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LA DYNAMIQUE DU SYSTÈME DE

SANTE EN ALGERIE
Dr NAMANE
Organisation de système de santé
aujourd’hui
• Selon le rapport sur la santé dans le monde
2000 de l'OMS, l'Algérie occupe le 45ème rang
en termes de niveau de santé, parmi les 191
Etats membres du classement.
• Elle est classée au 81ème rang en matière de
performance globale du système de santé
• Le système est dirigé par le ministre de la
Santé, de la Population et de la Réforme
hospitalière.
• Le ministre a pour mandat de mettre en
application le programme du président de la
république à travers le plan d’action du
gouvernement. Ce plan d’action adopté en mai
2009 comporte, pour le secteur de la santé,
cinq volets/
• • améliorer la couverture sanitaire ;
• • améliorer la qualité des prestations ;
• • prendre en charge les transitions
démographique et épidémiologique ;
• • atteindre les objectifs du millénaire pour
2015 ;
• • rationaliser la gestion et promouvoir la
coordination avec les autres secteurs.
• Le ministre a sous son autorité le secrétaire général qui supervise
l’action des huit directions centrales du ministère (direction de
l’administration et des moyens, direction de la pharmacie, direction
de la planification, direction de la prévention, direction de la
population, direction de la réglementation, direction des ressources
humaines, direction des services de santé) ainsi que l’inspection
générale.
• L’activité du ministère de la santé s’inscrit dans le cadre d’un décret
exécutif qui détermine les structures et organes de l’administration
et fixe les attributions de ces entités. Un nouvel organigramme a été
élaboré en 2010 mais n’est pas encore mis en place. Certaines
institutions interviennent en tant qu’organismes d’appui au ministre
de la Santé.
• Le président du conseil d’administration de ces
institutions est le représentant du ministre au sein du
conseil. Ces institutions peuvent être classées en :
• a) Organismes de sécurité sanitaire : l’Institut national
de santé publique (INSP), le Laboratoire de contrôle
des produits pharmaceutiques (LCPP), l’Agence
nationale du sang (ANS), le Centre national de
pharmacovigilance et de matériovigilance (CNPM), le
Centre national de toxicologie (CNT) ;
• b) Organismes d’appui logistique : L’Institut Pasteur
d’Algérie (IPA), la Pharmacie centrale des hôpitaux
(PCH) ;
• c) Organismes de formation, de documentation, de
recherche et d’information :
• l’Ecole nationale de santé publique (ENSP), l’Institut
national de pédagogie et de formation paramédicale
(INPFP), les écoles de formation paramédicale et
l’Agence nationale de documentation en santé
(EFPANDS).
FINANCEMENT DU SYSTÈME DE SANTE EN
ALGERIE
• les modalités de financement sont basées
essentiellement sur une contribution
forfaitaire de l’Etat, de la Caisse Nationale des
Assurances Sociales, ainsi que sur une
contribution de plus en plus importante des
ménages
• Secteur public Le financement de système de
santé Algérien est caractérisé de secteur
public dominant, sous tutelle de l’Etat, qui
assure toutes les fonctions du système de
santé (financement, prestation, régulation,
etc.).
• Trésor public L’Etat prend en charge, par
l’intermédiaire des ressources fiscales, les dépenses
de prévention, déformation et de recherche
médicale ainsi que les soins que prodigués aux
indigents, aux démunis et ceux ne disposant
d’aucune couverture maladie.
• La participation de L’Etat pour garante la solidarité
nationale et la cohésion sociale d’une part, et la
pérennité de ses avantages de puissance publique en
matière de planification et de régulation d’autre part.
• Sécurités sociales
• les sécurités sociales l’un des acteurs de financement de
système de santé en Algérien
• L’assurance maladie demeure la méthode de financement des
soins de santé car les risques sont partagés par un nombre
important d’individus. La sécurité sociale couvre 90 % de la
population algérienne. Ces dernières plusieurs catégories de
population ont été intégré au système d’assurance maladie
obligatoire à savoir : les personnes handicapées, les
étudiants, apprentis et stagiaires, les bénéficiaires du filet de
protection sociale et les moudjahidines.
• Toute cette population couverte par la sécurité sociale accède aux
services de soins de santé aussi bien publique que privé.
• Les patients sont remboursés à 80 % sur le tarif officiel des
consultations externes dans le secteur privé, alors que les prix dans ce
secteur ont quadruplé.
• Ce qui conduit à une augmentation des dépenses personnelles et à un
système de santé à « deux vitesses », dans lequel, seules les catégories
plus au moins aisées peuvent recourir aux services du secteur privé.
• Selon la CNAS, ce dernier effectue deux paiements:
•  Forfait hôpitaux au ministère de la santé et de la population
•  Remboursements des patients pour les services et médicaments
dispensés par le secteur privé

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