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Spécia ose
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légion

La sécurité de vos réseaux


Rue Robert Ancel - BP 36 - 76700 Harfleur - France - Tél : 02 32 79 60 00 - Fax : 02 32 79 60 27

Légionellose, menace sur les réseaux : flash


mieux vaut prévenir que guérir RÉSEAUX ET SANTÉ
Devant les risques encourrus par la
prolifération de la bactérie “legionella”,
les établissements recevant du public
- hôtels et surtout hôpitaux - se
mobilisent pour réduire voire suppri-
mer les risques de contamination.
A une période où la sensibilisation
du public est extrême pour tout ce
Des millions de bactéries qui touche à l’environnement, l’ali-
mentation et surtout la santé, GIRPI
se devait de prendre la parole,
puisque l’un de ses produits en
plein développement est le systè-
me HTA® pour les réseaux de dis-
tribution d’eau chaude et froide

Photos : Allard/REA
sanitaire.
La méconnaissance des paramètres
de ce sujet ultra sensible et parfois
même la totale ignorance des causes
et des moyens de prévention ainsi
Les légionelles dans le colimateur que la propagation répétée de contre
vérités évidentes, peuvent en effet
La presse relate périodiquement des cas de légionellose. Cette grave infection des voix respi- générer nombre d’erreurs aux consé-
ratoires touche prioritairement les personnes particulièrement vulnérables. Ceci le plus sou- quences fâcheuses surtout pour les
vent dans le cadre d’établissements publics, hôpitaux, cliniques, centres de soins, maisons établissements touchant la santé.
de retraite, thermes, thalassothérapies, immeubles du tertiaire, etc. L’objectif de ce GIRPI INFOS est donc
Réseaux sous haute de faire le point sur la légionellose,
LÉGIONELLOSE : CE QU’IL FAUT SAVOIR... les moyens efficaces de la prévenir et
surveillance
d’en freiner la prolifération. Vous don-
Il apparaît le plus souvent en effet que les 1) La légionellose est une pneu- le cuivre, le zinc et de boues prove- ner des informations pour vous per-
principales sources de contamination mopathie grave qui touche en nant le plus souvent de corrosion mettre de vous déterminer objective-
concernent les réseaux de distribution cen- priorité les personnes vulnérables. et d’entartrage. ment en donnant, ce qui nous
tralisée d’eau, la production d’eau chaude Elle s’attrape non par ingestion mais semble important, la préférence à
sanitaire, les tuyauteries longues avec par inhalation. 4) Il existe des moyens efficaces la sécurité et à la fiabilité sur le
boucles et bras morts, robinetteries, long terme.
pour prévenir les risque de proli-
douches, ainsi qu’humidificateurs et tours 2) La légionellose est provoquée fération des circuits et désinfecter si
de refroidissement de climatisation. par une bactérie, la legionella, qui nécessaire les réseaux, à condition
La mise en place d’un plan de prévention existe dans l’eau depuis toujours, et bien sûr que ceux-ci soient dépour- Sommaire
et de surveillance sanitaire s’est donc impo- qui reste inerte par températures infé- vus de calcaire et de corrosion. LE DÉVELOPPEMENT DES LEGIONELLA DANS
sée. Des préconisations et mesures de trai- rieures à 25°C. Elle prolifère dans les LES CIRCUITS D’EAU CHAUDE SANITAIRE . . . . . . . . p 2
tement ont été aussi précisées. circuits d’eau dont la température LA DÉCONTAMINATION DES CIRCUITS . . . . . . . . . . p 3
5) Les réseaux de production d’eau
oscille entre 25° et 45°C (eau chau- MAINTENANCE ET HTA® . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p 3
Devant ces exigences et obligations sani- chaude sanitaire et de climatisation
taires, il apparaît - comme démontré plus
de sanitaire et circuits de climatisation). peuvent être mis en cause lorsqu’ils CORROSION : UN EXPERT TÉMOIGNE . . . . . . . . . p 4
DGS - LA CIRCULAIRE À RESPECTER . . . . . . . . . . . p 4
loin - que la sécurité des réseaux passe sont vétustes, mal entretenus, cor-
par une bonne conception des installa- 3) La bactérie legionella se déve- rodés et entartrés. Ils peuvent alors POINTS DE PUISAGE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p 4

tions et la maintenance rigoureuse de loppe et se fixe surtout en présence présenter ces concentrations et ces LES FACTEURS AGGRAVANTS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p 5

celles-ci, répondant ainsi parfaitement de concentrations élevées de cal- anomalies qui constituent de véri- LES 8 POINTS FORTS DU HTA® . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P 5

aux nouveaux impératifs à respecter en caire, de magnésium et de rési- LE CHOIX DES MATÉRIAUX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P 6
tables foyers de fixation et de
matière de santé. dus métalliques tels que le fer, prolifération microbienne. LE HTA® DANS LES MILIEUX DE LA SANTÉ . . . . . . . p 6
Spécial légionellose

MAÎTRISER LE DÉVELOPPEMENT DE LA LÉGIONELLOSE


DANS LES CIRCUITS D’EAU CHAUDE SANITAIRE.
Voici en résumé les principaux points évoqués lors de la réunion CSTB de Mars 2000.
Propos repris dans de nombreuses revues professionnelles.
● Les légionelloses sont des infections respiratoires dues à des bactéries d’origine Elles prolifèrent dans les circuits d’eau lorsque la température de l’eau stagnante
hydrotellurique, les legionella. est comprise entre 25° et 45°C, en présence de concentrations élevées de calcium
Cette famille de bacilles à Gram négatifs (...) comporte 42 espèces différentes; et de magnésium, de résidus métalliques comme le fer, le cuivre et le zinc.
mais la legionella pneumophila est l’espèce la plus souvent impliquée en patho- ● La contamination des personnes exposées se fait par inhalation d’eau
logie humaine. contaminée diffusée en aérosol. La contamination par ingestion d’eau n’a pas
● Les legionella sont trouvées à l’état naturel dans les lacs et les rivières. été démontrée. IL n’y a pas de transmission interhumaine démontrée.

UN POUVOIR PATHOGÈNE DÉMONTRÉ LES RÉSEAUX D’EAU CHAUDE SANITAIRE


Les légionelloses se manifestent sous deux formes cliniques distinctes : • Des études sanitaires réalisées essentiellement dans des lieux collectifs ont mon-
tré la présence de legionella dans les circuits d’eau chaude de bâtiments tels que des
> LA MALADIE DES LÉGIONNAIRES hôpitaux, des hôtels, des immeubles du tertiaire.
pneumopathie aigüe grave, dont le traitement nécessite l’administration d’antibio- En région parisienne, des enquêtes sanitaires ont montré que près de 70% des équi-
tiques adaptés pements collectifs de distribution d’eau chaude contenaient des legionella.
• D’autres dispositifs peuvent être colonisés par des légionella : appareils individuels
- La durée d’incubation est de 2 à 10 jours (habituellement de 5 à 6 jours) d’humidification d’air, bains à remous ou à jets utilisés pour la détente, la balnéothérapie
- La mortalité est de l'ordre de 15%. Elle peut atteindre 40% chez les malades ou le thermalisme, équipements de thérapie respiratoire par aérosols, fontaines décoratives.
hospitalisés et plus chez les immunodéprimés.
LES TOURS AÉRORÉFRIGÉRANTES AUSSI
- Les facteurs prédisposants sont : l'âge croissant, l’alcoolisme, le tabagisme,
l’immunodéfficience, les affections respiratoires chroniques. • Les circuits chauds industriels ou des groupes frigorifiques utilisés en climatisation, en
froid industriel et commercial, sont des milieux favorables au développement des legionella.
> LA FIÈVRE DE PONTIAC : Les tours aéroréfrigérantes situées à l’extérieur des bâtiments sous des systèmes de refroi-
syndrome pseudo-grippal bénin, ne s’accompagnant pas de pneumonie. dissement de ces circuits chauds ; elles évacuent la chaleur vers l’extérieur en pulvérisant l’eau
en fines gouttelettes dans un flux d’air circulant à contre courant grâce à un ventilateur, ce
- La durée d’incubation varie de 5 heures à 4 jours (habituellement 24 à 48 heures) qui provoque l’entraînement d’un aérosol de gouttelettes constituant le “panache”.
- La guérison est habituellement spontanée en 2 à 5 jours. • Les aérosols des tours réfrigérantes contaminées sont susceptibles de véhiculer les
légionella sur plusieurs centaines de mètres.
> Les légionelloses sont des maladies à déclaration obligatoire depuis 1987.
• La maladie des légionnaires a été décrite pour la première fois en 1976 lors PRÉVENIR LA PROLIFÉRATION
d’une épidémie, à l’occasion du 58 ème congrès de l’American Legion à Philadelphie. • La difficulté d’évaluer avec précision le risque de la légionellose nécessite de
Depuis cette date, plusieurs épidémies ont été observées dans des immeubles col- mettre en œuvre, des mesures de prévention de la contamination, d’autant plus si les
lectifs, des hôtels ou des hôpitaux. personnes exposées sont connues pour être particulièrement vulnérables, et si les ins-
tallations techniques des bâtiments recevant du public sont à risques de prolifération
En France, 20% des cas déclarés en 1997 étaient liés à un séjour à l’hôpital ou en cli- de legionella.
nique et 10% suite à un voyage à l’étranger. L’utilisation d’eau chaude sanitaire et les
tours aéroréfrigérantes ont été le plus souvent incriminées dans ces épidémies. . L’objectif principal est de lutter contre la prolifération des legionella dans les
circuits d’eau chaude.
> Chaque responsable d’établissement de santé doit assurer un entretien régulier du
réseau, en particulier dans les zones à hauts risques infectieux et détenir un dossier
régulièrement actualisé* comportant :
- la description et plans des divers réseaux avec définition des matériaux constitutifs
- le protocole de maintenance et d’entretien de ces réseaux
- le résultat des analyses effectuées périodiquement
- s’il y a lieu, le programme d’amélioration des réseaux

• Dans les bâtiments recevant du public, la prévention de la contamination


repose d’abord sur les bonnes pratiques d’entretien :
- vidange, nettoyage et désinfection thermique ou chimique des réservoirs de
stockage au moins une fois par an, température supérieure à 60°C dans les réser-
voirs et de l’ordre de 50°C en périphérie
- chasse périodique des circuits de distribution, détartrage, rinçage et désinfection chlorée
des éléments de robinetterie au minimum tous les 6 mois.
• En cas de contamination du réseau d’eau chaude par legionella, on pratiquera une
vidange complète, un nettoyage et détartrage, un rinçage puis une désinfection et rinçage
des réservoirs ou ballons de stockage, circuits de distribution et éléments de robinetterie.
Photos : Allard/REA

La désinfection sera effectuée par hyperchloration (50 mg/l pendant 12 heures) ou


par choc thermique par élévation de la température à 70°C en sortie de robinets
pendant 30 minutes.
Dépistage de la légionellose au Laboratoire d’Hygiène de la ville de Paris * cf circulaire DGS n°98/771 du 31 décembre 1998
2
Spécial légionellose

LÉGIONELLOSE - DEUX TRAITEMENTS DE CHOC POUR


LA DÉCONTAMINATION DES RESEAUX
Pour désinfecter les circuits de distribution en bon état, il existe deux méthodes efficaces :
le choc thermique et l’hyperchloration
1) LE CHOC THERMIQUE REM ARQUES
> Elévation à 70°C de l’eau chaude de tout le réseau pour une sor- • CES 2 MÉTHODES SONT INOPÉRANTES SUR DES RÉSEAUX ENTARTRÉS.
tie effective à 70°C de tous les robinets pendant 30 minutes
• ELLES ONT UN EFFET LIMITÉ DANS LE TEMPS. MÊME SUR DES RESEAUX SAINS,
(la “legionella” meurt au dessus de 60°C), l’eau est ensuite ramenée IL FAUT LES RENOUVELER APRÈS ANALYSE.
à 55°C, conformément à l’arrêté du 23 06 78.
• ELLES NE SONT APPLICABLES QU’À LA CONDITION QUE LE RESEAU TRAITÉ SOIT
EN BON ÉTAT.
2) LE CHOC CHLORÉ • ELLES NE SONT BIEN SÛR D’AUCUNE EFFICACITÉ POUR SUPPRIMER LES CONCEN-
TRATIONS DE CALCAIRE, LES BOUES ET ENCORE MOINS LA CORROSION.
> Mesure de chloration du réseau avec hyperchloration des réser-
• LA MISE EN PLACE DE MESURES À LONG TERME PASSE DONC TOUT D’ABORD
voirs pendant 24 heures avec du chlore à 15 mg/litre de concentration
PAR LA BONNE CONCEPTION DES RÉSEAUX, AINSI QUE LE CHOIX RAI-
dans l’eau froide (ou 50 mg/litre pendant 12 heures) suivie d’une
SONNÉ DES MATÉRIAUX.
vidange et d’un rinçage soigneux de l’ensemble des canalisations.
> Si cette technique présente plusieurs avantages : économique,
agréée, pas d’accoutumance, peu polluant, contrôle aisé, elle n’est
efficace momentanément que sur des réseaux sains.

3) COMPORTEMENT DU SYSTÈME HTA® DE GIRPI


• CHOC THERMIQUE :
> Cette solution est des plus naturelle. Elle est très efficace sur des
réseaux en bon état et particulièrement compatible avec le HTA®.
Les éléments composant l’ensemble du système HTA® résistent en
effet à une pression de 6 bars et à une température de 80° C, avec
un coefficient de sécurité de 2,5. Ce coefficient est calculé pour une
durée d’utilisation de 50 ans.
Autre sécurité : le réseau en HTA® peut momentanément dépasser

Photos : Allard/REA
les 80°C, avec des pointes acceptables jusqu’à 100°C.
De plus, la faible conductivité thermique du HTA® permet d’obtenir
une température de surface conservée.
Analyse des eaux de différentes provenances au laboratoire d’hygiène de la ville de Paris
• CHOC CHLORÉ :
Cette solution est également compatible avec le HTA®. Cependant,
il convient de vérifier la parfaite compatibilité à certains produits chlo- LEGIONELLA, LEUR SURVIE DEPEND
rés du commerce pouvant contenir des additifs dont on devra s’assurer AUSSI DE LA TEMPERATURE
de leur neutralité vis à vis du HTA®. • entre 5 et 24°C > 1 an
• 35° - 2 mois
• 45 / 50° - plusieurs heures
• 50° - viabilité réduite
• 55° - inactivation en quelques minutes
• 60° - inactivation en quelques secondes

MAINTENANCE
• La maintenance et l’entretien des installations (cf circulaire du
31 12 98) sont obligatoire pour les établissements de santé. Elle per-
met d’éviter la formation de dépôts de tartre et d’oxydes métalliques,
sites de développement privilégié des légionelloses par :
Photos : Allard/REA

- des prélèvements de contrôle


- un nettoyage régulier
- un traitement approprié de l’eau
Colonies de millions de bactéries sur un milieu de culture (lab. d’hygiène de la ville de Paris) - une désinfection continue en circuit
3
Spécial légionellose

DGS - LA CIRCULAIRE A RESPECTER


POUR LES ÉTABLISSEMENTS DE SANTÉ
> La circulaire du 31 décembre 1998 de la Direction Générale
de la Santé concerne les installateurs.
Elle rappelle “qu’il est de la responsabilité des gestionnaires
d’établissements de santé de vérifier et garantir la qualité de
Entartrage (Photo CEBTP)
l’eau aux points d’usage, et de procéder au moins une fois par ans
à la recherche de legionelles”.
Donc faire en sorte que soient mises en œuvre de bonnes pra- RÉSEAUX, CORROSION, ENTARTRAGE...
tiques d’entretien des réseaux d’eau dans les établissements de UN EXPERT TÉMOIGNE
santé, ainsi que les moyens de prévention du risque lié aux
legionella dans les installations à risque comme celles des bâti- M. Thierry Gudin :
ments recevant du public. Département Pathologie Diagnostic au CEBTP.
L’essentiel des problèmes de corrosion ou de formation de
> L’arrêté de la Préfecture de Paris du 27 Avril 1999 concerne dépôts dans les circuits d’eau sanitaire (dont beaucoup sont
les groupes froids associés à une tour réfrigérante. en acier galvanisé) sont liés à trois paramètres :
- La nature de l’eau, qui doit être capable de former des couches
POINTS DE PUISAGE protectrices sur l’acier galvanisé. La minéralisation globale, la teneur
en oxygène, en bicarbonates sont les critères les plus importants ;
La circulaire du 31 12 98 précise que les prélèvements pratiqués dans
- La conception de l’installation, et notamment les dimensionnements ;
le cadre de l’autosurveillance doivent être effectués au niveau du
- Les conditions d’exploitation, et principalement la circulation de
réseau par des points de puisage. Il convient alors de prévoir un l’eau (volume et fréquence des puisages), car les couches protectrices
nombre de prélèvements suffisants pour décrire la colonisation de la se formeront d’autant mieux que l’eau circulera convenablement (il est
legionella. de nombreuses installations où il existe des bras morts, où peuvent
Or, précisément, GIRPI a développé tout un système de pièces s’amorcer des corrosions, mais aussi où peuvent se développer des
avec filetage métallique permettant de se raccorder facilement nids bactériens).
avec toutes sortes d’appareils. Lorsque des phénomènes de corrosion se développent au niveau des
surfaces métalliques, ils engendrent la formation des pustules pouvant
permettre, lors d’une contamination bactérienne du réseau, de deve-
nir des foyers d’infection potentiels.
Pour ce qui est de la légionellose, le diagnostic d’un réseau, en
dehors des aspects sanitaires, doit passer par les étapes suivantes;
- Examen complet du réseau, et repérage des éventuelles anoma-
lies de conception ou de réalisation ;
- Analyses d’eaux pour détecter, d’une part le passage en solu-
tion éventuel de métaux tels que le zinc, le fer ou le cuivre (phéno-
mène de corrosion) et d’autre part connaître également sa minérali-
sation globale ;
- Examen sélectif de tronçons de canalisations, pour évaluer leur
état interne (présence de dépôts, profondeur de corrosion, etc).
Le traitement de la légionellose peut se faire à l’aide de produits chlo-
rés, ou par chocs de température (à 70°C et ouverture de tous les
points de puisage). Dans les deux cas, il faut être assuré que l’instal-
lation est en bon état, car ces traitements risquent de fragiliser les
matériaux mis en oeuvre.
Le C-PVC se prête plus facilement aux opérations de déconta-
mination, et par ailleurs, il y a beaucoup moins de chance de voir
des dépôts se former à sa surface, car ce matériau est plus inerte que
le métal, vis à vis de l’eau véhiculée.
Malgré tout, des phénomènes d’entartrage sont possibles et dépen-
dent exclusivement de la nature de l’eau (équilibre calco-carbonique
et température).
L’essentiel de notre activité dans ce domaine consiste dans l’expertise
des réseaux (syndics, exploitants, assurances ou judiciaire dans le cas
de sinistres). Nous avons également un devoir de conseil vis à vis des
installateurs tant sur la bonne conception du réseau que sur le choix
des matériaux par rapport à la qualité de l’eau, les conditions d’en-
tretien, ceci afin d’obtenir la plus grande longévité possible du réseau.
4
LE TARTRE ET LA CORROSION : LES 8 POINTS FORTS DU HTA® EN RÉPONSE
LES “AMIS” AUX IMPÉRATIFS D’HYGIÈNE ET DE SÉCURITÉ
DE LA LÉGIONELLOSE 1 - Le HTA® possède son attestation de conformité sani-
taire (99 MAT-PA 017)
2 - Le HTA® propose un système complet, fiable et
pérenne pour la distribution d’eau chaude et froide sani-
taires (colonnes montantes et climatisation réversibles)

Corrosion interne (photo CEBTP) 3 - Le HTA® résiste à 6 bars à 80°C et 4 bars à 90°C
(même avec coups de béliers répétés) et supporte parfai-
tement les “chocs thermiques”
4 - Le HTA® est anticorrosion et n’est pas attaqué par les
eaux agressives. Il est compatible avec le “choc chloré”
5 - Le HTA® limite l’entartrage, facteur de prolifération
microbienne. En cas d’entartrage de la canalisation, le
HTA® est parfaitement compatible avec les produits per-
Entartrage (Photo CEBTP)
mettant la dissolution du calcaire.
6 - Le HTA® est neutre et compatible avec les fluides
alimentaires
7 - Le HTA® est ininflammable : classé M1 CSTB et Veritas
marine classe 1 (N° RA 98-559-1)
Piqûres et cratères (Photo CEBTP)
8 - Le HTA® est imperméable à l’oxygène : évitant ainsi la
formation de boues favorisant le développement microbien.
➤ EN MATIÈRE DE LÉGIONELLOSE, LE RISQUE
ZÉRO N’EXISTE PAS

➤ CEPENDANT, LA BONNE CONCEPTION DU HTA ®

RÉSEAU ET LE CHOIX JUDICIEUX DES MATÉ- Fiabilité et longévité


RIAUX PERMETTENT DE LIMITER DÈS LE
DÉPART, LES RISQUES DE PROLIFÉRATION DANS
LES CIRCUITS.

LES FACTEURS AGGRAVANTS


● eaux stagnantes
● bras morts / boucles
● température de 25 à 45°C
● formation de biofilm
● dépôts et concentrations de tartre
● boues et sédiments dus à la corrosion
● concentration, même basse, de certains métaux
tels que fer, zinc, et substances chimiques comme le potassium
● installations vieillissantes SYSTÈME HTA® : LA SOLUTION EFFICACE
POUR LES MESURES PRÉVENTIVES ET CURATIVES
● mauvais entretien
5
LUTTE CONTRE LA LÉGIONELLOSE :
COURT TERME OU LONG TERME,
C’EST À VOUS DE DÉCIDER...
Tours aéroréfrigérantes, circuits de distribution d’eau chaude, le
développement de la legionella est accéléré sous certaines
conditions. La conception des réseaux et le choix des matériaux
sont déterminants dans la lutte contre cette bactérie.

DÉCONTAMINATION OUI !
MAIS À CERTAINES CONDITIONS...
Pour être pleinement efficace et durable, la décontamination doit être
effectuée sur des réseaux sains, sans bras morts, sans tartre et sans
corrosion. TARTRE ET CORROSION
= FOYERS D’INFECTION
• Le réseau à traiter devra donc impérativement être détartré et
nettoyé au préalable, car il est impossible de désinfecter effica-
cement un réseau encrassé.
Le détartrage est une opération difficile, onéreuse et sujette à de nom-
breuses contraintes : en milieu hospitalier, il est difficile de pouvoir
arrêter complétement un réseau pour le nettoyer.

Photos : CEBTP
Problématique : comment désoxyder un réseau déjà atteint par la
corrosion ou même percé ? (comme le sont de nombreux circuits ins-
tallés depuis plus de 10 ans).
NEUF OU RÉNOVATION, CES ÉTABLISSEMENTS DE SANTÉ OU
Dans bien des cas la meilleure solution peut être de procéder à la DE THERMALISME ONT FAIT CONFIANCE AU SYSTÈME HTA®.
rénovation du réseau avec des matériaux présentant des risques
d’entartrage moindre et insensibles à la corrosion. Hôpital du Havre - Centre hospitalier de Roanne - Hôpital de Somain (près de
Valenciennes) - Centre hospitalier de Sablé-sur-Sarthe - Résidence du 3ème âge “La Bole
Eden” à La Baule - Centre de cure de La Roche Posay - Thermes de Prechacq - Hôpital
SYSTÈME HTA® DE GIRPI : MAINTENANCE PLUS FACILE de Dax - Hôpital de Niort - Hôpital de Caen - Thermes de Bains les Bains - Maison de
retraite de Sinceny).
- Matériau neutre et inerte, le sys- l’emploi de produits acides
tème HTA® de GIRPI est parfaite- n’ayant pas d’attaque sur les
ment insensible à la corrosion et parois du réseau.
limite l’entartrage. - Imperméable à l’oxygène,
- De plus, la nature même du il empêche la formation de

- GIRPI : RCS Le Havre B 719 803 249 / 06-00


matériau permet de détartrer la boues générant la prolifération
canalisation si nécessaire par microbienne.

MIEUX VAUT PRÉVENIR


QUE GUÉRIR
RCS TOURS B 413 698 143

LA SÉCURITÉ DES RÉSEAUX PASSE OBLIGATOIREMENT PAR : Hôpital du Havre

- LEUR BONNE CONCEPTION ECRIVEZ-NOUS !


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à votre écoute pour assurer votre présence dans nos prochains numéros.
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