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Ecole Polytechnique D’architecture & D’urbanisme


Atelier 4 groupe 9
Rapport de l’exposé sur les méthodes de l’analyse urbaine

Réalisé par :
Enseignants:
Cherifi mustapha
Mr Baghli. F
Lalali abd el kader
Mr Mezoued
Selaf rachid
Azzedine el mamoune
Plan de l’Exposé
I.Introduction
II. La Perméabilité
III. La Variété
VI. La Lisibilité
V. La Polyvalence
VI. Justesse visuelle
VII. la Richesse
VIII. la Personnalisation
XI. Exemple général
X. Conclusion
I. Introduction
Le présent travail se fait sur la base d’un livre qui explique tout la méthode d’analyse des
5 architectes et qui est intitulé « milieu sensible et dialoguant » dont le titre original
est « responsive environnement » première publication à été faite en 1985, puis une
deuxième 1987 dans les presse architecturales de Londres.
Les protagonistes de la méthode de cinq architectes sont:

-Sue Mcqlynn :
Ian Bentley: architecte et planificatrice de la Alan Alcock : architecte.
urbaniste. Conférencier à ville et urbaniste Conférencier dans le
l’école polytechnique département d’architecture
d’Oxford. polytechnique d’Oxford .

-Grahem Smith : artiste. Assistant -Paul Murrain: architecte


dans le département paysagiste et urbaniste
d’architecture à l’école Conférencier à l’école
polytechnique d’Oxford. polytechnique d’Oxford .
Objectif

-Leur méthode met en application une ancienne méthode, qui celle des
sosio-ncepteurs, et qui consiste à ramener la ville à l’échelle de l’homme et donc du
social.
-Cette méthode se base sur la perception de l’homme de son environnement immédiat.
Elle est venue comme une réponse à l’architecture moderne, qui a pratiquement
coupé tout rapport avec le sociale.
-Cette méthode consiste en sept concepts, traites l’un après l’autre suivant une suite
logique. Ces concepts sont : la perméabilité, la variété, la lisibilité, la polyvalence, la
justesse visuelle, la richesse et la personnalisation.
-Ce travail consistera en l’explication de chaque concept en appuyant à chaque fois
d’illustration,.Une fois les explications de tous les concepts terminées, les sept
concepts seront rassemblées dans un exemple général. Enfin, ce travail se terminera
par une critique de la méthode.
II. La perméabilité
L’espace public et l’espace prive sont contradicteurs mais ils sont complémentaires, l’un ne
va pas sont l’autre. Ils sont interdépendants. Ces deux catégories d’espaces en leurs
implications en matière de perméabilité.

la perméabilité et l’espace public :


La perméabilité d’un système qui organise un espace public dépend du nombre
d’alternatives d’accès qu’il offre a l’usager pour passer d’un point à un autre. Ces
alternatives doivent êtres visibles
les avantages des petits îlots :
Dans la ville les petits îlots sont plus
avantagés par rapport aux grands en matière
de perméabilité.
Car ils offrent une meilleur perméabilité
physique ainsi donnent plusieurs possibilité
d’accès. L’usagé choisit. Les petits îlots
augmentent aussi la perméabilité visuelle.

Grand îlots (imperméabilité)


Le déclin de la perméabilité :
Il y a trois facteurs qui amoindrissent la
perméabilité de l’espace public :
1-L’extension rapide et importante dans un
tissu urbain.
2-Hiérarchisation des voies : elle cause une
confusion car la perméabilité visuelle ne peut
être assurée à cause des croisements des
voies.
3-La séparation entre le flux mécanique et le
flux piéton. Petits îlots (perméabilité)
comment rassembler le flux piéton et le flux
mécanique.
Cette séparation, ou cet assemblage, doit être
« psychique » ; il faut faire en sorte
qu’elle ne soit ni rigide ni fixe ni persistante.

La perméabilité visuelle :
C’est un concept qui permet de s’orienter
et de se diriger vers l’espace
voulu. La perméabilité visuelle dans
l’espace public ou privé permet a cette
espace de s’enrichir, mais il ne faut pas que
cette perméabilité atteint un degré élevé.
Car ceci peut créer la confusion entre ce
que est espace privé et ce que est
public.
La perméabilité physique :
La perméabilité physique s’opère en
premier lieu au niveau de l’entrée
(bâtiment ou jardin). Elle permet
l’enrichissement de caractère public. Le
traitement de l’entrée joue un rôle très
important dans la perception de l’espace.
L’usagé doit comprendre a cet effet que
l’espace est accueillant, « pénétrable » et
perméable.

Le besoin des parois (extérieures et


intérieures)
Une habitation a besoin de deux
façades ; une face extérieure ,en
contact avec l’espace public, qui va
servir de limite entre les deux. Et une
autre face tournée vers intérieur.
Même les activités privés intérieurs
doivent être abritées vis a vis des
autres activités privées par des parois
intérieurs .
la mise en place de le conception :
A- connexion de la ville en tant qu’une
unité :
Pour accomplir un bon degré de
perméabilité au site il faut repérer les
artères principales les plus proches des
limites du site, celles qui relie
directement et de façon forte le site à la
ville . Il faut utiliser un plan à une
échelle : 1/10 000.

B – connexion aux îlots avoisinants :


Compter le nombre de connexions le long de
chacune des rues principales.
Le plus grand nombre nous donnera les
rues qui se joignent au site plus
fortement qu’ à son environnement
immédiat. le degré d’importance des
jonction , les quelles sont prolonger dans
le site,va permettre de réaliser certain
équilibre entre la largeur de la ville et
l’unité avoisinante.
C- Les choix du système de rue et d’îlots :
Apres avoir repérer les jonctions les plus
importantes, commencer à les relier a
travers le site.
Vérifier les tailles des îlots proposés. Ces
îlots doivent êtres petits pour assurer une
perméabilité.
Le degré de la perméabilité sera augmenté par
l’augmentation de la taille des îlots qui
apparaissent trop petits et la division ceux
qui sont trop large.

D- Vérification de la taille des îlots :


La taille minimum d’un îlot dépend de
deux facteurs :
Les activités privées programmées pour l’espace
extérieur de l’îlot (jardin, parking,
garage …etc.)
la forme des constructions qui entourent l’îlot.

-A la fin des opérations précédentes on obtient


un îlotage. Qui donne une meilleure qualité
en matière de perméabilité et de facilité d’usage
des artères.
III . La variété
Une fois que le lieu est perméable, il faut
qu’il soit varié ; offrant un choix
d’expériences.
Les différents niveaux de variétés :
Une variété d’expériences sous entend une
variété de forme d’activités et de
significations.
Lorsqu’on a dans un lieu une variété de
jonctions il en résulte une variété de
forme et en même temps il attire une
variété de personnes dans le temps.

variété et choix :
Le but de la variété et d’augmenter le
choix.
comment maximiser la variété :
Le degré de variété de consommation et de fréquentation de lieu dépend de trois
facteur :
L’éventail d’activités qui sont localisées dans le site et qui répondent a une commande.
L’existence d’espace pour accueillir ces activités.
L’importance des parties où il existe une interaction entre les différentes activités.

4- la détermination des activités en fonction du prix du terrain.


Le nombre de répétitivité d’une activité dans un projet est en rapport avec le prix de mètre
carré de terrain. Ce facteur est en interdépendance avec le nombre et le statut des usagers.

La variété aussi dépend du temps d’utilisation de l’espace.


IV .La lisibilité
La lisibilité est la qualité qui rend un espace
compréhensible. Elle se fait à deux niveaux :
La lisibilité de la forme et lisibilité de l’utilisation.
Ces deux niveaux peuvent êtres appréciés
séparément (apprécier le lieu de point de vue
esthétique ou de part ses activités , la manière de
son utilisation ). Mais ces deux niveaux
doivent se compléter.
A)La lisibilité dan les cité traditionnelle :
Les cités d’avant 1930(avant l’architecture moderne)
fonctionnées bien. Elles étaient compréhensibles.
Ainsi on reconnaissait l’importance des places et
les lieux réservés au public. Les activités étaient
identifiables sur les façades.
B) la lisibilité dans la cité moderne.
Comme la cité moderne s’organise suivant de s
règles bureaucratiques ( tous les grand immeubles
de bureaux est compagnies prennent la
position centrale dans la cité), il est difficile aux
gens de « lire » le lieu. Parce que ces règles ne
tiennent pas compte de la manière dont les
gens utilisent l’espace.
Les équipements administratifs est les siège des sociétés
au centre ville très concentrés, ainsi une confusion
de dans la lecture des espace se crée aux yeux des
usagers.
C) les éléments qui composent l’espace urbain.
L’image mentale qu’on se fait d’un lieu urbain est composée de caractéristiques physiques de
lieu en question.
Kevin Lynch a regroupé ces composants en cinq éléments. ( pour plus de précision,voir la
méthode sensorielle)

* les voies : allées, routes , autoroutes, voies


ferrées ….
Dans l’analyse de la lisibilité des voies,
il faut ressortir en premier lieu toutes les
routes qui desservent le site considéré en
prenant comptes leur importance
d’utilisation c ( la perméabilité), la lisibilité
des voies est affectée par la clôture en
plan et en coupe(parois).

* les nœuds : c’est les jonctions des voies.


Leur importance repose sur
l’importance des voies et les édifices
adjacents. Cette lisibilité peut être
augmenter par :
1- un édifice d’angle remarquable.
2-les coins d’angle convergents.
3- les positions des jonctions.
*les points de repères ils permettent aux
usagers de se positionner durant leurs
parcours. Et de se retrouver en cas de
perte.

* les limites :
Elles généralement les frontières entres
deux zones, elles agissent comme
références latérales .elle rassembles les zones
de mêmes caractères visuels.

les quartiers :
Ils sont des sections de la ville plus au
moins grandes reconnaissables comme
ayant des caractères particuliers
d’identification.
Un quartier homogène peut contribuer a
lecture de la ville à la lisibilité de la ville en
tant qu’entité, mais sans qu’il soit lisible à
son échelle.
V. la polyvalence :
La polyvalence est la capacité d’un espace à accueillir plusieurs fonctions. Répondre à un changement
fonctionnel limité dans une liste fixée à l’avance, grâce à un bâti semi mobile, créant des espaces semi
affectés, et une polyvalence. Les lieux qui peuvent être utilisés à différents buts offrent à leurs utilisateurs
plus de choix que les lieux dont la conception limitée à une utilisation fixe.
.1 Quand est-ce que la polyvalence devient un problème ?
Elle devient un problème quand la décision de la conception est aux mains de celui qui pais : le patron.
Ce dernier n’est pas habituellement intéressé à promouvoir le choix de l’usage, car il n’est concerné que
par un seul aspect de la vie de celui-ci, le paiement du loyer. Le projets sont donc conçus rigides, bien que
les concepteurs en tendance à éviter la spécialisation.
.2. Intervention des concepteurs :
Les concepteurs ne peuvent pas changer la façon réfléchie de patron mais ils peuvent intervenir dans
leur conception. La polyvalence peut être augmentée par la conception attentionnée des objets qui
doivent être inclus.
.3 La polyvalence à grande échelle :
Elle concerne la capacité des constructions, dans leur totalité ou des grandes partie d’elles, d’être
changées dans leur utilisation. Comme des constructions vieillissent et de perdre leur valeur, il devient
financièrement faisable et les ouvrir à un plus grand éventail d’utilisations. La polyvalence à large échelle à
de implications sur la conception totale.
4 La polyvalence à l’échelle réduite :
Elle concerne la capacité des espaces à
l’intérieur de la construction d’être utilisés
dans un large éventail

5. Les maisons familiales :


L’un des types les plus communs, est celui
à jardin. Les maisons à terrasses sont très
difficiles à étendre horizontalement, leur
extension se fait en avant et en arrière .les
maisons jumelées permettent l’extension sur
place .les maisons isolées permettent plus de
possibilités d’extensions sur n’importe quelle
face, si l’espace entourant la maison est large
d’au moins 6.5m
.
6 Les jardins privés :
Les espaces extérieures privés favorisent la
polyvalence. La conception détaillée des jardins
devrait être laissée aux utilisateurs
25 m2 : activités passives.
60 à 100 m2 : détente et jeux
d’enfants
160 m2 : autosuffisance en
légumes pour une famille de 4
personnes

.
.

9. Les activités piétonnes :


La plupart des espaces sont appropries depuis
leur parois. les partie les plus éloignés des
parois peuvent être fragmentées. . La circulation
mécanique est exclue sauf dans le cas de rues
commerciales très fréquentées.

.7. Les espaces extérieurs publiques : Dans le cas de la circulation piétonne


Pour les espaces extérieurs, on considère les la circulation mécanique est exclue,
limites de l’espace, car c’est là que la plupart des
activités prennent place. La limite de l’espace sauf dans le cas de d routes
constitue l’espace. commerciales très fréquentés
.8. les activités lier aux véhicules :
Habituellement l’activité majeure dans parties
centrales, il faut séparer la circulation des
véhicules. Il faut répare la circulation piétonne,
de celle mécanique par des zones d’agréments
(végétation téléphones etc…). Dans certaine
partie résidentielles, la rue peut être partagé par
le public et piéton, ce-ci est possible si le flux
est inférieur à 250 véhicule par heure.
Pour des rues à flux mixte il y a en 1er de la
sécurité des piétons. Des fréquents changements
la direction ou retraitement de la voie peut
provoquer la ralentissement.
VI . Justesse visuelle :
Les apparences visuelles d’un site ont une grande importance sur son interprétation par le public,
car les gens interprètent les lieux suivant ce qu’ils voient, alors le lieu possède une qualité appelée :
justesse ou adéquation visuelle. Les détails des apparence ce l’espace et surtout de la façade
visuelle doivent être en adéquation avec le type d’usagers et d’usages. Lorsque ce n’est pas le cas,
alors il n’y a pas de juste visuelle, les gens interprètent les signes visuelles comme ayant une
signification, par exemple, soit un type d’habitation prédominant, que la majorité de gens en
expérimenté, si on édifie des nouveaux édifices, mais qui contiennent les même signe visuelle que
ceux des habitation, alors il vont probablement être interprété comme étant aussi des habitations.

1 la recherche des signes visuels :


Il s’agit d’abord de commencer par décider où chercher ds signe visuels suivant les objectifs qu’on
s’est fixés Puis il faut parcourir le site et essayer de noter toutes le caractéristiques visuelles que les
gens sont susceptibles de marquer :
le skyline.
les rythmes verticaux.
les rythmes horizontaux.
les détails de murs (matériaux. Couleur ….).
les fenêtres.
Les portes.
Les détails au sol.
2. L’adéquation visuelle notre les façades :
Essayer de combiner la nouvelle façade aux façades existantes de manière à avoir une
adéquation visuelle entre elles (respect du skyline) repérages rythmes verticaux et
orientaux.
Adéquation visuelle entre les façades

Introduction et
combinaison d’éléments
des deux anciennes
façades, sur la nouvelle

Repérage des rythmes horizontaux. Respect du skyline et repérage des rythmes verticaux.

Introduction et Il existe d’autres


combinions de détails combinaisons possible
de façades (portes, entre les éléments de
fenêtres) façades en utilisant la
translation .
VII . la richesse :
Pour la plupart des gens la vue est le sens le plus dominant. La plupart des informations que nous captons
sont canalisée directement à travers nos yeux. Donc dans se chapitre nous parlerons en particulier de la
richesse visuelle. Seulement il n’y a pas que la richesse de la vue .mais d’autre sens peuvent aussi
intervenir :
- Le sens du mouvement.
- Le sens de l’odorat.
- Le sens de l’ouie.
- Le sens du toucher.
.1. Les bases de la richesse visuelle :
La richesse visuelle dépend de la présence des contrastes visuels sur la surface observée. Les contrastes
visuels dépendent de :
l’orientation de la surface observée.
Les bonnes positions desquelles elle pourra être vue.
2. Utiliser les contrastes pour achever la richesse :
La richesse dépend du nombre d’éléments visuels présent sur une surface donnée et de la relation entre
eux. Mais lorsque le nombre d’élément excède un certain chiffre, la variété d’élément commence à être
lue comme un simple élément, ce qui implique que la richesse visuelle diminue. Dans ce cas, la richesse
peut être augmenté en faisant une grande échelle de subdivisions de la surface observée et nous
obtenons de cette manière meilleure lecture de chaque élément séparément. La lecture varie selon deux
facteurs :
la bonne rangée de distance de laquelle surface observée pourra être vue.
La longueur du temps durant lequel les vues seront expérimentées.
Evolution des conceptions des façades
VIII La personnalisation :
la personnalisation et la lisibilité :
Elle permit d’éclaircir les activités et
leur motifs sur un espace donné.

le types de personnalisation
D’après les usagers, la personnalisation se fait pour
deux raisons :
améliorer les facilités pratiques.
Changer l’image d’un espace.
Nous nous intéressons à l’étude de la
personnalisation sur les images.

pourquoi personnaliser des images ?


Elle se fait pour deux raisons :
-Comme une affirmation de leur propre goût et
valeurs : personnalisation affirmative.
-Parce qu’ils perçoivent l’image existante comme
inappropriée : personnalisation de réparation.
Nous concentrons notre étude sur la
personnalisation affirmative
les contraintes de la personnalisation :
La personnalisation est affectée par trois
facteurs :
la tenure.
Les types de bâtiments.
La technologie.
1-la tenure :
Elle est effectuée par deux aspects de la
personnalisation :
-l’argent dépensé.
- sa permanence.

.2- les types de bâtiments


Principalement, les gents personnalisent des
espaces qu’ils utilisent sur une longue
période, en pratique maison et lieux de
travail, mais rare sur les bâtiments qui
subissent une personnalisation.

.3- la technologie :
Il est préférable de travailler avec du matériel
et des techniques qui peut être facilement
d’utilisés par des gents inexpérimentés
2- la personnalisation publique :
Elle s’opère par des gestes physiques au niveau
des limites entre l’espace privé et espace public
(seuils, fenêtres, etc.…).

1- la personnalisation privée :
Les éléments physiques qui cette
personnalisation consiste à les surfaces internes,
tel que :
les murs, plafonds, sol,

Où s’opère la personnalisation ?
En personnalisant un espace, les usagers
Confirmant leurs goûts et leurs valeurs.
Pour eux même, en les communiquant
aux gents de l’extérieur. On perlera de
Personnalisation privée et la personnalisation publique
Personnalisation privée et de personnalisation
publique
VIII Exemple général :
Dans cet exemple, nous allons illustrer ce qu’on a
vu précédemment dans un cas réel. Cet
exemple utilise comme base de travail des
plans d’urbanisme.
Nous montrons comment cette méthode peut être
utilisée dans l’urbanisation et la projection du
centre d’une grande ville.
Le site se trouve à quelque 30 km à l’ouest de
Londres. Sa superficie est de 5.6 hectares et sa
population est de 150 000 personnes. Notons
qu’une rivière traverse le site.
Le centre ville a été préparé à sa ré urbanisation. La
majorité des bâtiments détruits a été du
vingtième siècle.
Après avoir recensé les voies d’accès et après avoir
tracé les voies fictives à l’intérieur du site, on
confectionne les systèmes d’îlots tout en se
reportant à l’existant.

Après une introduction sur le site en question. On


fait d’abord repérer les artères principales les
plus proche au site et retrouver toutes les
connections qui mènent au site. On repèrera
aussi les connections vers les îlots avoisinants,
pour permettre aux usagers d’avoir le plus
grand choix possible pour accéder au site.
Il faut faire attention à l’emplacement les aimants
sans oublier la nécessité de la présence
d’activités secondaires

La prochaine étape consiste à regrouper les activités


qui prédominent dans les systèmes d’îlots
approprié.
Par la suite les routes seront classées et dimensionnées.

Les voies et les îlots sont fixés et ce afin de produire un plan financièrement faisable.
Il faut ensuite retrouver tus les quartiers qui
compose le site. Dans cet exemple, il existe
deux quartiers l’un à droite et l’un à gauche.

Dans le dessin qui suit, on retrouve tout ce qui


concerne la lisibilité du site, entre autre : les
nœuds, les point de repères, les limites …
Fig 2 : existence de deux aimants au niveau de ce
nœud. Ce lui qui arrive de parking (premier
aimant) remarque le centre commercial
(deuxième aimant).

Pour les usagers venant dans le sens


perpendiculaire, et afin de les attirer puis les
orienter, une statut a été placée pour jouer le
rôle d’élément d’appel.

A l’intérieur du même îlots, une variété d’activité


coexistent, exemple : habiter, vendre et acheter,
travailler ou stationner.

Fig 1 : le nœud au départ se trouve trop vaste pour


les activités qu’il contient, deux allés d’arbres
sont venues le renforcer pour marquer plus
fortement l’axe entre les deux aimants. Un café
a été rajouté pour attirer le plus grand flux de
piétons.
En ce qui concerne la justesse visuelle, il faut la faire
à une petite échelle et une grande échelle.
A la petite échelle tout ce qui concerne les
portes, les détails des murs, des fenêtres.
A grande échelle, tout ce qui concerne le skyline, les
rythmes verticaux et horizontaux.
La richesse et la personnalisation suivront dans le
processus d’analyse et de projection
Conclusion :

En conclusion, la méthode des cinq architectes (cinq enseignants) est un modèle


théorique qui nous fournit une instrumentation objective pour explorer le milieu
urbain et élaborer une stratégie d’intervention quelle soit urbain ou
architecturale.

Cette méthode est un moyen d’analyse et de projection qui peut être appliqué à deux
échelles différentes :
1- échelle urbaine en utilisant les trois premiers concepts : perméabilité, variété et
lisibilité
2- échelle architecturale avec les concepts : richesse, justesse visuelle te
personnalisation

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