Sunteți pe pagina 1din 32

UNIVERSITE MED SEDDIK BENYAHIA DE JIJEL

FACULTÉ DES SCIENCES NATURELLES


DEPARTEMENT DE SCIENCE DE LA TERRE
Renforcement par palplanche

MASTER 2 : GÉO _TECH


Réaliser par :

• Youcef hab elhames


Dr .baghdad. A M
• Okba berbes
L’ANNEE UNIVERSITAIRE : 2019/2020
PLAN DE TRAVAILLE
 Introduction
 Types de palplanches

 Mise en œuvre des palplanches


 Recommandations et contrôles

 Conditions économiques

 Conclusion

 Cas pratique
INTRODUCTION
Un ouvrage de soutènement est une construction
destinée à prévenir l’éboulement ou le glissement d’un
talus raide. Les ouvrages de soutènement sont
essentiellement employés, soit en site montagneux pour
protéger les chaussées routières contre le risque
d’éboulement ou d’avalanches, soit en site urbain pour
réduire l’emprise d’un talus naturel, en vue de la
construction d’une route, d'un bâtiment ou d’un
ouvrage d’art et parmi ces ouvrages de soutènements il
y a les rideau de palplanches
UTILISATIONS DES PALPLANCHES

 - protéger les berges


 - éviter les éboulements
 - éviter les inondations
 - consolider d'anciennes constructions
 - écrans acoustiques
 - soutenir les terres
 - blindage : permet de travailler en profondeur en
toutes sécurités,...
TYPES DE PALPLANCHES

Palplanches en bois
Leur emploi est quasiment abandonné. À titre
rétrospectif, nous pouvons signaler qu’elles étaient
constituées de madriers de chêne ou de sapin ayant
couramment 0,25 à 0,35 m de largeur et 0,06 à 0,12
m d’épaisseur. Ces palplanches comportaient
souvent un système d’assemblage à rainure et grain
d’orge, ou rainure et languette, pour leur permettre
de rester dans le même plan vertical lors du battage.
Palplanches en béton armé
Ces palplanches étaient constituées de
poutrelles préfabriquées en béton armé à section
rectangulaire, comportant comme précédemment
un système d’emboîtement ou de joint, assurant à
la fois l’étanchéité du rideau et la solidarité des
éléments, la mise en œuvre était généralement
effectuée par lançage.
Palplanches métalliques
Calcul des ouvrages en palplanches

Les bases du calcul des rideaux de palplanches,


en particulier les notions de poussées et butées,
font l’objet des articles de Mécanique des sols (en
particulier Ouvrages de soutènement. Poussée et
butée ).
Les cas d’application sont multiples parmi les :

 Rideaux plans, dits rideaux simples


Ils peuvent être encastrés ou non en pied ou en tête,
renforcés ou non d’un ou de plusieurs niveaux de tirants
ou d’étais.
Les calculs peuvent être conduits soit suivant des
méthodes classiques découlant de la loi de Coulomb,
méthodes de Blum et dérivées, qui peuvent être traitées par
méthode analytique ou par méthode graphique, soit par des
méthodes élastoplastiques, qui, grâce aux possibilités des
ordinateurs, font de plus en plus l’objet des programmes
de calcul et font intervenir les modules de réaction.
 Ouvrages massifs. Rideaux doubles ou gabions

Ces ouvrages ont la particularité de résister aux forces


extérieures par leur propre poids .
Ils sont utilisés lorsqu’un simple rideau de
palplanches est insuffisant ou mal adapté compte tenu :
 soit de la nature des sols

 soit de la limitation des emprises éliminant les


possibilités d’ancrage ;
 soit de l’importance des efforts d’accostage et
d’amarrage
Deux types d’ouvrages de cette nature sont à considérer :

 Les structures à deux rideaux parallèles sont


constituées de palplanches à module, encastrées ou non en
pied, et maintenues en tête par une ou plusieurs nappes de
tirants
 Les Gabions sont constitués par des palplanches plates,
conçues pour offrir une grande résistance au dégrafage ;
ils sont de deux types, suivant leur tracé en plan :
 gabions cylindriques ;

 gabions cloisonnés
Les ouvrages massifs sont caractérisés par
l’association de deux matériaux très différents : la
paroi métallique et le massif interne en terre que
constituent les remblais. Le calcul doit vérifier :
 la résistance des parois métalliques ;

 la résistance du massif interne ;

 la stabilité de l’ensemble considéré comme un


pseudo-solide dans le sol de fondations.
Ces conditions ne sont pas toujours indépendantes.
MISE EN ŒUVRE DES PALPLANCHES

Elle est réalisée en plusieurs phases que nous allons décrire


dans l’ordre chronologique:
1. Mise en fiche

Elle comprend la reprise d’une palplanche ou d’une paire


de palplanches sur le stock, sa manutention pour la
présenter verticalement dans le dispositif de guidage, son
enclenchement dans le joint de la palplanche déjà mise en
fiche, et le début du fonçage réalisé à l’aide de vibrateur
Durant cette opération, les palplanches sont maintenues
pendant le fonçage par les installations de guidage
2. Battage et surbattage

Cette opération consiste à enfoncer les palplanches,


jusqu’à atteindre la cote définitive (surbattage).
À ce stade du fonçage, les engins utilisés sont des
moutons à simple effet .
Lorsque le sol est peu cohérent et constitué par des
matériaux granuleux (graviers, sables grossiers
peu compacts et saturés d’eau), le vibrofonçage
est la technique la plus efficace.
3. Arrachage

L’arrachage est obtenu par l’effet conjugué d’un effort


permanent de traction sur la palplanche , et d’une
vibration ou d’un battage de bas en haut, qui peuvent
être produits :
 soit par un trépideur retourné ;

 soit par un arracheur, appareil spécialement conçu à cet

effet et fonctionnant à la vapeur, à l’air comprimé.


 soit par un Vibrateur électrique ou hydraulique.

Cette opération nécessite des engins de levage


suffisamment puissants pour assurer la traction utile sous
crochet.
RECOMMANDATIONS ET CONTRÔLES

Les Déformations de la tête des palplanches peuvent


signifier que l’engin de battage est inadapté ou mal
centré, ou que le casque ne convient pas. On peut
aussi en déduire que la nuance d’acier utilisée est
trop faible, mais aussi et surtout qu’il peut se
produire des incidents au pied de palplanches, ce
qui indique :
 soit que la palplanche rencontre un obstacle ;

 soit qu’elle atteint sa cote définitive.


DISPOSITIONS PARTICULIÈRES À L’EMPLOI DES PALPLANCHES

Protection contre la corrosion


 Protection par revêtement
Ces revêtements nécessitent, avant application, des
préparations de surface (sablage, grenaillage) et
sont constitués soit de revêtements bitumineux ou
d’époxy brais, soit de revêtements actifs à base de
silicate de zinc, appliqué en monocouche ou en
une couche primaire d’époxy zinc suivie d’une
couche de finition d’époxy brai.
 Protection cathodique
Le système est théoriquement parfait ; c’est une
protection par immunité, obtenue par
l’application d’un potentiel suffisamment négatif
du métal (moins quelques millivolts) par rapport
à une électrode de référence impolarisable (type
électrode de cuivre, sulfate de cuivre).
Ces solutions sont coûteuses
Protection contre les nuisances
La solution la plus courante pour limiter le niveau
sonore est d’envelopper les sources de bruits ;
certains constructeurs ont ainsi proposé l’emploi
de housses constituées de sandwichs de
matériaux lourds et absorbants.
CONDITIONS ÉCONOMIQUES

Plusieurs facteurs sont à prendre en considération pour évaluer le


coût des ouvrages en palplanches.
 En premier lieu et pour la plus grande part, c’est le prix de la
fourniture qui doit être pris en compte.
 Ensuite, intervient le coût des transports , qui conduit généralement,
en tenant compte des sujétions de chargement ou de déchargement.
 Le coût de la mise en œuvre est beaucoup plus aléatoire, il est
fonction des conditions de site, de la nature du sol, de la longueur et
du module des palplanches, des conditions d’exécution des battages,
des ressources locales en matériel et personnel, des conditions d’accès
et d’éloignement.
CONCLUSION

Dans la plupart des cas, les ouvrages en


palplanches sont en compétition avec les
ouvrages en béton armé. Dans cette comparaison,
il y a lieu de considérer que les palplanches
constituent souvent la solution la plus rapide
d’exécution, pouvant être exploitée
immédiatement, et que le produit mis en œuvre a
l’avantage d’être largement éprouvé et contrôlé
en usine avant d’être mis en service.
CAS PRATIQUE

Modélisation d’un rideau de palplanches a laide d’un system


informatique cas de L’écran de soutènement est encastre en
pied et ancre en tète.
Le site étudie est situe au cote d’ouest de la commune
d’AZEFFOUN devant la protection civil, sur la route de
TIFREST
Trois couches de sol composent la géologie du site :
 Une couche de remblai en surface de 1m de profondeur.

 Une couche d’argile de 8m d’épaisseur.

 Une couche de sable de 9m d’épaisseur


Le modèle géométrique retenu dans cette étude est
axisymétrique en 2D de 35m de largeur et 18m de
profondeur. On choisit les condition aux limites par
défaut, nous allons utiliser le Modèle de Mohr
Coulomb.et injectons les Propriétés des :
 couches de sols et des interfaces
 Les conditions hydrauliques
 Les ancrages
 Le rideau de palplanches
 Principaux résultats

Dans cette étude, nous allons nous intéresser a deux types de


déformation, la de formation interne et la déformation de forme
telle que :
 Déformation du maillage.
Le déplacement total maximum est de l’ordre de 3,07.10-3 m
 Déplacement horizontal

Le déplacement horizontal maximum (Ux) est de


8,20.10-3 m.
 Déplacement vertical
Le déplacement vertical maximum (Uy) est de
6,49.10-3 m.
LE COEFFICIENT DE SÉCURITÉ EST DE 0.808
Conclusion 
Compte tenu l’exemple précédemment étudie, le
modèle de comportement développe capable de
mener des études pour la conception, le
dimensionnement des ouvrages en géotechnique et de
détecter les directions de la localisation des
déformations ainsi que les zones instables.
Les validations réalisées montrent que, si l’on dispose
de suffisamment de données et notamment d’essais in
situ, les modèles numériques permettent de décrire,
d’une manière relativement réaliste certains aspects
du fonctionnement des ouvrages et les résultats de
calcul soient globalement satisfaisants.
MERCI POUR VOTRE ATTENTION

S-ar putea să vă placă și