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SITUATION SUR LES ENERGIES

RENOUVELABLES EN REPUBLIQUE
DEMOCRATIQUE DU CONGO

Partant des séances de travail avec les services des ministères du Plan, de
l’Energie et de l’Environnement et Développement rural.
TABLE DES MATIERES

Pages
I. Introduction 3–4
II. Potentialités énergétiques
en RD Congo 5-8
a. Hydroélectricité 5
b. Energie solaire 6
c. Energie éolienne 6
d. Biomasse 7
e. Géothermie 8
f. Biocarburant 8
III. Constat (Contraste) 9
IV. Apport de l’Eglise 10 - 11
V. Objectifs 12
VI. Etat des lieux 13
VII.Stratégies 14
VIII.Quelques réalisations 15 – 21
IX. Signature 22
I. INTRODUCTION

Le conseil mondial de l’énergie a circonscrit en trois grands


thèmes les enjeux énergétiques du XXI è Siècle qui sont :
l’accessibilité, la disponibilité et l’acceptabilité.

Il va sans dire que la diversité des situations démographiques,


économiques et la répartition géographique inégale de l’énergie
n’appelle pas une réponse unique.

Toutes les formes d’énergie sont sollicitées et mises en branle :


fossiles, fissiles et renouvelables.
Dans le cadre de la convention cadre sur le changement
climatique de Rio signée en 1992 et des accords de Kyoto de
1997, respectivement ratifiés en 1995 et 2005, la République
Démocratique du Congo est partie prenante de la logique du
développement durable qui préconise l’utilisation accrue des
énergies renouvelables pour la protection de l’environnement.

Le secteur de l’électricité est retenu dans le cadre du Document


de Stratégie de Croissance et de Réduction de la Pauvreté
(DSCRP) adopté par le Gouvernement, comme un des facteurs
importants du développement socio-économique et industriel,
mais aussi de croissance et de stabilité régionale.
II. POTENTIALITES ENERGETIQUES EN REPUBLIQUE
DEMOCRATIQUE DU CONGO

La République Démocratique du Congo de par sa superficie


regorge une inestimable potentialité énergétique.

a. Hydroélectricité
Le potentiel hydroélectrique est énorme mais jusqu’à présent
faiblement exploité. En effet, le potentiel exploitable est de
évalué à 774.000 GWh, soit 66% du potentiel de l’Afrique
Centrale, 35% du potentiel global du continent africain et 8% du
potentiel mondial.
b. Energie solaire
Le potentiel solaire de la RDC est considérable. Les mesures
d’ensoleillement réalisées dans des différentes stations
météorologiques du pays renseignent que la RDC se trouve dans
une bande très élevée dont les valeurs sont comprises entre
3250 et 6000 Wh/m2/jr

c. Energie éolienne
Le potentiel éolien n’est pas encore évaluer. Il existe toutefois
certaines zones telles que la zone côtière, le haut plateau de
Kundelungu et la région des grands lacs où les vitesses
moyennes de vent peuvent atteindre des valeurs supérieures ou
égales à 5m/s.
A l’instar des zones citées ci-dessus, nous nous posons des
questions sur les rivages d’autres lacs de la R D Congo.
d. Biomasse
La RDC dispose d’environ 125 millions d’hectares de forêts dont
120 millions ha de forêt équatoriale et 5 millions ha de forêts
galerie, marécageuses et d’altitude. Le potentiel de bois est de
12,5 milliards de m3, soit 100 m3 de bois par hectare avec une
production annuelle de 2 m3/ha.

La Biomasse est la seule ressource énergétique véritablement


abondante et la plus exploitée du pays. Elle satisfait l’essentiel
des besoins en énergie des ménages, notamment comme
combustible pour la cuisson et le chauffage.

Nous signalons également la présence de la tourbe dont


l’exploitation ne peut être possible qu’à côté d’autres activités.
e. Géothermie
A l’heure actuelle, il n’y a aucune application de la géothermie en vue
de la production de l’énergie électrique en RDC. Cette forme d’énergie
se trouve à l’Est du pays.

f. Biocarburant
Une technologie nouvelle qui permet de réduire la
dépendance vis-à-vis du pétrole, mais aussi il faut craindre la
concurrence avec l’alimentation humaine.

L’option serait d’orienter les recherches vers les oléagineux


non comestibles tels que le jathropha ou autres plantes
comme l’hévéa qui en plus du latex de grade valeur
commerciale, ses graines sont très riches en huile. Une
opportunité à saisir par les chercheurs.
III. CONSTAT (CONTRASTE)

Malgré l’abondance potentielle d’énergie, le taux


d’électrification est inférieur à 10% pour l’ensemble du pays et
inférieur à 1% dans les milieux ruraux où vivent plus de 86% de
la population total, dans la pauvreté.
Conscient du contraste entre les ressources potentielles et la
desserte effective en énergie;
Vu le rôle de l’énergie dans le développement intégrale de
l’homme et d’une nation;

Les pouvoirs publics de la RD Congo se sont engagés à


améliorer les conditions de vie des populations rurales afin de
leur permettre d’accroitre leurs revenus et accéder aux services
sociaux de base.
IV. APPORT DE L’EGLISE

La République Démocratique du Congo étant dans sa phase de


reconstruction a besoin de la contribution des tous. L’Eglise du
Christ au Congo en tant que partenaire de l’Etat dans plusieurs
domaines de la vie nationale est appelée à apporter sa
contribution dans ce processus de reconstruction.

D’où, l’intérêt de relancer et de redynamiser les activités de


développement en mettant sur pied des structures appropriées
dans les différents domaines de développement.
Tel est le cas de BATIR, Bureau d’Architecture, Technologies
appropriées et Infrastructures Rurales, qui au-delà des
réalisations en infrastructures en général, a déjà, à son actif
plusieurs réalisations en microcentrales hydroélectriques.

L’énergie solaire et l’énergie éolienne n’étant pas encore


suffisamment expérimentées, le moment est à la création d’un
franc partenariat pour le transfert des technologies de ces
types d’énergies.

ECC/BATIR est disposée à mettre toutes ses compétences à


contribution pour aboutir à des résultats concrets et palpables.
V. OBJECTIFS

OBJECTIF GLOBAL
Contribuer à l’amélioration des conditions de vie des
populations rurales afin de leur permettre d’accroitre leur
revenus et d’accéder aux services sociaux de base.

OBJECTIFS SPECIFIQUES
Améliorer l’accès à l’énergie en milieu rural à partir de toutes
les formes d’énergies nouvelles et renouvelables non polluantes
et faciliter leurs applications aux activités productrices des
revenus.
VI. ETAT DES LIEUX
Le constat général et sans exception, est le contraste flagrant
entre l’abondance potentille de l’énergie et la faible desserte
des populations en électricité ou en autres formes d’énergie.

C’est là un motif d’interpellation de tout un chacun et un sujet


de questionnement profond afin d’élucider les causes d’un tel
contraste et d’y apporter les solutions appropriées :

•Quels sont les problèmes?


•A quel niveau se situent-ils?
•Quel type de partenariat ?
•Quels sont les acteurs ou les animateurs ?
•Quels sont les stratégies à mettre en œuvre ?
•Pour quels objectifs ?
VII. STRATEGIES
Partant du diagnostique des problèmes et du processus de
transfert des technologies :
1) Le transfert des technologies doit se faire avec
l’accompagnement des producteurs de ces technologies ;
2) La production d’énergie pouvant être utilisée dans la
transformation industrielle, artisanale ou appliquée aux
activités permettant l’amélioration de la vie ;
3) L’ approche progressive, partant la mise en place des
échantillons expérimentaux et la maitrise de maintenance;
4) La mobilisation des ressources (humaines et financières) ;
5) La régulation du triangle des relations entre les bailleurs, les
fabricants et les bénéficiaires;
6) L’accompagnement et le renforcement de capacité des
agents de transfert et des bénéficiaires, afin d’assurer la
mise en place et la maintenance.
VIII. QUELQUES REALISATIONS
MCH LUHELA 7KVA presse à huile
MCH NDOLUMA KITSOMBIRO 39 KVA fourniture d’électricité
MCH NDOLUMA KITSOMBIRO 39 KVA fourniture d’électricité
MCH GOMBE MATADI 44 KW fourniture d’électricité
MCH GOMBE MATADI 44 KW fourniture d’électricité
MCH GOMBE MATADI 44 KW fourniture d’électricité
Merci pour votre attention

Intervention

de

Jean-Luc Ekwa MponyoM B


Ingénieur Civil des Constructions A.Ir.Br.
Directeur National
ECC/BATIR

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