Documente Academic
Documente Profesional
Documente Cultură
DEFINITION LAROUSSE
Procédé de fabrication
Procédé de fabrication
- Minerai de Fer / Charbon
Mode de Transport
- Chemin de fer / Canaux
Procédé de fabrication
Procédé de fabrication
- Les moteurs sont fournis par DODGE
- Un métier de main d ’œuvre / besoin de ressources
- Métiers difficiles / contraintes sociales
UN PEU D ’HISTOIRE
• 1945-1975 : Les années de croissance : Il faut produire
Tout se vend : La qualité ? Les délais ? Les coûts ?
Une logistique de juxtapositions de moyens : circuits longs , optimisation de chaque
maillon, peu de coordination globale.
Un approvisionnement poussé : chaque intervenant fabrique sur base de prévisions :
le marché absorbe tout.
La Logistique est essentiellement une fonction de transport/ un champ d ’action
limité à l ’interne de l ’entreprise
•
Dominique CARLIER HEI 7 Décembre 2005
SCM - SUPPLY CHAIN MANAGEMENT
UN PEU D ’HISTOIRE
•
•1985-1995 : apparition de la notion de chaîne logistique
Mondialisation de la production , spécialisation des unités de production ,
Début de la logistique partagée , les interfaces logistiques deviennent des lieux
d ’affrontement , externalisation des opérations logistiques
Début du pilotage de la chaîne Logistique.
Depuis 1997, pilotage mondiale de la Supply Chain : mise en place d ’un système d ’info
mondial
Les usines à travers le monde ont des process standardisés , peuvent se remplacer les
unes les autres,
Lors du lancement d ’un nouveau produit (agrément aux USA) , coordination mondiale, pour
assurer une mise en place mondiale la plus rapide possible : les enjeux économiques sont
colossaux
La clé du succès
4 grands processus
PLANIFICATION
Flux physiques
Flux d’informations
Flux financiers
2- Les processus
C’est le référentiel qui coordonne les ressources de chaque fonction interne
et les relations avec les clients et les fournisseurs en utilisant un vocabulaire
commun .
Il décrit :
- en détail les modes opératoires pour les 4 grands processus du SCM (Planifier,
Approvisionner, Fabriquer, Livrer)
- les indicateurs de benchmark permettant de comparer la performance interne
à l’externe
- les meilleures pratiques associées à chaque grand processus et activité de détail
- les meilleures pratiques spécifiques à l’entreprise
Les processus ainsi décrits peuvent aisément être modifiés , adaptés ou
reconfigurés en fonction des nouvelles demandes et/ou du comportement des
marchés
2- Les processus
3- La gestion de la performance
Cette gestion basée sur des éléments factuels doit permettre
de mesurer l’efficacité des processus , leur évolution et de
pouvoir les benchmarker régulièrement avec d ’autres sociétés
Service client :
performance de la livraison , taux de service , délai de livraison , taille du
lot économique
Flexibilité réactivité :
temps de réponse de la chaîne logistique , flexibilité de production , mini
de commande
Coûts :
coût total d ’acquisition , coût de SAV , coût de reverse logistique
Actifs :
cycle de rotation de liquidité , rotation des stocks , rotation des capitaux
5% de productivité par an
Achats : représentent 60% du prix de revient, et donc 60% des sources de productivité
Coordination des équipes Achat, qui travaillaient chacune « dans leur coin » par ligne de produit
Même démarche que Toyota : envoie de ses experts chez les sous-traitants pour améliorer la productivité
La clé du succès
Société espagnole
Un approvisionnement basé sur 2 saisons (Eté / Hiver) est abandonné
Une création produits permanentes / Une politique de série très courtes
On ne re-fabrique pas ce qui a été vendu :
Un crée et on fabrique ce qui va remplacer la série précédente
Un stock central
QUELS SONT
LES ENJEUX ?
Agro-alimentaire Textile, Commerce et Automobile Pétrochimie pharmacie machines outils informatique Machines Papiers et
Boisson Tabac Habillement, cuirs distribution équipement de caoutchouc Cosmétique produits électronique électriques, produits annexes
transport métalliques électroménagers,
imbriques équipement
bureau
Logistique PdV
3,8
(coût financier des stocks inclus)
3,8
9.4%
2,3
Distributeur 8.9% Transport vers PdV
1,3
Logistique CdD
(coût financier des stocks inclus)
3
3,6
0,3
0,2
0,9
0,6
Organisation commerciale 2,5
2,5
Env. 60 j Env. 8 j
1,3
9
1
Distributeur
32
23
3,3
14 0,8
26 Producteur
2,2
11
Usine Entrepôt Entrepôt CdD PdV Total Usine Entrepôt Entrepôt CdD PdV Total
Central Régional Central Régional
Productivité 10 à 15%
Règles de fonctionnement :
• Les saisonniers , les opérations, et les
« volumineux » sur 3 sites.
• Les produits permanents et forte valeur
uniquement sur le site de Paris
Centres de
distributions
Distribution nationale
Distribution régionale
Doua
Amiens i
Blanquefort
Région Est
Région Sud
MERCI
C
CAHIER DES CHARGES :
Document écrit associé au contrat commercial formalisant les obligations
(réglementaires, administratives, techniques, de sécurité…) des parties en
présence (un industriel et son prestataire de services logistiques par exemple).
CHAINE LOGISTIQUE :
Ensemble des entreprises interdépendantes (considérées comme les différents
maillons de la chaîne) se coordonnant dans la réalisation des activité
(approvisionnement, production et distribution) pour assurer la circulation des
produits ou services de leur conception à leur fin de vie (service après vente et
logistique de retrait) .
E
ERC : EFFICIENT CONSUMER RESPONSE, REPONSE OPTIMALE AU
CONSOMMATEUR :
Démarche de coopération entre entreprises industrielles et distributeurs dont
l’objectif est d’accroître la satisfaction client tout en améliorant la performance
économique des entreprises qui y concourent. L’ERC cherche à optimiser
l’assortiment des points de vente et à améliorer la performance des actions
promotionnelles en s’appuyant sur l’utilisation de techniques ou outils spécifiques :
modes de communication (EDI)
système de gestion (GPA, Category Management, cross-docking)
Activity Basel Costing
F
FIFO : FIRST IN FIRST OUT (), PREMIER ENTRE PREMIER SORTI :
Méthode de valorisation comptable des sorties de stocks qui consiste à “ extraire ” les
articles dans l’ordre où ils sont entrés. Cela conduit à une individualisation fictive des
lots sur la fiche de stocks et, en période d’inflation, à des coûts de sortie plus faibles et
donc des résultats analytiques gonflés.
FLUX POUSSES :
Modèle de pilotage des flux qui consiste à partir d’une prévision de la demande sur
les marchés de l’entreprise, à établir un plan de production permettant d’y
répondre. A partir de ce plan de production, les programmes directeurs de
production et d’approvisionnement sont définis de manière à créer le moins de
stocks possible (stock minimum) et à éviter les ruptures.
FLUX TENDUS :
Modèle de pilotage en flux tirés dans lequel les quantités produites correspondent
au plus juste à la demande du marché. Le Juste-à-Temps est un modèle de pilotage
en flux “ hyper-tendus ”.
FLUX TIRES :
Modèle de pilotage des flux qui consiste à déterminer les quantités à produire ou à
assembler à partir de la demande (commandes fermes) de manière à la satisfaire
immédiatement. Les flux tirés, dont l’objectif principal est de supprimer les coûts
engendrés par la possession de stocks à tous les niveaux de la chaîne logistique,
peuvent être plus ou moins tendus en fonction de la marge de sécurité fixée par
l’entreprise.
J
JUSTE-A-TEMPS (JAT) :
Modèle de pilotage en flux tendus développé initialement par
l’ingénieur Taiichi Ohno chez Toyota qui consiste à contrôler et à
maîtriser le système de production afin de supprimer toutes les
sources de gaspillage, notamment celles liées aux stocks
intermédiaires et à la non-qualité. Ainsi, la production est égale à la
demande à tous les stades du processus.
FIN