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AVANT PROJET DU PLAN PERMANENT

DE SAUVEGARDE ET DE MISE EN
VALEUR DU SECTEUR SAUVEGARDE DE

LA CASBAH D’ALGER

Avant projet

MINISTERE DE LA CULTURE
WILAYA D’ALGER
Maître d’ouvrage délégué: Direction de
la Culture de la Wilaya d’Alger

Bureau d’étude: G.CNERU


PLAN PERMANENT DE SAUVEGARDE ET DE
MISE EN VALEUR DU SECTEUR SAUVEGARDE DE
LA CASBAH D’ALGER

 Concept du plan permanent


de sauvegarde et de mise
en valeur du secteur
sauvegardé.
 Son utilité
 Ses composantes
PLAN PERMANENT DE SAUVEGARDE ET DE MISE
EN VALEUR DU SECTEUR SAUVEGARDE
LA CASBAH D’ALGER

 Développement harmonieux et ambitieux du centre historique


en cohérence avec les instruments d’urbanisme appliqués au
reste de la ville
 Un outil de gestion, plus qu’un outil de protection
 Emergence de la création architecturale au sein du secteur
sauvegardé dans le respect de l’ancien.
 Préservation des valeurs historiques et archéologiques
Objectifs
Le PPSMVSS a pour but de fixer :
 Les règles générales et les servitudes d’utilisation des sols.
 Les conditions architecturales selon lesquelles sont assurées
la conservation des immeubles et du cadre urbain.
 Les mesures particulières de protection, notamment celles
relatives aux bien culturels immobiliers protégés situés dans le
secteur sauvegardé.
Parallèlement :
 Il reforme un cadre de vie.
 Il favorise le développement économique qui est une garantie
de la vitalité du site et lutte contre les inégalités.
Méthodologie d’approche
Il dresse :
 Un bilan de l’état de fait.
 Un bilan de l’état conservation du bâti.
 Un bilan de l’état de conservation des réseaux : voirie,
alimentation en eau potable, assainissement, électricité, gaz,
etc.
Il effectue un recensement :
 Des surélévations illicites
 Des extensions illicites.
 Des constructions précaires et des bidonvilles.
Il analyse :
 Le développement urbanistique à travers le processus historique
en mettant en évidence les erreurs.
 Les réseaux divers, la circulation et le transport.
 Les caractères de l’urbain.
 Le processus de construction architecturale permettant la
connaissance des procédés constructifs à travers l’histoire.
 Les données socio-économiques et démographiques.
 L’état du foncier et ses aspects juridiques
Méthodologie vise à:
 Freiner le processus de dégradation et de marginalisation de la
médina pour inverser ensuite cette tendance.
 Mettre en place un processus opérationnel qui intègre le site de
la Casbah dans la nouvelle vision de la métropolisation d’Alger
 Intégrer une démarche concertée, basée sur l’écoute qui doit
accompagner l’ensemble du projet tout en impliquant les
acteurs socio-économiques
Méthodologie scientifique adoptée

  « Analyse typo morphologique » une méthodologie


éprouvée qui se base sur une lecture approfondie historique,
typologique, architecturale et constructive des tissus
composants le secteur sauvegardé.

 Cette lecture est accompagnée d’une décomposition du tissu


en zones homogènes, basée sur son parcellaire , son bâti, son
système viaire et sur ses réseaux divers.
Instruments juridiques
Avec l’avènement de la loi 98.04 relative à la protection du
patrimoine et plus précisément son chapitre III, la notion de
secteur sauvegardé est née. 
Mais il faudra attendre l’année 2003, pour que soit promulgué
le décret éxécutif N°03-324 du 5 octobre 2003 relatif aux
modalités d’établissement du plan permanent de sauvegarde et
de mise en valeur des secteurs sauvegardés, et enfin
l’année 2005,pour que soit promulgué le décret exécutif
N°05.173 du 09 mai 2005 portant création et délimitation du
Secteur Sauvegardé la «Casbah d’Alger». 
LIMITES DU
SECTEUR
SAUVEGARDE
DE
LA CASBAH D’ALGER

Limites du secteur
sauvegardé
superficie.:1O5 ha

Limites du secteur classé


superficie.:70 ha
Périmètre de sauvegarde et statut juridique

 Les limites du secteur sauvegardé:«  Casbah d’Alger »sont définies comme


suit : 
 Au Nord, dans l’axe, par la rampe Louni Arezki et la rue Oudelha Mohamed.
 A l’Est contournant l’Amirauté et la jetée Kheir-eddine.
 Au Sud, englobant le mole El Djefna (quai N°7)et parcourant dans l’ axe les
rues successives suivantes : Azzouz Ben Bachir, Bakel Said ,de Bone
Debih Cherif ;rejoignant le bastion Sud Ouest de la caserne Ali Khodja.
 A l’Ouest, longeant la rue Boualem Bengana.

 Le secteur sauvegardé,classée par la commission nationale en 2005, couvre


la totalité du périmètre classé patrimoine mondial en 1992, y compris
l’amirauté et une partie du port, et déborde sur les communes limitrophes :
– La commune d’Alger centre au Sud.
– La commune de Bab el Oued au Nord.

 La superficie totale est de 105 ha.


Contenu du PPSMVSS
 Le rapport de présentation : met en évidence l’état actuel des valeurs
architecturales, urbaines et sociales pour lesquelles est établi le secteur
sauvegardé et énonce les mesures arrêtées pour sa conservation et sa mise
en valeur
 Le règlement : fixe les règles générales d’utilisation des sols et les servitudes,
ainsi que les opérations envisagées dans le cadre de la mise en valeur telles
que précisées à l’article 2 du décret. Le règlement doit inclure également,
selon le cas, les dispositions de l’alinéa1er de l’article 18 du décret exécutif
n°91-178 du 28 mai 1991, relatif aux modalités d’instructions et de délivrance
des divers certificats d’urbanisme.
Par ailleurs ,ont été élaborés:
 Un manuel des techniques et matériaux de constructions
 Un répertoire des monuments classés dans le secteur sauvegardé
 Un répertoire des zones homogènes
Supports Graphiques
 Levé topographique
 Cartes de l’évolution historique (phénicienne-
romaine- arabo berbère- ottomane-coloniale-post-
 Plan de l’état actuel de conservation du bâti indépendance)
 Carte de typologie  Plan de voirie : tracé et état de conservation et
 Carte de l’épannelage plan de circulation et transport
 Identification des équipements  Réseaux d’ assainissement :plans des réseaux
 Identification des activités artisanales, historiques et actuel
industrielles et commerciales  Réseaux d’ alimentation en eau potable: plans
 Nature juridique des propriétés (sur la base des réseaux historiques et actuel
des enquêtes CNERU 2007)  Réseaux d’ alimentation en gaz et électricité
 Carte des densités  Carte des zones homogènes
 Carte de l’évolution de la population  Structure des permanences
 Carte de synthèse de l’état actuel de  Structure du publico-collectif
l’environnement  Structure du fonctionnel
 Densité des déchets  Structure de conformation
 Réseau de la collecte des déchets  Structure de l’urbain
 Carte géotechnique  Carte des constats
 Carte des contraintes géotechniques  Carte des valeurs
 Coupe géologique de la basse casbah  Plan général des prescriptions réglementaires
 Carte de la géomorphologie (levé et profil)  Plan des prescriptions réglementaires par zones
 Carte archéologique homogènes
Organisation du PPSMVSS

 Phase 1: Diagnostic et mesures d’urgences

 Phase 2: Avant projet du plan permanent de sauvegarde et


Analyse Historique et Typologique

 Phase 3: Rédaction finale du Plan Permanent de Sauvegarde


TYPOLOGIE DU BATI
FICHE TECHNIQUE TYPE
F
I
BATISSE N°34 - RUE : NFISSA - QUARTIER : AMAR ALI C
H
EXPERTISE DU CHEF DE E
28 PROJET:
30 D’
32
E
13  Infiltration des eaux
34 15 X
36 pluviales.
P
19
E
27 25  Affaissement latéral
21 R
23
vers la n°36 et vers
T
la rue Nfissa.
I
S
DONNEES  Pourrissement des
E
Date d’enquête :11mars 2007 rondins
Noms des enquêteurs : N°
- Melle Ahmed Boumaza Nadine,
1
- Mrs Menasria Fouad.
Typologie : parcelle de rive, de typologie
traditionnel,à patio ,R+1. MESURES D’URGENCE

CONSTATS  Étayement des planchers et


 Effondrement partiel de la bâtisse sur la arcades.
skifa de la bâtisse adjacente.
 Présence de fissure de 45° au niveau des  Étayement latéral du coté de
murs porteurs (longitudinaux). la n°36 des murs et de la rue.
 Présence de fissure verticale au niveau
des murs porteurs (transversaux).  Réfection de l’étanchéité.
 Pourrissement des rondins.

PPSMVSS CASBAH D’ALGER PHASE I RAPPORT D’EXPERTISES  BILAN 2007


ETAT DE CONSEVATION DU BATI
ETAT DE CONSERVATION DU BATI
Diagnostic

Élaboré sur la base d’investigations sur site, menées par


des équipes pluridisciplinaires; ce diagnostic met en
évidence, principalement, l’état de conservation du bâti et
des réseaux, les surélévations et les constructions illicites,
les constructions précaires .
Il détermine les pathologies, fixe les causes de dégradation
et permet d’élaborer le projet des mesures d’urgence.
Mesures d’Urgence

En prévision du PPSMVSS, le projet des mesures


d’urgence permet d’arrêter tous les processus et
phénomènes de dégradation et de détérioration, et ce, en
passant, pour les cas critiques, par des investigations , plus
détaillées fixant ainsi, avec précision les différentes
sources de dégradation.
MESURES D’URGENCE PAR CATEGORIE

CATEGORIE I:Bâtisses au stade de dégradation extrême à 36


conforter de l’extérieur

MUREES : 53
CATEGORIE II :Bâtisses murées ou fermées à
couvrir contre les intempéries

FERMEES: 66

CATEGORIE III :Bâtisses au stade de dégradation extrême et 188


occupées; à étayer

TOTAL CASBAH 343


Bilan Mars 2007
DES ACTIONS DE MESURES D’URGENCE

Ces actions sont de type conservatoires destinées à stabiliser le


tissu dans ses deux dimensions physiques et humaines.

 Action d’étayement intérieur et extérieur des constructions


 Action de protection des ruines et des espaces vides , des eaux de
pluies
 Actions de réparation des fuites d’eau et curage des puits et des
djebs
 Action d’évacuation des déblais et gravats
 Action de renforcement du nettoiement et de la collecte des ordures
ménagères
 Action de sécurisation des réseaux énergétiques tout en assurant
l’alimentation
Mission de mise en œuvre
des mesures d’urgence

Pour la mise en œuvre des mesures d’urgence; ont été mobilisés:


 17 Bureaux d’études pour la prise en charge du bâti.
 02 Bureaux d’études pour la prise en charge des édifices majeurs.
 Les directions des services publics (voirie et réseaux divers) s’occupent de la
réparations et la mise à niveau .
 Les 19 bureaux sont assistés par le bureau d’étude CNERU
 Plus de 150 entreprises sont mobilisées sur site.
Le chiffre 343 des bâtisses classées dans la catégorie « dégradation extrême » en 2007,
est passé à 394 à nos jours.
 Plus de 363 bâtisses ont été couvertes par des études.
 Plus de 312 bâtisses ont été prises en charge
 Travaux achevés pour 259 bâtisses
 Travaux réceptionnés pour 181 bâtisses
 Refus de travaux pour 60 bâtisses
Les travaux ont démarré en Janvier 2008 et se poursuivent encore.
Mission de mise en œuvre
des mesures d’urgence

 Les travaux de mesures d’urgence sont financés par l’Etat à 100%.


 Le Ministère de la Culture a pris en charge cette mission .
 Le budget a été dégagé en deux phases successives ,pour la mise
en œuvre des mesures d’urgence, suite à la présentation de l’étude
en Conseil Interministériel.
1. Premier budget : 310 000 000.00DA
2. Second budget : 370 000 000 .00 DA
Il a été donc dégagé, pour cette mission ,à ce jour :une somme de
680 000 000 .00 DA qui recouvre :les travaux ,le payement des
bureaux d’étude et des entreprises.
Mission de mise en œuvre
des mesures d’urgence

Pendant le déroulement de l’étude ,l’UNESCO a dépêché


Plusieurs missions d’inspection et de contrôle des études et des
travaux de la Casbah d’Alger.
Il y a eu parallèlement:
 Deux présentations consécutives ,en 2007et en 2008 de
l’étude en cours au niveau du CNERU .
 Une présentation de l’étude au niveau de l’UNESCO en 2008
TRAVAUX DE MESURES D’URGENCE
Phase 2: Avant projet et Analyse historique et
typologique du plan permanent de sauvegarde.

Description et données
 Analyse historique
 Analyse typo-morphologique
 Analyse de l’état du bâti et des réseaux divers
 Analyse physique et géotechnique
 Analyse démographique et socio-économique
 Analyse environnementale et de l’évacuation des déchets
Analyse Historique
Une lecture historique profonde est effectuée, afin d’identifier
la stratification historique du tissu.

Outre l’élaboration d’une chronologie des événements historiques


marquant notamment ceux ayant une influence sur la configuration
actuelle du secteur sauvegardé, cette étude permet l’identification de
la stratification historique et par de la les éléments de permanences
soutenant la structure de l’urbain actuel.

Ces éléments sont classés en plusieurs catégories prenant en


charge aussi bien les éléments naturels que ceux artificiels.
Epoque phénicienne Epoque arabo berbère Epoque romaine
Période post coloniale 1962-2008
Archéologie – Bilan de l’étude

L’étude historique du PPSMVSS en cours ,a permit la superposition


des cartes de toutes les époques d’occupation du site.
Une prescription pour sondages et fouilles au niveau de la place
Du 08 mai 1945 ,a été établie par le CNERU en 2007,pour justifier
la non-conformité du projet métro ,tel qu’il a été conçu avant 2008,
Avec les vestiges découverts lors des sondages de 2008 approfondies
par les fouilles de Aout 2009 .
Les résultats des fouilles ont permis d’adapter l’étude du métro à
la nécessité de conservation des vestiges découvertes, témoignage
de 2000ans d’histoire d’Alger.
Il est proposé de réaliser une station métro -musée
Archéologie – Bilan de l’étude

L’étude historique du PPSMVSS en cours ,a permit la superposition


des cartes de toutes les époques d’occupation du site.
Une prescription pour sondages et fouilles au niveau de la place
Du 08 mai 1945 ,a été établie par le CNERU en 2007,pour justifier
la non-conformité du projet métro ,tel qu’il a été conçu avant 2008,
Avec les vestiges découverts lors des sondages de 2008 approfondies
par les fouilles de Aout 2009 .
Les résultats des fouilles ont permis d’adapter l’étude du métro à
la nécessité de conservation des vestiges découvertes, témoignage
de 2000ans d’histoire d’Alger.
Il est proposé de réaliser une station métro -musée
Archéologie – Bilan de l’étude

Les deux fouilles et les différents sondages ont permis de découvrir:


Fouille 1:
 Tout le quartier commercial Ottoman à environ 2m de profondeur.
 Toute la strate du quartier médiéval entre 03 et 04 m.
 Une basilique intacte de l’époque romaine tardive (5s aj).
 Des structures romaines primitives à plus de 7m de profondeur
 Des structures phéniciennes sur le rocher bleu .

Fouille 2:
 Des résidences ottomanes .
 Des vestiges romaines.
 Le rocher bleu.

Seuls les berbères se sont implanté loin de la mer


Analyse typo-morphologique

Les quatre systèmes organisateurs du tissu urbain sont:


Le parcellaire ,la voirie ,le bâti et les espaces libres .

Ces systèmes sont inscrits dans des zones homogènes par


rapport au parcellaire, à la typologie du bâti, à la période de
construction et à la trame viaire, nous dégageons zones
homogènes, chaque une d’elles se divise en sous zones 

Ces zones constituent des unités sous secteurs du secteur


sauvegardé
Les Unités Sous Secteur

USS 1: englobe trois quartiers constituant la haute casbah : Sidi


Ramdane - Amar Ali – Mer Rouge , elle se caractérise par un
tissu dense, traditionnel, avec un système bâti planaire et viaire à
système arborescent, elle regroupe un ensemble de monuments
classés.
USS 3: englobe trois quartiers constituant la basse casbah : Amar el
Kama – Souk el Djemaa et une partie de Lalahoum ainsi que les
bâtiments formant la paroi du Boulevard de la Victoire. elle se
caractérise par un tissu mixte, traditionnel interrompu par des
percements coloniaux qui ont perturbé les quatre systèmes
originels.
Les Unités Sous Secteur

USS 2: Cette zone ceinture tout le périmètre d’étude et englobe le


tissu colonial ainsi que les équipements de sécurité et scolaire.
Le tissu est à système viaire linéaire avec un parcellaire de forme
régulière. existence des zones de conflit due aux interactions des
deux tissus : traditionnel et colonial.
Elle se divise en sous zones homogènes :
• Le quartier de la marine et la boulevard Che Gue Vara.
• Les boulevards Ourida Meddad et Hahhad Abderezzak.
• Le port et les voutes.
• La citadelle et ses abords
USS 4: constituée d’une seule entité qui est l’amirauté « la jetée
Kheir eddine ». Cette zone est identifiée comme un élément
singulier du bâti, sa position générale par rapport au tissu urbain la
caractérise et lui permet une singularisation.
Synthèse de l’état de conservation
du cadre bâti BILAN 2007

Sur un ensemble de 2189 parcelles


83% de bâtisses restantes et 17% de vides
Sur les 1816 bâtisses restantes
30% sont en état de dégradation très avancée
50%sont en état de dégradation moyen ou superficiel
10% sont en état de ruine
10% sont fermées ou murées
 La majorité des bâtisses très dégradées ,les ruines et les vides sont
situées dans la zone homogène n°2(tissu traditionnel)
le reste ,dans la zone homogène n°3(tissu mixte)
 La majorité des bâtisses moyennement ou peu dégradées, se
trouvent dans la zone n° 4(tissu colonial )et dans la zone
périphérique(proche des voies mécaniques)
 Les propriétaires privés occupants leurs biens ,assurent leur
entretien
Analyse physique et géotechnique
Traitant de la qualité des sols du secteur sauvegardé sur la base
de :
 Levé topographique du secteur.
 Référence aux données géologique de la région Algéroise
 Sondages effectués sur site par l’équipe chargée de l’étude et
la réalisation du projet Métro.
Sont alors établies:
 Des coupes topologiques
 Des coupes géologiques
 Plan des contraintes géotechniques
 Carte de localisation des biens archéologiques apparents et
enfuis (sur la base de données historiques et de fouilles en
cours)
Analyse démographique et socio-économique

Sont élaborées les cartes :


 Identification des activités artisanales, industrielles et
commerciales
 Identification des équipements
 Nature juridique des propriétés (sur la base des enquêtes
CNERU 2007)
 Carte des densités
 Un rapport Traitant du cadre démographique et socio-
économique des occupants, La nature juridique des biens
immobiliers et les perspectives démographiques et socio-
économiques les activités économiques et les équipements
existants.
Les équipements
 La situation géographique du périmètre de sauvegarde est un atout
non négligeable par rapport aux grands quartiers et axes animés de
la capitale. Mais il apparaît que le niveau des équipements reste
encore moyen.
 Si les établissements scolaires, sanitaires et administratifs de base
répondent favorablement aux besoins de la population, l’animation
commerciale a effectivement régressé au cours de la dernière
décennie pour cause de fermeture de plusieurs locaux et de
changements d’activités.
 Il est évident que l’absence des potentialités foncières pour recevoir
de nouveaux équipements, invite à l’amélioration de la situation
actuelle par une rentabilité des services et la relance des activités
commerciales liées aux secteurs artisanal et tertiaire, investir dans la
jeunesse par la formation dans les petits métiers et le savoir faire qui
étaient la fierté de la population autochtone de la Casbah d’autrefois
doit figurer dans les actions prioritaires dans le volet économique,
social et culturel du plan de sauvegarde
DÉMOGRAPHIE

Du point de vue des caractères démographiques, la Casbah se


propose dans les mêmes termes (indicateurs) que ceux
enregistrés sur l’ensemble du territoire de la Wilaya d’Alger.
Par exemple la taille des ménages reste faible (moyenne de 5
personnes) par rapport à ce qu’elle était lors des précédents
recensements. Il est important de signaler les effets sociaux
notables de l’élévation du niveau culturel (niveau d’instruction
des ménages et de l’âge tardif du mariage).
HABITAT

La problématique de l’habitat : C’est un cadre bâti ancien et


délaissé, qui ne bénéficie pas des actions d’entretien, de
rénovation ou de restauration.
Bien souvent, les maisons de la Casbah offrent l’image d’un
site au patrimoine abandonné. Aussi, chaque année sont
enregistrés des effondrements et des menaces sur les
populations. Au dernier recensement, il était démontré que la
Casbah perdait 82 logements par an. Par ailleurs, le problème
de la densité élevée se pose au sein de certains secteurs. Le
nombre d’habitants à l’hectare, les TOL et TOP sont les plus
élevés de la capitale. Parfois le réduit d’une pièce, occupé par
une famille, est recensé comme un logement. A part quelques
secteurs « aisés », ceux de l’intérieur de la Casbah accusent
des taux alarmants et révèlent des déficits en logements.
ANALYSE ENVIRONNEMENTALE

Traitant de la situation environnementale actuelle,


du Mode d’évacuation et d’élimination des déchets
solides.
Sont élaborés :
 La carte des modes d’évacuation des déchets solides.
 La carte des dépôts sauvages
 La carte synthèse sur l’état de l’environnement
 Un descriptif des modes d’évacuation des déchets et de la
situation environnementale actuelle.
Carte synthèse de l’environnement
POLLUTION HYDRIQUE URBAINE 

Les eaux nuisibles (origine de la pollution hydrique au niveau du


secteur proviennent de :
 Des eaux usées ménagères : c’est les eaux des toilettes, des
cuisines, de lessives.
 Des eaux vannes : des urines, des matières fécales renfermant
des matières fermentescibles.
 Des eaux de ruissellement : provenant des eaux pluviales, ces
eaux entraînent toutes sortes de déchets minéraux et organiques,
ces eaux de ruissellement contiennent toutes sortes de bactéries.
ETAT DE L’ASSAINISSEMENT EXTERNE

L’enquête sur terrain a révélé l’existence d’un nombre


important d’avaloires obstrués par les ordures et
gravats ,car ces derniers sont dépourvus de filtres à
ordures, cela favorise l’écoulement des eaux pluviales
en superficie , et de manière abondante ,durant les
grandes pluies
ETAT DE L’ASSAINISSEMENT

Rejet externe

Rejet interne
ETAT DE L’ASSAINISSEMENT INTERNE 

 Les installations sanitaires ont été modifiées par les habitants,


d’autres ont pris naissance dans les étages supérieurs chose
qui n’a jamais existé à la casbah, la mise en place de ce type
d’installation sanitaire non prévue pour ce genre d’habitations
(à l’étage supérieure) a provoquer des fuites des effluents
donnant naissance à des rejets d’eaux usées à ciel ouvert à
faible débit mais permanent ; générant des effets néfastes sur
la santé humaine en particulier les enfants et les personnes
âgés, ce qui provoque la prolifération et la remontée de rats et
des cafards par les sanitaires.
 Utilisation des djeb (réservoirs d’eau pluviales) en fosses
septiques
 Risque de cross-conéction entre les eaux potables des puits
et ceux des fosses
PLAN D’ALIMENTATION EN EAU POTABLE
PLAN D’ASSAINISSEMENT
IMPACTS DES CONSTRUCTIONS ILLICITES 

 Nuisance visuelle.
 Pollution hydrique.
 Pollution liée aux déchets solides.
 Dégradations du cadre bâti.
 Les infiltrations.
 Naissance de fléaux sociaux
ANALYSE DES RÉSEAUX DIVERS ET DE
L’EVACUATION DES DÉCHETS
EVALUATION DE LA QUANTITÉ D’ORDURES
MÉNAGÈRES

Déficit entre les quantités ramassées et celles produites


ETUDE ANALYTIQUE

Cette étude traite de:


 Structure de permanence
 Structure de conformation
 Structure du publico collectif
 Structure fonctionnelle

Ces structures entretiennent des relations d’interdépendance et


de
complémentarité entre elles, tout en ayant leurs propres logiques .
Elles font ressortir les éléments «clés» dans la constitution de la
forme urbaine
SYNTHÈSE DE L’ETUDE ANALYTIQUE

Cette étude est synthétisée par :


1. La structure de l’urbain: qui permet d’intégrer la dimension
diachronique dans l’urbanisme et l’architecture ,sauvegarder
l’individualité formelle de la ville malgré les changements
successifs qu’elle subit et définit les outils de contrôle.
2. Les constats: La dégradation de la Médina d’Alger, a atteint son
paroxysme, une situation qui témoigne d’une triple
marginalisation ; physique, sociale et économique.
3. Les valeurs: Le tissu organique complexe renferme en son sein
une multitude d’édifices remarquables: la citadelle, les palais, les
édifices religieux ,les souks  ,les vestiges enfuis ou apparents et
autres.
REGLEMENT GENERAL

Le règlement général: complète et précise les dispositions arrêté


dans les documents composants le plan permanent
de sauvegarde et de mise en valeur à savoir :les documents
graphiques et le manuel des typologies architecturales,
techniques constructives et architectoniques servant de guide aux
différents intervenants pour les opérations de consolidation et de
restauration.
Le règlement spécifique par sous secteur :
il fixe les prescriptions particulières appliquées aux différentes
unités sous secteur
TITRE I. DISPOSITIONS GENERALES

Article 1. Champ d’application territorial du plan


Article 2. Objet, portée et conditions d’application du règlement
Article 3. Modalités d’application du règlement
Article 4. Portée respective du règlement d'autres législations
relatives à l'occupation et à l'utilisation des sols
Article 5. Affectation et subdivision du secteur sauvegardé en
sous-secteurs SS et affectation des immeubles
Article 6. Adaptations mineures
Article 7. Définitions
TITRE II. DISPOSITIONS APPLICABLES AUX DIFFERENTS SOUS- SECTEURS
DU SECTEUR SAUVEGARDE
Section 1
Prescriptions et servitudes définies pour le Sous-secteur 1 [USS 1]
correspondant à la zone homogène du « tissu traditionnel »

 Article USS 1.1 Définition et typologie architecturale des bâtiments


 Article USS 1.2 Nature de l'occupation et de l’utilisation du sol
 1.2.1 Occupation et utilisation du sol admises
 1.2.2 Occupation et utilisation du sol interdites
 Article USS 1.3 Conditions de l'occupation du sol
 1.3.1 Accès et voirie
 1.3.2 Desserte par les réseaux
 Article USS 1.4 Surface et forme des parcelles destinées à la construction
 Article USS 1.5 Implantation des constructions par rapport aux voies et emprises publiques
 1.5.1 Alignement du bâti
 1.5.2 Adaptations mineures
 Article USS 1.6 Hauteur des constructions
 Article USS 1.7 Espaces libres
 Article USS 1.8 Qualité architecturale des constructions
 1.8.1 Règles générales
 1.8.2 Règles relatives à l'entretien et la restauration des bâtiments existants protégés ou conservés
 Article USS 1.9 Règles relatives aux constructions nouvelles
 Article USS 1.10 Règles relatives aux installations techniques diverses
 Article USS 1.11 Règles relatives aux devantures commerciales
Section 2
Prescriptions et servitudes définies pour le Sous-secteur 2 [USS 2] correspondant à la zone
homogène du « tissu colonial » 
 Article USS 2.1 Définition et typologie architecturale des bâtiments
 Article USS 2.2 Nature de l'occupation et de l’utilisation du sol
 2.2.1 Occupation et utilisation du sol admises
 2.2.2 Occupation et utilisation du sol interdites
 Article USS 2.3 Conditions de l'occupation du sol
 2.3.1 Accès et voirie
 2.3.2 Desserte par les réseaux
 Article USS 2.4 Surface et forme des parcelles destinées à la construction
 Article USS 2.5 Implantation des constructions par rapport aux voies et emprises publiques
 2.5.1 Alignement du bâti
 2.5.2 Adaptations mineures
 Article USS 2.6 Hauteur des constructions
 Article USS 2.7 Espaces libres
 Article USS 2.8 Qualité architecturale des constructions
 2.8.1 Règles générales
 2.8.2 Règles relatives à l'entretien et la restauration des bâtiments existants protégés ou conservés
 Article USS 2.9 Règles relatives aux constructions nouvelles
 Article USS 2.10 Règles relatives aux installations techniques diverses
 Article USS 2.11 Règles relatives aux devantures commerciales
Section 3
Prescriptions et servitudes définies pour le Sous-secteur 3 [USS 3] correspondant à la zone
homogène du « tissu mixte » 
 Article USS 3.1 Définition et typologie architecturale des bâtiments
 Article USS 3.2 Nature de l'occupation et de l’utilisation du sol
 3.2.1 Occupation et utilisation du sol admises
 3.2.2 Occupation et utilisation du sol interdites
 Article USS 3.3 Conditions de l'occupation du sol
 3.3.1 Accès et voirie
 3.3.2 Desserte par les réseaux
 Article USS 3.4 Surface et forme des parcelles destinées à la construction
 Article USS 3.5 Implantation des constructions par rapport aux voies et emprises publiques
 3.5.1 Alignement du bâti
 3.5.2 Adaptations mineures
 Article USS 3.6 Hauteur des constructions
 Article USS 3.7 Espaces libres
 Article USS 3.8 Qualité architecturale des constructions
 3.8.1 Règles générales
 3.8.2 Règles relatives à l'entretien et la restauration des bâtiments existants protégés ou conservés
 Article USS 3.9 Règles relatives aux constructions nouvelles
 Article USS 3.10 Règles relatives aux installations techniques diverses
 Article USS 3.11 Règles relatives aux devantures commerciales
Section 4
Prescriptions et servitudes définies pour le Sous-secteur 4 [USS 4] correspondant à la zone
homogène de la « Jetée kheireddine »
 Article USS 4.1 Définition et typologie architecturale des bâtiments
 Article USS 4.2 Prescriptions réglementaires
 Article USS 4.3 Variantes d’aménagement
TITRE III. PRESCRIPTIONS PARTICULIERES

Section 1 Règlement applicable aux voies spécifiques et parcours


 Voies et parcours spécifiques
 Prescriptions générales

Section 2 Règlement applicable au patrimoine de l’eau [fontaines, puits, Djebs]


 Système des fontaines
 Prescriptions générales
ANNEXES
Annexe 1 Rappel des dispositions applicables au Patrimoine et zones archéologiques
 Préambule
 Champ d’application
 Zones archéologiques de saisine sur les dossiers d’urbanisme

Annexe 2 Rappel des dispositions applicables au Patrimoine majeur classé


 Préambule
 Encadrement réglementaire des types d’intervention
 Orientations d’aménagement

Annexe 3 Rappel des dispositions applicables à la gestion des ordures ménagères et au


ramassage des déchets et gravats
 Préambule
 Champ d’application
 
PLAN GÉNÉRAL DES PRESCRIPTIONS REGLEMENTAIRES
PLAN DES PRESCRIPTIONS REGLEMENTAIRES SPECIFIQUEA PAR SOUS SECTEUR
U.S.S.1
PLAN DES PRESCRIPTIONS REGLEMENTAIRES SPECIFIQUEA PAR SOUS SECTEUR
U.S.S.3.A
PLAN DES PRESCRIPTIONS REGLEMENTAIRES SPECIFIQUEA PAR SOUS SECTEUR
U.S.S.3.B
PLAN DES PRESCRIPTIONS REGLEMENTAIRES SPECIFIQUEA PAR SOUS SECTEUR
U.S.S.3.C
PLAN DES PRESCRIPTIONS REGLEMENTAIRES SPECIFIQUEA PAR SOUS SECTEUR
U.S.S.3.D
PLAN DES PRESCRIPTIONS REGLEMENTAIRES SPECIFIQUEA PAR SOUS SECTEUR
U.S.S.2
PLAN DES PRESCRIPTIONS REGLEMENTAIRES SPECIFIQUEA PAR SOUS SECTEUR
U.S.S.4
Bilan des Etudes Etablies pour la Casbah

 Un bilan de la situation de la Casbah, fut établi par La sous direction des


musées et monuments historiques et transmis à l’UNESCO dans les
années 60.
 L’Atelier Casbah, fut ensuite créé sous la tutelle du ministère des travaux
publics en 1968, pour prendre en charge la réhabilitation et la sauvegarde de
la casbah.
 En 1972, c’est le COMEDOR « comité d’études, de développement et
d’organisation » de l’agglomération d’Alger, qui prend la Casbah en charge
qui établira une étude sociodémographique détaillée.
 L’étude du POG d’Alger fait de la Médina un pole structurant.
 En 1978, une délégation d’experts établie un projet d’étude et de
réalisation.
 Le PDAU d’Alger, approuvé en 1995, seul document de référence juridiquement
opposable aux tiers, a proposé un schéma de structuration de la ville d’ALGER qui
organise la ville en centres socio-économiques rayonnants à partir d’un centre principal.
Cette structuration vise le développement de la centralité le long du littoral autour de e
points focaux dont La Casbah érigée en centre historique, culturel et touristique.

A ce titre la Casbah est divisée en plusieurs plans d’occupation des sols, il s’agit
1 - POS Haute Casbah
2 - POS Basse Casbah
3 - POS Amirauté 
 L’ensemble des termes de référence de ces POS se résume comme suit :
 Conservation et restauration du tissu traditionnel
 Dé densification à moyen et long terme principalement de la haute casbah
 Restructuration de la base casbah en relation avec l’amirauté et la jetée appelée à
devenir un espace de loisir accessible au public
 Prise en charge de la circulation de transit (liaison autoroute de l’est - frais vallon)
 Conservation et restauration des monuments classés (mosquées, palais...)
 Réaménagement et assainissement du littoral
 Affectation du quartier de la marine aux grands équipements et à l’habitat
multifonctionnel.
 Le Projet du métro d’Alger : Lancé en 1980, en cours de réalisation, ce
projet est considéré comme l’un des éléments moteurs de l’insertion urbaine,
qui aurait impérativement une implication directe sur l’intégration de la
Casbah à l’ensemble métropolitain et participerait à sa dé marginalisation.

En juin 1990 a émergé l’adoption de la variante « A » pour la réalisation de la


ligne n°1 du métro d’Alger.
 Projet de la « zone extra portuaire » :

Initié par la direction de l’urbanisme de la wilaya d’Alger, entre 1994 et1996,


cette
étude constitue un autre projet d’insertion de la Casbah dans la métropole
Algéroise, elle préconise les orientations suivantes :
 Réaménagement de la Darse (l’Amirauté) :
 L’îlot de la Marine : concerné par un ensemble de projets
 Revalorisation des voûtes
 Le projet du carrefour du millénaire :
 Constitue l’opération phare du GRAND PROJET URBAIN, initié par les
autorités du Gouvernorat du Grand Alger en l’an 1997 1999, il
constitue par son ampleur et ses fonctions, l’élément fédérateur de la
stratégie de métropolisation de la capitale.
Ce projet constitue le pole N°I du GPU, deux opérations principales
caractérisent ce pole :
la densification et le relogement de familles a l’extérieur de la Casbah.
La réhabilitation du port.
Il englobe, les structures anciennes des voûtes, le port de pêche et les
structures qui lui sont attenantes.
Par ces objectifs d’ordre urbanistique, culturel et économique, ce projet
participe à la requalification de la Casbah et dé marginalisation aux triples
plans physique et socio-économique.
 Projet d’aménagement de l’îlot Lalahoum : lancé en 1999, stipule
l’aménagement d’un jardin archéologique au niveau de l’îlot Lalahoum avec
notamment la restitution des rues d’origines : la rue Lalahoum, la rue Souilah et
la rue des marseillais ainsi que la fontaine Zoudj Ayoun.
 Les projets de restauration des monuments classés : palais et
mosquées :
 Réhabilitation de la Citadelle (en cours)
 Réhabilitation de Dar El Kadi, (fin des travaux).
 Réhabilitation du palais Dar Saddaka (en cours).
 Réhabilitation de la mosquée Ali Bitchine (en cours).
 Réhabilitation du mausolée Sidi Hlal(fin des travaux).
Bilan des Operations Entreprises
De nombreuses opérations ont été menées sur site, à savoir :
 Opération de relogement
 Opération de réhabilitation.
 Opérations d’aménagement.
 Injection d’équipements.
 Des opérations de nettoiement et d’évacuation de gravats et ordures.
1. bougdour.
1. En 1988, l’OFIRAC a lancé une opération de réhabilitation pilote sur 58 bâtisses.
2. En 1998, le gouverneur d’Alger, le 23 Février journée nationale de la Casbah , a lancé,
dans le cadre du GPU, une opération de réhabilitation au niveau de deux îlots pilotes
« Sidi Ramdane » et « Souk el djemaa » et ce sur budget de la wilaya, avec :
- Dédensification et relogement de 1002 familles.
 Réhabilitation de la maison témoin N°40, rue Azzouzi de l’îlot Sidi Ramdane.
 Réhabilitation de la maison témoin N°04, rue Omar Bokas de l’îlot Sidi

Ramdane.
- Réhabilitation des mosquées Sidi Ramdane -djemaa el kebir-djemaa el djedid -la
mosquée Ali bitchine-des mausolées :Sidi abderahmane,Sidi hlal et Sidi Dans le même
cadre, toute la basse casbah a été prise en charge par l’aménagement des voûtes, des
sous sols de la place des martyrs ainsi qu’une grande partie du port.
Dans le même cadre, toute la basse casbah a été prise en charge par
l’aménagement des voûtes, des sous sols de la place des martyrs ainsi
qu’une grande partie du port.
 A partir de l’année 2002, l’Assemblée Populaire Communale de la Casbah a pris en
charge :
 Réhabilitation de djemaa Essafir .
 Réhabilitation de djemaa el barani
 Réhabilitation de djemaa Sidi abdellah.
 Les études de restauration des mosquées Ketchaoua Sidi m’hamed chérif et Sidi benali
sont en cours depuis 2005.
 les palais Dar el hamra,Dar essouf et Dar Mustapha pacha ont été réhabilité et affecté ,c
de Hassen Pacha est en cours de travaux depuis 2005.
 deux pôles culturels ont été lancé mais arrêtés pour un problème de nature juridique des
terrains.
 Ainsi, le projet du carrefour du millénaire a été réalisé a 80%, il a été arrêté pour un
problème juridique d’appartenance des lieux, entre les autorités du port et ceux de la
Le hj
23 février 2002, le wali d’Alger a mi en oeuvre un plan
d’urgence, avec dégagement de 60 000 000 DA sur
budget de l’état, et ce, sur la base d’une instruction
cadre qui a fixé l’aide maximale de l’état a 10 000 000
DA et qui stipulait que le propriétaire doit participer a
concurrence équivalente a celle de l’aide de l’état.

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