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Les artistes

pendant la
première guerre
mondiale
„Gdy doszło do wojny między Francją
a Niemcami, po pierwszym akcie
świetności Montparnasse’u brutalnie
upadła kurtyna. Jak wszędzie we
Francji, życie stanęło w miejscu, ale
Montparnasse wojna zaskoczyła w
chwili wielkiej przemiany, a teraz
skończyło się wszystko”
Les lieux culturels de
rencontres des artistes
La Rotonde

- une célèbre brasserie du quartier du


Montparnasse à Paris
- créée en 1910 par Victor Libion
- elle deviendra un des lieux les plus
fréquentés par les artistes et les écrivains
de l’entre-deux-guerres
- après quelque temps, la Rotonde est devenue
l’état-major général des révolutionnaires russes;
les gendarmes y entraient souvent pour vérifier
les papiers des habitués du café
- Roger Wild a dit :„W Rotonde pozostali tylko
ludzie ze świata przestępczego.... Wszyscy
wyruszyli na front lub zaciągnęli się do wojska....
La maison des amis de
livre
- Fondée en 1915 par Adrienne Monnier
- une librerie et une bibliotheque

- le role culturel important pendant 20 ans

- les artistes comme : Léon-Paul Fargue, Paul


Léautaud, Max Jacob, Erik Satie lisaient leurs
poèmes
- la maison publiait aussi les livres

- le lieu des rencontres des artistes venant


d’Amérique
Le Dôme
- un restaurant à Montparnasse à Paris
- créé en 1898
- il deviendra un des lieux les plus
fréquentés par les artistes, écrivains,
peintres, sculpters, poètes, manequins,
connesseurs d’art et marchands
- connu aussi sous le nom "the Anglo-
American café"
6, rue Huyghens

- la maison d’un peintre suisse, Emile


Lejune
- à partir de 1916 il a décidé d’inviter les
artistes pour qu’ils se rencontrent, lisent
leur poèsie et montrent leur tableaux chez
lui
Les magazines
SIC
-Son, Idées, Couleurs, Formes – Dźwięk,
Myśli, Kolory, Kształty
- remplace le magazine « L’Elan »
- créé par Pierre Albert-Birot (un poète, un
sculpteur et vendeur des cartes postales)
- présente la vie culturelle à Paris tandis
que les autres magazines ne parlent que
de la guerre.
Nord-Sud
- le nom vient de la ligne de métro de Paris de
Montrmartre à Montparnasse
- présente la vie culturelle à Paris tandis que les autres
magazines ne parlent que de la guerre
- le premier numéro publié en 1917et le dernier en mai
1918
- fondé par Pierre Reverdy qui a pariticipé à la guerre,
démobilisé en 1914
- les artistes écrivant les articles: Max Jacob, baronne
d’Oettingen, Guillaume Apollinaire; et après: André
Breton, Tristan Tzara, Philippe Soupault, Louis Aragon,
Jean Paulhan.
Pola magnetyczne

- créé par Philippe Soupault


- adversaire de la guerre, son colère
exprime en écrivant les articles pleins de
rage
Les artistes qui ont
participé à la guerre
Blaise Cendrars
- un écrivain d'origine suisse, naturalisé français en 1916.
- il participait dès le début à la guerre de 14-18 comme
engagé volontaire : gravement blessé en 1915 en
Champagnie, il sera amputé du bras droit
- il voyageait alors au Brésil
- les oeuvres: Les Pâques à New York, La Guerre au
Luxembourg, J'ai tué, Profond aujourd'hui
- « plus belle nuit d'écriture »
- il reprochait aux autres artistes de ne pas avoir participer
à la guerre
« Mille millions d'individus m'ont consacré toute leur activité d'un
jour, leur force, leur talent, leur science, leur intelligence, leurs
habitudes, leurs sentiments, leur cœur. Et voilà qu'aujourd'hui j'ai le
couteau à la main. L'eustache de Bonnot. « Vive l'humanité ! » Je
palpe une froide vérité sommée d'une lame tranchante. J'ai raison.
Mon jeune passé sportif saura suffire. Me voici les nerfs tendus, les
muscles bandés, prêt à bondir dans la réalité. J'ai bravé la torpille,
le canon, les mines, le feu, les gaz, les mitrailleuses, toute la
machinerie anonyme, démoniaque, systématique, aveugle. Je vais
braver l'homme. Mon semblable. Un singe. Œil pour œil, dent pour
dent. À nous deux maintenant. À coups de poing, à coups de
couteau. Sans merci. Je saute sur mon antagoniste. Je lui porte un
coup terrible. La tête est presque décollée. J'ai tué le Boche. J'étais
plus vif et plus rapide que lui. Plus direct. J'ai frappé le premier. J'ai
le sens de la réalité, moi, poète. J'ai agi. J'ai tué. Comme celui qui
veut vivre. »
Guillaume Apollinaire
- au front de combat, dans la petite forêt Buttes il
écrivait les poèmes pour le SIC et les lettres à
Madeleine – sa première amante
- le 17 mars 1916 il a été blessé à la tête, il a été
opéré et démobilisé; il est rentré à
Montparnasse
- il est bien deçu de voir les autres artistes rester
les bras croisés
- il s’est engagé à créer le SIC, il encourageait les
autres artistes pour colaborer avec ce magazine
- le plus célèbre de Montparnasse
Jacques Vaché
- il est parti au front de combat, mais il a
abondonné le champ de combat pour les raisons
personelles – il ne voyait pas de sens de la
guerre, il était pour la révolution totale – le
dadisme une des manierès de s’exprimer
- malgré la guerre il a conservé le comportement
naturel (libre), une apparence sympathique, une
insubordination décidée
- il est mort à l’âge de 22 ans, après avoir exagéré
la dose de l’opium
Max Jacob

- il ne faisait son service militaire qu’un mois


à Enghien comme un sanitaire civil
- pendant son service il classait ses
poèmes et pensait à les publier après sa
mort
Möise Kisling
- blessé dans un combat corps à corps à
Carency
- démobilisé après la bataille à Carency
- il s’est installé à Montparnasse où il
menait une vie très libertine
Georges Braque
- nommé sergent, puis lieutenent
- en 1915 il participait à la bataille de
Carency
- gravement blessé à la tête, il a eu une
opération
- en 1916 démobilisé
Fernand Léger

- il se battait sous Argonie et Verdun


- il s’est fait la victime du gaz de combat
- démobilisé quelques mois avant la fin de
la guerre
André Derain

- il a participé à la hécatombe sous Verdun


et au Chemin des Dames
Roger de La Fesnaye

- il rendait son service à l’infanterie jusqu’à


ce qu’il est tombé malade de tuberculose
en 1918
Les artistes qui
ont restés à
Montparnasse
pendant la guerre
Pablo Picasso

- il peignait beaucoup et était très connu


pour ses tableaux
- il avait de nombreuses amantes, une
femme
- faux ami avec Jean Cocteau, il éprouvait
le mépris pour lui
Jean Cocteau
- cherchait à être connu par l’attention qu’il portait
vers les personnes connues (les musisiens, les
peintres, les princesses ou les impératrices)
- cherchait à être auprès de Pablo Picasso parce
qu’il savait que ce dernier serait célèbre
- il faisait tout pour obtenir son portrait signé
Picasso, c’était son but, mais il a échoué
- il adorait les ballets russes, il les frequentait
souvant
- il a écrit son propre ballet Le Dieu bleu
avec la musique de Reynaldo Hahn,
représentée en 1912 par les ballets
russes
- si les maîtres (les artistes) de Paris sont
partis, „Il est à prendre”
Francis Picabia

- il a reçu l’appel sous les drapeaux, mais il


était pour peu de temps just le chauffeur
d’un officier, puis, grâce à son père, il est
parti pour Cuba dans un voyage „de
service”
- il voyageait beaucoup entre l’Amerique et
l’Europe
Arthur Cravan

- il menait une vie libertine à Paris


- il est parti pour l’Amérique où il a fait un
scandal et s’est enfui en Canada
Les fêtes
- International Exhibition of Modern Art – à New York, le
17 février 1913
- 31 décembre 1916 à Palais d’Orléan 200 de personnes
se sont ressemblées pour feter la publication de Poète
assassiné de Apollinaire
- à théâtre Châtelet on a représenté Prada, un liberetto de
Jean Cocteau avec musique de Eric Satie et le décore
de Pablo Picasso; la pièce a évoquée une vive émotion
de public et également la critique de la presse
- les noces de Kisling et Renée-Jean, le plus belle fête de
Montparnasse
- le 24 juin 1917 au théâtre Renée-Maubel on a
représenté Cycki Terezjasza une pièce dont le sujet
principal était la natalité; un grand événement
d’avangarde où les acteurs encourageaient au
libertinage, aux jeux, à la provocation et également à la
procréation; la pièce a provoqué de nombreux
commentaires, les critiques et les protestes
- en mai 1913 au théâtre Champs-Elysées on a
représenté la Fête de Printemps de Igor Strawiński, un
vrai scandal digne la première de Hernani; le public s’est
partagé en deux partis – les adeptes et les adversaires
de la pièce
Les cubistes et la guerre
- c’est les cubistes qui ont pensé pour la premièr
fois au camouflage d’équipement d’armée !
- Lucien Guirand de Scevola dirigeait le premier
groupe de camouflage – au debout 30
volontaires, 3 ans plus tard - 11 000 de
producteurs
- les peintres et les sculpteurs sans experience en
matière de la guerre défendent la patrie comme
ils peuvent – en créant des objets qui n’existent
pas, en colorant ceux qui existent déjà pour les
faire ne pas exister
Bibliografia
 Franck D.„Bohema. Życie paryskiej cyganerii na
początku XX wieku”, wyd. Iskry, [b.m.], 2000.
 http://fr.wikipedia.org/wiki/J'ai_tu%C3%A9

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