains, c’est que nous y
croyons et ça nous suffit. » « Si j’ai bien
compris, vous, les humains, vous croyez en des
choses abstraites, mais comment les autres
savent‐ils fabriquer tout cela et pas vous ? » «
Non, non, voyez‐vous, nous, les humains, nous
sommes tous différents. Les uns sont bons à
faire une chose pendant que d’autres savent
faire autre chose, alors nous profitons du
savoir des uns et des autres. » « Ah, je
comprends » dit l’extra‐terrestre « et vous,
qu’est‐ce vous leur apportez ? » « Moi, je suis
médecin », répond l’hôte. « Et qu’est‐ce que
vous leur donnez en tant que médecin ? » « Je
leur conseille des médicaments une fois que je
sais ce qui ne va pas bien avec eux.» «
Pourquoi ? Il y a des humains qui ont des
choses qui ne vont pas bien avec eux ? » « Ça
dépend, mais il y en a qui font des choses
dures ou qui ont un travail dur ou dangereux. »
« C’est quoi dur, dangereux ? » « Dur,
euh…….je ne sais pas comment expliquer,
disons, c’est difficile, c’est le contraire de facile.
» « Je comprends, c’est quelque chose que
vous n’arrivez pas à expliquer. Et c’est quoi
dangereux ? »
« Dangereux, c’est quelque chose qui peut
détruire notre corps ou notre façon de réfléchir
et de penser… » « Alors pourquoi les autres
humains acceptent‐ils de faire ce qui peut
détruire leurs corps et leur façon de réfléchir,
est‐ce que vous les obligez à le faire ? » « Non,
non, personne n’oblige personne à faire quoi
que ce soit. » « Alors pourquoi acceptent‐ils de
faire ce qu’ils font ? » « Oh, ce sont eux qui
pensent qu’ils ne peuvent pas faire autrement.
» L’extra‐terrestre continue : « En venant ici,
j’ai vu des gens balayer, construire et d’autres
réparer le trottoir, c’est ce que vous appelez
dur ? « Oui, en quelque sorte. » « Et vous ne
voudriez pas faire ça parce que c’est dur ? » «
On peut dire ça comme ça, mais comme je
vous ai expliqué, nous sommes différents et
c’est ce qui fait notre richesse », répond
finalement l’hôte, puis, inconsciemment, il
prend la télécommande de la télévision et
l’allume. C’est l’heure des nouvelles et le
journaliste annonce et montre des images de
guerre. En voyant cela l’extra‐terrestre
demande : « Que font‐ils ces humains, ils ont
l’air de faire des choses dures et dangereuses !
» Et l’hôte répond : « Ça, c’est la guerre, ils se
battent parce qu’ils ne sont pas d’accord.»
« Pourquoi ne sont‐ils pas d’accord ? » « Ils ne
sont pas d’accord parce que chacun pense
différemment.» « Qu’est‐ce ça veut dire
différemment ? » demande l’extra‐terrestre. «
Différemment, c’est comme différent »,
répond le médecin. « Je croyais que différent
était un avantage pour vous, les humains ! » «
Oui, oui, du fait que nous sommes différents,
nous pensons différemment et chacun pense
que l’autre a tort » « Et c’est pour cela que
vous vous battez ? » « Oui, on peut dire ça
comme ça. » « Alors, pourquoi n’arrêtez‐vous
pas de penser tout simplement ? »
L’épicier.
(Histoire extraite de L’Heure ? C’est maintenant !
Axel Bourgais)
Un vieil épicier dans un quartier pauvre de la
ville avait laissé un testament à son fils : « Ne
dors que dans des draps en soie, ne mange que
du caviar et du foie gras, ne bois que du
champagne et, entre les repas, ne mange que
des petits fours et du chocolat raffiné. » Après
le décès de son père, le fils trouva le document
et partit demander à un ami de son père de le
lui expliquer. L’ami de son père lui répondit: «
Ton père est en train de te dire dans son
testament que l’information est entre les
lignes, que si tu travailles dur et que tu restes
ouvert le plus longtemps possible, en
t’allongeant n’importe où tu auras l’impression
que tu es dans des draps en soie, si tu pousses
la faim à ses limites, tout ce que tu mangeras
te semblera et t’apportera autant de plaisir
que du caviar et du foie gras, si ta soif est telle,
l’eau du robinet te paraîtra du champagne de
première qualité ! »
Le partage de l’héritage.
(Histoire extraite de « L’Heure ? C’est maintenant ! »
Axel Bourgais)
Ce vieil arabe traversait une partie du Sahara
sur son chameau. Il avait soif quand il
rencontra un gamin aux abords d’un
campement et il lui demanda s’il pouvait lui
offrir à boire. Le gamin courut vers une tente et
revint avec une gourde pleine d’eau fraîche
qu’il tendit au vieil homme. Ce dernier en avala
d’un trait le contenu et après coup seulement
réalisa qu’il avait oublié de remercier l’enfant.
Pour se racheter, il dit au gamin : « Pour te
remercier tu peux me demander tout ce que tu
veux ! » L’enfant sans hésitation lui dit « Vous
êtes sûr ? Tout ce que je veux ? » « Oui, oui »,
lui répondit le vieillard, « tu viens de me sauver
la vie ! » Sur ce, le gamin lui demande de
descendre de son chameau et de venir sous la
tente. Intrigué et quelque peu inquiet, le
vieillard s’exécute et le suit sous la tente. Une
fois sous la tente, il trouve deux autres enfants,
le plus grand le reçoit et lui dit : « Voyez‐vous
notre père vient de mourir et il nous a laissé 17
chameaux à nous partager. Nous sommes trois
frères, moi, mon cadet et le petit frère celui‐là.
Selon son testament je dois garder la moitié
des chameaux, mon frère cadet en reçoit le
tiers et le dernier le neuvième. Mais nous
avons 17 chameaux et nous ne pouvons pas
diviser selon la volonté de notre père sans en
couper un pour le mettre en morceaux car le
nombre est impair. (Eh bien, oui !!! 17 divisés
par deux, ça fait 8 chameaux plus la moitié
d’un !!!) Le vieux bonhomme réfléchit un
instant et répond: « Ah, je vois que vous avez
un problème ! Je viens de proposer à votre
frère de lui donner ce qu’il voulait. Est‐ce que
vous voulez que je vous aide à régler ce
problème ?» Ravis, les frères s’exclament «
Mais comment ? »
« Et bien je vais vous donner mon chameau »
et il continue « comme ça vous aurez 18
chameaux ! » « Toi l’aîné, tu as droit à la
moitié, ce qui fera 9, toi son cadet tu en auras
le tiers c’est à dire 6, et toi mon ami », en
s’adressant au plus petit, « tu as droit au
neuvième et par conséquent tu auras deux
chameaux. » Mais s’exclama le petit : «9 + 6 + 2
ça ne fait que 17 ! » Et le vieux de répondre
avec un sourire « et bien maintenant que mon
chameau ne vous sert plus à rien, je peux le
récupérer pour continuer mon chemin ».
L’Homme à bicyclette.
(Histoire extraite de « L’Heure ? C’est maintenant ! »
Axel Bourgais)
Un ancien gardien de port, à la retraite,
rencontre un jour une personne qu’il
connaissait quand il était responsable de la
sécurité du port et lui dit « Tiens, je te connais
toi, tu travaillais au port. Mais au fait qu’est‐ce
que tu faisais comme travail ? » L’autre le
regarde d’un air amusé, ricane et lui dit. « Oui,
oui, je te reconnais, tu me contrôlais tous les
soirs en sortant et tu avais l’air de me
soupçonner de quelque chose. » L’ex‐gardien
répond : « Oui, tu as raison, quelque chose en
moi me disait que tu n’étais pas très clair, mais
je ne savais pas ce que c’était ! » L’autre ricane
encore et répond « Et pourtant tu me fouillais
tous les jours et tu ne trouvais rien ! » L’autre
répond « C’est vrai je ne trouvais rien mais
mon instinct me disait qu’il y avait quand
même quelque chose. Alors maintenant que tu
sais que je suis à la retraite, tu peux peut‐être
me dire ? » Et l’autre lui dit : « Tu me fouillais
parce que tu pensais que je volais des choses ?
» « Oui » avoua l’ex‐gardien. « Je ne volais pas
des choses, je sortais à vélo.» « Oui, je sais, tu
étais toujours à vélo ! » L’histoire continue et
dit que le bonhomme en fait volait un vélo par
jour dans l’enceinte du port et sortait avec.
Croyez‐vous qu’une telle histoire puisse être
vraie ?
Un père, son fils et leur âne.
(Axel Bourgais)
Je vais vous raconter l’histoire d’un père qui
voulait donner une leçon à son fils. L’histoire se
passe dans un pays d’Afrique où le moyen de
transport le plus utilisé est l’âne. Ce monsieur a
demandé à son fils de l’accompagner au
marché qui se trouvait à une dizaine de kms du
village pour vendre les légumes et les fruits de
leur production. Ils ont vendu toute leur
marchandise au marché et ont pris le chemin
du retour. Le père a alors demandé à son fils
de monter sur le dos de l’âne. Pendant qu’ils
traversaient les villages, ils ont entendu les
gens dire « Oh regarde, il est sur le dos de l’âne
et il laisse son pauvre père marcher derrière ! »
Le fils, se sentant mal à l’aise, descend de l’âne
et propose à son père de monter sur l’âne pour
continuer le voyage. Et là d’autres villageois
s’exclament « Oh regarde, il voyage sur le dos
de l’âne et
laisse son pauvre fils marcher derrière ! » Alors
le père descend de l’âne et ils décident de
continuer le voyage à pied quand ils entendent
d’autres villageois dire « Oh regarde, les
imbéciles, ils voyagent à pied alors qu’ils ont un
âne ! » Sur ce ils décident de monter tous les
deux sur l’âne pour continuer le voyage. Et là,
ils entendent, en dépassant des villageois « Oh
regarde, les salauds, ils sont tous les deux sur
ce pauvre animal! » La morale de cette histoire
est bien sûr qu’on ne peut pas plaire à tout le
monde.
L’union fait la force.
(Sara Elghoul)
C’est l’histoire d’un homme qui veut donner un
exemple à ses enfants sur l’avantage de
l’union. Il ramasse des bâtons et appelle ses
enfants et leur demande de prendre chacun un
bâton et de le casser. Chacun des enfants
réussit à casser le bâton facilement. Puis le
père ramasse ensuite plusieurs bâtons et en
fait une gerbe. Il demande alors à ses enfants
de casser la gerbe. L’aîné essaie et n’y arrive
pas et les autres non plus. Ils essaient l’un
après l’autre mais en vain. C’est donc ainsi que
les enfant apprennent que lorsqu’il s’unissent
ils sont plus forts. .
Apprends à écrire tes blessures dans
le sable et à graver tes joies dans la
pierre.
(Sara Elghoul)
C’est l’histoire de deux amis qui marchaient
dans le désert. A un moment ils se disputèrent
et l’un des deux donna une gifle à l’autre. Ce
dernier, tout endolori mais sans rien dire,
écrivit dans le sable : « Aujourd’hui, mon
meilleur ami m’a donné une gifle »
Ils continuèrent à marcher puis trouvèrent un
oasis dans lequel ils décidèrent de se baigner.
Mais celui qui avait été giflé manqua de se
noyer et son ami le sauva. Quand il se fut
repris, il écrivit sur une pierre : « Aujourd’hui,
mon meilleur ami m’a sauvé la vie » Celui qui
avait donné la gifle et avait sauvé son ami lui
demanda : « Quand je t’ai giflé, tu as écris sur
le sable et maintenant que je t’ai sauvé de la
noyade, tu as écris sur une pierre : Pourquoi ?
» L’autre répondit : « Quand quelqu’un nous
blesse nous devons l’écrire sur le sable où les
vents du pardon peuvent l’effacer, mais quand
quelqu’un fait quelque chose de bien pour
nous, nous devons le graver dans la pierre où
aucun vent ne peut
l’effacer ».
Le désir.
(Extrait de : « Le Bonheur, comment ? » Claudie
Woehrlé)
Un étudiant Zen demanda à son maître quand
il pourrait atteindre la sérénité suprême. Son
maître lui répondit : “Quand ton désir sera le
plus fort, tu l’atteindras”. L’étudiant frustré et
qui avait passé des années à suivre les
enseignements de son maître pensait que son
désir était assez fort. Son maître, sentant sa
frustration, l’amena au bord d’un étang pour
lui donner une leçon sur le désir. Ils entrèrent
dans l’eau et quand celle‐ci fut au niveau de
leur taille, le maître demanda à l’élève de
s’agenouiller dans l’eau. Il l’aida même en lui
poussant les épaules et en lui maintenant la
tête sous l’eau. Après quelques minutes l’élève
commença à avoir du mal à respirer et voulut
sortir sa tête de l’eau. Son maître fit tout pour
le maintenir de force sous l’eau.
Le maître et l’élève luttèrent et finalement
l’élève put sortir sa tête de l’eau un instant et
reprendre son souffle. Plein de rage, il cria à
son maître “Vous êtes en train d’essayer de me
tuer !”. Le maître répondit “quand ton désir
d’atteindre la sérénité sera aussi fort que ton
désir de respirer, tu seras arrivé”.
Nous vous invitons à participer au
concours.
Le thème de notre concours est le
Recadrage.
Pour illustrer ce thème voici deux histoires à
titre d’exemple. La première est un recadrage
positif, et la deuxième un recadrage négatif.
1. Il y a cette histoire concernant Sir Thomas
Watson, le premier Président d’IBM. Une
jeune employée avait fait une erreur qui
avait valu la perte de 1 million de dollars
à la société. Elle fut convoquée dans le
bureau du Président et comme, en
entrant, elle dit « Vous m’avez
certainement appelée pour me
renvoyer ! » Monsieur Watson lui
répondit. « Vous renvoyer ? alors que je
viens de dépenser 1 million de dollars
pour votre éducation ! ».
2. Une mère avait deux fils. L’un d’entre eux
était un fainéant qui n’était guère motivé
pour quoi que ce soit. La mère inquiète
de voir son fils ne rien faire et rester au lit
le plus longtemps possible, vint trouver
son fils et lui dit. Tu devrais te lever et
sortir. Ton frère, ce matin, s’est levé tôt
et est sorti chercher du travail. Eh bien,
devine quoi : il a trouvé 1000 dollars sur
le trottoir. Le fils lui répondit. D’accord,
mais tu n’as pas vu celui qui s’est levé
encore plus tôt que lui et qui a perdu les
1000 dollars en question !!!
Notre association met au concours dix
formations certifiantes de praticien PNL. Nous
vous invitons à proposer votre histoire sans
plus tarder pour profiter de cette opportunité
unique.*
Proposez‐nous votre histoire en document
Word et faites‐la nous parvenir en pièce
annexe avec un e‐mail à l’adresse suivante :
concours@imnlp‐p.org
Les histoires sélectionnées seront publiées sur
le site de l’association.
N’oubliez pas de revenir sur le site de
l’association pour vérifier si vous avez gagné !
www.imnlp‐p.org
Merci pour votre participation et à
très bientôt. Bonne chance à tous !
* Pour disposer de cette formation, la carte de
membre est nécessaire (valeur : 62 €uros/120
CHF)