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Royaume du Maroc

Ministère de la Santé
Délégation de Meknès
IFCS Lalla Meriem

MENINGITE
ELABORE PAR:
LAKBALI Houda

PRESENTE A:

Mme IDRISSI
PLAN DE TRAVAIL:
 définition
 Agent causal
 transmission
 Symptômes
 Complications
 Examens complémentaires
 TRT
 Prophylaxie
 Vaccin
 Rôle infirmier
 Plan de soins
Définition :
 Le terme méningite désigne une inflammation
des méninges c'est-à-dire des membranes qui
recouvrent et protègent le système nerveux
central (trois enveloppes de l’extérieur à
l’intérieur on distingue :
 La dure mère : épaisse et fibreuse.
 L’arachnoïde : fait parti des méninges molles.
 La pie mère : membrane très fine.
 Plus précisément l’infection des espaces sous
arachnoïdiens compris entre l’arachnoïde et la
pie mère.
Agent causale :
 La méningite est causée par plusieurs
types de virus, de bactéries, et même des
champignons.

 La méningite virale, (Les entérovirus, Le


virus des oreillons, Les virus du groupe
herpès, Le VIH peut aussi être responsable
de méningite lors de la primo-infection), est
la forme de méningite la plus courante
relativement légère suivie de guérison
complète.
 La méningite bactérienne due
principalement trois germes: Haemophilus
influenza b, méningocoque et
pneumocoque ; d’une façon :

 Directe à travers une fracture de crâne ou


osseuse après une infection de l’oreille interne
ou mastoïdite.
 Véhiculé par le sang : par une septicémie
endocardite bactérienne.
 Iatrogène introduite lors d’une procédure
invasive : PL.
Transmission :
Comme tous les agents pathogènes de
la méningite bactérienne classique, les
méningocoques (Neisseria meningitidis)
se transmettent par la salive. La
contamination se fait généralement par
aérosol (toux, éternuements), l'utilisation
d'objets contaminés (boire dans le même
verre) et par le baiser.
Symptômes
 La méningite associe un syndrome infectieux (fièvre,
maux de tête violents, vomissements) et un syndrome
méningé (raideur de la nuque, léthargie, troubles de la
conscience, voir coma). Chez le nouveau-né et le
nourrisson, ces symptômes sont moins marqués :
l'accès brutal de fièvre est parfois accompagné de
convulsions ou vomissements, fontanelles bombées.
L'apparition de taches purpuriques sur la peau, une
désorientation ou un coma photophobies.

 L'incubation dure généralement 3 à 4 jours mais peut


être prolongée jusqu'à une dizaine de jours.
Complications :
 Plus précocement la maladie est
diagnostiquée, meilleur sera le pronostic.

 Le traitement classique est un traitement


antibiotique.
 La mortalité est d'environ 7% et dans 10 à
30% des cas de séquelles persisteront.
Examens complémentaires :
 La ponction lombaire : est la clé du diagnostic. Elle
permet de ramener du liquide céphalo rachidien (LCR)
dont l'analyse (sa couleur, le nombre de cellules et le
type de cellules retrouvées) déterminera l'origine de la
méningite.

 Le cas de méningite bactérienne, le LCR est


typiquement trouble avec une cellularité importante à
prédominance de polynucléaires neutrophiles, une
hypoglycorrachie, une hyperprotéinorachie.

 Le diagnostic clinique de méningite virale est fortement


suspecté lorsque le LCR est clair, stérile,
normoglycorachique avec une cellularité classiquement à
prédominance lymphocytaire.
 La coloration Gram : Si une cocci à
Gram positif est mise en évidence, il s'agit
d'un pneumocoque. Si une cocci à Gram
négatif est mise en évidence, il s'agit d'un
méningocoque.
 Un scanner : TDM et EEG
Traitement :
 La gravité et le risque d'évolution rapide des
infections à méningocoques imposent la
mise en place d'un traitement antibiotique le
plus rapidement possible. Le traitement
s'effectue par voie intraveineuse et est
poursuivi habituellement pendant 10 jours.
Le traitement de choix a longtemps été fondé
sur la pénicilline G. Toutefois, des souches
de sensibilité diminuée vis-à-vis de cet
antibiotique s'étant développées, on traite
désormais par les céphalosporines de 3ème
génération (cefotaxime, ceftriaxone).
 En Afrique et en Asie du Sud-Est, pour
des questions de coût et de modalités
d'administration, le chloramphénicol est
l'antibiotique utilisé en routine, sous forme
injectable. On craint aujourd'hui le
développement de souches résistantes à
cet antibiotique, ce qui serait dramatique
pour la lutte contre les épidémies.
Traitement antibiotique
 Méningite à pneumocoque : céfotaxime
 Méningite à méningocoque : La
céfotaxime (200 mg/Kg/j) ou ceftriaxone
 Méningite à Haemophilus influenzae de
type b : céphalosporines de troisième
génération.
 Purpura fulminans : ceftriaxone
Prévention et prophylaxie :
 Dans tous les cas d'infections
méningococciques, l'antibioprophylaxie est
préconisée pour l'entourage proche, ce qui
empêche la contagion entre les individus : la
rifampicine doit être administrée pendant 2 jours.
Toutefois, il existe des contre-indications
(hypersensibilité, grossesse, maladie hépatique
grave, alcoolisme, porphyrie…), et des
résistances à la rifampicine pour de rares
souches de méningocoques. La prévention
repose alors sur la prise de Ceftrixone par voie
injectable ou de Ciprofloxacine par voie orale, en
dose unique.
 Dans le cas de méningites à
méningocoques du sérogroupe A, C,
Y ou W135 la prévention par la
vaccination permet de compléter
l'antibioprophylaxie instaurée pour la
protection des sujets ayant eu des
contacts proches et répétés avec un
malade.
Vaccins
 Les vaccins polysaccharidiques sont administrées en
même pour garantir une protection à la fois contre les
méningocoques du type A, C, W, Y et W135.
 Les vaccins conjugués ; Le vaccin Hib contre
l'Haemophilus influenzae de type b.
 Après le Prevnar, le seul vaccin qui soit homologué
pour prévenir les infections à pneumocoque chez les
enfants dès l'âge de deux mois, il y’a le
 Meningetec, un vaccin conçu pour protéger les enfants
contre la bactérie responsable du méningocoque du
groupe C .
 En ce qui concerne les affections à méningocoques,
un vaccin efficace contre les méningocoques du groupe B
est encore en cours d'élaboration.
Rôle infirmier devant un cas de
méningite :
Dans le dépistage :
 Chaque enfant hospitalisé présentant des
céphalées, vomissements, fièvre,
pétéchies est un cas suspect de
méningite.
 Lors de la confirmation l’infirmier doit
déclarer la maladie.
 Mener une enquête de dépistage des
porteurs saints (entourage ; amis ; proche.
Rôle dans l’accueil du malade :
 Accueillir, installer le malade et rassurer sa
famille.
 Si l’enfant était dans un état de crise :
 Libérer les voies aériennes.
 Mettre l’enfant en PLS (éviter les fausses
routes).
 Administrer valium en intra rectale.
 Prendre les constantes et signaler au médecin
toute information qui aidera à rechercher
l’étiologie.
Dans le diagnostic :
 Préparer le malade pour une PL.
 Réaliser ses examens biologiques
bactériologiques, parasitologiques et
radiologiques
 Préparer le malade pour une PL.
Rôle dans le TRT :
L’infirmier doit surveiller :
 Administrer le TRT.
 Évaluer son efficacité .
 Dépister toute complication.
 Mesurer tout les 3 heures, la T°, le pouls, la TA,
et la FR.
 État de conscience.
 Le périmètre crânien la diérèse.
 Surveiller état hémodynamique.
 Surveiller les convulsions.
 Prévenir le médecin de toute éventuelle
complication.
Plan de soins
problèmes objectifs interventions Résultats
La fièvre - Normaliser la -par les moyens -température
température. physiques. normale.
-Par les
chimiques:
Administration
d’un
antipyrétique
sous
prescription
médicale.
Les vomissements - Arrêter les - administration - pas de
vomissements d’un vomissements.
et prévenir la anti- vomitif - Equillibre
déshydratation sous PM. hydrique et
et la - Gavage nutritionnel
dénutrition. - Réhydratat° maintenu.
IV
Les convulsions Arrêter les -mettre l’enfant Convulsions
convulsions. en PLS. arrêtes
-Libération des
voies
aériennes.

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